Les Messes
Noires
Marquis de
Sade
Justine de Sade, 1970
Justine
(1791)
Deux nuits après, je couchai
chez Jérôme ; je ne vous peindrai point ses
horreurs, elles furent plus effrayantes encore. Quelle
école, grand Dieu ! Enfin, au bout d'une semaine, toutes
mes tournées furent faites. Alors Omphale me demanda s'il
n'était pas vrai que, de tous, Clément fût
celui dont j'eusse le plus à me plaindre.
- Hélas ! répondis-je,
au milieu d'une foule d'horreurs et de saletés qui
tantôt dégoûtent et tantôt
révoltent, il est bien difficile que je prononce sur le
plus odieux de ces scélérats ; je suis
excédée de tous, et je voudrais déjà
me voir dehors, quel que soit le destin qui m'attende.
- Il serait possible que tu fusses
bientôt satisfaite, me répondit ma compagne ; nous
touchons à l'époque de la fête : rarement
cette circonstance a lieu sans leur rapporter des victimes ; ou
ils séduisent des jeunes filles par le moyen de la
confession, ou ils en escamotent, s'ils le peuvent ; autant de
nouvelles recrues qui supposent toujours des
réformes...
Elle arriva, cette fameuse
fête... Pourrez-vous croire, madame, à quelle
impiété monstrueuse se portèrent les moines
à cet événement? Ils imaginèrent
qu'un miracle visible doublerait l'éclat de leur
réputation ; en conséquence ils revêtirent
Florette, la plus jeune des filles, de tous les ornements de la
Vierge ; par des cordons qui ne se voyaient pas, ils la
lièrent au mur de la niche, et lui ordonnèrent de
lever tout à coup les bras avec componction vers le ciel,
quand on y élèverait l'hostie. Comme cette petite
créature était menacée des plus cruels
châtiments si elle venait à dire un seul mot, ou
à manquer son rôle, elle s'en tira à
merveille, et la fraude eut tout le succès qu'on pouvait
en attendre. Le peuple cria au miracle, laissa de riches
offrandes à la Vierge, et s'en retourna plus convaincu que
jamais de l'efficacité des grâces de cette
mère céleste. Nos libertins voulurent, pour doubler
leurs impiétés, que Florette parût aux orgies
du soir dans les mêmes vêtements qui lui avaient
attiré tant d'hommages, et chacun d'eux enflamma ses
odieux désirs à la soumettre, sous ce costume,
à l'irrégularité de ses caprices.
Irrités de ce premier crime, les sacrilèges ne s'en
tiennent point là : ils font mettre nue cette enfant, ils
la couchent à plat ventre sur une grande table, ils
allument des cierges, ils placent l'image de notre Sauveur au
milieu des reins de la jeune fille et osent consommer sur ses
fesses le plus redoutable de nos mystères. Je
m'évanouis à ce spectacle horrible, il me fut
impossible de le soutenir. Sévérino, me voyant en
cet état, dit que pour m'y apprivoiser il fallait que je
servisse d'autel à mon tour. On me saisit ; on me place au
même lieu que Florette ; le sacrifice se consomme, et
l'hostie... ce symbole sacré de notre auguste religion...
Sévérino s'en saisit, il l'enfonce au local
obscène de ses sodomites jouissances..., la foule avec
injure..., la presse avec ignominie sous les coups
redoublés de son dard monstrueux, et lance, en
blasphémant, sur le corps même de son Sauveur, les
flots impurs du torrent de sa lubricité!
On me retira sans mouvement de ses
mains ; il fallut me porter dans ma chambre où je pleurai
huit jours de suite le crime horrible auquel j'avais servi
malgré moi. Ce souvenir brise encore mon âme, je n'y
pense pas sans frémir... La religion est en moi l'effet du
sentiment ; tout ce qui l'offense, ou l'outrage, fait jaillir le
sang de mon cœur.
Justine de Sade, 1970
Histoire de Juliette
(1797)
- Partons, il est tard : n'avez-vous pas dit qu'il ne fallait
point que l'aurore nous retrouvât dans nos
impuretés ?...
Nous passâmes dans l'église.
D'énormes paravents enveloppaient l'autel isolé
de saint Pierre, et donnaient une salle d'environ cent pieds
carrés, dont l'autel formait le centre, et qui n'avait
plus, au moyen de cela, aucune communication avec le reste de
l'église. Vingt jeunes filles ou jeunes garçons,
placés sur des gradins, ornaient les quatre
côtés de ce superbe autel. Également dans les
quatre coins, entre les marches et les gradins, était,
dans chacun, un petit autel à la grecque destiné
aux victimes. Près du premier se voyait une jeune fille de
quinze ans ; près du second, une femme grosse, d'environ
vingt ans ; près du troisième, un jeune
garçon de quatorze ans ; près du quatrième,
un jeune homme de dix-huit ans, beau comme le jour. Trois
prêtres étaient en face de l'autel, prêts
à consommer le sacrifice, et six enfants de chœur,
tout nus, se préparaient à le servir : deux
étaient étendus sur l'autel, et leurs fesses
allaient servir de pierres sacrées. Braschi et moi, nous
étions couchés dans une ottomane
élevée sur une estrade de dix pieds de haut,
à laquelle on ne parvenait que par des marches recouvertes
de superbes tapis de Turquie ; cette estrade formait un
théâtre où vingt personnes pouvaient se tenir
à l'aise. Six petite Ganymèdes de sept ou huit ans,
tout nus, assis sur les escaliers, devaient, au moindre signal,
faire exécuter les ordres du Saint-Père ;
différents costumes, aussi galants que pittoresques,
embellissaient les hommes, mais celui des femmes était
trop délicieux pour ne pas mériter une description
particulière. Elles étaient vêtues d'une
chemise de gaze écrue qui flottait négligemment sur
leur taille sans la masquer ; une collerette en fraise ornait
leur cou ; et la tunique que je viens de décrire
était, par le moyen d'un large ruban rose, renouée
au-dessous de leurs reins, qu'elle laissait absolument à
découvert ; par-dessus cette chemise, elles avaient une
simarre de taffetas bleu, qui, se rejetant et voltigeant en
arrière, n'ombrageait en rien le devant ; une simple
couronne de roses ornait leurs cheveux, flottant en boucles sur
leurs épaules. Ce déshabillé me parut d'une
telle élégance que je voulus m'en revêtir
sur-le-champ. La cérémonie commença.
Aussitôt que le Saint-Père formait un
désir, les six aides de camp, placés sur les
marches de notre estrade, volaient aussitôt pour le
satisfaire. Trois filles furent demandées. Le pape s'assit
sur la figure de l'une, en lui ordonnant de lui gamahucher
l'anus ; la seconde suça son vit ; la troisième
chatouilla ses couilles ; et mon cul, pendant ce temps-là,
devint l'objet des baisers du Saint-Père. La messe se
disait, et les ordres donnés pour que mes désirs
s'exécutassent avec la même
célérité que ceux du souverain pontife.
Dès que l'hostie fut consacrée, l'acolyte l'apporta
sur l'estrade et la déposa respectueusement sur la
tête du vit papal ; aussitôt qu'il l'y voit, le
bougre m'encule avec. Six jeunes filles et six beaux
garçons lui présentent indistinctement alors, et
leurs vits et leurs culs ; j'étais moi-même
branlée en dessous par un très joli jeune homme,
dont une fille masturbait le vit. Nous ne résistons point
à ce conflit de luxure ; les soupirs, les
trépignements, les blasphèmes de Braschi
m'annoncent son extase et décident la mienne ; nous
déchargeons en hurlant de plaisir. Sodomisée par le
pape, le corps de Jésus-Christ dans le cul, ô mes
amis, quelles délices ! Il me semblait que je n'en avais
jamais tant goûté de ma vie. Nous retombâmes
épuisés au milieu des divins objets de luxure qui
nous entouraient, et le sacrifice s'acheva.
Il s'agissait de retrouver des forces ; Braschi ne voulait
pas que les supplices commençassent avant qu'il ne
rebandât. Pendant que vingt filles et autant de
garçons travaillaient à le rendre à la vie,
je me fis foutre une trentaine de coups, sous les yeux du pape,
au milieu d'un groupe de jeunes gens ; j'en excitais
communément quatre pendant que j'étais l'objet des
caresses de deux. Braschi jouissait des excès de mon
libertinage ; il m'encourageait à en redoubler les
élans. Une nouvelle messe se célébra, et,
cette fois-ci, l'hostie apportée sur le plus beau vit de
la salle, s'introduisit dans le cul du Saint-Père, qui,
commençant à rebander, me rencula en s'entourant de
fesses.
- Bon ! dit-il en se retirant au bout de quelques courses, je
ne voulais que bander. Immolons maintenant.
Il ordonne le premier supplice ; il devait s'exécuter
sur le jeune homme de dix-huit ans. Nous le faisons approcher de
nous, et, l'ayant caressé, baisé, pollué,
sucé, Braschi lui déclare qu'il va le crucifier
comme saint Pierre, la tête en bas. Il reçoit sa
sentence avec résignation et la subit avec courage. Je
branlais Braschi pendant qu'on exécutait ; et devinez
quels étaient les bourreaux ! les mêmes
prêtres qui venaient de célébrer des messes.
Le jeune homme, ainsi traité, fut attaché avec sa
croix à l'une des colonnes torses de l'autel de saint
Pierre, et l'on passa à la fille de quinze ans.
Également approchée de nous, le pape l'encula ; je
la branlais ; elle fut condamnée d'abord à la plus
vigoureuse fustigation, puis pendue à la seconde des
colonnes de l'autel.
Le petit garçon de quatorze ans parut ; Braschi
l'encule de même ; et voulant exécuter
celui-là de sa main, il n'y eut sorte de vexations, sorte
d'horreurs qu'il ne lui fît éprouver. Ce fut
là où je reconnus toute la cruelle
scélératesse de ce monstre. Il suffit d'être
sur le trône pour porter ces infamies à leur dernier
période : l'impunité de ces coquins
couronnés les entraîne à des recherches que
n'inventeraient jamais d'autres hommes. Enfin ce
scélérat, ivre de luxure, arrache le cœur de
cet enfant, et le dévore en perdant son foutre. Il restait
la femme grosse.
- Amuse-toi de cette coquine, me dit Braschi, je te la
livre ; je sens que je ne rebanderai plus, mais je ne t'en verrai
pas moins jouir avec la plus entière volupté : dans
quelque état que je puisse être, le crime m'amuse
toujours ; ne la ménage donc pas.
L'infortunée s'approche.
- De qui est cet enfant ? lui demandai-je.
- D'un des mignons de Sa Sainteté.
- Et cela s'est-il fait sous ses yeux ?
- Oui.
- Le père est-il ici ?
- Le voilà.
- Allons, dis-je à ce jeune homme, fendez
vous-même le ventre de celle qui porte votre fruit ; un
effrayant supplice vous attend, si vous n'obéissez
à la minute.
Le malheureux obéit ; je décharge en criblant
de coups de poignard le corps de la victime, et nous nous
retirons.
Braschi voulut absolument que je passasse le reste de la nuit
avec lui ; le libertin m'adorait.
- Tu es ferme, me disait-il, voilà comme j'aime les
femmes : celles qui te ressemblent sont rares.
- La Borghèse me surpasse, répondis-je.
- Il s'en faut, me dit le pape, elle est à tout moment
déchirée de remords. Dans huit jours, poursuivit le
Saint-Père, je te donne, avec elle et les deux cardinaux,
tes amis, le souper où je me suis engagé ; et
là, cher amour, sois-en sûre, nous ferons,
j'espère, quelques horreurs qui surpasseront
celles-ci.
- Je m'en flatte, dis-je faussement au pontife, n'entendant
par cette réponse que le vol que je m'apprêtais
à lui faire ce jour-là ; oui, j'espère que
nous en ferons de bonnes.
Braschi, qui venait de se frotter les couilles avec une eau
spiritueuse et faite pour provoquer au plaisir, voulut essayer de
nouvelles tentatives.
- Je ne bande pas assez pour t'enculer, me dit-il, mais
suce-moi.
Je me mis à cheval sur sa poitrine ; le trou de mon
cul posait sur sa bouche, et le coquin, tout pape qu'il
était, déchargea en reniant Dieu comme un
athée.
Il s'endormit. J'avais bien envie de profiter de cet instant
pour aller prendre dans son trésor tout ce que j'en
pourrais rapporter ; le chemin qu'il m'avait tracé
lui-même me permettait cette tentative sans redouter ses
gardes ; mais ce projet ayant été conçu avec
Olympe, je ne voulus pas la priver du plaisir d'y participer ;
Élise et Raimonde, d'ailleurs, se trouveraient alors avec
nous, et notre moisson serait plus abondante.
Pie VI ne tarda pas à se réveiller. Il y avait
consistoire ce jour-là. Je le laissai disputer en paix sur
l'état de conscience des pays chrétiens, et fus
demander pardon à la mienne de ne pas l'avoir
chargée d'une suffisante quantité de crimes. Je
l'ai dit, et je le soutiens, rien n'est pis que le remords de la
vertu, pour une âme accoutumée au mal ; et quand on
existe dans un état complet de corruption, il vaut
infiniment mieux combler la mesure que de rester en
arrière ; car ce qu'on fait de moins donne infiniment plus
de peine que ce qu'on fait de plus ne donne de plaisir.
Deux ou trois bains nettoyèrent les souillures
pontificales, et je volai chez Mme de Borghèse lui
apprendre mes succès du Vatican.
Pour éviter la monotonie des détails, je
glisserai légèrement sur ceux des nouvelles orgies
que nous y célébrâmes. La grande galerie fut
le lieu de la scène ; plus de quatre cents sujets des deux
sexes y parurent ; ce qu'on y célébra
d'impuretés ne peut se peindre. Trente filles vierges, de
sept à quinze ans, et belles comme l'Amour, furent
violées, et massacrées après ; quarante
jeunes garçons eurent le même sort. Albani, Bernis
et le pape s'enculèrent, se gorgèrent de vin et
d'infamies, et ce moment d'ivresse fut celui que nous
choisîmes, Olympe, Élise, Raimonde et moi, pour
aller piller le trésor. Nous enlevâmes vingt mille
sequins, que Sbrigani, placé près de là avec
des gens sûrs, fit aussitôt transporter chez
Borghèse, où nous les partageâmes le
lendemain. Braschi ne s'aperçut pas de ce vol, ou feignit
politiquement de ne s'en pas douter... Je ne le revis plus ; mes
visites, sans doute, lui parurent trop chères. Dès
ce moment, je crus prudent de quitter Rome ; Olympe ne s'en
consola pas ; il fallut pourtant s'arracher, et je partis pour
Naples au commencement de l'hiver, avec un portefeuille rempli de
lettres de recommandation pour la famille royale, le prince
Francaville, et tout ce qu'il y avait de plus riche et de plus
élevé dans Naples. Mes fonds restèrent
placés sur des banquiers de Rome.
Salò o le 120 giornate di Sodoma, 1975
Les 120 journées de Sodome ou l'école du libertinage
(1785)
Le onze.
51. Elle prévient qu'elle va parler d'impiétés, et parle
d'un homme qui veut que la putain en le branlant profère des
blasphèmes épouvantables; il en dit à son tour d'effroyables. Son
amusement, pendant ce temps-là, consiste à baiser le cul; il ne fait
que cela.
52. Il veut que la fille vienne le branler le soir, dans une
église, dans le temps surtout où le Saint-Sacrement est exposé. Il se
place le plus près qu'il peut de l'autel, et manie le cul pendant ce
temps-là
53. Il va à confesse uniquement pour faire bander son confesseur;
il lui dit des infamies, et se branle dans le confessionnal tout en
parlant.
54. Il veut que la fille aille à confesse; il attend au moment où
elle en sort pour la foutre en bouche.
55. Il fout une putain pendant une messe dite dans une chapelle à
lui, et décharge à l'élévation.
Ce soir-là le duc dépucelle Sophie en con, et blasphème beaucoup.
Le douze.
56. Il gagne un confesseur, qui lui cède sa place pour
confesser de jeunes pensionnaires; il surprend ainsi leur confession,
et leur donne, en les confessant, tous les plus mauvais conseils qu'il
peut.
57. Il veut que sa fille aille à confesse à un moine qu'il a
gagné, et on le place de façon qu'il peut tout entendre; mais le moine
exige que sa pénitente ait les jupes relevées pendant la confession,
et le cul est posté de manière que le père peut le voir: ainsi il
entend la confession de sa fille et il voit son cul tout à la fois.
58. Fait célébrer la messe à des putains toutes nues; et il se
branle en voyant cela sur les fesses d'une autre fille.
59. Il fait aller sa femme à confesse à un moine gagné, qui séduit
sa femme et la fout devant le mari qui est caché. Si la femme refuse,
il sort et va aider le confesseur.
Ce jour-là, on a célébré la fête de la sixième semaine par le
mariage de Céladon et de Sophie, qui se consomme, et le soir, Sophie
est livrée en con, et elle porte l'écharpe. C'est un événement qui
fait que l'on ne conte que quatre passions.
Le treize.
60. Fout des putains sur l'autel, au moment où l'on va
dire la messe; elles ont le cul nu sur la pierre sacrée.
61. Il fait mettre une fille nue à cheval sur un grand crucifix;
il la fout en con, en levrette, dans cette attitude, et de façon à ce
que la tête du Christ branle le clitoris de la putain.
62. Il pète et fait péter dans le calice; il y pisse et y fait
pisser; il y chie et y fait chier, et finit par y décharger.
63. Il ait chier un jeune garçon sur la patère, et il le mange
pendant que l'enfant le suce.
64. Il fait chier deux filles sur un crucifix; il y chie après
elles; et on le branle sur les trois étrons qui couvrent la face de
l'idole.
Le quatorze.
65. Il brise des crucifix, des images de Vierge et du
Père éternel, chie sur les débris et brûle le tout. Le même homme a la
manie de mener une putain au sermon, et de se faire branler pendant la
parole de Dieu.
66. Il va communier, et revient se faire chier dans la bouche par
quatre putains.
67. Il la fait aller communier et la fout en bouche au retour.
68. Il interrompt le prêtre dans une messe dite chez lui, il
l'interrompt, dis-je, pour se branler dans son calice, oblige la fille
à y faire décharger le prêtre, et force celui-ci à avaler le tout.
70. Il l'interrompt, quand l'hostie est consacrée, et force le
prêtre à foutre la putain avec son hostie.
On découvre ce jour-là qu'Augustine et Zelmire se branlent
ensemble; elles sont toutes deux rigoureusement punies.
Le quinze.
71. Il fait péter la fille sur l'hostie, y pète
lui-même, et avale après l'hostie en foutant la putain.
72. Le même homme qui se fait clouer dans une bière, et dont a
parlé Duclos, force la putain à chier sur l'hostie; il y chie aussi,
et jette le tout dans les lieux.
73. Branle avec le clitoris de la putain, la fait décharger
dessus, puis il l'enfonce et fout avec, en déchargeant à son tour
dessus.
74. Il la perce à coups de couteau et s'en fait enfoncer les
morceaux dans le cul.
75. Il se fait branler sur l'hostie, y décharge, et fait ensuite,
de sens froid et quand le foutre a coulé, manger le tout à un chien.
Le même soir, l'évêque consacre une hostie, et Curval dépucelle
Hébé avec; il la lui enfonce dans le con et décharge dessus. On en
consacre plusieurs autres, et les sultanes déjà dépucelées sont toutes
foutues avec des hosties.
Felicien Rops (1833-1898)
Synagoga Satanae