Site hosted by Angelfire.com: Build your free website today!

POUR L'ANARCO-CAPITALISME

Pourquoi les socialistes et les anarchistes de gauche ont tort.

Pour commenter sur mon blogue

Le Relais
Membre du Relais

Pourquoi l'anarco est quoique ce soit sauf capitaliste, n'est pas anarchiquement viable? Parce que toutes organisations quelqu'elles soient, requièreraient une quelconque part de hiérarchie? Pourquoi le socialisme requiert-il de la pauvreté pour subsister? Comment ce fait-il que la main d'oeuvre ouvrière n'est pas l'appanage de la prospérité (exemple: la Chine)? Je hais la sémantique mais, je ressent le besoin de défendre "l'anarco", et "le capitalisme". A cet égard je met de l'avant fièrement mon titre d'anarco-capitaliste. J'ai lu tellement de socialiste bullshiteux et d'anarco "socialiste" dans les "F.A.Q." des groupes discussions colportant des slogans du genre: "la propriété est du vol", "les travailleurs sont des esclaves", "les capitalistes ne gagnent pas vraiment leur argent" Bon, j'avoue qu'en éditant ce txt j'avais besoin de laisser sortir mon trop plein d'amertume. Prenons l'argument anarco-socialiste que l'anarco-capitalisme n'est pas de l'anarchie puisque qu'il n'abolie pas l'autorité. Bien, certainement le capitalisme n'abolie pas l'autorité ou la hiérarchie, le capitalisme, simplement, réduit les intermédiaires au niveau le plus bas possible, et ce, dans le plus grand respect de l'intérêt des consommateurs. Seulement les rêveurs utopistes crédule croient qu'une société peut être complètement libre de hiérarchie. Les anarco-socialistes clament souvent que seul des communes ou des compagnies dirigées par leurs ouvriers sont réellement libre de la tyranie de la hiérarchie, ceci, à mon avis est un non-sens complet et total. La seule chose que les travailleurs qui mènent ces compagnies assureront sera qu'il y est une autorité, élu par les ouvriers pour administrer leur travail et leur propriété, mieux connue sous l'appellation d'état providence. Comment détermineront-ils les salaires? Comment détermineront-ils les heures? Qui a quoi, quand, et comment? Évidemment ces idiots n'ont jamais entendu parler de la bureaucratie, d'une démocratie ou d'une république et n'on aucune réelle appréhension de la nature l'autorité / hiérarchie. Bref, que l'état est l'autorité suprème et que le droit à la propriété est synomyme de liberté individuelle et collective. Les droits à la propriété assure que vous pouvez être mis en esclavage ou que quiconque réclame avoir des droits sur votre travail ou que votre opulence ne vous soit pas banalement soutiré de vous (taxes, ou pour le bien commun), c'est pourquoi que le bien publique est du vol car il accorde le droit aux autres de vous posséder. La seule chose que le bien public vous libère de, est la décision de disposer vous-même comme bon vous semble et de votre pripriété à cause que "l'intérêt public" (inséré état /hiérarchique) décide ça pour vous. Ceci est plus éloquent quand le socialisme énonce; "de chacun en fonction de ces habiletés, à chacun en fonction de ses besoins" l'anarco-socialiste ne déroge pas d'un hiatus de ce mantra du socialisme étatique, l'anarco- socialiste désire seulement que son pouvoir soit plus décentralisé. Le capitalisme énonce; "de chacun comme il choisit, de chacun à ceux qui sont choisis". Le choix est la liberté, qui que ce soit qui s'inscrit en faux devant cet énoncé..., appartient dans un roman Orwellien à le droit de ce fendre le crâne sur l'hôtel du ministère de l'amour. Comment les anarco-socialistes prendront soin des travailleurs qui ne peuvent travailler. Comment paieront-ils des salaires sans qu'il n'y est personne pour payer pour leurs temps? Ce pourrait-il qu'ils aient à se départager les tâches hiérarchiquement? Horreur, enfer et damnation! Pour ce faire ils se doivent tous d'être des profiteurs, des vendeurs de leurs produits ou ils ce doivent tous être des travailleurs dans un système capitaliste étant payés pour leurs temps par ceux qui leur permettent de gagner un salaire en premier lieu... un capitaliste. Les salairiées en général n'existaient, pratiquement pas avant la révolution industrielle, en quelque sorte, avant cet avenement, tout le monde était capitalistes, ils travaillaient tous avec leur propre capacité de production. Ce système était intrinsèquement inefficace et la répartition des tâches, l'apanage du capitaliste avare et (qui fut mis de l'avant par l'entrepreneur) qui permit aux gens de vendre du leur temps au lieu de leur production. Ceci eu pour effet de centraliser le marché et le stabiliser le strandard de vie des opprimés, des exploités qui s'accentua grandement en leur faveur (lisez un livre d'histoire si vous ne me croyez pas). Aujourd'hui les occidentalisées vivent de 1.5 à 2 fois plus longtemps, ont des meilleurs conditions de logement, de meilleur soins médicaux, de quoi ce vêtir aisément, ce nourir à très peux de frais et beaucoup plus d'opportunités de ce sortir de ce qu'ils considèrent des conditions de vie misérables, qu'a n'importe quelle époque dans l'histoire et il y a peu de d'indicateurs qui présage de ralentissement (à part au sein d'états socialistes à outrance voir: Chine, Korée du nord). La racine de la création de la richesse n'est pas le labeur, la force musculaire brute ne construit pas une maison sans un plan, à l'instar un gratte-ciel n'est pas construit sans ingénieurs brillants, même l'ordinateur personnel doit son existence au génie entrepreneurial qui conceva et commercialisa les circuits intégrés. Si vous persisté à pensé que le labeur et la force musclulaire est à la source de toute la création de richesse alors assayez, dès à présent de devenir riche, percutez un marteau au plancher huit heures par jour et constaté ce avec quoi vous vous retrouverez. Le capitaliste, de par la vertu de son inventivité exemplaire, de sa prévoyance des ses sages investissements, de son avarité et son goût pour le succès, fit du monde moderne une réalité. Ce ne fut pas l'inepte, le prolétaire, le paresseux ou l'ignorant qui contribua l'enrichissement du monde...;ce fut les gens d'accomplissement. Si vous travaillez dans une aciérie et que par la vertu même de votre travail, vous aviez droit aux mêmes tarifs qu'un forgeron des temps médiévaux recevait..., vous ne seriez même pas en mesure de vous construire une forge digne de ce nom. Ceci est tout ce que votre labeur peut produire à la forge d'un homme, chaque cent que vous gagnez au-dessus du standard de vie est un cadeau du concepteur qui conçus cette aciérie, qui a perfectionné l'acier, qui a investi du temps et de l'argent dans celle-ci. Ceux eux qui riqués et ont réinvesti ce vil argent en augmenter le rendement, la rentabilité pour éliminer tout compétiteur désuet et ce, pour vous procurer par cette entremise une meilleure qualitée de vie. Votre labeur à elle seule, peut-elle construire une aciérie entière? Peut-elle réinventer l'acier? Est-ce qu'elle peut en elle seule, rendre la production plus efficace? Est-ce qu'elle peut élever votre standard vie ipso facto? Non, elle ne le peu, les gens que les socialistes qualifient de sangsues, de parasite sont les membres les plus productifs de la société et ils redistribuent la plus grande part de leur richesse sans rechigner sous la forme d'économie d'échelle et en encourageant l'efficacité et l'innovation. Avez-vous déjà entendu parler de technologie? Elle est responsable pour 99% du standard de vie don vous profitez et celle-ci débuta quand l'homme utilisa des roches, des couteaux, du feu... et devinez quoi... c'est une personne de genre qui a du les produire. Avez-vous déjà entendu parlé de labeurnologie? C'est parce que ça n'existe pas en terme humain, c'est que les animaux et les brutes sans facultées supérieures qu'on utilise pour subsister..., des incisives, des griffes. Ceci est un standard de vie que le labeur seul peu procuré. Pourquoi je me préoccupe de l'argument de l'exploitation? Ca percutes au coeur du mensonge socialiste et de l'anarchiste de gauche. Si vous n'êtes pas maintenu à votre poste de travail à la pointe d'un fusil vous n'êtes pas un esclave. Si vous forcez quelqu'un à vous donner quelque chose que vous n'avez pas produit à la pointe d'un fusil vous en train de réduire celui- ci à l'esclavage. Quand est-ce que les industriels modernes forcent-ils les travailleurs enchaînés dans des manufactures? Quand est-ce que les travailleurs forcèrent les industriels à leur accorder plus qu'un standard de vie médiévale pour leurs travailleurs? Entendez-vous parler des piquets de grève? Des centaines de gens furent tués sans vergogne pour avoir essayé de les franchir et de les disperser pour permettre l'accès volontaire et sans entrave aux lieux de travails. Qui est l'esclavagiste? Il est important de spécifier que je ne crois pas au sous- payement de quelqu'un, mais je crois pas non plus au fait qu'il faille forcer quelqu'un à surpayer un tarif pour un travail offert. Non seulement ça, c'est un saignement à blanc anti-survivance des éléments les plus productifs sur l'hôtel de la caste socialiste. Combien de temps pourrons-nous survive collectivement si nous forçons les employeurs à débourser 50000$ par année pour qu'ils emploient des gens chez McDonald à flipper des hamburgers? Est-ce que l'argent pousse dans les arbres? Ou elle a vraiment besoin d'être généré, produite? Pouvez-vous deviner quel pays a cerné le dicton "pour faire de l'argent"? C'était celui qui n'aguère était le plus productif, le plus libre et le meilleur pays sur la planète... l'Amérique. Nous comprenions qu'il est impossible d'avoir le gâteau et de le manger à la fois, nous avons été aveuglés par de vieux adages gauchistes.

www.NanoMetaMacro.com

(beta 0.2)

anarco@com4.ws

La correspondance digne d'être publié au sujet d'anarco.com4.ws : From: Mathieu madmat@ To: anarco@com4.ws Subject: Intéressantes prémisses, décevantes conclusions Date: Sun, 15 Apr 2001 19:35:02 -0400 >Mathieu madmat: Salut, J'ai lu ton texte pour les «anarco-capitaliste». Ça m'a fait penser à une nouvelle de Pessoa intitulée «Le banquier anarchiste» ; nouvelle qui dénonçait autant l'absurdité du socialisme que celle du capitalisme. Le socialisme n'est qu'une forme de capitalisme inversée. Bref, je trouve tes prémisses intéressantes -avec comme arrière-fond théorique une partie du manifeste de l'Unabomber- mais tes conclusions me deçoivent énormément. >mx: Le texte ci-haut mentionné n'est pas tout-à- fait de moi et je ne sais plus exactement où je l'ai pigée exactement mais vu que je l'ai traduit et fortement apprèté à ma sauce je puis affirmé qu'il représente en parti ce que je pense... >Mathieu madmat: Dans le fond, tu arrives au mêmes constats que les colomnistes du cahier économique du New-York Times. Le socialiste a été un echec -pour preuve l'ex-régime totalitaire de l'U.R.S.S. et son effondrement-, donc le capitalisme s'en trouve légitimé, produisant lui-même sa propre légitimisation. >mx: Éffectivement mais n'oublions pas que le capitalisme à toujours besoin de plus de consommateur et donc ce doit d'être compatissant s'il veut compétitionné avec les autre système de d'attribution de crédit. >>Mathieu madmat: Le capitalisme fabrique le consommateur tout aussi bien qu'il fabrique les produits qu'achètent le consommateur. Le système capitalisme n'est nullement compatissant (sic) >>mx: Les capitalistes n'attirent pas les mouches avec du vinaigre..., même si souvent les concoquetions les mieux intentionnés peuvent s'avèrer de très mauvais goût. Pour moi la compatissance du capitalisme est exprimé dans ses intances d'attributions des crédits, inutile de mentionné qu'ils s'en trouvent de toute les tendances qui ont plus ou moins de succès. >>Mathieu madmat: (suite de ci-haut) la recherche du profit ne souffre pas de compassion. En ce qui a trait aux «autres systèmes de redistribution de crédit», ils sont tombés les uns après les autres au cours du dernier demi-siècle. L'alternative communiste s'est effondrée peu après l'effondrement symbolique du Mur de Berlin ; seul Cuba résiste encore, à la mesure de ses faibles moyens -le comunisme peut bien sûr tout aussi bien être critiqué que le capitalisme, mais là n'est pas mon propos. >>mx: Tu oublis que si Fidel (le milliardaire) a financer la guerre en Angola non-pas pour la vertu mais pour les diamants alors les communistes quelqu' ils soient sont hypocritement tennuent par les mêmes impératifs que les "vraies" méchant capitalistes... >>Mathieu madmat: La Chine «communiste» elle-même ouvre peu à peu ses frontières économiques, depuis sa récente adhésion à l'OMC, et n'aura bientôt plus de communiste que le nom. >>mx: Pour te paraphrasé je dirais même qu'en Chine, les communistes ouvrent eux-mêmes peu à peu leurs frontières économiques pour satisfaires leurs propres désir d'enrichissments. >>Mathieu madmat: Le capitalisme n'a donc plus aucune compétition à ce niveau ; la seule compétition se situe à l'intérieur même du capitalisme, qui est par définition un système basé sur l'accumulation du capital et la compétition. >>mx: C'est exactement à ce point que le jeux d'équillibre entre les différent états compationnel ou pas pour souligner ce point je réfère l'auditoire un extrait de L'ÉLITE ET LA TECHNOLOGIE (de ma traduct du résumé Unabomber) qui cerne très bien les enjeux capitaux que soulève notre entretient. "Grâce aux techniques améliorées, l'élite aura un contrôle plus grand sur les masses; à cause que le labeur des humains ne sera plus nécessaire et même excédentaire, superflu. Sans usage courant, les maîtres d'oeuvre de l'élite, pourront en disposer à sa guise. A l'autre extrême, des scénarios des plus apocalyptiques où l'élite continuera de provoquer des génocides sélectifs pour se délester des indésirables, pour pouvoir repartir en neuf et départager entre eux, les décombres de notre civilisation. Si l'élite provient d'une souche moins virulente de la culture bourgeoise, elle pourrait agir avec beaucoup d'empathie en s'assurant que sous des conditions hygiéniques et psychologiques contrôlées, les besoins physiques de chacun, soient bien assurés, fournissant de saines occupations à sa population. " >>Mathieu madmat: Mais c'est justement parce les individus évoluant dans la société industrielle capitalisme ne se font plus enchaîné - ou à la pointe du fusil- que le capitalisme, sous le sigle de la science et de la technique- est devenu si productif, efficace et contraignant -sous un emballage démocratique- puisqu'il a pénétré toutes les sphères d'activités humaines, abolissant du coup -ou incorporant, ça revient au même- toutes contradictions, toutes possibilités de révoltes. >>mx: Quand c'est vraiment le cas il ce trouve toujours des hackers, cyber/cypherpunks qui s'hacktivent à renverser la tendance... ref.: Que doit-on comprendre du mythe CYBERPUNK >mx:Nul part n'est-il mentionné que la révolte ne pouvait être rentable. >Mathieu madmat: La raison instrumentale a remplacé la raison critique. Les vieux arguments du socialisme sont dépassés, mais cela ne devrait pas vouloir dire que toute opposition, révolte, combat, négation ou critique doivent être automatiquement invalidé. >mx: Si elles trouvent preneur c'est quelles répondent à des besoins donc peut-êtres en voies d'être rentabilisées. >>Mathieu madmat: Une révole «rentable» n'est pas une révolution contre le système capitalisme, mais seulement une situation de crise inhérente à son bon fonctionnement et dont il soit en mesure de gérer. La Guerre du Golfe et la crise du Kosovo en sont de bons exemples. Les récentes manifestations «antimondialisation» depuis Seattle, pourraient être interprétées par contre comme un nouveau cycle de révoltes se positionnant véritablement contre le système capitalisme, mais il est encore trop tôt pour le dire. >>mx: Les T-shirt Fuck le Sommet est une tentative puérille de rentabilation certe, mais quand même, elle en une et elle en est une, pour l'instant il n'a que valeur de symbole. >>Mathieu madmat: Je ne souscrit pas à l'analyse fonctionnaliste de l'Unabomber à laquelle tu te réfères. Le manifeste de l'Unabomber est intéressant à plusieurs égards, mais je ne lui donne pas la valeur d'un nouveau Manifeste politique, ni d'un Marx moderne. Aussi, j'ai de la difficulté à voir où tu veux en venir en dénigrant systématiquement l'anarchisme et le socialisme. >>mx: Je ne suis pas contre l'anarchie, pour moi le système capitaliste, particulièrement celui concerner par le segment toujours grandissant de la nouvelle économie, favorise "l'empowerment", la déhierachirisation de toutes les structures pour quelles ne s'exprimment que dans leurs plus simples expressions possible. Je ne suis pas contre les mesures sociales mais pour moi l'idéal serait qu'elles complèment issues d'iniciatives volontaires et non-cohercitives. >>Mathieu madmat: Je cherche en vain les éléments constructifs au sein de ta critique. Qu'as-tu à proposer ? Quelle est cet anarco-capitalisme auquel tu fais allusion sinon le système capitaliste néolibéral dans lequel nous pataugeons en pure perte depuis un bon moment ? Dans ce cas, il ne s'agirait pas d'alternative, mais de résignation. >>mx: Non puisqu'ultiment la devise qui dominera le monde post-néo-libéral sera la joule (et oui encore la techno-science qui ce porte au secour de l'économisme). Je ne puis être que motivé par une telle perspetive. >Mathieu madmat: Je te conseille d'explorer un peu l'approche critique de l'École de Francfort -d'Horkheimer à Habermas, en passant par Marcuse-. Plus proche de nous, il y a le récent ouvrage «Empire» de Micheal Hardt et Antonio Negri, qui est éclairant à plus d'un titre. Bonne lecture Mathieu >mx: C'est noté mais n'aurais-tu pas des références web que nous puisssions partager plus aisément avec notre audience? Merci pour ta critique constructive elle fut très appréciée... à p mx >>Mathieu madmat: Au sujet d'EMPIRE, de Micheal Hardt et de Toni Negri Au sujet de l'École deFrancfort et de la théorie critique : http://www.uta.edu/huma/illuminations http://www.chez.com/patder Pour une autre «gauche»

Pour commenter sur mon blogue


LinkExchange Member

Click Here!


mise en web: 3/11/99 3/11/99