Putsch Pop
-Le dévelopement perpétuable-
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Une politique directive pour le développement perpétuable requiert de ses instigateurs une vision motivatrice basé non sur les faits établis présentement, mais plutôt sur une abstraction conceptuelle sociétale magistrale. La gestion "à la petite semaine" des problématiques est exclu d'un tel exercice.
Les présentes confirgurations des différentes sociétés de consommation font déjà défaut. Nul n'a de difficulté à argumenter que le cul de sac est éminent. Alors comment renverser la vapeur de cette machination frénétique qui semble mettre en doute la viabilité à moyen terme de l'humanité?
A mon avis, les solutionnements passent par la conception et la réalisation de modes sociétaires optimaux, autant pour ses constituants que pour les juridictions les avoisinants. Pour mieux faire, ces sociétés doivent-elles instituer une forme de production biodégradable à cent pour cent ou opter pour la production de biens durables au-dessus d'un seuil de qualité prédéfini dans ses codes régisseurs?
Ces deux avenues ci-haut mentionnées sont souhaitables mais, qu'en est-il de toutes les autres mesures intermédiaires que l'on pourrait instituer où qui le sont déjà. Comment en définirons-nous les priorités, l'orientation stratégique réglementaire, législative? Sûrement en impliquant d'autant plus de gens pour qu'en contrepartie ils allègent leurs fardeau respectif?
De l'industrialisation débridée des années passées, découle des problématiques insoupçonnées qui, de par leurs nature aléatoire, nous hanterons encore pour plusieurs générations, s'il ne se dégage aucun plan de développement perpétuable d'ici peu.
La gestion de l'abondance requiert une vue d'ensemble qui fait défaut présentement. La courte vue d'appareillages gouvernementaux laisse présager des situations qui ne s'amélioreront sûrement pas avec une pensée magique car les impératifs de la compétitivité économique étant ce qu'ils sont, poussent les populaces au bord du précipice.
Alors pour ce sortir de ce cul de sac, ils négocient que des virages serrés. Privé d'ample marge de manoeuvre, les mandatés ne sont préoccupés que par la gestion "à la petite semaine" dans laquelle, précisément, la plupart des pauvres gens s'affairent tout au long de leurs vies. Mais à long terme le seul solutionnement viable est de rentabiliser la détresse qui blesse, tue, annihile ce qui nous est utile.
Les élucubrations de toutes sortes nous assaille de toute part; de la domotique de bongalo aux tours multifonctionels omnipotente, les recombinaisons entre les avenues de solutionnement sont pratiquement infinies.
Les choix que nous nous imposerons prédéterminerons notre capacité de passer aux prochains niveaux de civilisation. En occident les gens et les institutions ne sont pas très axées sur la collectivisation. Invoquons nécessité de dégager de consensus large sans avoir besoin d'être confronté à l'évitable.
Un peu de paranoïa collective s'avérerait saine. Imaginez- vous si un bon matin les gens étaient autant intéressés aux causes de nos afflictions ecosystémiques que dans la possibilité d'une invasion extra-terrestre.
Pourtant j'envisage facilement des mesures qui réagenceraient massivement notre façon d'exploiter l'environnement pour notre mieux-êtres et celui des collectivités. Par exemple, qui n'a pas déjà penser à éliminer, à abroger certains aspects, certains articles préjudiciants l'affranchissement total et sans équivoque des individues face aux despotes de tout acabit.
Pour renchérir sur la teneur de ce discours, laissez-moi vous cité ma traduction libre
d'un énoncé de principe de Max More directeur du Extropy institute:
"Les limites de nos ressources ne sont pas immuables. Le marché de l'offre et de la demande encourage la conservation, la substitution et l'innovation, Ainsi grâce à celui-ci, nous sommes prémuni contre quelques besoins de ralentissement de notre croissance ou notre progression.
L'expansion sans borne de notre civilisation sur le territoire et dans l'espace accentuera grandement la demande de ressources de toutes nature. En combinant ce phénomène à la prolifération de son espèce, à la prolongation de sa vie effective. l'humain réalise sans nul doute que la rationalisation de la gestion des affaires humanitaires s'avère impérative.
Les extropiens réclament un activisme environnemental rentable dans le but d'améliorer nos biosphères (terrestre ou extra-terrestre). Nous nous opposons aux visions apocalyptiques d'environnementalistes éco-fetishistes. Les scénarios cataclysmiques véhiculés par ces faibles d'esprits sont entretenus par des gens s'employant à mater la progression vertigineuse de la science."
Je vous ai exposé ce point vu exceptionnel pour souligner l'aspect visionnaire et courageux de cet énoncé. Nous ne devons pas avoir peur d'apprendre de nos erreurs, ni même d'avoir honte de notre laxisme. Soyons franc, en regardant les choses en face nous réalisons rapidement que des sinistres comme les inondations dans la région du Saguenay-Lac-St-Jean découlent directement de l'interventionnismes humains massifs dans le réseau hydrographique.
Loin de dénigrer le génie qui permit à une telle base industrielle de ce développer. Je conseil plutôt aux affligés de ces contrés à pousser leurs analyses au point de prévenir à l'avenir ce genre de catastrophe chez eux. Sait-on? Peut-être qu'ailleurs certains fortunés pourront bénéficier de cette expertise enfantée dans la douleur et le désarroi.
L'univers est un domaine complexe d'interaction synergétique insoupçonné. S'il ne ce dégage aucun modèle de développement perpétuable d'ici peu. Le chaos s'ensuivant nous réduira à néant.
Gardons à l'esprit que la vigilance et la prévoyance sont de mise et pour se mettre à jours les instances dirigeantes se transformerons en organe décisionnel perméable aux idées novatrices.
La concitoyenneté et la communauté corporative utilisera de plus en plus des forums, des agoras (blogues) pour définir son avenir, Ainsi enclenché notre démarche nous immunisera contre des éventualités indésirées.
Planifions du meilleur pour que nul part que ça empire. Bon, maintenant que le pire est passé je conclu: Depuis, j'y suis, j'y reste donc j'atteste pour ce qu'il nous reste sans que de nous l'existance ne se déleste.
Êtes-vous prêt!
Le suis-je?