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À la recherche d'une lanterne (About me)





My story in English

Bonjour,

Je suis une adolescente de 18 ans du nord de l'Ontario. Le début de l'année 2002 ont été très difficile pour moi et surtout pour ma famille et mes ami(e)s. Le 12 Janvier 2001, lorsque tout aurait dû prendre fin, a débuté la première côte d'un obstacle. J'était déprimé, je me sentais seul, je me sentait pas aimé, je me sentait méchante, sans futur et que rien ne vaulait la peine de continuer. J'ai alors pris la décision de tout finir ce mal si poison en m'enlevant la vie, en autre mots, me suicider. Je voulais de la paix pour ma famille, je voulais une terminaison à ma souffrance personnelle. Je ne voulais plus de ce poison qui coulait dans mes veines.

Tout était noir autour de moi. Rien n'avait d'importance. Des images et des voix de partir m'entourait comme du feu. C'était comme j'était la seule au monde qui se sentait comme ca, que j'était juste un sac de vidanges prêt à se faire bruler. Toute ces poussières noire tournait autour de moi et me suffoquait. J'ai pris un sac noir de vidange et l'a mit sur ma tête, j'ai ensuite attaché le sac avec une corde. La fin de mon mal s'en venait. Ca allait finir. Mon corps était raide, ma poitrine était serré, mon coeur battair en vitesse. J'ai serré encore plus fort. Tout est devenu silencieux. C'était comme je tournait. Je tournait de plus en plus vite. Tout est devenue blanc. J'étouffais.

J'ai détaché la corde, enlevé le sac. J'était perdu, je ne savais que ressentir. Des voix et des questions me tourmentait. Pourquoi j'ai enlevé le sac? Pourquoi suis-je encore ici?

Quelques heures plus tard, ma grand-mère est rentré dans ma maison et a demandé si ma mère était ici. Elle n'y était pas. Elle nous a dit de faire certain de dire à ma mère d'appeller une mère d'un des mes ami et c'était très important. Je savais ce qu'elle voulait. J'ai été dans ma chambre, j'était perdu. Tout à recommencer. Mon coeur battait à vitesse, j'avais la poitrine serré. Je ne savais pas comment réagir. Ma mère est arrivé en haut quelque temps après. Elle me demandait si c'était vrai que je voulais partir.

Deux jours après elle m'a apporté à l'urgence. J'ai été admis à l'hôpital Sensenbrenner dans la chambre en avant des infirmières. Je ne ressentait rien. Je me sentait vide. Peut-être il avait quelque chose en dedans de moi qui voulait vivre, car j'ai accepté de rentré. Le docteur m'a mit sur 200mg de zoloft, du xenax pour l'anxiété et des sessions de counselling avec une madame très gentille. Ma famille et quelques ami(e)s venait me visité souvent. Ca faisait du bien savoir que du monde "carait" pour moi. Je ne pensais pas qu'il carait si tant pour moi. Je pensais que j'était seule et pas aimé. J'essayais d'allé mieux, mais je n'était pas capable. J'était creux dans le trou noir, et j'avais de la misère à monter l'échelle que le monde qui essayait de m'aide m'avait donnée. J'était trop faible. Trois semaines plus tard, je ne me sentait pas mieux. Je ressentait que je donnais trop de mal à ma famille et que je ne deviendrais pas mieux. Alors vers 1h30 d'un matin j'ai décidé que je voulais arrêter tout ca. Normalement les infirmières ne vient pas checker à cette heure. J'ai pris le tube et je l'ai mit autour de mon cou. J'ai venu pour l'attaché plus serré quand la porte de ma chambre s'est ouvri. C'était l'infirmière. J'ai ôter le tube, et je l'ai mit à terre très vite. Elle a ouver les rideaux, et a appercu. Elle a revenu avec un autre infirmières et m'ont retourné dans la chambre en avant des infirmières. Pour les prochains jours j'ai eu une infirmière qui me guettait 24/24. Je n'ai vraiment pas aimé ca. Mais, I guess c'était ce qu'il fallait faire. J'était vraiment fâché après moi même. Chaque fois que j'essayais, ca ne fonctionnait pas.

Le vendredi, mon docteur et ma counsellor ont décidé de m'envoyer à l'hôpital Algoma Sudbury Hospital, un hôpital psychiatrique. Cette journée était la plus dure de ma vie comme cela. J'était perdu ben raide. J'ai été là en hélicoptère. C'était comme tout le monde me regardait en sortant de ma chambre pour partir. Encore, je ne savais pas comment réagir. C'était comme le monde tournait autour de moi.

Lorsque je suis arriver là, aww..c'était dure. J'ai pleurer tout la soirée et la nuit. J'avais peur, j'était fâché, j'était triste, je me sentait coupable. Je n'ai pas voulu sortir de ma chambre les 3 premiers jours. J'était perdue. Je ne me sentait pas voulue.

J'était dans un hopital psychiatrique sur le plancher 400(pour les enfants). Ils y avait 13 lits... des chambres seules et quelques avec 2 lits. Au début j'était seule dans une chambre, mais j'ai changé dans une chambre à 2 quelques jour plus tard.

Au debut je n'avais pas de linge. Je devrais être en pyjama en cas que j'essaie de me faire mal avec mes affaires. Je ne faisais pas grand chose, j'avais peur de sortir de ma chambre. Je mangeais encore pas beaucoup, mais un peu plus. Lorsque j'ai sorti de l'hopital deux plus tard a cause que j'avais refuse du traitement. Je prenais 225 mg d'Effexor et 0.5 mg de Risperdal. Ca allait tres bien, meme trop bien. Je voulais demenager de chez nous, je voulais partir une entreprise, je faisait des cours dans 2 semaines et je travaillait de tres longues heures a un restaurant(moi qui n'est pas sociable)... Alors, au mois de Juin, j'ai retombe assez vite et j'a fait une autre attentat de suicide. J'ai pris 103 pilules d'Effexor de 75 mg. Je suis encore rentre a l'hopital Sensenbrenner, et 1 semaine apres j'ai retourner a l'hopital Algoma de Sudbury.

Le psychiatre m'a diagnostiquer avec Bipolar Depression et m'a commencer sur des mood stabilizers et change d'anti-depressif. Il m'a mit sur du topiramate et Celexa. Ca l'a pris du temps... mais ca marchait apres un bout de temps. Ca marchait tres bien, sauf j'avais un "side effect" de probleme de concentration. Alors, il m'a change sur de mood stabilizers de 200 mg avec un anti-depressif de 40 mg. Ca fonctionnait. Mais j'ai commencer a avoir des problemes a dormir. Alors, le docteur m'a mis sur du Zopiclone. Ca l'a aide pour quelque jours, mais apres ca ne fonctionnait plus. Alors, il m'a mis sur 1 mg de risperdal. Ca m'aide un peu... mais j'ai encore de la misere a tomber endormi.

Pour un bout de temps ca commencait à allez mieux. J'ai dû changer de psychiatre et de conseillère parce-que je devais allez avec les adultes maintenant. J'ai trouvé ca très dure... Au début ca n'allait pas vraiment bien... j'ai dû rentré à l'hôpital deux fois après ca pour ajuster mes medicaments. Mais là... ca recommence à allez un peu mieux.

Au mois de Mars j'ai fait un stage manic et psychotique. Il y a fallu que mes anti-psychotiques et stabilisateur d'huimeyr soit augmenter encore. Ca va mieux.

Je suis encore du counselling, prends mes medicaments chaque jour, fait de l'excercice et m'implique plus. Je suis maintenant plus sociable, et j'ai retrouver le gout de vivre. J'ai encore mes hauts et mes bas, mais c'est normal avec ma condition, mais ils sont moins pire. Alors, si tu est dans le meme petrin que moi, ne lache pas... si tu a besoin de support, e-mail moi.

Je suis venir vous écrire de mes nouvelles. Je suis retourné a l'hopital au millieu d'Aout car mon anxiété était tres haute, je n'en pouvais plus m'endurer alors j'ai été à l'urgence et je me suis fais admis. Je suis reste seulement 3 jours car les infirmieres ne me comprenais pas. Je n'etait pas capable de rester assis. On dirait que ma tete allait exploder. Je ne me rappelle plus exactement de cette episode, c'est weird. J'ai su après que j'avais eu un stage manique. Ils ont changé de médicaments. Ca faisait une couple de semaine que ca allait pas bien. J'avais des sautes d'humeurs. Ca changeait de très marabouse à très agité à très déprimé. C'était vraiment fatiguant. J'etait entrain de capoter. Je ne vais pas vraiment encore bien. Comme cela je suis très anxieuse.... je ne suis pas capable d'arrête de bouger pour me coucher. J'ai de l'école demain... Il est 2:36 am. Je suis entrain de me coulé un bain, cela va p-e me faire du bien.

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