Et voici venu le matin.
atchoub
Et ce putain de jardin
Un souffle dégueulasse sur la nuque, le bonheur se cache toujours
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Si seulement j'avais un jardin,
je pourrais marcher pied léger,
entre les gouttes de rosée.
Mais voilà, j'avais oublié
que je vivais dans ma cité,
et que la lèpre avait mangé
mes doigts de main, mes doigts de pieds
Ce matin, en mon jardin,
alors que la douceur de l'air
passait sans complexe
dans les pétales de roses,
j'ai senti la fraîcheur
complexe et envoutante
des gouttes de rosées,
impudiques et fécondes.
j'en ai mal aux pieds.
Je vais tout brûler
dans ce jardin débile.
Corps-cube parmi les corps-cubes
croiser des regards vidés, des visages d'une lourdeur;
Enfin il parlait de cire, il perdait souffle et se dégonflait
parlait à un autre en fait. Je pensais, mais non.
Rester invisible, obligée.
Il n'y avait d'issue, encore quatre temps, invisible.
Vous avez l'heure? Non. Vous l'avez? Non.
Nous l'avions en fait, nous la donnerions parfois,
il ne faudrait pas en abuser.
inutile de regarder en arrière.
Le compost englobe les otages du commun des transports.
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