Les problèmes concernant Apollo sont bien réels!
Les tenants du canular Apollo sont généralement considérés comme des cinglés par les médias.
Les médias pensent qu'ils n'ont pas d'argument pour soutenir leur "conspiration idiote".
Et pourtant ces arguments existent bel et bien, et ils sont même nombreux.
Ici j'en présente une sélection, et dites-vous bien qu'il y en a bien plus ce que je présente dans ce lien.
Mais je pense que cette sélection est largement suffisante pour réaliser que les problèmes concernant Apollo existent bel et bien et ne sont pas juste le fruit de cerveaux "déséquilibrés".
1) Problèmes avec la terre
Si je prends une photo de la lune, voici ce que j'obtiens:
Puis, je place une terre de même taille sur cette lune, et je la grossis 3,67 fois, puisque la terre est 3,67 fois plus grosse que la lune, et j'obtiens la photo que je prendrais de la terre si je me trouvais sur la lune:
Maintenant je place cette terre sur une photo d'Apollo, en tenant compte de l'angle de vue de la caméra Hasselblad des astronautes, et voici ce que j'obtiens sur la photo de droite de la vue stéréoscopique, à comparer avec ce que la NASA nous propose sur la photo de gauche de la vue stéréoscopique:
Conclusion évidente: La terre qui apparaît sur les photos Apollo est bien trop petite pour être la terre réelle telle qu'elle aurait été photographiée si les astronautes avaient vraiment été sur la lune!
Il n'y a pas qu'un problème de taille avec la terre, mais aussi un problème de position.
En effet, normalement la terre bouge peu dans le ciel lunaire.
Or, sur les photos Apollo, on peut mettre en évidence qu'elle bouge beaucoup trop.
Premier exemple:
Voici, sur une vue stéréoscopique, deux photos sur lesquelles on voit la terre dans Apollo 11.
On remarquera que l'astronaute ne tient pas son appareil droit, mais tourné.
Le panneau du module lunaire a exactement la même taille sur les deux photos, ce qui montre que l'astronaute ne s'est pas reculé sur la deuxième photo, mais s'est seulement déplacé latéralement au module lunaire.
Et, si l'astronaute ne s'est pas reculé, la terre devrait seulement bouger horizontalement sur la photo; mais, comme l'astronaute tourne son appareil, horizontalement, cela veut dire parallèlement à l'arête supérieure du panneau.
Par contre la terre ne devrait pas bouger perpendiculairement à l'arête supérieure du panneau (ce qui représente la vraie verticale)...et pourtant, elle bouge perpendiculairement à cette arête, et même de manière importante.
Si la terre n'avait pas bougé, voici ce que l'on aurait du voir sur la deuxième photo: La terre se serait seulement déplacé parallèlement à l'arête supérieure du panneau du module lunaire, mais non perpendiculairement à celle-ci.
Conclusion: La terre est descendue dans le ciel lunaire de manière conséquente entre les deux photos, ce qui est tout à fait anormal.
Deuxième exemple: Démonstration de mouvement anormal horizontal de la terre cette fois-ci.
Dans Apollo 17, une photo montre la terre sur la gauche d'une colline que l'on voit dans le fond, et qui s'appellerait "massif du sud".
Sur une autre photo, une bonne partie du massif du sud est cachée par le module lunaire, mais on en voit quand même un bout, et ce bout est doublement intéressant:
- Ce bout est sur la même verticale que la terre.
- Ce bout est manifestement la partie tombante de la droite du massif du sud.
Maintenant, si on revient sur la première photo, la terre de la deuxième photo est au-dessus de la partie tombante droite du massif du sud, donc à la position rouge.
Cela veut donc dire que, entre les deux photos, la terre aurait bougé de la position verte à la position rouge, ce qui est impossible si c'était la véritable terre.
On a donc plusieurs exemples de terre bougeant de manière anormale dans le ciel lunaire d'Apollo, ce qui montre bien que cela ne peut pas être la vraie terre.
2) Problèmes avec le soleil
Cette vue stéréoscopique montre, sur la gauche une photo du soleil prise près de l'orbite de la terre dans la mission Apollo 11, et sur la droite une prétendue photo du soleil sur la lune dans la mission Apollo 12.
Il faut avoir de l'imagination pour trouver que les deux soleils se ressemblent:
Le soleil d'Apollo 12 est beaucoup trop gros, et de plus il n'a pas de rayons.
C'est un gros projecteur en fait!
Et, même sans voir le soleil, en jouant sur ses reflets, on peut démontrer qu'il bouge également de manière anormale dans le ciel lunaire.
(Rappel, le soleil bouge environ 30 fois plus lentement sur la lune que sur la terre, car le jour lunaire dure un mois environ).
Sur cette photo d'Apollo 15, on voit deux reflets du "soleil" que j'ai cerclés; un gros un peu pâle, et un petit plus brillant.
Si on trace une ligne passant par les centres de ces reflets, le soleil se trouve sur cette ligne.
Il y a une autre photo qui a été prise à gauche de la photo précédente, et sur cette photo on voit également ces deux reflets.
Si on trace une ligne passant par les centres de ces reflets, le soleil est également sur cette ligne.
Maintenant, je fais un panoramique avec des deux photos, et je trace sur ce panoramique des lignes joignant les centres de reflets que l'on voit sur les photos.
Ces deux lignes se croisent en dehors des photos.
Je prolonge les lignes des reflets au-dessus du panoramique construit avec les deux photos, pour voir où ces lignes se croisent.
Elles doivent normalement se croiser sur le centre du soleil...et on voit qu'elles se croisent bien trop haut; elles ne peuvent pas se croiser si loin du haut des photos, elles devraient se croiser bien plus bas.
Qu'est-ce que cela veut dire?
Cela veut dire que ces reflets ne peuvent pas avoir été causés par le véritable soleil, mais par un projecteur suspendu qui se trouve au-dessus de la scène, et qui a été déplacé entre les deux photos.
Autre exemple de déplacement anormal du "soleil", encore plus parlant.
Voici un panoramique fait avec trois photos consécutives d'Apollo 17 (AS17-145-22160, et les deux suivantes).
Sur les trois photos on voit deux reflets bien nets; si on joint ces reflets par une ligne, cette ligne doit passer par le centre du soleil.
Cela veut dire que les trois lignes de reflets doivent se rencontrer en un point commun qui est le centre du soleil.
Mais, si on prolonge les lignes de reflets au- dessus du panoramique fait avec les trois photos, on se rend compte que les trois lignes ne se rencontrent pas du tout en un point commun:
Une fois de plus cela veut dire que ces reflets ne sont pas produits par le véritable soleil, mais par un projecteur suspendu qui a été déplacé entre les photos!
3) Problèmes avec le décor de fond
En utilisant la technique de superposition de photos, on peut aussi prouver que le décor de fond bouge de manière anormale.
Voici un couple de deux photos prises dans Apollo 17; entre les deux, le photographe a simplement tourné son appareil, mais sans se déplacer.
Si je superpose les deux photos de manière à essayer de superposer aussi parfaitement que possible tous les éléments, j'arrive à bien superposer tous les éléments..sauf le décor qui montre un net déplacement bien visible.
Cela montre que le décor de fond a nettement bougé entre les deux photos.
Autre exemple, dans Apollo 15, cette fois.
Voici un couple de deux photos, montrant une montagne à l'arrière-plan, et, à l'avant plan, des traces de roues du rover qui s'éloignent.
Entre les deux photos, le photographe a juste bougé un peu.
Voici deux vues d'une route que j'ai prises, entre les deux photos, j'ai un peu bougé.
Maintenant, je superpose les deux photos de manière à faire se correspondre aussi bien que possible les montagnes dans le fond.
Et que constate-t-on? Que les deux routes des deux photos convergent l'une vers l'autre, elles se rejoignent dans le fond.
Maintenant, je fais le même type de superposition avec les photos d'Apollo 15, c'est à dire que j'essaie de faire se correspondre aussi bien que possible les montagnes de l'arrière-plan.
Et que constate-t-on? Que les deux traces de roues, au lieu de converger les unes vers les autres comme elles le devraient, restent anormalement parallèles!
J'ai coloré ces traces de roues sur cette vue, afin que vous voyiez bien que ces traces de roues restent parallèles, et ne se rejoignent pas.
Ceci ne peut s'expliquer que par le fait que le décor a bougé entre les deux photos!
Maintenant je vais montrer toute une série d'exemples choisis montrant des anomalies.
Il y en a bien d'autres, mais cette sélection suffira à montrer de manière claire qu'il y a de sérieux problèmes dans les photos et vidéos d'Apollo!
Voici deux photos d'Apollo 11 supposées montrer Buzz Aldrin s'extrayant du module lunaire, et commençant à descendre l'échelle du module:
Regardez bien: Sur la première photo, il assez petit pour pouvoir se tenir à genoux dans le sas de sortie...mais, sur la seconde photo, il a nettement grossi, à tel point, que, s'il essayait de repasser dans le sas de sortie, il n'y arriverait pas, même en rampant sur le ventre!
Sur ces deux photos, on voit une même plaque US sur l'extrême droite de la photo.
Ce qui est étonnant est que l'on voit cette plaque au même endroit, et de la même taille, alors que les deux photos sont prises sous des angles complètement différents!
J'ai pris deux photos d'une volée d'escaliers, sensée symboliser l'échelle du module lunaire, avec une poubelle qui symbolise la plaque US (ce n'est pas par manque de respect pour la plaque US, mais parce que la poubelle est sur roues, et donc facile à déplacer).
J'ai pris ces deux photos en opérant un changement d'angle de vue équivalent à ce que l'on voit sur les deux photos Apollo...et on voit que, sur la deuxième photo, la poubelle qui était sur l'extrême droite sur la première photo, s'est déplacée vers la gauche sur la deuxième photo, et a aussi changé de taille!
Cela, c'est la réalité; ce que l'on voit que le couple des deux photos Apollo, c'est de la fantaisie!
Voici deux gros plans du drapeau sur deux photos d'Apollo 11.
Le drapeau y est vu de deux côtés différents; on voit que la même zone de la partie étoilée du drapeau est ombrée des deux côtés à la fois; pourtant, si elle est ombrée d'un côté, logiquement elle devrait être éclairée de l'autre côté!
La vue de gauche de la vue stéréoscopique montre une photo très célèbre de Buzz Aldrin prise par Neil Armstrong sur la lune; on y voit Buzz Aldrin avec son bras gauche replié.
Vous avez du vous demander pourquoi il repliait ce bras? Et bien, vous avez l'explication en regardant dans sa visière (vue de droite de la vue stéréoscopique); en effet, dans la visière, ce même bras n'apparaît pas replié, mais tendu au contraire, ce qui est contradictoire!
C'était tout simplement pour créer un gag!
Vous pouvez voir sur ce gros plan qu'il n'y a pas de connexion entre la patte du module lunaire et le support latéral, alors que cette connexion devrait exister!
Voici un gros plan sur un pied du module lunaire dans Apollo 11.
Regardez, c'est absolument incroyable, la connexion entre la patte du module et son pied est pratiquement inexistante!
On se demande comment le module a fait pour ne pas perdre ses pieds!
Regardez bien ce couple de deux photos prises par une caméra placée au haut du module lunaire.
Sur la première, l'astronaute a tout son casque et son buste éclairés.
Sur la deuxième, il monte simplement son bras, et rien que cela fait que tout son casque et une partie de son buste deviennent noirs....alors que le même bras baissé ne créait pas d'ombre sur la précédente photo!
Regardez bien cette photo: Buzz touche le drapeau avec sa main...mais l'ombre de sa main ne touche pas l'ombre du drapeau!
Ceci est un couple de deux photos d'un astronaute tendant le drapeau dans Apollo 12.
Regardez bien l'ombre du drapeau et un anneau blanc que l'on voit sur le sol: Leur changement de position dit que le photographe a tourné autour du drapeau et l'astronaute qui le tient...et pourtant ni le drapeau, ni l'astronaute qui le tient ne montrent de rotation!
Ceci est un couple de deux photos de Surveyor pris à une certaine distance dans Apollo 12 (Apollo 12 aurait aluni juste à côté d'un Surveyor qui se serait posé précédemment sur la lune).
J'ai coloré les mêmes trous que l'on voit sur les deux photos afin que vous voyiez que l'astronaute a nettement tourné autour de Surveyor entre les deux photos, en conséquence de quoi Surveyor devrait montrer une nette rotation équivalente.
Mais, lorsque l'on fait des gros plans sur le surveyor des deux photos, celui-ci ne montre pratiquement pas de rotation entre les deux photos, en tout cas nettement moins importante qu'il ne devrait.
Voici deux photos d'un trépied, appelé "gnomon", dans Apollo 12.
Si on regarde de près ce trépied, on constate que:
- Il y a deux pattes qui ont des ombres rapprochées, alors que la troisième patte a une ombre plus écartée que celle des deux autres.
- Deux des pattes ont une ombre qui est assez droite, alors que la troisième a au contraire une ombre tortueuse.
Le problème est que ce n'est pas la même patte qui a une ombre tortueuse sur les deux photos.
En effet, sur la première photo, c'est une des deux ombres qui sont rapprochées qui est tortueuse, alors que, sur la deuxième photo, c'est l'ombre qui est écartée des deux autres qui est tortueuse!
Nouveau gag!
Regardez cette photo d'Apollo 12: le drapeau tombe près du sol (et proche de la hampe), mais son ombre reste loin du sol!
Conclusion: l'ombre du drapeau a décidé qu'elle n'en ferait qu'à sa tête, et qu'elle n'obéirait pas à son maître!
Ce couple de photos montrent un astronaute pris par une caméra placée au haut du module lunaire peu après l'alunissage.
Voici des gros plans des deux photos; observez bien: Sur la deuxième photo, L'astronaute a un peu baissé sa main, et on voit apparaître un reflet du "soleil" tout au haut de la visière...mais ce reflet est placé de telle sorte que la main n'aurait pu le masquer sur la premiere photo, ce qui veut dire qu'il aurait aussi du apparaître sur la première photo!
Voici un couple de deux photos d'un astronaute tenant le drapeau dans Apollo 14.
Sur les deux photos, on voit l'ombre du photographe au milieu de la photo; mais, alors que l'ombre apparaît de front sur la première photo, elle apparaît de profil sur la deuxième photo!
Pourquoi est-ce anormal?
Parce que, lorsque vous prenez une photo (extérieure) de manière à ce que votre ombre apparaisse au milieu de la photo, elle sera toujours vue de front, et jamais de profil!
Comme j'ai l'oeil de l'aigle qui voit tout, j'ai remarqué quelque chose qui se cachait sous le module lunaire; on ne le voit pas bien, car il a été assombri...
...mais, si on rajoute de la luminosité pour le voir, alors on le voit nettement, et c'est...un petit diable rouge!
Un gros plan sur le petit diable rouge après rajout de la luminosité pour le faire apparaître.
Voici une photo d'un astronaute saluant le drapeau prise dans Apollo 15.
A l'arrière-plan, on voit une colline très reconnaissable (sur d'autres photos), avec, sur sa droite, un gros trou très caractéristique, que l'on reconnaît aisément sur d'autres photos.
L'axe drapeau-module lunaire pointe vers ce trou.
Voici un panoramique fait avec deux photos; sur la photo de gauche, on voit le module lunaire, et le drapeau (c'est la tâche blanche); mais on voit que l'axe drapeau-module lunaire de la photo de gauche ne pointe pas vers la colline de la photo précédente (cerclée de rouge), mais vers une autre colline (cerclée de vert).
Cela veut dire que, sur la photo de l'astronaute saluant le drapeau, on n'aurait pas du voir la colline que l'on y voit dans le fond, mais une autre colline que j'ai représentée sur la vue de droite.
Sur une photo d'Apollo 15 (AS15-86-11600), on voit, sur la gauche, un coffre blanc.
Mais, si je fais un panoramique avec deux autres photos (AS15-87-11818 et suivante), ce coffre a disparu; qu'est-il devenu, et que contenait-il?
Dans Apollo 15, une photo étrange montre le sac de l'astronaute cachant partiellement la caméra du rover, alors que l'astronaute est derrière le rover, et donc la caméra est plus proche de l'astronaute qui prend la photo que l'astronaute qui est pris en photo.
Il est donc tout à fait impossible que le sac de l'astronaute puisse cacher partiellement la caméra du rover...
...Ce qui est confirmé par ce que l'on voit dans la visière de l'astronaute pris en photo.
Une photo montre le rover en position instable avec les roues en l'air.
Et le rover a bien les roues en l'air, car sinon l'ombre de la roue toucherait la roue, ce qui n'est pas le cas.
Sur une photo d'Apollo 15 (AS15-82-11155), on voit une bien étrange trace de pas dont je montre ici un gros plan.
La semelle ne correspond absolument à celle d'une botte d'astronaute!
C'est peut-être un habitant lunaire qui passait par là qui a laissé cette empreinte.
Souvent on voit apparaître des choses étranges qui sont cachées dans la pénombre, et que l'on peut faire apparaître en rajoutant de la luminosité sur la photo.
Voici par exemple une photo du module de commande d'Apollo 15 prise dans l'espace:
On devine quelque chose de bizarre sur cette photo; pour bien le mettre en évidence, il suffit de rajouter de la luminosité sur la photo, et on obtient alors ceci:
On voit alors apparaître ce qui est manifestement un anneau de cuivre.
Cela m'étonnerait qu'il y ait des anneaux de cuivres qui trainent dans le ciel lunaire!
Sur une photo d'Apollo 15 qui est prise depuis le module de commande, on voit le reflet de la main de l'astronaute qui prend la photo sur la vitre.
Et on voit sur le reflet de la vitre que cette main porte une bague.
Or il n'y avait que le commandant de la mission, Scott, qui portait une bague, les deux autres astronautes n'en portaient pas.
Mais, alors que la bague de Scott avait un saphir noir, celle du reflet de la vitre a visiblement un brillant à la place, ce qui est contradictoire.
Un nouveau gag!
Dans Apollo 16, un astronaute saute deux fois.
Il est pris deux fois en photo par l'autre astronaute, alors qu'il est en l'air, au sommet de son saut.
Lorsqu'il est en l'air, l'attraction lunaire le force à avoir une orientation verticale (comme sur terre).
En conséquence de quoi, ses jambes devraient alors faire le même angle avec l'ombre du module lunaire...mais ce n'est pas le cas, cet angle est différent dans les deux sauts!
Sur toute une série de photos, on trouve une série de taches brunes, qui sont répétitives, et qui ressemblent à de la boue qui aurait atterri sur l'objectif de l'appareil.
Si c'était des défauts sur la pellicule, les taches ne seraient pas identiques d'une photo à l'autre, mais aléatoires.
Et elles sont bien absolument identiques, ce que l'on peut constater en faisant une animation avec des photos sur lesquelles ces tâches sont présentes.
Cela ne peut pas être de la poussière lunaire, car la poussière lunaire étant sèche, elle ne pourrait adhérer sur l'objectif; elle ne pourrait adhérer que par capillarité, et cela nécessite de l'eau.
Il s'agit bien de traces de boue, et il n'y a pas de boue sur la lune!
Ce couple de photos montrent deux vues d'un même rocher:
J'ai fait des gros plans d'une même partie de ce rocher, et on voit quelque chose de bizarre, qui ressemble à un animal sculpté, et ce n'est pas le même sur les deux vues.
J'ai colorié en jaune cet animal bizarre, qui change sur les deux vues.
Voici un couple de deux photos d'un trépied dans Apollo 16.
Voici des gros plans sur le trépied; sur la photo de gauche, on peut voir la troisième patte, celle qui est plus éloignée des deux autres sur la vue; sur la deuxième photo, prise sous un angle légèrement différent, on ne voit plus la troisième patte, car elle est complétement cachée par une patte du trépied; en effet, elle ne peut être cachée que par la patte frontale du trépied, et non la partie centrale, à cause de son ombre qui n'est pas visible entre la patte frontale et la partie centrale.
J'ai fait un essai avec un trépied, et regardé comment il devait être disposé pour que la patte frontale puisse cacher la troisième patte...Et vous voyez que, pour que cela soit le cas, il faut qu'il soit disposé complétement différemment du trépied de la photo Apollo.
Et si je dispose mon trépied de la même manière que sur la photo Apollo, alors vous voyez que la troisième patte du trépied n'est pas cachée, mais bien visible!
Cela veut dire que, si leur trépied est un trépied normal, alors, à la manière dont il est disposé, on devrait voir sa troisième patte sous la forme du trait rouge que j'ai représenté; la troisième patte ne devrait pas être complètement cachée.
La conclusion est que, pour que la patte frontale puisse cacher la troisième patte avec le trépied disposé de cette manière, il fallait qu'elle soit tordue de manière anormale, asymétrique, ce qui rendrait le trépied instable, avec de bonnes chances de se casser la figure.
Les trois pattes du trépied et la partie centrale se rencontrent en un point commun, et donc il doit en être de même pour leurs ombres...
Ces ombres se rencontrent en dehors de la photo.
Mais, si je prolonge les ombres des pattes et de la partie centrale en dehors de la photo pour voir comment elles se rencontrent, alors on se rend compte qu'il y a une des ombres qui ne rencontre pas le point commun des autres!
Sur une photo d'Apollo 16, si on fait un gros plan sur l'astronaute, on se rend compte d'un phénomène bizarre. Alors que, sur la photo, l'astronaute a visiblement les mains tournées vers l'extérieur, sur le reflet de sa visière, elles apparaissent comme si elles étaient tournées vers l'intérieur à la place!
Sur une photo d'Apollo 16, on voit une photo de famille que l'astronaute Duke aurait jetée sur le sol lunaire, afin d'y laisser un souvenir.
Mais, si cette photo avait vraiment été placée sur le sol lunaire, alors elle aurait toute chance d'être cuite par le soleil en n'étant pas mise à l'ombre.
Mais il y a quelque chose d'encore plus remarquable...
...Si on fait un gros plan sur cette photo, alors on se rend compte que le plus jeune garçon, avec un sweater rouge, a le bras droit nettement plus long que son bras gauche, et même plus long que ceux de son frêre ainé!
Un nouveau gag!
Les fans d'Apollo essaient généralement d'expliquer les problèmes de direction des ombres par le fait que l'inégalité du relief dévierait les ombres.
Mais, sur cette photo, l'ombre de la caméra du rover et l'ombre d'une roue ont carrément des ombres perpendiculaires!
Je les défie de reproduire ce phénomène!
Normalement, voici ce que l'on aurait du voir: L'ombre de la caméra orientée comme celle de la roue (ou vice versa)!
Voici une animation réalisée avec une suite de photos consécutives d'Apollo 17 (à partir de AS17-133-20295), qui sont prises alors que la rover roule droit devant elle sur le sol lunaire (la caméra frontale ne tourne pas).
Sur cette animation, j'ai cerclé des trous qui se retrouvent sur les différentes photos...et on voit que ces trous, au lieu de défiler dans la direction d'avancement du rover, défilent dans une direction qui lui est quasiment perpendiculaire, en tous cas très différente de sa direction d'avancement!
C'est comme si, au lieu de rouler normalement, le rover glissait latéralement sur ses roues!
Voici un couple de deux photos du drapeau avec l'astronaute le saluant.
Entre les deux photos, le rover et le module lunaire bougent sur la droite relativement au drapeau; c'est le signe que l'astronaute qui prend la photo s'est décalé sur la droite entre les deux photos.
Je prends une photo de mon vélo devant des voitures, puis je me décale vers la droite, et je reprends une photo; comme je me suis décalé, le vélo bouge vers la gauche relativement à la voiture qui est derrière, mais, comme son angle de vue a également changé, il montre aussi une rotation, bien que je n'y aie pas touché; c'est le changement d'angle de vue qui provoque cette rotation.
Je peux également tourner manuellement mon vélo, de manière à ce qu'il ne montre pas de rotation entre les deux photos; la rotation manuelle compense alors la rotation optique.
Cela veut dire que le drapeau, étant vu sous un angle différent sur la deuxième photo, devrait montrer une rotation comme sur la photo de droite que j'ai modifiée pour la rendre plus plausible.
Le fait que le drapeau ne montre pas de rotation sur la deuxième photo, alors que le photographe s'est décalé, est une claire anomalie.
Ce n'est pas la seule anomalie du même style.
On en trouve d'autres, encore plus élaborées, comme sur cette série de photos (à partir de AS17-134-20509) dont j'ai fait une animation.
Ce que l'on constate est que:
- Le module lunaire se déplace vers la droite relativement aux collines du fond, parce que le photographe se déplace vers la gauche alors qu'il prend les photos.
- Le drapeau se déplace encore davantage vers la droite, c'est à dire qu'il se déplace non seulement par rapport aux collines du fond, mais aussi relativement au module lunaire, car il est plus proche du photographe que le module lunaire, et donc réagit plus au déplacement du photographe.
Si on fait un gros plan sur le module lunaire et le drapeau dans cette animation, alors on constate que:
- Le module lunaire montre une claire rotation au cours de l'animation, ce qui est normal puisque son angle de vue change du fait du déplacement du photographe.
- Par contre, le drapeau qui devrait montrer une rotation nettement plus importante que le module lunaire, car il est plus près du photographe, n'en montre pratiquement pas, en tout cas bien moins que ce qu'il devrait!
Un nouveau gag jouant sur l'angle de vue!
Sur une photo d'Apollo 17 (AS17-134-20453), la batterie solaire du rover apparaît cassée; comment le rover peut-il fonctionner avec une batterie cassée?
Cette photo montre deux photos d'une sonde dont on voit la poignée, devant un rocher.
Ce qui est étonnant est que, sur une photo, la poignée apparaît en plastique, et que, sur l'autre, elle apparaît métallique.
Comment peut-elle changer de matière d'une photo à l'autre?
Ce couple de photos d'Apollo 17 montre un rocher pris sous deux angles nettement différents.
Mais, alors que le rocher montre une nette rotation entre les deux photos, il y en a une partie, que j'ai colorée en rouge, qui ne montre pas de rotation du tout, alors qu'elle devrait montrer la même rotation que le rocher dont elle fait partie.
Cette animation faite avec les deux vues du rocher montre nettement le malaise, et donne une impression bizarre.
Un nouveau gag!
Si on fait un gros plan (représenté sur la vue de droite de la vue stéréoscopique) sur la visière de l'astronaute de la photo d'Apollo 17 représentée sur la vue de gauche de la vue stéréoscopique, alors on constate quelque chose d'extrêmement bizarre: L'astronaute qui prend la photo, et dont le reflet apparaît sur la visière, n'a manifestement pas de sac de survie; comment fait-il pour respirer sur la lune?
Il fait peut-être de l'apnée?
Sur une photo d'Apollo 17, on voit un clip attaché au garde-boue d'une roue arrière; ce clip projette une ombre qui est très bizarre!
En effet, au lieu de l'ombre que l'on voit que la vue de gauche de la vue stéréoscopique, l'ombre obtenue devrait plutôt être celle que j'ai corrigée sur la vue de droite!
Sur cette photo d'Apollo 17, l'antenne parabolique située au haut du module lunaire a une ombre démesurément grande, ne correspondant pas à sa taille réelle.
Ceci est une photo du module de commande qui serait prise depuis le module lunaire.
Pour commencer, le module de commande a une attitude étrange sur cette photo.
Mais ce n'est pas le plus étonnant; le plus étonnant, est que l'on ne voit pas du tout le module de service derrière le cône, alors que le module de commande présente un biais prononcé.
Le module de service est cette partie cylindrique qui se trouve derrière le cône du module de commande.
Normalement, le module de commande étant vu en biais, le module de service devait être partiellement visible, comme sur cette photo que j'ai modifiée; je l'ai peut-être exagéré sur cette photo, pour bien montrer sa présence, mais ce qui est sûr, c'est qu'il ne devrait pas être complétement invisible.
A titre de comparaison, il y a une autre photo du module de commande en biais dans Apollo 14, et sur cette dernière, on voit bien le module de service, alors il n'y a pas de raison qu'on ne le voie pas sur la photo d'Apollo 17, surtout que sur la photo d'Apollo 17, le module de commande a un biais encore plus prononcé que sur la photo d'Apollo 14.
Nous avons vu plusieurs cas de couples de photos se contredisant.
Mais il y a d'autres cas de contradiction.
En effet toutes les vidéos et photos qui sont prises en même temps se contredisent de manière systématique.
Je vais montrer deux exemples, mais il y en a plein d'autres.
Voici deux photos supposément prises par Schmitt, alors que celui-ci est déjà retourné au rover, et que Cernan est parti pour le rejoindre.
Sur la première photo, on voit Cernan au loin, encore petit sur la photo, car il en est encore à une certaine distance.
Sur la seconde photo, on ne voit pratiquement pas Cernan; en fait, on le voit un tout petit peu, mais il est en grande partie caché par un élément de la rover, car il est encore petit à cause de la distance.
Par contre on voit la caméra du rover, celle qui prend les vidéos, et on voit qu'elle fait pile face à la hampe de l'antenne haut gain (celle en forme de parapluie renversé).
Mais, sur la vidéo que filme la caméra, contrairement à ce que montre la deuxième photo, la caméra n'est pas en face de l'antenne haut gain, mais sur sa gauche, et elle ne la passe qu'après que Cernan soit arrivé au rover!
On a donc un désaccord entre ce que montre la photo et ce que filme la caméra!
Deuxième exemple de contradiction entre photos et vidéo.
A un moment, dans Apollo 17, les astronautes sont près d'un gros rocher, appelé rocher de Tracy.
Les photos montrent Schmitt à une extrêmité du rocher.
Il ramasse le gnomon pour le ramener au rover qui se trouve de l'autre côté du rocher.
En effet, le rover se trouve à l'extrêmité opposée de celle à laquelle se trouve Schmitt sur les photos.
Détail très important: La caméra qui filme les vidéos se trouve sur le rover.
Pourquoi ce détail est-il important?
Parce que, sur la vidéo, on se rend compte que Schmitt se trouve non sur l'extrêmité opposée, mais sur celle qui est du côté du rover!
Et Cernan part de l'autre côté du rocher que celui depuis lequel il prend les photos!
Cela veut dire que la vidéo et les photos qui sont prises en même temps se contredisent complètement, sont en désaccord total!
Et pour toutes les autres vidéos, c'est pareil, elles contredisent systématiquement les photos qui sont prises en même temps!
Il y a même parfois des indices directs rapidement donnés de la tricherie.
Par exemple, dans Apollo 14, on voit une poupée brièvement passer devant la caméra; elle passe très rapidement, il faut être attentif pour la voir.
Dans Apollo 15, on voit un câble subitement tomber devant la caméra, comme ça, sans aucune raison, alors qu'il n'y a couramment pas d'astronaute près du rover:
Et, dans Apollo 17, on voit brièvement une cordelette être agitée devant la caméra; et, ce qui est encore plus étonnant, c'est qu'elle passe derrière les astronautes, et non devant!
Il y a encore d'autres indices donnés que les vidéos ne peuvent en aucun cas être tournées sur la une.
Par exemple, dans Apollo 17, à un moment donné, Schmitt doit verser de la poussière "lunaire" dans un sac que tient Cernan.
Il semble montrer un peu de maladresse, et fait tomber la poussière "lunaire" à côté du sac; en fait, il ne s'agit nullement de maladresse, et c'est tout à fait volontaire, de manière à ce que, si on chronomètre le temps de chute de la poussière lunaire, on se rend compte qu'elle tombe à la vitesse terrestre, et non la vitesse lunaire!
Vous l'avez compris, ceux qui ont été en charge de réaliser la simulation des missions lunaires, ont laissé volontairement pleins d'indices de la tricherie, parce qu'ils ne voulaient pas se rendre complices serviles des criminels qui les forçaient à simuler les missions.
Les ingénieurs qui ont conçu la technologie ont fait exactement pareil.
Ils ont volontairement conçu une technologie bâtarde, qui n'avait aucune chance de marcher, afin que ceux qui se plongeraient plus tard dans la documentation technique se rendent compte que c'était absolument n'importe quoi, et qu'il n'y a jamais eu de technologie permettant de faire alunir un module lunaire.
Il n'y a pas un seul interface électronique dans toute la documentation technique qui ne contienne d'erreur intentionnelle.
C'est une technologie "à la shadok".
Pour commencer, les ingénieurs ont conçu un ordinateur complètement délirant pour le module lunaire.
Certainement, la technologie de la mémoire à cordes de tores (core rope memory) existait alors, et était même utilisée dans certains ordinateurs.
Mais il y avait une différence très importante entre la mémoire à cordes de tores d'Apollo et celle des ordinateurs qui l'utilisaient.
Sur l'ordinateur d'Apollo, les fils qui programmaient les bits, en passant à travers les tores ou les contournant, étaient des lignes de détection, tandis que, sur les autres ordinateurs, c'était des lignes d'activation.
Alors que ces lignes recevaient un courant dans la mémoire d'Apollo, ces lignes envoyaient un courant dans une ligne de détection unique sur les mémoires des autres ordinateurs.
Et cela fait une différence très importante.
Et, même s'il existait quelques mémoires (par exemple mémoire d'imprimante) dans lesquelles les lignes de bit étaient étaient utilisées comme lignes de détection, elles fonctionnaient de telle manière que seule une ligne de détection recevaient le courant d'induction.
Le problème de la mémoire à cordes de tores d'Apollo est qu'il y avait trop de lignes qui recevaient un courant d'induction quand un tore était activé.
Et le courant qui traverse chaque ligne de détection qui le reçoit est divisé par le nombre de lignes de détection qui reçoivent le courant d'induction.
S'il y a trop de lignes qui reçoivent le courant d'induction, celui-ci peut devenir si faible dans chacune d'elles qu'il peut ne plus pouvoir être détecté ni amplifié.
Et ce n'est pas le seul problème de cette mémoire; l'amplificateur du courant induit montre également plusieurs anomalies qui font qu'il ne peut pas fonctionner normalement, et il n'y a pas de condensateur sur les bornes du secondaire du transformateur qu'on trouve sur les autres mémoires, et qui permet de maintenir l'impulsion induite, qui serait sinon trop courte pour être lue.
Et la mémoire dynamique ne fonctionne pas mieux.
Sur le schéma, les circuits d'écriture et de lecture partagent une partie commune, ce qui est une hérésie complète, puisqu'ils communiquent seulement par induction, et ne doivent pas se toucher.
Et, comme la mémoire à cordes de tores, l'amplificateur du courant de détection de la mémoire dynamique montre aussi un défaut majeur: Quand un transistor est activé, il mettrait en contact deux points forcés à des tensions très différentes, ce qui bien sûr ne peut pas marcher, et est un gag!
Comment est-ce qu'un ordinateur qui a une mémoire qui ne marche pas peut faire son travail?
Et le reste de l'ordinateur ne vaut pas mieux; Le jeu d'instructions est délirant (avec des instructions pour compter des impulsions matérielles!), et les programmes sont remplis d'erreurs de logique et de syntaxe.
Normalement, les réacteurs latéraux (qui fonctionnaient en "tout ou rien", ce qui signifie qu'ils ne pouvaient être qu'activés ou désactivés, mais pas partiellement activés) auraient du être contrôlés par une combinaison logique des couples de commandes positives et négatives de translation et rotation (quelques exemples montrés sur le dessin).
Mais ce que nous voyons sur l'interface de commande des réacteurs latéraux est tout à fait différent, nous voyons quelque chose de complètement illogique, rien à voir avec un interface normal.
De plus, c'est rendu encore plus absurde par la présence de relais électromécaniques qui sont commandés de telle manière qu'ils sont toujours tirés à la masse, quelque soient les commandes qui leur sont appliquées.
Ceci signifie que, même si l'ordinateur avait fonctionné, il n'aurait de toute façon pas pu contrôler le RCS (réacteurs latéraux).
Ceci rend le module lunaire doublement incontrôlable.
Comme si cela ne suffisait pas, le module de remontée du module lunaire avait un gros problème, avec un réservoir de carburant excentré qui décalait le centre de gravité en dehors de la ligne de poussée.
Ceci faisait que le RCS devait constamment corriger le torque créé par le désalignement du centre de gravité; ceci générait un mouvement oscillatoire du module lunaire, et aussi gaspillait le carburant du RCS.
Ceci bien sûr en considérant que le module lunaire pouvait contrôler son RCS.
Mais en fait, comme nous avons vu que le module lunaire était incapable de contrôler le RCS, le module lunaire se serait écrasé peu de temps après avoir décollé!
Selon la documentation technique du module lunaire, le radar ne pouvait pas marcher non plus!
La procédure d'alunissage était également anormale.
En effet, lorsque les sondes lunaires détectaient le sol lunaire, un interface électronique activait des transistors permettant de couper le réacteur.
Si cela avait été fait normalement, cet interface aurait directement coupé le réacteur.
Au lieu de cela, il se contentait d'allumer des indicateurs lumineux, et les astronautes, en voyant ces indicateurs s'allumer (un pour chaque astronaute) devaient pousser un bouton permettant de couper le réacteur.
Mais cette interaction humaine ajoutait un délai pour couper le réacteur, qui était tout à fait inutile, et aurait pu être évité.
Ce qui accroît l'absurdité de cette procédure est que le bouton que devaient pousser les astronautes pour couper le réacteur n'agissait pas quand il était pressé, mais quand il était relâché; pour couper le réacteur, ce bouton ne devait pas faire un simple aller, mais un aller-retour complet!
Ceci ajoutait un nouveau délai pour couper le réacteur.
Avec tous ces délais ajoutés, il y avait une chance non négligeable que le réacteur ne soit pas coupé avant de toucher le sol lunaire, avec des conséquences qui pouvaient s'avérer catastrophiques (car le réacteur était assez proche du sol lorsque le module lunaire reposait sur le sol).
La table de la descente motorisée contient plusieurs anomalies, mais l'anomalie la plus remarquable est que, lorsque le module lunaire est proche du sol lunaire, au lieu d'être stationnaire relativement à celui-ci, il avait encore une vitesse relative qu'il n'a pas le temps d'annuler avant de toucher le sol.
Et, comme le module lunaire n'a pas de roues, s'il a une vitesse latérale lorsqu'il touche le sol, il est sûr de culbuter!
La manière de désigner le point d'alunissage était aussi absurde, et, avec cette manière de le désigner, le module lunaire était sûr de le manquer!
La boule qui était reliée à chaque patte de l'alunisseur aurait du complètement remplir le réceptacle du pied; au lieu de cela, elle était sensiblement plus petite que ce réceptacle; mais, si elle était plus petite, cela signifie qu'elle pouvait en sortir; il y avait des fils pour assurer la connexion, mais ces fils n'étaient pas très solides, et n'auraient pas pu supporter un choc important.
Une nouvelle absurdité qui fait douter du sérieux du projet.
Autres gags visuels:
Les ingénieurs disent que, pour que la vidéo filmée par la caméra du rover puisse être correctement transmise vers la terre, où elle était regardée, il fallait que l'antenne haut gain (celle en forme de parapluie renversé) soit correctement orientée vers la terre, et ils montrent cette vidéo en accompagnement:
Vous voyez bien que, sur cette vidéo, l'antenne (dont on voit l'ombre) danse la gigue, et ne reste certainement pas correctement orientée vers la terre; et, malgré cela, la qualité de la vidéo n'en souffre pas, et reste la même tout au long de la séquence, ce qui est contradictoire avec ce qu'ils ont dit.
Ceci est supposé être une séquence filmée alors que le module de commande tourne autour de la lune:
On voit la terre monter au-dessus de l'horizon lunaire.
En fait, ce qui fait monter la terre est le fait que le module de commande tourne autour de la lune.
Si le module de commande ne tournait pas et restait statique, la terre resterait fixe et ne monterait pas au-dessus de l'horizon lunaire.
Mais, si le module de commande est effectivement en train de tourner autour de la lune, alors on devrait voir les trous de la lune défiler sur le sol lunaire...or vous pouvez voir qu'ils ne défilent pas et restent fixes!
Cette séquence est donc manifestement fausse.
Voici une séquence de l'alunissage d'Apollo 17; juste avant d'alunir, le module lunaire est encore en position horizontale, puis il passe brusquement en position verticale et descend pour alunir.
Pourquoi est-ce que cela n'a pas de sens?
Parce que, quand le module lunaire est près de la surface lunaire, à vitesse horizontale réduite, il n'a pas la vitesse horizontale permettant de créer une force centrifuge permettant de résister à l'attraction lunaire, et il n'a pas d'ailes non plus pour le porter, et il est donc obligé d'être en position verticale pour contrer l'attraction lunaire avec son réacteur; il ne peut pas être en position horizontale.
La séquence montrée sur la vue de gauche de cette vue stéréoscopique est prise alors que le module lunaire est sur le point de se poser sur la lune.
La forme que l'on voit sur le sol est sensée être l'ombre du module lunaire, et donc doit bouger avec lui.
Le problème est que, si vous observez bien, on voit des trous sur le sol lunaire qui bougent dans tous les sens sur la vidéo, de manière complètement anarchique; cela voudrait dire que, au lieu d'alunir de manière régulière normale, le module alunirait complétement en zigzag, un peu comme ce que je représente sur la vue de droite de la vue stéréoscopique, ce qui n'a évidemment aucun sens; dans la réalité, le module lunaire n'alunirait jamais de cette manière, qui risque de se terminer en capotage.
Ceci est la séquence finale du décollage du module lunaire d'Apollo 17 lorsqu'il quitte la lune pour retourner au module de commande (filmé depuis la caméra du rover).
On voit le module lunaire redescendre, après être monté, et faire une étrange sinusoïde horizontale.
En fait, le module lunaire faisait bien un mouvement sinusoïdal, à cause d'un réservoir de carburant mal placé qui obligeait le module lunaire à constamment corriger sa trajectoire, mais ce mouvement sinusoïdal était vertical et non horizontal!
Les problèmes concernant le système de survie sont simples à comprendre aussi.
Dans le sac de survie, la pression des différents circuits était contrôlée par des valves automatiques.
Mais il était possible qu'une valve automatique tombe en panne.
C'est pourquoi les astronautes avaient une boîte de contrôle sur le devant de leur habit qui leur permettait de faire des contrôles de pression.
Lorsqu'une pression devenait anormale, c'était le signe de la défaillance d'une valve automatique, et alors l'astronaute était sensé d'agir sur une valve manuelle pour remédier à la surpression avant qu'elle ne devienne dangereuse et explosive.
Mais, voilà, ces valves manuelles, au lieu d'être commodes à utiliser, et facilement accessibles, était situées au dos du sac de survie, donc difficilement accessibles, et surtout toutes petites, et serrées les unes contre les autres.
Ce qui fait, que l'astronaute avait du mal à les atteindre, et avait toutes les chances d'actionner la mauvaise, ou plusieurs en même temps.
Donc tout était fait pour que cela se passe mal, et que le sac de survie ait une chance non négligeable d'exploser!
Il y a même encore mieux:
Sur le devant, au bas de leur torse, les astronautes avaient un système de purge de CO2, qu'ils mettaient en route en tirant sur une boule.
Cette boule était reliée à une broche qui bloquait l'évacuation de CO2; en tirant sur la boule, ils retiraient la broche, et la purge de CO2 pouvait alors commencer.
Il y avait donc une procédure commode pour débuter la purge de CO2.
Oui, mais voilà: Les astronautes ne devaient pas seulement démarrer la purge de CO2, mais ils devaient aussi l'arrêter une fois celle-ci terminée.
Or la boule attachée à la broche ne permettait que de la retirer, et pas de la remettre en place.
Cela veut dire que, à la fin de la purge, l'astronaute devait saisir entre ses doigts une petite broche, et l'insérer dans un petit trou qu'il ne voyait pas, ni ne pouvait sentir avec ses gros gants pressurisés!
Cela veut dire qu'arrêter la purge de CO2 était pratiquement impossible.
Si les choses avaient été faites logiquement, il aurait du être aussi facile pour l'astronaute d'arrêter la purge que de la démarrer!