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When It Matters

J’ai toujours été une personne tranquille et gênée. J’aimais mieux être seule la plupart du temps. Je n’aimait pas les gros groupes. Ma famille pensait que c’était à cause du bruit qu’ils créait, mais c’était plutot l’anxiété et la peur que j’avais. Longtemps je pensais que tout le monde me regardait tout le temps et voulais me faire mal. Je me créait des idées que le monde riait de moi, j’exagerais tout les petits malheurs. Le soir soit je pleurait ou je m’imaginais que j’était une personne importante comme la première ministre, une enseigante, une psychologue, etc… J’avais des rêves bizarres et épeurant presque tous les soirs. Soit de la mort de moi-même, de mes ami(e)s et ma famille, de quelqu’un ou quelque chose qui courait après moi, des araignées et des fourmis, que je tombe du haut de la montagne,. Etc...

Lorsque je me sentait seule, fâché ou contente, je mangeais. Alors, je suis devenue obèse à un jeune âge. Cela m’a créé beaucoup d’ennui. Je me sentait écoeurante et grosse.

Mon père biologique a laissé ma mère lorsqu’elle était enceinte, elle avait seulement 21 ans. Elle a passé à travers beaucoup de misère pendant mon jeune enfance comme une mère seule. Lorsque que j’avais environ trois ans elle a rencontré un homme. Il m’a adopté, donc j’ai pris son dernier nom. Ensemble ils ont eu une autre fille, ma sœur Cassie. Je n’ai jamais eu un contact avec mon père biologique encore. Donc je n’ai aucune idée qui il est, c’est comme une partie qui me manque dans moi.

Mon père adoptif a été plus strict avec moi que ma jeune sœur. J’était le contraire de lui. Je n’aimais pas l’éxtérieur, le sport, la construction. J’était plutôt une personne qui aimait l’intérieur, l’écriture, la lecture et l’ordinateur. On se chicanait souvent. Je pensait qui ne m’aimait pas et qu’il voulait rien savoir de moi. Souvent je m’imaginait que je me sauvais de la maison et allait dans le bois pour construire ma propre maison où personne me trouvera. Mon père adoptif m’abaissait souvent par ses mots blessants. Des fois ils me poussait et me donnait des fessés. Je pleurais souvent à cause de ça.

J’aimais l’école lorsque j’était à l’émentaire. J’était intelligente, surtout en Français. J’aimais aidé les autres dans leur travail. J’ai aussi fait du tutorat avec un élève de 1ère année. J’aimais cela, je me sentait importante. J’ai eu beaucoup de peine lorsque j’ai fini ma 8e année pour allé au secondaire.

Des amies et moi avons parti un groupe de chanteuse durant la 7e année. On s’appelait les ‘’ Northern Lights ‘’. On se rencontrait 2 fois par semaine pour se pratiquer. On rêvait en grand, c’était un jeu d’enfance. Ca n’a pas duré longtemps mais c’était une bonne expérience. On a aussi essayé de faire une club de gardienne. On a fait des affiches et des réunions, mais cela n’a pas fonctionné. Ils n’y avait pas beaucoup de violence et d’agacage dans notre classe. On s’acceptait.

Une fille nommée Marianne est déménagée au début de ma rue lorsque que j’avais eviron 12 ans. On est vite devenue meilleure amie. On avait beaucoup de plaisir ensemble, on essayait toute sorte de choses. Plus tard elle s’est fait une autre amie et on a commencé à moins se tiendre ensemble.

Contrairement aux autres, je n’avais pas hâte d’allé au secondaire. Il y avait trop d’élève et ca me faisait peur. Losrque je suis arrivé je me suis fait deux amies, Christine et Zoé. Au début on avait beaucoup de plaisir. Mais ca n’a pas duré longtemps à cause de ma gêne, l’anxieté et l’imagination. J’ai commencé à refuser lorsqu’il me demandait de sortir. J’ai commencé à imaginer que j’avais une «chum». Je me croyais vraiment, mais après un bout de temps elles ne me croyais plus. Elles croyaient que je mentissait. C’est vrai que ce n’était pas vrai. Mais je me croyais, j’avais de la misère à distinguer le rêve et la réalité.

J’avais beaucoup d’imagination. Je me créait tout sortes d’histoire, elle semblait tous réaliste. Je pouvais la raconté des dizaines de fois avec tout les mêmes détails. Je m’imaginais des accidents, que j’était quelqu’un d’importante, que quelqu’un voulais me faire mal, que j’avais une maladie, etc...

La plupart du temps je restait en dedans, je n’aimais pas ça allé dehors surtout pendant l’ hiver. Il faisait trop froid et rien ne m’interessait.

On allait souvent dans le bois, mes parents ont presque toujours eu un chalet. On se promenait en motoneige, jouait au carte, prenait des marches dans le bois, pêchait, du canot, etc…

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