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L'Impératif Hedonistique

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Troisième chapitre

2 . Pourquoi?

(Le deuxième chapitre peu être escamoté sans risque ou même être agressivement écrémé par les philosophes analytiques à qui cet ouvrage s'adresse essentiellement. Il contient une défense de L'IH sur la base de, premièrement, un rationnel des moyens finaux pratiques et, deuxièmement, l'utilitarisme éthique négatif. Le cas patent du rationnel des moyens finaux, dérives des mises-en-application-généralisé d'hédonisme psychologique. Nul ne prétend que celle-ci est perçue ici comme une loi universelle. Elle n'est seulement qu'une banale coïncidence de tous les jours: nous dépensons beaucoup de temps à essayer de se rendre heureux. Souvent nous échouons. L'IH accomplit ce que nous nous efforçons de faire avec une efficacité unique et du succès. Le cas éthique utilitaire de L'IH, par contre, repose en partie sur une conception de comment moralité peut-être intériorisé logiquement en tenant compte point de vue scientifique sur la nature du monde. Valeur est interprétée ici comme une distinction et un mode d'expérience biologiquement maximisable - . Sa texture subjective est codée par un type particulier d'architecture biomoléculaire. Cette architecture peut être enrichie et étendue. Cette valeur positive peut être maximisée. Une valeur négative peut finalement, être éliminé. Donc L'IH, ce sera réclamé, revient à plus tôt à l'ensemble bizarre d'un individu de conjectures et de jugements de valeur. Le programme biologique est aussi notre destin naturel. La venue de libération de la douleur, de l'époque post-Darwinienne, ces deux avènements marqueront une transition majeure dans l'évolution de la vie et de la fondation morale de toute civilisation future.)
"de quel droit, avons-nous celui d'être heureux?" (Ibsen) 2.0
La Psychologie L'hédonisme de Fauteuil. Alors techniquement, en principe, ça peut être fait. Le paradis peut être rendu effectif biologiquement. Le bien-être omniprésent est neurochimiquement faisable. Cependant vaut-il vraiment la chandelle? Qu'est-ce qui cloche avec souffrance? Qu'est-ce donc qui est bien du bonheur ? Quel est le lien, s'il y en a, entre la maximisation du bien-être personnelle et la valeur morale? Est-ce que les états transcendantaux réjouissants mis de l'avant ici sont vraiment tous plus précieux que le status quo Darwinien qui prévaut? Où est-ce les jugements de valeur sont intrinsèquement subjectifs et des vérités sans importances? I l y a les deux raisons pratiques et éthiques pour l'élaboration d'un projet global pour abolition des expériences désagréables. Les raisons pratiques seront attaquées de front en premier. Le cas éthique sera discuté après, a suivi par la défense ontologique de valeurs objective conçue pour racheter la position éthique adoptée ici à la charge de subjectivité stagnante. Le rationnel instrumental du programme biologique dérive de rien de plus abstrait qu'une quelconque analyse entêtée des moyens finaux pratiques. Cette analyse est mieux introduite par un examen d'une variante biologisée de la théorie hédoniste psychologique. Nous dansons toutes nos vies en les usant, en battant la mesure, annonçant l'ère de l'axe du plaisir-souverain-de-la-douleur. Il est souvent mis de l'avant que, pour toutes les complications et anomalies que la théorie entraîne dans son sillon, l'hédonisme psychologique contient en son coeur des vérités substantielles. Un point demeure à notre esprit tout au cours des qualifications et élaborations à suivre et ce sont ces mêmes objectifs à qui nous avons trouvé une validité qui seront poursuivie singulièrement par intermittence et même les valeurs immobiles sans conséquence seront poursuivit rationnellement. Comme c'est le cas à présent, nous poursuivons avidement beaucoup des facettes du bonheur mais nous devons faire avec notre peur absurde, très peu meurtrière et avec des inepties de aux hauts niveaux. Heureusement, tout le sévère mal-être dans qui sont véhiculés génétiquement, bloquent l'avance-optimale de petits minima locaux qui eux peuvent êtres replacés par un maximum global de bonheur et bien-être. Donc qu'est-ce que cette présumée fureur qui, incorporée sur le plan biologique, nous permettrait finalement de nous accomplir? L'hédonisme psychologique a été remarqué diversement comme une simple évidence, un mensonge évident, et comme s'il était complètement vide sens ou comme n'étant même pas erroné. Ici il est supposé être une hypothèse qui, formulée correctement, est les deux substantiellement véridiques et important dans ses implications. S'il est ce qu'il est et même si on le considère moyennement approprié, et si nous étions tous constitutionnellement motivés pour sa poursuite, bien que typiquement sous autres descriptions, donc un type générique au coeur du système mésolimbique alors qui est-ce qui rivalise avec diversité d'objets intentionnelle? Est-ce seulement un déguisement? La réponse pratique à la question "pourquoi?" est dans essence simple. Si oui ou pas, nous devrions génétiquement reprogrammer le tapis roulant hédonique, réduit à une question simple de rationalité des moyens finaux. Quelle est la façon la plus efficace, et la seule qui est la plus pertinente? Est-ce que le chemin déjà parcouru constitutionnellement prouve que nous le cherchons déjà dans une multitude de faux-fuyants?
Comment est-ce que ces émotions en quelques sortes idéales de mésolimbiques/esprit/cerveau que nous nous efforçons d'atteindre et, pour ce soit plus qu'un air d'importance et plutôt soutenu? Bien sûr, même si quelque interprétation différente de l'hédonisme psychologique était en substance correcte, est-ce qu'il demeurerait toujours ouvert aux sceptiques qui demanderaient "en revanche pourquoi être rationnel?" est-ce qu'il peut alors même y avoir rationnellement un avancement, de supporter telles discussions rationnelles, c'est d'à propos et ces logiques. Cependant la nature défaitiste de comportement absurde, et les variables incohérences camouflées de pensées absurdes, sont des moyens mais cette option ne sera pas explorée ici en profondeur.
Plus subtilement, il est ouvert toujours à une critique du programme biologique et reconnaître que l'hédonisme psychologique peut-être substantiellement véridique, mais tenir compte des considérations circonstancielles et morales Pourquoi seraient-elles bonnes? Si nous avions manqué d'accomplir ce qui nous étions [quelquefois seul]. Involontairement. Après avoir tenté de réaliser quelque chose? D'ici, de ce point de vue, il serait moralement préférable pour nous, de continuer agir sur une base sélective et ce, déraisonnablement et sans effet probant. En d'autres mots, étant donné que la pensée est un agent moral doit être psychochimiquement satisfaisant, et les propositions ont discuté ici ce trouvent, paradoxalement, sans plaisanter, immorales, il serait moralement le programmerait plus vertueux le rationnel biologique esquissé dans ce papier n'est pas adopt
é.
Ce que j'ai ci-dessus mentionné, présuppose que j'élabore le cas patent avec exactitude pour élaborer les fondements généraux de mon hypothèse sur la psychologie hédoniste. La chaîne de discussion est présentée ici. l'est pour son substrat substantiel de vérité, au moins à première vue, elle est extrêmement faible. C'est parce que ce lien optera pour un plaidoyer introspectif. Puisque ses mêmes mots envoient un frissonnement de répugnance en bas peut de grosses pointures scientifiques et minutieuses, quelques réflexions très brèves sur la nature et la situation de l'épistémologique de cette faculté suspecte sont du premier ordre.
2 .1 Comment Contempler Un Vide Introspectif.
Est-ce que l'introspection nous dévoile si, sérieusement, nous sommes des chercheurs-de-plaisir et des éviteurs de douleur? Si tel est le cas, il y a-t-il un meilleur moyen pour accomplir ce qui notre conscience/cérébrale sont jusqu'à en train de faire?
Extroceptive, donc appelé donné "perceptuelle" sont crucial aux caractéristiques liées à la méthode empirique(s), et définitivement argumentable, des sciences naturelles. Les évidences introspectives sont dépréciées généralement par le mandarin de la science comme cognitivement sans valeur. La perspective curieusement nommée "troisième-personne" domine. Cependant un rehausseur-d'aptitude distinctive et ayant des potentiels d'accentuation de certaines facultés - tellement névralgiques de la vie mentale de beaucoup de personnes ordinaires furent sélectionnées vraisemblablement pour plusieurs, et nous ne faisons pas d'une campagne de recrutement à l'aveugle qui dirigerait tout simplement le cours de l'évolution. Même un système très faillible et sur lequel on ne peut pas compter, neuropsychologique auto-sentinelle pourrait ce voir conférer encore plus de valeur différentielle pour qu'il s'adapte mieux. De n'importe quelles perspectives, incomplète ou plus ou moins parachevée, les raisons au-dessous de tout soupçon l'équation causale la boîte comportementaliste du moi peut aussi, par analogie, déduction logique ou simulation, aidé à comprendre partiellement et anticiper le comportement cospécifique et ceux des concurrents génétiques. Méthodologiquement, il n'est pas de l'avis général du tout à fait clair comment l'introspection peut-être étudiée ou même définie scientifiquement. De plus, et pourtant il est une partie intrinsèque du monde naturel, une excroissance malheureuse des deux sens au terme "subjectif" qui souvent leur rôle principal au sein de son existence ontologique, nous l'avons aussi bien rétrogradé que méthodologiquement escompté. Bien sûr, il ne peut pas être nié que d'essayer d'offrir des sujets ayant des rapports introspectifs les résultats apparaissent, quelques fois, confus. Ils peuvent tous deux induire en erreur les autres et eux-mêmes. Les différents modules utilitaires du cerveau, malgré leur intégration hermétique, ne font pas simplement que s'interpénétrer. Ainsi donc, les ensembles neuronaux distribués à peine localement d'un module particulier, ne peuvent pas savoir toujours, à quelque chose près, savoir ce qui se passe chez les autres, aucun ne rapporte à lui-même que s'ils le peut. Ceci veut dire que l'intention verbale et l'élocution vocale qui selon toutes les apparences ont l'air sincère, elles ne sont pas garantes de la véracité à tout prix. Pire encore, dans mise en action de quelques moyens d'une personne, celle-ci ne semble pas avoir beaucoup de perspicacité introspective (même illusoire) d'elle même, en rapport avec le reste de l'existence. Nous avons obtenu l'accès à beaucoup du produit mais nous avons très peu de processus paramêtranble, sans difficulté, à notre disposition. De plus, beaucoup de nos actions nominales paraîtraient être principalement automatiques. Plusieurs autres ne sont pas précédés par des rêveries introspectives notables. Peut-être qu'ils soupèsent une option hédonique et spéculent sur les conséquences possibles. Alors comment est-ce que nous nous sommes dit être "vraiment" à la recherche du bonheur?
2 .2 L'Importance de Banalité.
Malgré tout le ci-dessus mentionné, il est une fabrication, en tirer un exemple vaut encore la peine, même banal, car il est cardinallement impérieux de l'observer. Il relate un critère implicite décisif utilisé dans les agissements consciencieux dans un parcours plutôt sûr qu'un autre, quand plus d'une option est perçue comme étant pieu. Pour ce qui à trait à la valeur perçue à première vue, nous exécutons, c'est le moins qu'on puisse dire, un extraordinairement grand nombre d'actions, parce que l'image d'une personne ou ce que conceptualisons comme tel, est le notionnel celui-ci procure apparemment en fait plus de satisfaction ou moins de mécontentement, cependant de façon marginale; et parce que le notionnel de son hôte ne ce substituant pas et rend ainsi l'un ou l'autre moins satisfait, affectivement neutre ou plus aigri à défaut d'être autrement. Il y en a d'autres, probablement plus florissant, des manières de formuler l'idéal, mais leur trajectoire sont essentiellement analogiques. Banal ou autrement, une connaissance de l'existence et de la nature de cette différence dans ton affectif quand quelqu'un contemple, et puis alors chemine à travers, un cours d'alternative d'action peuvent être dérivé de cette seule introspection; mais qui est néanmoins importante. De la perspective de "troisième personne" il est scientifiquement vrai, la biologie peut élucider l'équivalent physique ce qu'est cette impression subjective de la motivation. En accentuant expérimentalement ou en atténuant la charge du dopaminergique mésolimbique, les neuropharmacologistes peuvent utiliser des stimulants ou des neuroleptiques pour démontrer le rôle pivot du système et de déterminer comment les grands vertébrés se comportent. La neuroscience peut même bénir certaines régions du "cerveau comme étant des centres de plaisir," en les branchant avec des fils et assorties d'électrodes, et alors démontré leur puissance irrésistible. Cependant c'est seulement à travers la corrélation, et leurs identifications qu'alors, que nous déterminerons des types particuliers de physiologie, leur fonctionnement et leur structure, c'est avec ces modes particulièrement subjectif d'expérimentation que cette biologie peut entreprendre l'explication de comment une personne agit, plutôt que seulement physiquement du quoi qu'il s'y passe, du tout. Avaliser l'hédonisme psychologique comme une théorie d'action- et de compulsion dans le besoin de rationaliser biotechniquement - n'est pas le même comme vieil adage comme quoi une personne agi toujours égoïstement, ou au moins pas aussi égoïstement que dans le sens de service unique possède des intérêts spéculatifs à la dépense d'autres personnes. Les gènes égoïstes peuvent croître quelquefois et finir par vomir des phénotypes inconsciemment désintéressés. Imaginer le bonheur d'amis et de familles, par exemple, peut servir comme une source puissante de motivation. Donc, aussi, peut satisfaisante qu'une image-de-soi-même-idéalisée, comme si le soi collectif devenait une personne morale en chacun d'eux. Plus radicalement, il y a un sens au sacrifice même de la vie pour sa famille ou de son pays, il n'est pas un amalgame dans le contexte de l'hypothèse l'un ou l'autre. Dans des certaines circonstances l'image du vivant peut avoir recours moins de moyens ce satisfaire que l'image de soi suppléante au notionnel et périssable par égard pour les autres. D'ici on opte émotionnelement pour une image encephalisée de l'oubli.
Ce que l'hypothèse de l'hédonisme psychologique ne commence pas même à élucider pourquoi le système méso-cortical limbique de la dopamine a une phénoménologie unique et extraordinaire qui cause le phénomène de dépendance d'une inspiration encéphalisée, dans un sens, sur lequel principe notre civilisation a été construit. Pourquoi est-ce qu'il est ressenti aussi irrésistiblement bienfaiteur? Cette question est simplement trop profonde pour y répondre ici.
2 .3 Des Désirs vides?
Même s'il était vrai pour la plupart comme nous l'avons défini, est-ce que l'hédonisme psychologique est endurable seulement parce qu'il est effectivement vide - donc "même pas mal"? Quelle épreuve pourrait falsifier en quelque sorte cette l'hypothèse? Avec quels états des affaires est-ce qu'elles pourraient entré en contradiction?
Je ne pense pas que la charge de vide peut être soutenue. Il y a en effet un rapport conceptuel proche entre la théorie et notre notion de l'action elle-même. Cependant c'est un reflet de l'adéquation empirique de la théorie plutôt que de sa vacuité. Deux exemples de falsificateurs potentiels peuvent être notés ici. Premier, l'hédonisme psychologique aide à expliquer pourquoi on ne peut jamais se fatiguer d'avoir les centres du plaisir stimulés, naturellement ou autrement, et pourquoi les oeillères de même le plus porte étendard de la rectitude morale la plus stricte, peuvent s'effondrer sous l'emprise d'une drogue telle que l'héroïne. Le drogué et l'abstient total, quoi qu'ils puissent supposer, n'occupe pas des royaumes séparés, deux existence ontologique ou motivation chimique. Nous sommes tout dépendant d'opyoïdes pour bien ressentir physiquement et avec émotion. Les opioïdes se lient à des récepteurs dans la région du [tegmental] ventrale du système dopaminergique mésolimbique, le cerveau/esprit chemine définitivement en commun pour le plaisir. Ici ce trouve les cellules prévoient les coups. Si elles ne sont pas heureuses, ces l'organisme entier qui sera misérable jusqu'à ce qu'ils aient obtenu leur attribution psychochimique. Pour que leurs processus cellulaires infiltrent le reste du cerveau/esprit. Le drogué dérive de son exogéniquement son approvisionnement en opioïde; tandis que chez le reste de la population les opioïdes son sécrété endogéniquement, il est déclenchée, et très peu généreusement dans un cas comme de l'autre, en nous par le repos, par stimulus tel que nourriture, le sexe, l'exercice et l'interaction sociale. Nous sommes tous encore à recherche des mêmes états essentiels du bien-être psychochimique que nous correspondions à une description ou à l'autre.
Ainsi donc, ces mêmes drogues cause le phénomène de dépendance "psychologique" qui lui peut mener à la commission d'actes criminels et compulsifs de-la-recherche-de-la-drogue et du-comportement-de-consommateur-en-manque si la source d'approvisionnement est tarit, même chez les gens ayant des principes particulièrement vertueux. Ceci ce produit parce que le cerveau sur-intoxiqué recalibre ses récepteurs cellulaires et réduit sa production des composés chimiques-du-plaisir pertinent: à son tour augmentations la dépendance de l'utilisateur et la place sur un itinéraire qui le mènera tout droit vers des modes d'administration exogénique. Les individus ayant une volonté d'acier qui sont sûr qu'ils peuvent se "gâter" "récréationellement" sans courir de risques, comprennent mal les racines psychochimiques de leurs comportements. Les résultats de tel jugement erroné peuvent être bien sûr désastreux. Les euphorisants à action rapide tels que la cocaïne peuvent corrompre potentiellement même les plus véhéments moralistes adversaire de l'hypothèse hédonistique. Être accroc d'héroïne ou du crack peut fournir, en effet, un aperçu empirique pouvant être salutaire sur la nature de la motivation humaine; pourtant ceci est un cas fort discuté que ses trouve que cela pousse méthodologie expérimentale trop loin.
Comme une deuxième réponse à la charge du vacuum, qui vaut la peine d'être considéré étant donné la pensée-expérimentale suivante. Il est (purement épistémologiquement) possible qu'en gardant les lois de la physique constantes, la causale d'événements physiques supposés fermée et communément suffisante, signifie que nous avons trouvé que nos corps sont seulement en train de ce comporter, mais d'aucun s'accompagne de concomitants phénoménologique d'action volontariste qui en font, dans les faits, une plénitude de comportements corporels. Si tel était le cas, alors plusieurs des options comportementales ce retrouvant poursuivit au sein du corps d'une personne pourrait être, du point de vue de la personne, des plus désagréable dans l'appréhension envisagée des conséquences et que ce que leurs alternatives spéculatives réservent. Quelqu'un dans ce scénario ne serait pas surpris de ce qui se passait: le comportement corporel pourrait être envisagé ultimement comme finalement, un simple produit se jouant des lois des interactions physiques et hors de celle-ci. C'est seulement ça qui dans cet arrangement que n'importe quelles incidences phénoménologiques nous accompagneraient seulement pour la promenade.
Étant donné que nous éprouvons, de l'action volontaire, une phénoménologie distinctive, il n'apparaît pas logique avec notre compréhension courante du concept ou de l'expérience que quelqu'un pourrait consciencieusement, phénoménologiquement agir dans une préférablement d'une façon ou d'un autre, simplement parce que l'image que l'on ce fait de soit de l'action choisie et ses effets ont paru moins satisfaisant que l'alternative(s). Même plus ironiquement cohérente, serait la notion qu'une existence dont le spectre du plaisir-douleur a été inversé et qui a agi dans l'attente consciente de procurer le résultat(s) il moins désirable. Il ne va pas sans dire que les effets pratiques des actions des personnes ne triomphent pas fréquemment de leurs intentions. Certainement, aussi, les agissements d'une personne peuvent paraître, superficiellement moins satisfaisants si elle a un objectif plus satisfaisant à long terme à l'esprit; ce principe qui sonne puritain n'est en fait que de la satisfaction en différée. Mais c'est un principe qui tend seulement à corroborer plutôt que de saper toute la validité de l'hypothèse en question.
Le point ici est que cet hédonisme psychologique présuppose que nous agissons distinctement au lieu de quasiment se comporter. Son focus distinctif, est très certainement, sur le comment nous nous faisons du bien, moins une image de son occurrence désagréable ou du concept de l'acte et des conséquences anticipées. Cependant, dès le départ, il semble y avoir un rapport intime, souvent seulement implicite, des connexions conceptuelles entre quelque chose, remarquablement comme l'hédonisme psychologique et notre notion (s) de l'action elle-même, et dans des agissements particulier, il est perçu comme ce suppléant à notre faculté de discernement.
Maintenant même si cela apparaît invraisemblable, ce serait analytiquement défendable de jugés nécessaires que toute action motivée par le désir d'un bonheur anticipé etc., ouvertement ou sous une autre rubrique, ceci ne prouverait en rien que cet hédonisme psychologique serait correct. Genre de "Cas de Paradigme", les discussions engagées en ce sens ne peuvent pas ce résoudre de la vielle-mauvaise-manière-de-la-philosophie-de-la-langue-ordinaire et ne se résous pas au cas échéant. Nos termes, "analytique" ou autrement, peuvent manquer simplement de ce reporter à un quelconque. Quelqu'un ne peut pas seulement définir n'importe quoi dans l'existence. Ce qui est définitivement proclamé comme étant analytiquement véridique peut être traité dans une époque comme empirique, ou même analytique, et complètement faux dans un autre. Si indubitablement au moins aussi utile que la psychologie du fauteuil, est une enquête empirique des liens entre les mécanismes de récompense des cerveaux et l'irrigation du dopaminergique, expérimentalement du soudoyer des régions du cortical et du pré-frontal; moteur de l'action volontaire. Cependant s'il n'était pas de la délivrance de l'introspection, il ne pourrait pas y avoir la notion que même pas une seule créature est jamais agi consciencieusement dans le monde, comme un sage distinctement autonome, au sommet, dans la première instance. Le Behaviourism est intellectuellement mort, et son tombeau doit être dansés sur et aussi vigoureusement que possible.
2 .4 Une Fenêtre Sale Sur L'Ame.
Avec ceci à l'esprit, tout ce que je peux dire est que; de façon désappointante, j'ai jamais été introspectivement capable de me saisir à suppléer un certain cheminement plutôt qu'un autre quand l'a pensé avait repoussé l'alternative qui était sans équivoque plus satisfaisante, ou moins insatisfaisante, que l'option choisit à prime abord. Si c'était universellement le cas, alors le programme biologique serait un appoint rationnel.
Se pourrait-il que quelque variante du principe-plaisir puisse être vrai pour quiconque, ou seulement pour tout le monde? Maintenant une personne peut être facilement être éprise d'une théorie fausse qui colore sincèrement ses propres rapports introspectifs. Donc il n'est pas nécessaire d'avoir chaud sous le col si ces rapports sont confrontés; quelqu'un peut ce permettre d'airer authentiquement. Alors si tel est le cas, quelqu'un qui s'y est mépris, il est en compagnie éminente, très nombreuse et distinguée. En outre, il n'y a pas d'évidences comportementales suggérant que des personnes dont les aveux introspectifs corroborent l'hypothèse hédoniste, soit plus sujet que quiconque, à cause de son comportement jugé égocentrique. Le rapport profond et subtil conceptuel entre le concept d'action et le principe-plaisir, peut révéler un trait important d
u monde. Alors si les sceptiques soucieux à propos du Problème des Autres Esprits peuvent être mis de côté ici comme étant au neutre, il est naturel de supposer qu'au coeur des attributs mentaux d'une personne ce trouve un membre représentatif de l'espèce.
Sur l'incontrôlable mais sur le principe cognitivement indispensable de l'uniformité de la Nature, il paraîtrait quelque chose de si fondamental comme la coloration affective d'action volontaire est improbable à défaut d'être sporadique, mais biologiquement inné. Étant donné la nature personnelle de l'irréductible de quel-est-son-état subjectif, il n'y a pas de voie que cette science naturelle peut emprunter pour prover aisément la fabrication-de-décision efficace de l'être, actuellement l'introspection réelle d'une personne suggère une variante d'un ton hédoniste. Mais il y a au moins de l'évidence et de fortes présomptions qui ils le font, et que nos gènes ont influencé notre encéphalisation hédonique conséquente. En effet, il résulte du chevauchement substantiel entre la sociobiologie et la définition technique génétique de l'égoïsme et moins formellement défini comportementalement et la pratique psychologique qui suggère, encore une fois, que la définition des attributs d'une personne est un reflet de la situation de celle-ci comme un véhicule jetable génétique plutôt qu'en tant qu'agent autonome moral.
2 .5 Soyons donc Rationnel.
Ce qui est crucial dans le contexte du programme biologique cartographié dans ce papier, cependant, il est important de ne pas perdre de vue son jalon central et relativement à la proposition relativement acceptable sur la motivation humaine. Nous dépensons beaucoup de temps essayer de faire nous-même des gens heureux, si "par délégation" par nos concepts encéphalisés émotionnellement de d'autres personnes ou de motifs nous concernant nous même de façon plus limpide. Souvent, en fait, nous sommes tout à fait francs et explicites sur notre motivation. "je veux être heureux sans blesser quiconque sur mon chemin" est sentiment séculier étonnamment répandu. Instrumentale, l'analyse des moyens-finaux est extrêmement utile en général comme un cheminement d'une portion qui accorde des poursuites plus rationnelles et des conduites intelligentes pour l'atteinte de tous genres d'objectifs titulaires que nous cherchons seulement que quelque fois au cours de notre existence. Alors des contre-exemples possibles de personnes sous compulsions étranges d'autodestruction, de faiblesse, et de problèmatiques causés par le manque d'un moi unitaire solide, est la meilleure diversion du raisonnement pratique de la stratégie biologique. De tels phénomènes si anormaux comporte certainement complications intellectuellement intéressantes pour l'hypothèse d'hédonisme psychologique si elles sont interprété strictement comme des généralisations universelles sur la motivation humaine. Ils ne le font pas pour défier la rationalité instrumentale à grande échelle de la stratégie intracrânienne comme étant l'unique voie pour rendre tout le monde heureux.
Donc le cas pratique pour quelque variante du programme biologique, a démonté jusqu'ici ses qualités indispensables et s'énonce comme suit. Les évidences convergentes de royaumes aussi disparates que l'introspection et la neurobiologie suggèrent que nous consacrons tout (au moins beaucoup de) notre temps, de nos agissements a essayer de satisfaire les demandes hédoniques insatiables du système mésolimbique dopaminergique, bien que sous une myriade de descriptions nominales qui puisent leurs sources au sein de différents canaux, nos émotions se trouvent encéphalisées. Tout le monde aime, si pas seul aime, le genre d'expérience qui accompagne excitations électrochimiques du système du dopaminergique du mésolimbique, pourtant l'idée même de "l'excitations électrochimiques du système dopaminergique du mésolimbique" n'en n'est pas un qui s'accompagne normalement d'un grand plaisir du mésolimbique (réf. : "le paradoxe de l'hédonisme"). Les arguments précédents de ce papier ont, je l'espère, établi en substance l'affirmation de ce ce qui peut être targué de "Périphérialisme" est sans espoir et moins efficace que l'acheminement biologique direct dans le but d'assouvir ce qui nous ne sommes pas toujours astucieusement après... Le réformisme environnemental de tous les genres concevables échoue, et échouera invariablement, renverser la vapeur du tapis roulant hédoniste. Nous l'avons essayé de par les âges, et il ne fonctionne pas. Étant donné que notre raison d'être est déguisé (quelquefois) nominativement, et que l'irrationnel n'est pas une option viable, les seules raisons de la contrevenante contre poursuivre du cours d'action rationnel et stratégique du programme biologique, sera des considérations morales. Donc il y a-t-il des raisons morales contrevenantes pour lesquelles nous ne devrions pas faire autrement ce que la rationalité instrumentale édicte? Ou au lieu de leur irrésistible moral, est-il aussi bien pour nous d'adopter des raisons pratiques tous azimuts en faveur d'une panacée biologique? Est-ce que bonheur universel peut-être mauvais?
2 .6 La Moralité du Bonheur.
Je suppose que cela entrain un effort de l'imaginaire sur ma façon de concevoir comment un Univers dans lequel tous les êtres humains et non-être* humain mènent ensemble des vies joyeusement enrichissantes d'accompli, pourrions nous être moralement en pire situation que nous le sommes, ici, maintenant? Si nous avions découvert une civilisation étrangère d'extatiques, est-ce que nous essayerions d'introduire une mesure de souffrance dans leurs vies, de raidir leur fibre morale? J'ai peur de la critique, cependant, il est possible trouver cette remarque autobiographique significative qu'à moi seul. À la question, il répondrait vraisemblablement, où va-t-on à partir d'ici, pas comment nous allons aller là. Et à ce point, il peut paraître dangeureux quand ce papier rencontrera le marécage tout-dévorant du subjectivisme. Quel que soient les autres charges qui ils peuvent mettre en branle, les scientifiques têtus de la pratique rationaliste discuteront, de jugements-de-valeur qui n'on pas de contenu propositionnel et ne n'on donc pas de vérité-évaluable. L'univers peut recéler quelques choses d'extraordinaires, mais les valeurs objectives ne sont pas parmi celles-ci. Après tout qu'est-ce qu'ils peuvent faire, dans le monde, s'assurer que de tels jugements soient véridiques?
Dans le reste de cette section, le cours de la discussion se poursuit comme suit. Je définirai en premier lieu j'élaborai un cas patent d'éthique-utilitaire révélatrice pour abolir toutes formes d'expérience désagréable. Une apparente attaque en règles extrême du programme de l'hédoniste biologique sera discutée et elle constitue son seul accomplissement réalisable. D'ici les conséquences pratique ici de utilitairisme-négatif éthique ne sera pas très différent de l'utilitarisme standard ou on valorise la maximisation du plaisir et accorde autant de valeur est accordé à la minimisation de la douleur donc ils s'équivalent moralement: les deux variantes du mandat de cette doctrine rendent effective quelque chose d'apparenté qui plaide en faveur d'un programme aussi bientôt qu'il devient biotechniquement faisable. Les liens intimes entre les deux valeurs morales, non-morale et bonheur (a interprété ici dans le sens générique de l'expérience agréable), et entre "dépréciation" et la misère, sont notés. Il sera question de la production-en-masse du bonheur sera corroboré avec la production d'actions et d'expériences empiriques en somme, tout à fait appropriée. D'ici le programme biologique concédera des bénéfices don ses bénéficiaires trouveront immensément plus précieux que le maintient du status quo neurochimique. Est-ce qu'ils auront raison, ou finalement ne sauront-ils, rien qu'une option parmi tant d'autres? Sous support malavisé de ce dernier, le physicien orthodoxe et néo-darwinien, sera contre l'objectivité des jugements de valeur et sera alors débusqué. Cette fiction-des-valeurs sera contrecarrée par une forme de naturalisme-des-valeurs. Il est argué que la valeur, pas de moins que, disons, la rougeur, est un aspect intrinsèque du monde. C'est donc dans la vertu de l'existence une qualité unique d'expérience, elle en n'est une qui est spatio-temporellement localisé et une propriété causale et efficace du monde naturel. Le jugement de la valeur, il sera combattu, ce qu'est dans les faits l'évaluable-vérité parce qu'ils vérifient ou faussement le rapport entre la présence ou absence de cette propriété d'indépendance-expérimentale de leurs objets de référence prétendue. Plusieurs objections apparemment dévastatrices de ce point de vue sont déclamées, et non les moindres contentions des ignorants des faits selon lesquels ces valeurs morales peuvent entrer en conflit avec les leurs, et engendrer de la tergiversation. Cet alors que les objections sont réfutées.
2.7 Pourquoi Être Négatif?
Mais pourquoi l'utilitarisme-négativiste?
L'utilitarisme-négativiste éthique est un système de la valeur qui défit la symétrie morale entre le plaisir et la douleur. Il ne questionne pas la valeur de l'accroissement du bonheur de quelqu'un qui est déjà heureux. Cependant il attache de la valeur dans le sens moral du terme seulement si ces actions distinctives soignent, minimisent ou éliminent la souffrance. Il est contre-intuitif, ne l'es non moins dans cette mesure comme la doctrine entraîne ce d'une perspective purement éthique qui n'importerait pas si rien avait existé du tout ou si tout cessait d'exister. Aucune valeur morale inhérente est attachée au plaisir ou a des états agréables. En effet, si l'option était humainement disponible, la logique cette position oblige moralement de mettre fin au monde puisqu'il est l'unique voie pouvant éliminer la souffrance endémique à lui.
Poursuivant dans le tracé de ces implications logiques de cette perspective apparemment bizarre et perverse n'est définitivement pas pour le faible-de-coeur. Néanmoins l'utilitarisme négatif provient, pas de la haine-de-soi-même sublimé ou du désir-de-mourir nihiliste, mais d'un sens profond de compassion à l'échelle inimaginable et à l'intensité épouvantable de la souffrance dans le monde. Aucune somme de bonheur d'organismes en particulier peu notionnellement justifiés les horreurs indescriptibles d'Auschwitz. [Et l'Équation Universel de Schrodinger (ou quelqu'elle soit) les concernent tous les deux. Ses solutions ne permettent pas un sans l'autre, bien que dans des portions disparates de l'espace de l'espace-temps/de Hilbert] Ainsi donc même les divertissements et les jeux ne peuvent l'emporter sur l'horreur sporadique de la douleur et du désespoir qui ce produit chaque lendemain de veille. En fait, pour lui il y a rien d'inhéremment mal avec la non-sentence ou [désagréablement] la none-existence; alors qu'il y a quelque chose d'affreusement et d'intimement mal avec la souffrance. Ce manifeste a été écrit, et sera lu typiquement, dans des conditions relativement "euthymique". Quelqu'un ne se sent pas trop mal. Donc il n'est pas difficile de dissocier les sentiments d'une personne d'une litanie d'horreur imprimée. Il est facile de se convaincre que certaines choses ne peuvent pas vraiment être si terribles, que l'horreur à laquelle je fais allusion est surdimensionnée, qui ce continue ailleurs dans espace-temps est d'une façon ou d'une autre moins vraisemblable que l'ici maintenant, ou que le bien dans le monde d'une façon ou d'une autre compense pour le mauvais. Par contre un penseur lucide un peut imaginer ce que à quoi l'agonie, la torture ou le désespoir suicidaire doit ressembler, la réalité est inconcevablement pire. Ici la force de "l'inconcevable" est en elle-même en grande partie inconcevable. L'imagerie floue d'Orwell dans la "Pièce 101" peu à peine faire une allusion équivalente à ce de quoi je parle . Même si nos homonymes ancestraux aussi connus sous l'appellation de vous-même mais en plus jeune, on subi la grande douleur, alors l'état-dépendance des souvenirs a l'intention de la douleur absolument horrifiante est sémantiquement, cognitivement et émotionnellement inaccessible dans l'ici-et-le-maintenant. Donc les rengaines de ce manifeste sur les joies incroyables qui mentent en effet face à ses démentis son sérieux et au-deçà du but visé. Pour que la stratégie biologique proposée ici soit d'une moralité sérieuse et mortelle. L'utilitarisme-négatif n'est qu'une dénomination particulière d'une église généraliste à qui le lecteur peut bien dans tout les cas ne pas souscrit a. Heureusement, le programme peut être défendu par des fondements avec lesquels les utilitaristes de toutes allégeances peuvent être d'accord sur. Donc une défense sera montée contre les critiques de la théorie et les applications l'éthique utilitariste en général. En pratique, les moyens plus percutants et efficaces de nous guérir des désagréments, est d'assurer de définir l'aspect des états d'esprit du futur et leur perméabilité avec la chimie moléculaire de l'extase: les deux génétiquement préencodé et pharmacologiquement paramétré. L'orthodoxie utilitariste percevra indubitablement l'abondance cornucopéenne de béatitude comme une stratégie de délivrance et donc il une source d'accentuation de la valeur morale. Les générations futures d'extatiques indigènes seront probablement jamais en désaccord.
Bien sûr, qu'il y a pas du tout de besoin pour la moralité s'il ne se trouve rien de mal dans le monde. S'il n'y en a point, la souffrance devient biologiquement impossible, obsolète alors la moralité - dans tous les sens que nous la comprenons, devient-elle, redondante, elle aussi?
2.8 La Panacée Morale.
Une garantie biologique intrinsèque du bonheur soulève trois critiques usuelles de l'utilitarisme. Premièrement, l'éthique utilitaire est souvent contrastée avec principes moraux issus d'agent-conscrits et a chargé de la fabrication de demandes incroyablement onéreuses sur les personnes. D'après un calcul de la vertu impersonnelle nécessaire pour, par exemple, nourrir les affamés du Tier-Monde, de donné peut-être 95% de notre propre argent. Personnes n'est capable d'exprimé une telle générosité à des étrangers anonymes: nos gènes ne nous le permettraient pas. Donc l'utilitarisme peut être un principe souverain utile pour les législateurs mais, il est désolant de constater qu'il n'est pas d'une utilité probante comme code moral personnel.
L'effet du programme biologique est de transcender pratiquement ces difficultés. Le jour viendra ou l'altruisme pourra être toujours amusant, bien qu'en grande partie superflue. Nos gènes peuvent le rendre éminemment difficile pendant ce temps-là, mais c'est maintenant qu'il est le plus nécessaire.
Deuxièmement, l'utilitarisme semble justifier, occasionnellement, plusieurs types de comportements ex.: trahison, meurtre ou même torture, dans la plupart de ces cas les principes moraux des agents-relationnels serait considéré comme mal ou même méchants, si le résultat net est un plus grand bien-être généralisé. Plusieurs de critiques ont affirmé que ce cette flexibilité, en somme, conduirait principalement à une société en moins bon état. Alors, ils ont continué de développer leurs critiques du principe clandestinement sur la prémisse de l'utilitarisme et à des degrés variables de sophistication et subtilité.
Le programme biologique balaie ces difficultés de côté lui aussi. Son effet est d'éliminer entièrement les odieuses aberrations évolutionnaires telles que le meurtre et la torture. Le mensonge, lui aussi, deviendra simplement inutile.
Troisièmement, l'utilitarisme semble demander, en effet, l'usage incessant de vertueux superordinateurs calculant les conséquences de chacun de nos gestes. Cela s'avère tout à fait accablant. Pire encore, les effets distants à long terme de quelque action qui soi peuvent paraître incalculable; peut-être, l'application possible de la théorie du chaos aux affaires humaines, demeurerait quand même incalculable en principe. Donc, ultimement, il ne peut pas de moyen d'avoir un cheminement du savoir pertinent dans le temps à cent pour cent si le cours d'une action raisonnable ou mal intentionné sur telle une éthique conséquentialiste stricte. Ce qui me rappelle une observation de Mao Tse-Tung qui, quand on l'interrogea sur le bien-fondé de la Révolution française, il répondit qu'a son avis il était trop de tôt pour ce prononcé.
Le programme biologique se soustrait entièrement de telles préoccupations. Si elle est avalisé systématiquement, l'action humaine n'aura pas besoin causer de la souffrance à jamais. Un des effets a long terme, du génie génétique prévisiblement, est l'abolition de cette catégorie d'expérience.
2.9 La Signification D'une Corrélation Empirique.
Maintenant l'effet de ce genre de renchérissement génétique et pharmacothérapeutique sur l'état d'esprit ne sera pas simplement irrésistiblement beaucoup plus agréable que n'importe quoi physiologiquement concevable de par le passé. Empiriquement, les sujets appréhenderont de tels états comme étant évidents en tant que tel et d'autant plus précieux, de plus ils seront perçu comme tel par une vaste majorité. Au stage actuel du développement de l'humanité, les agissements innombrables et leurs états d'esprit, et pas rarement la vie elle-même, sont jugé comme étant, des vérités-évaluables ou autrement dit, sans valeur et futile. Une fois la transition post-Darwinienne produite, alors chaque état individuel de conscience dans le monde pourra être conçu comme étant en soi intimement précieux de par sa nature propre. La biotechnologie futuriste d'une sophistication à laquelle nous pouvons que faire allusion à, doit permettre la fabrication prolifique de produit de masse à tout craint d'états perçu comme étant extrêmement précieux par leurs sujets. Donc en termes phénoménologiques, s'il en est un, la quantité et qualité d'expérience appréciée montera en flèche en parallèle de ses substrats biologiques. Chaque moment de chaque jour sera de loin meilleur que la meilleure orgasme n'est jamais procuré n'importe qui à date avec quiconque; et s'avérera beaucoup plus productif.
Encore, dans le sens empirique au moins, il y a un chevauchement extrêmement grand entre les actions et expériences appréciés et qu'ont trouve génériquement agréable; et ceux considérés comme étant très agréable mais sans valeur, la plupart sont perçus comme tel parce qu'ils sont considérés dangereux ou probablement des atténuateurs potentiels de plaisir éventuel, qui lui est le fruit de notre imagination ou inculqué par l'imaginaire d'autrui. Tous les genres de situations, d'affinages et d'exceptions surviennent à l'esprit après un tel énoncé. Cependant dans une ère séculière, cette généralisation d'une étendue extraordinairement large. Elle le serait d'autant plus encore si les différentes intentions apparentes de tels jugements pouvaient considérer celles qui sont camouflés, sont aussi inclus. Certains utilitaristes, notoirement, ont continué d'identifier la valeur avec le bonheur. C'est vision simpliste est intenable. Trop de contre-exemples plausibles se présentent pour qu'un tel énoncé soi défendue ici. Une position plus modeste est tout ce que nos buts requièrent. Si une expérience, imaginée scrupuleusement au point d'être considéré comme notionnel par d'autres, ou univoquement personnalisé par auto-attribution, ce trouve à induire des sensations de bonheur ou de satisfaction, ou réduit les sensations de tristesse ou mécontentement, alors elle sera appréhendé par son sujet comme précieuse en l'absence de toute contre-indication raisonnable. À plus ou moins long terme, le bonheur se trouve apprécié comme étant la condition sine qua none.
Maintenant ceci peut servir comme indicateur pour un traitement industriel du rapport entre la valeur et le plaisir. C'est tout que ce la discussion à besoin pour se poursuive, cependant, est à noter que le programme biologique produira, les deux quantitativement et qualitativement, énormément plus expériences trouvées à la fois très agréable et précieuse que ce qui caractérise le status quo de notre situation neurochimique actuelle. La stratégie thérapeutique du programme éliminera des pans entiers d'états que même aujourd'hui sont considérés sans valeur ou même odieux. Avec temps la corrélation entre les états appréciés et ceux étant considérés comme très agréables ne feront qu'un. Donc si, premièrement, les jugements de valeur sont aussi des vérités-évaluables, et que si, par la suite, les sujets étaient normalement habilités a appréhender sérieusement leur vérité, alors le programme biologique s'avérerait en effet moralement obligatoire.
2 .10 Un Scientifique Riguoureux Rhétorque. Et puis alors?
Le critique contemporain ne sera pas impressionné. Ce n'est pas parce que quelque chose est plus désiré qu'elle est plus désirable, ainsi donc, tout ce qui est plus estimé devient de facto plus précieux. Seulement si le valorisé était en effet si précieux qu'alors le programme biologique deviendrait son ardent défendant dans le sens éthique. Ceci ne peut être, parce que sa tentative de défense tente de dériver, de passé en catimini, un "devrais-je" à partir du "suis-je" ce qui est logiquement impossible. L'argué autrement c'est commettre un sophisme d'un naturel fallacieux. Puisse la valeur être la propriété supposée du monde naturel de par et par de là l'ontologie sanctionné par la physique?
La science physique, le rationaliste scientifique peut continuer librement d'admettre, qu'il n'est pas définitivement fixé sur fourniture ontologique ultime de l'univers. Il y a beaucoup de travail théorique et expérimental à faire sur l'investigation des primitives, pour savoir notre ontologique ce fonde sur les particules, les champs, les ondes de probabilité, les boucles, les "superstrings" ou quoi que ce soit. Les rapports toujours titillant entre ces primitives préméditent la description mathématique complète et unifiée aussi. Mais quoi qui soit vraiment existant ex.; objets macroscopiques, ce en soi supervient en des configurations indépendantes-de-l'esprit de ces éléments ontologiquement essentiels des entités primitives, événementiels ou propriétaires. Les valeurs, par contre, sont simplement des fictions subjectives dépendantes-de-l'esprit. Nous ne les lisons pas les à partir du monde, mais plutôt, nous les projetons sur à lui.
Le travail-de-hachurage du scientifique sur le status des valeurs objectives est souvent augmenté par un compte rendu néo-darwinien de leur genèse. Si quelqu'un affirme que quelque chose est illusoire celui-ci veut expliquer comment et pourquoi l'illusion se produit. Polémistes pro Darwinien oblige. Ce qui peut sembler être des vérités morales éternelles est rituellement a démasqué par leur détracteur comme étant rien qu'un instrument des gènes. Les convictions personnelles vénérablement-et-défendus des gens, nous l'apprenons, sont seulement d'autres moyens par lesquels des alliances de véhicules-imbues-d'information - des gènes - qui s'auto-répliquent, en rivalisant, en manipulant leurs véhicules dispensables à quiconque, en s'en départant, promeut, inclusivement, sa propre aptitude. De l'aveu général, la prédisposition génétique n'équiveau pas le déterminisme génétique. Les sociobiologistes, éthiciens évolutionnaires et leur semblable, n'affirment pas que nos gènes codent directement, plutôt qu'un parti prît, le développement de chaque ensemble de valeurs culturelles idiosyncrasique. Cependant les croisements-culturels universels de l'indépendamment-émergeant ex.; les tabous-incestueux religieux et séculiers, peuvent néanmoins être mieux distinctement expliqué par l'apposition de pressions sélectives qui agissent sur l'ensemble de plusieurs générations de façon à façonner nos fétiches moraux et à conditionner nos phobies. Nous aimerions croire que nos valeurs subjectives sont d'une façon ou d'une autre objectivement endossé par la nature du monde, le scientifique rationaliste conclut, porte généralement dans son ton la suggestion d'une absence de courage remarquable; mais ils ne sont que verbiage et sans sérieux épistémologique. De concevoir autrement; c'est sombrer dans la victimisation, d'avoir des pensées désireuses d'entretenir la décrépitude toxique d'un esprit mystifiant Nouvel-Agiste.
2 .11 La Sélection de Rouges Mystérieux.
Je défendrai maintenant une version du naturisme, et par conséquent l'objectif du rationnel éthique du programme biologique, contre cette inculpation. Est-ce que ses énoncés de valeurs objectives ne sont qu'un four tous, ou quoi? Car, n'est-il pas ironique que quand le courant scientifiquement-bien-renseigné de la philosophie analytique est à la fois témoin d'une embarassante bousculade ayant pour objectif de "naturaliser" tout de l'épistémologie à la conscience, toute soumission semblable pour légitimer la valeur doit encore être largement tenu comme un engagement vis-à-vis un sophisme logique. Donc je vais maintenant vous démontrer comment, et dans quel sens, les jugements moraux peuvent et ne peut pas avoir des conditions-véridique; et comment l'existence de valeurs objectives peuvent être logique avec l'ontologie apparemment austère de la science physique. Une analogie est dessinée avec couleur phénoménale. Il est argué que contrairement aux apparences, les jugements moraux dans les faits, rapportent, vraiment ou faussement, une qualité distinctive commune à l'expérience de celles qui les confessent. Ce que de tels jugements exacts sont dépendant-de-l'esprit, et par rapport à une théorie de l'identité ainsi ils sont tous dépendants-du-cerveau; et de cette façon la valeur est aussi naturel, intrinsèque et objectif il est ce qui caractérise le monde avec une rougeur phénoménale. La proposition qu'il en est autrement est non-naturaliste, l'héritage d'une perspective du dualisme qui voit l'esprit et ses attributs expérimentaux comme des ensembles à part du monde physique plutôt que comme des traits existants objectivement au sein de celui-ci. Nous ne faisons pas que simplement "projeter" nos valeurs sur le monde. Car nous sommes littéralement des parties intégrantes du monde lui-même. Quatre objections, chacune apparaissant posséder un élément décisif, sont nivellées contre cette sorte de position de la valeur-naturaliste.
Donc d'entamer une défense de la valeur-naturaliste, cette ayant trait mérite une analogie avec, disons, la rougeur. Sur une théorie de l'identité de la conscience-cérébrale de la rougeur est une propriété du phénoménologique intrinsèque de certains patrons de mises-à-feux neuronaux. La présence de lumière d'une fréquence particulière empreignant sur la rétine, ou en effet de n'importe quelle lumière du tout, ne sont ni nécessaire ou plus qu'une condition suffisante pour la production d'expérience rouge dans un sujet. Quand qu'on rêve, par exemple, on peut voir intérieurement ou susciter un phénomène rouge. Inversement, quand quelqu'un se réveille et se trouve dans obscurité, alors ses une condition suffisante pour qu'une personne ait, en face de l'image d'elle-même, l'expérience rougeur brève, spécifiquement localisé, provoquée par la cortico-stimulation électrique des zones cérébrales pertinentes.
Sur la présupposition qu'une personne fait complètement partie du monde naturel, alors la rougeur phénoménale, aussi, est une des propriétés du monde. Il est l'inculqué de, et apparaît inhéremment au-dedans, de beaucoup d'objets macroscopiques. Cependant il est une propriété intrinsèque l'état de la conscience-cérébrale, et n'est pas une propriété du relationnel impliquant l'interaction intrinsèque de la lumière d'objets incolores de la conscience-cérébrale. La présence ou l'absence d'expérience phénoménalement rouge peuvent être vraiment ou faussement rapportées par le sujet, si le sujet croit que c'est une propriété intrinsèque aux objets indépendants-d'esprit physique ou autrement.
La sélection naturelle s'est cassée les dents sur la psychonoteriologie des états phénoménaux colorés. Ces états ne sont pas inhéremment figuratifs. Mais la sélection naturelle les a harnachés donc maintenant ils tendent, dans le cerveau vigilant, à poursuivre la trace de causale de certains modèles co-variables dans l'environnement de l'organisme. La capacité à reconnaître ces modèles (simplement, différentiellement, électromagnétiquement de réfléchissements d'objets macroscopiques) taxe la différentielle de succès reproducteur des véhicules génétiques dans qui les couleurs phénoménales sont périodiquement initiées. Ceci explique pourquoi de tels états ont été sélectionnés. Ceci n'explique pas leur nature intrinsèque de la phénoménologie. Donc la sélection, si naturel soit-elle, n'explique pas, sinon superficiellement, des états tels que la rougeur (ou, il sera argué, la valeur). Ceci explique pourquoi quelques états tels ont été sélectionnés plutôt que d'autres. Rien n'explique le pourquoi de tous les genres d'expérience ayant des propriétés phénoménologiques. Ni rien qui explique pourquoi l'expérience existe en fait. Si la télépathie avait existé, les psychologues évolutionnaires offriraient indubitablement d'excellentes explications et des modèles mathématiques sur le pourquoi les télépathes avait été sélectionné préférable aux non télépathes. La télépathie, ont nous révéleraient avec frasque, pourrait-être expliqué donc considéré "naturalement," pas comme quelque cadeau divin de Dieu. Cependant le phénomène lui-même serait encore complètement mystérieux.
2 .12 Les Succès Formel De Triomphalisme Scientifique.
La physique et, ses dérivées, du reste des sciences physiques, peut en principe fournir un compte rendu complet de l'univers naturel. Il est (potentiellement) complet seulement dans le sens formaliste des mathématique de la mécanique quantique et est correct dans un monde isomorphe. Les équations elles-mêmes sont non-indexables. La nature intrinsèque de la matière qu'ils décrivent, ce qui "insuffle du feu dans les équations et fait un monde pour nous à décrire" est, comme la quête de Hawking également concède, est inconnue, et peut-être impossible à connaître. Ce qui peut être su, cependant, l'est depuis un minuscule fragment de soi immanent du "feu dans des équations," serait-il la preuve que l'expérience de la rougeur phénoménale existe comme un fait objectif de la matière? Il en est ainsi donc et même si pourtant (mathématiquement) la physique complète, sur son cas, ne possède aucune opinion, sur lui.
Ceci devrait être relevé puisse qu'en conceptualisant ce que recèle le monde, il est tentant déférer, pas simplement à l'efficacité déraisonnable des équations, mais aussi aux notions personnelles malavisées d'élément essentiel de la matière physique que ces équations décrivent. Et ces notions n'incluent pas par ex.; la rougeur, les chatouillements, le bonheur, et les valeurs morales. Mais, cruciallement ici, pour les physiciens les candidats potentiels de la situation sont des primitives ontologiquement bestiales ex.; les superstrings, les champs., etc., sont définis, finalement, purement dans des termes mathématiques. Donc si les couleurs particulières de la phénoménologie, disons, étaient identifiées avec des valeurs numériques particulières d'ensembles de champs occipitaux-temporels corticaux, ce cheminement n'est d'aucune façon contradictoire avec le formalisme physique. La rougeur qui dans ce cas seulement, est l'étincelle qui allume le "feu dans les équations." Également, si quelqu'un identifie états particuliers phénoménologiquement précieux avec un ensemble défini de valeurs numériques de champs intracrâniens, c'est également logique de le faire avec le formalisme mathématique. Car ils font aussi partie du feu dans les équations qui conçoivent le monde pour nous le décrire.
Malheureusement, ici, il est toujours trop facile de troublé la question ontologique en n'en brouillant les deux sens "subjectif" du mot. Tel est le cas, objectivement, le monde contient de la subjectivité, des états expérimentaux d'une tel rougeur qu'avec son unique, sommables, mais ultimement, sa ressemblance-à-quelle-pourrait-être ineffable. Cette propriété peut-être identifiée avec des modèles corticaux complexes, occipitaux-temporels de champs corticaux. La rougeur est une propriété distinctive dépendante-de-l'esprit. Elle est en l'absence de toute existence indépendante-de-la-conscience, vue qu'aucune radiation électromagnétique, molécules ni aucuns modèles de l'objet macroscopiques sont rouges. Ceci ne met pas au défi son existence objective. Quand quelqu'un expérimente, ou soit présenté avec, ou substantivées, de la rougeur, on peut craindre qu'une telle couleur est un rapport avec l'expérience, sincèrement ou autrement. Ce jugement a des conditions-véridiques. Alors que le rouge est dépendant-de-l'esprit, il est aussi, au de n'importe quelle théorie de l'identité de la conscience-cérébrale, dépendante-du-cerveau. Il est comme telle une propriété objective du monde physique. Alors ce que le jugement de la rougeur exprime est la fois dépendant-de-l'esprit et objectivement véridique (ou, si les aveux de quelqu'un sont non-s
incères, faux).
2 .13 Le Naturalisation de la Valeur.
Maintenant la valeur morale elle-même sera examinée. Cela suggéra que la valeur, et inversement la dévaluation, sont des traits distinctifs littéralement inhérent du monde et ne le sont pas de moins que la phénoménologie de la rougeur; et donc peut-être objective, des jugements de valeur d'une véracité-évaluable. Cette propriété est dépendante-de-l'esprit, ainsi donc cérébralement-dépendante, donc naturel et par conséquent une propriété de l'objective du monde. Incidemment, les états d'esprit de nos descendants extatiques sont inhéremment plus précieux de par leur nature même que la stagnation relative sans valeur psychiatrique que recelle
notre l'époque.
Du côté fini, le potentiel intéressant de mille-et-une façon des différents types d'état conscient du cerveau/esprit humain, quelques-uns sont craint subjectivement comme d'autre apprécié expérimentalement et d'autres ne le sont pas. Quelques états apparaissent essentiellement neutres; quelque uns sont simplement très agréable mais peu prisé; certains sont trouvés complexes et ambivalents; quelques autres impliquent rien qu'une répétition de mantras reconnus et sensé assagir dans l'absence d'expérience personnelle pertinente; et les limites floues de ce que sont les découvertes conceptuelles, se substituent à quelque chose "d'expérientiellement" appréciés, ce qui aussi, contribue, à la complication. Quelques qualités appréciées nous frappent comme étant intrinsèquement de la même nature du (personne ayant de l'émotion encephalisé induite par la simulation de) monde indépendant-de-l'esprit. Certaines semblent êtres localisé au sein de l'image-corporelle d'une personne. Cependant la présence ou l'absence de tout état particulier indépendant-du-conscience-cérébrale est l'actuel état des choses et est en principe; ni nécessaire, ni suffisant pour produire les états appréciés des expérimentalement; alors qu'une condition nécessaire et suffisante pour ces expériences est l'avennement d'un modèle pertinent de mise-à-feu neuronale.
Une fois que la neuroscience proto-utopienne pourra identifier le substrat biomoléculaire de la valeur expérimentale, ou de la rougeur, etc., du plaisir, il sera faisable de produire-en-masse, de la rougeur, du plaisir ou de la valeur. La valeur peut biologiquement, être synthésisé dans organismes existant ou dans une solution où reposent des consciences-cérébrales dans des receptacles appropiriés. [De cela dérive l'étiquette dérisoire ci-dessus mentionnée du "programme biologique pour la Maximisation-de-la-Valeur-Cosmique"]. Futuristes, ils peuvent contenir les couleurs et les valeurs en vertu de ce que peuvent contenir les cerveaux. Cela sonne bizarre; mais aucune erreur-catégorique n'y est impliquée.
Si d'une manière analogue à la rougeur, d'alors, la valeur doit être interprétée comme une propriété délimité d'une classe d'états/d'esprit du cerveau. Dans le futur les deux pouront être mesuré et synthéser. Certaines formes d'expérience sont souvent, en effet dit non-quantifiable: le bonheur est la plus communément citée comme exemple. Mais si des types chimiques particuliers (ou peut être, finalement, des champs quantiste relatif, ou des modes vibratoires de la dixième dimension, des superstrings, de l'hétérotique, etc.) sont imbriqués dans l'état neuronal pertinent, sont identifiés non plus avec, ou a trouvé être correspondant positivement et invariablement avec la phénoménologie des états précieux, alors l'élévation de l'échelle ou son abaissement en nombre approprié et en dimension des états pertinents, de par leur nombre pertinent et la prévalence de molécules augmente ou s'abaisses pour affecter le niveau de bonheur, de rougeur, etc. de la valeur du monde conséquemment. Les problématiques conceptuelles vagues ayant des limites floues, et le critère d'usage mal défini, complique la tache mais ne change pas en substance de quoi il est question. Au sein d'une taxonomie idéale du cerveau/esprit, les états expérimentaux seraient aussi quantifiables, et leur texture exactement définie et mathématiquement précisément déterminer, comme tout autre trait de l'univers naturel. La notion de la probabilité-d'être peut-être décrite par un ensemble d'équations indiscutablement contre intuitif; mais c'est ce que toute conscience-cérébrale scientifique issue des impliquations de la théorie-identitaire. Considérant une théorie comme telle, le programme biologique peut augmenter vastement la somme des deux bonheurs et de la valeur naturalisée dans le monde.
2 .14 Quatre Objections Mortelles?
Maintenant quatre, objections potentiellement dévastatrice peuvent être nivelé au seuil du schéma ci-dessus mentionné.
Premièrement, quand les gens expriment des jugements-de-valeurs, ils se rapportent fréquemment à des états du monde. Ils ne font pas allusion à quelque qualité distinctive que recèle leur expérience. Ils peuvent en effet fréquemment projeter des aspects de leur expérience sur l'état du monde. Cependant c'est du monde qu'ils rapportent, non pas de leur propre phénoménologie.
Deuxièmement, les valeurs peuvent sûrement être en conflit. Elles sont quelquefois violemment à contester. Nous allons même en guerre pour elles. Si deux suppositions de vérité-évaluable de jugements de valeur sont mutuellement contradictoires, elles ne peuvent pas toutes deux être objectivement véridiques; ou peut-être ils ne sont pas, et ne le peuvent pas, êtres des vérités-condition du tout.
Troisièmement, en prenant la valeur comme étant un attribut phénoménologique intrinsèque de certains états mentaux, l'apparente position de la valeur-naturaliste fait de quelques préjugés singulièrement odieux des principes moralement appréciés, même s'ils s'avère êtres des énormités. Après tout Hitler trouvait que la persécution des juifs, était moralement, extrêmement appréciés de la vaste majorité de ses congénères. Étant donné que, chaque indication, qu'Hitler était sincère, au moins cet aspect, dans son rapport sur ses états mentaux, bien que sous une autre description, alors de la perspective des valeurs-naturalistes la persécution des juifs devrait compter comme étant précieuse: pas aussi précieuse que les états exaltés auquel je fais allusion à dans ce papier, de l'aveu général, mais moralement valable néanmoins. C'est sûrement une réduction assez concluante de la position. Dans tout cas, l'exemple précité expose l'incohérence contenue de la discussion. Les jugements-de-valeurs d'Hitler sont contredits par ses victimes. Par conséquent il est logiquement impossible pour les deux factions d'a voir raison.
Quatrièmement, l'emballement pour la valeur-naturaliste ne repose-t-il pas sur une tergiversation illicite? Pas tout ce qui est désiré est désirable, un glissement des faits à l'éthique. Également, sûrement pas tout ce qui est estimé précieux l'est. Même si c'était objectivement le cas et que les jugements-de-valeurs étaient rapportés obliquement, vraiment ou faussement, d'un état expérimental distinctif ou d'une famille d'états, cela n'équivaudrait pas à affirmé que tels types d'états devraient être évalués réellement, ou que quelqu'un doit s'efforcer pour les maximiser.
La réplique énoncée ici a apparemment, frappe de plein fouet les liens argumentaires des naturalistes-valeureux qui sont très contre-intuitif. Car ils dépendent pour leur prémisse clef sur ce qui peut apparaître comme étant une question complètement différente et entière, la nature ce que nous appelons de façon optimiste notre perception; et en particulier la fausseté de toute sorte de réalisme franc. La réponse donnée est discutable logiquement comparableblement avec plusieurs théories réalistes non-franches que celle énoncée ci-dessous; mais la fable heuristique escomptée quelles n'en des soutenantes, elle fut conçue pour mettre en valeur l'adverse comme étant une fausseté vraisemblable issue d'une présupposition commune à au moins aux trois premières charges ci-dessus citées. La position défendue ici est un genre de fondement pour la discussion et le suivi des comptes rendus, en usants de discernement sur des expériences perceptuelles radicales. Celles-ci combattent pour la différenciation entre le "rêve" et "l'existence éveillée" repose essentiellement un mode par qui ces états intrinsèquement sélectifs de la conscience-cérébrale. Les plus que l'environnement extra-neural puisse jamais partialement déterminer ce fait à partir d'un menu fini des états/d'esprits/cérébraux du monde de fait au moment où ils sont accrédités. Les sujets ne le peuvent jamais, directement, faire plus que sa propre appréhension de son état/cerveau/esprit qui constitue sa perception du monde. Les valeurs qui transparaissent, trouvent dans un monde indépendant-de-l'esprit, sont en fait des traits intrinsèques des états cérébraux particuliers recellent. Et, dans cette mesure comme l'eustatique futuriste est à même de vraiment rendre compte de cette qualité expérimentale, leurs états sont objectivement plus précieux que n'importe quel existant aujourd'hui! Donc le monde s'améliorera et deviendra vraiment meilleur.
2 .15 Seul Parmi
Les Zombis. Ces déclarations plutôt dogmatiques et elliptiques peuvent être illustrées en premier lieu par l'utilisation de l'étude du cas suivant.
Il y a un désordre du sommeil qui dans de rares cas, les victimes subissent des manquements du tonus musculaire (atonie) qui, ordinairement, gère les découplages fonctionnels de l'aiguillage entre la musculature corporelle et son abstraction dans le cerveau en état de rêve. Un découplage qui suit un cours normal et qui s'adapte très aisément. Car il inhibe nos gestes involontaires au repos et en s'y suppléant en dehors nos rêves. Dans l'absence due ce décuplage utilitaire pour la musculature, toute la matière de nos scénarios rêvés nous agiterait. Dans de telles circonstances la vocalisation extériorisée et les autres formes d'agissements corporels en état de rêve, sont non corollaire, excepté par inadvertance, avec le reste du monde extérieur à la conscience-cérébrale.
Dans le monde virtuel du rêveur, par contre, rien n'apparaîtra mal, à cet égard. La signification et l'allusion aux termes utilisés qui sont fondés sur l'image-corporelle centrale enracinée purement intérieurement dans sa pseudo-perception qui appréhende l'environnement. A l'intérieur du monde-des-rêves neuronal une langue involontairement personnelle et consciente ce mascarades à passe pour des pensées réelles et est énoncé comme tel en publique. Le corps-image du rêveur utilise l'homuncule pour converser avec l'intelligence comportementale de son cortex visuel et l'active par intermittence. Ces zombis bruyamment animés, et autres expériences dites perceptuelles d'objets macroscopiques ostensibles dans un monde macroscopique, sont en fait, purement autobiographique. La totalité du monde virtuel est fait d'oscillations au sein et hors de l'existence comme instigateur vont et viennent en et hors de sommeil sans rêve. Car il n'y a pas seulement que les croyances non-récurrentes et les désirs des rêveurs qui sont disponibles, mais aussi le monde-des-rêves macroscopique lui-même. Ses épisodes sont néanmoins volontairement réactivés. C'est parce que ses traits demeurent de façon latente codée dans le rapport et l'activation de lest dans le cerveau du rêveur. La différence entre nous et une victime de ce désordre du sommeil est que son corps extra-neural s'agite en état de veille, évidemment, par l'exécution d'actions de son image-corporelle intériorisée au sein d'un rêve; alors que nous, quand nous sommes endormis, nos corps sont effectivement paralysé.
Maintenant, contrefactuellement et dans des buts heuristiques, imaginez un monde où il est possible par ce désordre du sommeil, que ces deux désordres soient chroniques et simultanément omniprésents! Un monde où les rêveurs qui ne se "réveille" jamais. Ni le fait qu'à cause de la notion même de ce qui est tel ne lui est pas familier ou s'il a tellement mal compris que son expression ne peut avoir une intention réelle. La sélection naturelle s'effectue sur des millions d'années. Elle favorise la différentiation des génotypes, des organismes dont le monde-des-rêves, et initialement seulement par chance, servent, pourtant cela s'effectue comme si ses sélections étaient apparenté à la simulations quasi-en-temps-réel de certains modèles issus du monde extra-neural. Pour des raisons génétiquement égoïstes, chaque différentiation qui a été sélectionnée par le génotype engendre un monde égocentrique de fait. Il en est l'épicentre de ce monde de fait, physiquement et affectivement autour d'une focalisation d'imagerie-corporelle. Plus la sélection d'événements du monde-des-rêves est promiscuitive quand elle est en jeu plus qu'elle occasionne un engendrement de bombardements modelés selon des séquences d'impulsions de l'électrochimique de plusieurs proto-nerfs afférents. Ceux-ci s'étendent jusqu'à ce qu'ils servent la périphérie des surfaces corporelle des organismes en n'en devenant les transducteurs. Sur plusieurs générations les corrélations de l'accentuation-des-aptitudes entre le comportement l'extra-neural du corps agis involontairement en dehors des macro-modèles dans son environnement tendent obtenir des schémas de plus en plus serrés.
Avec le passage de temps, beaucoup de mondes-des-rêves deviennent régulièrement, pour ainsi dire, tout à fait réel et non du domaine-des-rêves. L'enfant normal du domaine-des-rêves apprendra, sur une période de plusieurs années, les critères pseudo-publics du langage utilisé de leurs mères virtuelles. Un rêveur mature pourrait découvrir que les alentours de son imagerie corporelle démontrent une bonne dose de cohésion, une concordance apparemment décrétée prédictible et équivalente. Il peut découvrir que son corps (imagé) peut manipuler intelligemment et re-conceptualisé, le tout édicté dans le cadre de limites contraignantes, des aspects du monde (-des-rêveries-neurales) au-delà de lui-même. Obliquement et évidemment, les mondes-des-rêves tendrons, graduellement à sélectionner le contenu de chacun d'entre eux. Avec temps le bi-produit comportemental involontaire des actions prémédité à l'interne, résultante de milliards d'itinérations du monde-des-rêves occasionnera une culture perpétuée de matières de plus en plus complexe. Le résultat collectif de ces bi-produits est que les corps hôtes des dormeurs éternels agissent hors du contexte la de la construction de tout, des gratte-ciel aux réseaux d'ordinateur, des accélérateurs-de-particule, aux jets de l'éléphant. Les artefacts en découlant, apprécie une existence indépendante du monde-des-rêves. Ils se servent par la suite partiellement à la sélection des quels genres de monde-de-rêve sont neurallement activé.
2.16 Les Périls du Scepticisme Stoïque.
Si jamais un rêveur super-lucide venait à mettre en doute l'intégrité ontologique de son monde virtuel en particulier, les conséquences peuvent être graves. Les mondes-des-rêves peuvent être des endroits réfractaires et inhospitaliers. Son imagerie-corporelle virtuelle peut être meurtrie par des lions virtuels ou, dans une époque plus récente, terrassés par un autobus virtuel. Nous devons à des millions d'années de pression sélective, de telles agonies hautement corrollaires surviennent parallèlement avec des événements indépendants-de-l'esprit de l'organisme dont le crâne sertie le cerveau qui lui recèle un monde-des-rêves. Donc notionnellement des gènes prédisposent les envies de telles philosophes stoïques à avoir tendance à ne pas être passé aux véhicules corporels d'embryons de mondes-de-rêve potentiels. Au lieu, chaque rêveur s'efforce de réaligner le sien avec l'émotion encéphalisée du monde pour que les états dépendants-de-sa-conscience soient plus ou presque équivalent à celui de ses désirs.
Certains mondes-de-rêves sont chaotiques et schizoïdes; quelques-uns apparaissent bien ordonnés et admissibles pour êtres enquêtés de façon quasi scientifique; certains sont heureux et se complaisent dans la spiritualité et la magique; et d'autres sont violents et cauchemardesques. Aucune de ces oeuvres d'une extravagance gargantuesque psychochimique n'est inhéremment externe à elle même, elle ne nécessite pas à quoi que soit qui serait situé l'autre côté de sa boîte crânienne. Par contre l'évolution a sélectionné différemment les gènes qui prédisposent à l'auto-assemblage d'un éventail très particulier de mondes-de-rêves phénotypiques. Ceux-ci sont phénotypes-du-monde qui servent de véhicules efficaces pour la propagation de plus copies des gènes qui les ont faits. Une des propriétés d'un véhicule prospère sont que ce périodiquement quelques shémas causaux des modèlisées co-varient, bien que sur une base très sélective, avec d'autres modèles au-de là de lui-même.
2 17 Le Prix Des Démons Intérieurs.
Comment est-il pertinent qu'une défense en faveur d'un objectif de naturalisation-de-valeur soit garant du programme biologique? La signification de la fable peut être illustrée en envisageant la contrepartie d'Hitler, disons, dans un scénario issu du monde-des-rêves. Dans son monde sombre et sinistre de fait son imagerie corporelle lutte contre de terribles démons de mise-à-feu/cérébrale neuronale. Il perd sa vie entière à les exorciser, à les dénoyauter dans une lutte une-fois-pour-toute pour se purger de leur présence malveillante et conspiratrice. Le homunculi occipital-temporel médian est caché bien au-delà de son imagerie-corporelle somato-sensorielle qui est bien certainement un de ces fantômes inattentifs. Mais leur intention hostile apparaissant, évidemment apeure leur hôte. Tragiquement, le cerveau du monde-des-rêves de Hitler est associé complètement à celui de sa musculature corporelle organique qui recèle de tels modèles neurochimiques cauchemardesques. Il n'y a pas d'atonie musculaire pour empêcher ces histoires d'horreur microcosmiques d'existé et d'agir en dehors, dans le macrocosme indépendant-de-l'esprit par l'entremise du corps extra-neural. La sélection naturelle a assuré la covariance de beaucoup de types d'événement dans ses mondes-de-rêves causallistes, bien que d'une manière sélective grotesque, avec le monde plus large, ses organismes et le monde-des-rêves qu'ils recellent. Par conséquent, plus de cinquante millions personnes meurent dans une guerre des plus brutales.
Maintenant, il peut être dit que cette fable est très bonne et qu'elle se prête très bien à une expérience-sur-la-pensée. Même dans notre propre monde, il ce trouve des cas rares et tragiques de personnes qui irréprochablement et involontairement tuent leur partenaire tout en sommeillant, souvent dans le cours d'un rêve extrêmement violent qualifié de "nuitées-terrifiantes". Mais le vrai Hitler n'était pas endormi. Il était complètement réveillé et a agi tout à fait délibérément en pleine connaissance de ce qu'il faisait. Il a vraiment perçu, la-chair-et-le-sang, des personnes sensibles. Celles-ci étaient complètement innocentes à l'égard des infractions monstrueuses qu'il leur imputa.
Et ici gît le crux. Si le Hitler du-vrai-monde a appréhendé directement ou perçu ses victimes, ou bien si certains événements neurochimiques furent dans le monde de sa conscience-cérébrale-virtuelle, était, d'une façon ou d'une autre, inhéremment concerné par les personnes juives dans le monde extérieur, alors l'argumentaire présenté ici-bas est faux. D'un autre point de vue, Hitler luttait avec des émotions horriblement encéphalisées, des démons intérieurs, l'apparition de sa propre (involontaire) création dont le comportement fétide anéantissant vraiment rapidement son monde virtuel, alors son comportement essaye d'enrayer de telles sources de valeur négative qui équivalurent à un échec épistémique plutôt que d'estime. Celui-ci peut être relevé aujourd'hui, dans milliards d'autre mondes égocentriques virtuels, des tentatives inefficaces et souvent ésespérées sont faites par l'imagerie-corporelle centrale de chaque hôte génétique dans le but d'exorciser tous genres de phénomêne odieux. Malheureusement, en l'absence du programme biologique et la prévalence de réalisme naïf, les résultats nets sont fréquemment tragiques.
Dans le cas d'Hitler, de profondes sources d'expérimentation objectives de "dévalorisation" se faisait en effet transmettre neurochimiquement et se présente aux modules utilitaires agissent en tant que médiateur entre sa perception de lui-même et l'imagerie-corporelle neurale. Dans un aucun cas, d'une façon ou d'une autre, "il a projeté" de telles expériences sur son monde virtuel; au lieu, cette caractéristique d'expérience était intrinsèque à lui. Sélection naturelle à assurer qu'Hitler, communément avec tous les êtres humains sauf avec ceux étant scientifiquement ou philosophiquement enclins, était implicitement un réaliste naïf en ce qui concerne sa perception du monde. Donc quand il appréhende la grande calomnie, une expérience qualifiable localisée dans ce qui il ne pouvait pas savoir lui-même, était seulement son émotion mal encéphalisée issue de son monde virtuel, il a essayé de l'anéantir de l'unique manière dont il savait comment. Son regard sur la chose essayait de rendre son monde indépendant-de-sa-conscience, la représentation d'un meilleur endroit. S'il avait eu un cerveau-dans-une-cuve-en-circuit-fermé, il aurait pu réussir temporairement. Tragiquement, il ne l'était pas; et une simple erreur épistémologique a tourné en une catastrophe morale.
2 .18 Est-ce que nous Pouvont tous êtres Vraiment Bon?
Maintenant si la prédilection humaine était apparentée à celle de quelqu'un-d'issu-du-monde-des-rêves, et si il est un très grand et très controversé "si" de l'aveu général, dès alors les réponses suivantes peuvent être données en réponse aux quatre objections au naturaliste-des-valeurs abordé auparavant dans le cours de cet ouvrage.
Premièrement, oui, personnes croient certainement que beaucoup de leurs jugements-de-valeur réfèrent au monde et ses propriétés intrinsèque plutôt qu'à quelque qualité distinctive de leur l'expérience. Mais toutes deux, autant la philosophie de la perception ainsi que la mécanique quantique suggère que ce qu'une personne considère comme un monde indépendant-de-l'esprit est un ensemble de propriétés qui une fois reportée ne sont que des simulations de pacotilles issues de sa conscience-cérébrale tout court. Si donc, alors il se rapporte directement à un lui seul et aux aspects que recèle son expérience neurale d'un autre ordre. Ce que ses jugements-de-valeur expriment, est encore une propriété objective du monde naturel. Mais il est dépendant-de-son-esprit. Les expériences seront apprécié, si par des cerveaux-dans-des-crânes ou des cerveaux-dans-des-cuves-futuristes, auraient une distinction, indéfinissable, un genre de je-ne-sais-quoi de différent d'ineffable sur laquelle aucune science physique n'aura de quoi à redire.
Deuxièmement, les jugements-de-valeurs des personnes peuvent mutuellement contredirent les uns, les autres seulement s'ils réussissent à se rapporter à la même chose. Les jugements-de-valeur intimes d'Hitler ne pouvaient pas vraiment contredire ceux qui sont devenus des victimes par inadvertance, de son de corps extra-neural. Ces mêmes jugements renvoyèrent correctement l'image de personnage de ses émotions bestiales d'encéphalisé monstrueux qui ont peuplé sa conscience-cérébrale; et donc c'est contre ses machinations qui il a lutté, et à un coût terrible.
Troisièmement, ce qui est sur une éthique conséquentialiste moralement mal est l'effet des avantages des comportements involontaires supplémentaires et des tentatives d'Hitler d'éteindre ses ennemis intérieurs. Il n'avait pas de mal à trouver certain phénomène odieux, des sources objectives, motivant son profond "désaveu." Mein Kampf est témoignage de leur phénoménologie horrible. Il a juste égaré leurs propriétés distinctives et originales comme elles étaient externes à la composition sa propre constitution. Les effets, furent bien sûrs, catastrophiques.
Maintenant jusqu'à quel point la fable du monde-des-rêves ci-dessus mentionnés saisie un aspect de l'affliction humaine tel qu'elle est, est des plus controversés. A part quelques détails compris ici pour des raisons de commodité liée à l'exposé, j'arguerais que le compte rendu est empiriquement indiscernable, au moins, par l'entremise des approches de perception les plus familières. Explorer en profondeur, cependant, le perceptuel est champ sémantique miné en travers celles-ci le éclairé questionnement nous mène, de ne pas mentionner les paradoxes auto-référentiel pourrait sembler nous entraîner, trop loin au sein du champ. Le compte rendu nous offre néanmoins, une méthode programmatique la naturalisation de la valeur, bien qu'à un coût revient qui peut être considéré trop élevé pour être convenable.
2 .19 Valeurs Équivoques.
La quatrième charge était une issue de tergiversation. L'estimé est confondu avec le précieux. Même s'il en va de soi, la charge continue, ces jugements-de-valeur est un rapport de vrais ou de faux d'un type distinctif d'état neurophénoménologique, cet état lui-même est, comme le terme le suggère, seulement cela: la phénoménologie de la valeur-véridique. Découvrir qu'une expérience moralement bonne ou mauvaise d'une façon tel en un sens ne porte pas d'implication logique et quelqu'un objectivement devrait pouvoir n'y faire face du tout. Donc, quels que soient ses mérites intrinsèques, l'affirmation qui est faite en faveur du programme biologique plaidé en faveur de ce qui est moralement impératif et obligatoire est intenable si elle est interprétée comme une expression de la vérité objective. Oui, l'exécution du plan biologique augmenterait vastement le nombre et l'intensité des états a trouvé phénoménologiquement précieux; et oui, il abolirait entièrement des états ne sont pas. Mais les jugements-de-valeur, et les qualités d'expérience qu'ils décrivent, sont comme des chatouillements. Ils existent, et ils peuvent vous motiver à faire quelque chose à propros d'eux. Cependant ils ne se rapportent pas à n'importe quoi au-delà de ce qu'ils sont et ils ne mandatent pas logiquement le cours de nos actions.
J'arguerais qu'appréhendé correctement on n'y trouve pas matière à nourrir la tergiversation. Ils s'adonnent que nous vivons dans un univers dont l'ontologie inclut littéralement les expériences précieuses de la même façon qu'il contient littéralement des expériences douloureuses, visuellement et auditivement, des sensations d'irritation ou d'obligation ou d'indignation, et d'une profusion grouillante d'autres formes quelque peu probable dont la plupart demeurent complètement innomés. Donc l'univers recèle vraiment des phénomènes qui sont, littéralement et intrinsèquement, appréciable. L'éthique utilitariste soutenue ici, et la programmation biologique qu'elle édicte accessoirement, mène ultimement à une somme de valeur intrinsèque aussi bien de bonheur maximisé dans le cours de l'existence de l'univers; et toutes les sources de valeur négative y sont sublimée.
Alors sans aucun doute il sera demandé,peut-être quelque peu impatiemment aussi bien que sceptiquement: mais est-ce qu'une expérience trouvée vraiment précieuse, l'est vraiment? Ne pourrait-elle seulement sembler précieuse? Cependant quelqu'un ne désirerait et ne pourrait pas, sensiblement se demander si une expérience trouvée vraiment douloureuse l'était vraiment. Une personne peut selon toutes évidences imaginer un univers sans valeurs, de la même façon que quelqu'un peut en imaginer un sans douleurs, sans plaisirs et sans rougeur. Mais pour des raisons, qui de l'aveu général, ne sont pas comprisent, nous ne vivons pas dans ce genre d'univers. Nous vivons dans un Univers où les choses sont intrinsèquement liées à la matière et à la valeur positive ou négative. Si notre image se débrouille d'une ontologique physicienne respectable ne cadre pas avec le fait que l'objectif de telles modes et que des vraisemblances existent, alors nous interprétons mal ce que la description mathématique formelle de monde nous dit.
Maintenant peut-être qu'une valeur-nihiliste peut nier sincèrement avoir de telles qualités d'expériences. Le nihiliste peut demander pourquoi il devrait estimer la valeur, quoi qu'elle puisse être. Cependant ce scepticisme n'attaque pas l'existence de valeur, non plus le satut de la douleur qui est compromise par des cas rares ou des personnes sont d'une certaine façon congénitalement insensible à celle-ci. Le renvoi de l'un ou d'un autre genre d'expérience à un pseudo-demi-monde ontologique est injustifié et devrait être rejeté.
Cette objectivité n'insinue pas que les expériences précieuses peuvent avoir, aussi distinctive de la simulation, un type de transcendance-de-la-conscience, d'une véracité évaluable "du contenu propositionnel" par de la leur phénoménologie intrinsèque qui se dirige d'une façon ou d'une autre sur modèle calqué des propriétés du monde indépendant-de-conscience. En revanche il y a des problèmes désespérément difficiles d'approche dans le contexte d'une imagerie-du-monde naturaliste, expliquer comment tout les événements sont la conjugaison spatio-temporelle d'événements électrochimiques, des épisodes, des expériences, si je jugé nécessairement cognitif ou autrement, pouvons-nous concevoir une abstraction contenant littéralement le propositionnel de l'un ou l'autre? Des mondes où ils ne peuvent pas être et où ils y sont apparemment empiriquement indiscernables du nôtre - et ontologiquement beaucoup moins douteux. À de nombreuses occasions, nous n'avons qu'à croiser nos doigts, siffler dans la peine ombre, mélanger ces propres métaphores, et essayer de prétendre autrement.
2 .20 Bonnes Vibrations: La Valeur De Ficelle.
Russell, autrefois a observé que "L'éthique de la métaphysique est fondamentalement une tentative, aussi clandestine soit-elle, d'impartir notre vouloir du pouvoir législatif à notre volonté." Peut-être qu'il a raison. Mélanger la prédiction et prescription est habituellement une recette pour la confusion. Les tentatives mâter le projet post-Darwinnien - ou toute autre entreprise morale - toute chose qui est plus exalté que le principe douleur-plaisir peut filer les mailles d'un monde imaginaire élusif. Peut être que la discussion sur la bonté morale de nous débarrasser de la souffrance -ou de tout autre genre de discours moral- n'est simplement qu'une opinion non engagée: seulement beaucoup de haut-cri bruyant issu du Babel numérique-cybernétique.
Le scientifique ayant un enclin-au-traditionalisme-rationnel, demeurera, presqu'assurément insensible. Il sera demandé que le monde [inhéremment prétendu] des expériences précieuses et de celles sans valeur sondés qui dans ce chapitre sont "vraiment" "juste" ou quelque chose d'autre: les schèmes de mises-à-feu neuronales, les modes différentielles de vibration "des superstrings" (ou quel que ce soit) avec qui ils sont positionnées de manière à être physiquement identique. Cependant ceci ne constitue qu'un sophisme. L'argumentaire réductioniste peut le taillader en pièce. Vraisemblablement certains modes de vibration etc., de "superstrings" sont "vraiment" "juste" des expériences précieuses. Ceci n'est pas très édifiant. Ainsi, le pourquoi, le comment, et avec quelle signification, ces valeurs différentes de ce-qui-apparaît-semblant-vrai une carte doivent être dressées, galonnées, ou déchiffrable, les valeurs numériques des différentes solutions aux équations de la physique sont des questions plus profondes, et qui ne peuvent être exploré en détail ici. Elles ne se peuvent tout seulement pas: ou sont des fatuités glorifiées; nous ne le savons justement pas.
Au lieu, cette section peut-être conclut avec une récapitulation rapide de l'intrigue qui c'est dessinée jusqu'à présent. Les influences du programme biologique recèle la promesse que, dans quelques millénaires au plus, les états d'esprit seront conscients partout et que de par leur nature même qui sera des plus agréables, plus que l'expérience de quelque personne vivante aujourd'hui pourrait ne jamais se l'imaginer. Notre plaisir-déficitaire neurologique héréditaire nous empêche d'envisager une réelle appréhension du potentiel de l'ingénierie biotechnologique et génétique. Dans (c'est le moins qu'on puisse dire) un sens empirique, rendre effectif programme le post-Darwinien, peut remplir le monde d'expériences précieuses. Elles seront appréciées par les humains, les non-humains et post-humains. Les modes Post-Darwinien d'expérience peuvent être d'une diversité, d'une profondeur et d'une intensité limpide qui va au-delà de n'importe quoi d'accessible à un imaginaire dérivé de notre vécu de chasseur-assembleur-indigent. Tous les maux moraux identifiés par nos systèmes-de-valeur contemporains séculiers peuvent être déracinés à jamais. Alors la souffrance, un jour, deviendra physiquement impossible. Tous ça doit sonné ses plutôt grandiloquent; mais la stratégie est biologiquement faisable si projet-d'espèce choisissons de poursuivre cette voie.
À savoir si la maximisation de la valeur dans le monde équivaut, en pratique et/ ou théorie, à de la maximisation intrinsèque de l'appréciable dans le monde question qui lui est tout autre, et plus ardu. Il y a, je l'ai argué, au moins un cas à prima facie (à première vue) qui le fait. Nous pouvons un jour vivre dans un Univers dont les équations décrivent quelque chose qui est intrinsèquement précieux de par sa nature mêm e.

Troisième chapitre


Le Relais
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