L'Impératif Hedoniste

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5. La conclusion.

"Les gens de heureux sont assez différent des gens malheureux". (Wittgenstein)

5.0 Des Marionnettistes Sans Ficelles.

L'attitude face aux propositions et prédictions de ce manifeste sera définie en grande part, en fonction de l'humeur dans laquelle il est lu. Il est fort possible que le jugement de nos descendants extatiques soit à notre égard, clair et définitif. La valeur auto-authentifiante d'états célestes, et le besoin de les offrir universellement, paraîtront contraingnantes. À l'autre extrême - sauf les expériences de l'humeur - sombrement cruel et au-delà de tout entendement - une proportion considérable de gens diagnostiqués aujourd'hui comme étant (sous-)cliniquement déprimés, accueilleront avec joie la perspective du bonheur universel. À une époque où la réalisation de soi de façon génétiquement préprogrammée apparaît comme un état prometteur contre leurs mals d'être en tout genre. Le salut arrivera, mais tristement, il tardera probablement trop pour que nous puissions l'apprécié. Ce verdict pessimiste est une reconstitution d'après des évidences anecdotiques et vague, ce n'est pas le résultat d'une rigoureuse étude indépendante, mais plutôt le reflet de l'aveu général.

La plus grande résistance à la perspective d'une vraie vie dans un paradis-sur-terre viendra d'euthymiques fort probablement "médicalement médiagnostiqué". L'humeur "Euthymique" est statistiquement typique le présent produit du génome humain. Il est aussi une ruste parodie post-darwinienne de la santé mentale. Pour quelqu'un ceci est un carcan "naturel" de la conscience, cependant, pour l'ascension de sa conscience à celle d'un extatiques génétiquement rehaussé et béatitude de toute une vie, comptera pour lui, très peu. Après tout, l'accroc intoxiqué de la cocaïne cristalline sera en proie à une folie cocaïno-maniaque incontrôlée ne doute point de lui-même, pas plus qu'un hédoniste invétéré du futur. La pertinence de sa rationnelle et son jugement pratique seront gravement remis en question. Également, tout endossement du programme biologique formulé par des dépressifs, peut aussi être remis en question. Ce n'est qu'une pathologie cognitive, la conséquence de leur état morbide.

Donc nous arrivons à une impasse. Dans quelle humeur est-ce que ce manifeste devrait être considéré? Est-ce qu'il existe un type cognitif d'évaluation plus ou moins objectif, un d'état affectif duquel la valeur morale, et/ou pratiques avantages, de tous les autres états affectifs peut-être le mieux jugés? Est-ce que l'influence d'une simple altération perceptuelle ou d'un filtre cognitif occasionnant certaines hallucinations, en définitive, est-ce que cela signifie que la victime demeura à jamais dans l'impossibilité d'en tirer tout profit intellectuel? Est-ce qu'on pourrait mener une vie entière au prise avec une psychose affective?

Cette discussion peut, dans son intégralité, apparaître dès plus psychologiquement odieuse. Tout ce qui compte vraiment, on ne le dira jamais assez sévèrement, est rigueur et la logique de la discussion. Rationnellement, l'humeur n'importe pas. Alors comment faire part d'une invitation, sans soulever quelques susceptibilités que ce soit, pour échelonner le projet biologique dans un béatitude hors norme et vraisemblablement dans état dénuder de sens critique? Sûrement l'idée générale peut être appréhendée et maintenant, sûrement appréciée à ça juste valeur.

Malheureusement ce n'est pas si simple. Nous ne sommes pas des corps désincarnés de moteur inductif. Les propositions platoniques abstraites ne peuvent seulement être appréciées que par des abstractions d'esprits platoniques. D'une perspective naturaliste, il n'y a seulement que des pensées épisodales spatio-temporellement localisé. Leur séquence causale peu simulée partialement, mais ne peu pas littéralement sustentée, quelque royaume platonique spéculatif de causalité déductive abstraitement inerte. Quoi que ce soit qui physiquement aurait tendance à optimiser des processus cognitifs dans le monde naturel, ne devrait pas être prit à la légère. Pour l'entraînement de l'affectif, de la volition et des aspects cognitifs à de ces pensées, celles-ci ne sont que notionnel et dissociable. L'humeur et la signification s'interpénètrent. La conception de soi dépend la nature même de la Réalité elle-même et dans une grande mesure, sur où l'on ce trouve l'instant dans le spectre affectif. Il n'apparaît pas il y avoir d'état affectif cognitivement neutre duquel tous les autres peuvent être jugés.

Tristement, la science médicale ne peut pas espérer résoudre la question des États Mentaux Idéaux. Lequel des processus psychophysiques d'un organisme devrait être classé comme pathologique apparaîtrait très conventionnel - pourtant pas arbitraire - en tant qu'élément culturel issu de la négociation sociale et des préjugés personnels. La santé mentale et la rationalité du jugement auront tendance à être définies, en partie, par les normes statistiques contemporaines. Et si la ligne hédonique médiane de base de l'espèce était rattachée à la lignée germinale, des "gènes paradisiaques" substantiellement en amont, alors la bonne santé nominale d'un âge pourrait être considérée comme la psychopathologie profonde d'une époque plus éclairée. Peut-être qu'en effet, nous sommes tous très malades.

Donc si quelqu'un est viscérallement hostile à l'idée du bonheur universel, et, si selon les niveaux contemporains il tombe dans la gamme statistiquement normale due à son répertoire émotif, alors à ce moment seulement devrait-il contempler sérieusement la possibilité suivante? Nous sommes aujourd'hui les victimes de ce que les âges subséquents et mieux informés qualifieront de désordre atavique de l'humeur. C'est une condition historique non moins épistémologiquement défectueuse que le sont les rêves psychosés de la perspective de l'état éveillé.

Est-ce que ce souci est seulement le produit d'un scepticisme oisif? Étant donné l'inaccessibilité cognitive de la plupart des états génériquement extatiques à laquelle je fais allusion ici, peut-être que quelqu'un n'en saurait rien s'il était ainsi affligé à ce point? Après tout, des consciences endommagées et défigurées n'ont qu'une perspicacité d'eux-mêmes limitée. Nul n'aurait les ressources conceptuelles nécessaires pour saisir ce qui est nécessairement en jeu si elles souffraient de manquements tels. La béatitude pure, génétiquement "imméritée" de même que celle du plus doux parfum, milite contre l'inclusion de telles aptitudes des gènes passéistes de quelqu'un. Les monstres heureux de nature ont été mangés ou se sont démultipliés. Est-ce que son malaise potentiel est, si pas répulsion, à la perspective de paradis un sous-produit culturel accidentel de sélection naturelle? Ou est-ce que la pression de la sélection a assuré que celui-là est prédisposé pour être influencé contre l'idée de béatitude durable génétiquement d'abord?

5.1 Est-ce que la Vie Pourrait Vraiment Avoir UN Heureux Dénouement?

C'est le temps de faire l'inventaire. La plupart des joies plus exotiques esquissées ici ne seront probablement jamais appréciées à leur juste valeur par leur lecteur. Celles-ci exigent un haut niveau de compréhension théorique et de connaissance biomédicales ce qui n'est simplement pas usuel chez le commun des mortels. Beaucoup des difficultés pratiques on dues être vaincu et on été superficiellement abordé avec un genre de joyeux mépris pour les détails que seulement une ignorance des complexités techniques peut illustrer. Cependant, si un seul gouvernement majeur ou un segment de l'élite global au pouvoir sanctionnaient les nécessaires efforts de recherche et de développement, alors cette souscription d'une l'euphorie chimiquement soutenable qui serait complètement affriolante et accessible, légalisez l'usage contrôlé, même maintenant, à ceux de nous qui désirent bénéficier de ces options. Mieux encore, la thérapie de la germination-en-série pourrait changer héréditaire pour inclure l'encodage du bien-être extatique de toute une vie dans la condition d'être post-humain d'alors.

De l'aveu général, dans l'absence d'action concertée pour encourager l'établissement d'au moins un contre-poids mondial squelettique aux états providentiels nationaux, alors la situation physique critique de beaucoup de gens au sein des populations mondiales qui tout à coup serait immédiatement à nu, prit d'une euphorie non empathique, de la part d'une minorité matériellement privilégiée, ce serait prématurée. Ce serait égoïste à l'extrême - pourtant pas nécessairement plus que les modes de vie associée avec l'individualisme compétitif, le consumérisme rampant et la toxicomanie destinée aux loisirs incompétents que beaucoup de nous vivent présentement. Quoi qu'il en soit il appert qu'une des bénédictions providentielles sur le plan de notre rédemption biologique est que - avec un sens décent de l'organisation - il puissent supplanter la vieille approche de la somme quasi nul et none avenante des mécanismes de rétribution des récompenses et du crédit de la vie. S'il est adroitement dirigé, l'itinéraire éblouissant de la quête du sens sera bientôt ouvert à tous et chacun. Il n'est pas nécessaire quelle la case gardée de quelconque groupe séculier d'affluents personnage. Ni n'avons-nous besoin de ne récompenser seulement les "moralement bon" et les "méritoires". En fait avec une combinaison d'accentuateurs cognitifs et d'euphoriants-différé-dans-le-temps, il n'y a aucune raison pour lequel l'âge d'un lecteur compatissant ne devrait pas annoncer, non pas un déclin lent, - ce sapant lentement l'esprit, mais plutôt une période intense de belles expériences et de réalisation personnels glorieuse. Ce pourrait être un temps infiniment plus riche que n'importe quoi quelle (lui) aurait chérie auparavant dans sa vie.

Beaucoup de gens auront intériorisé trop de difficultés psychologiques et ayant ruiner la résilience de leur encodage génétique à cause d'un passé biologique trop toxique pour pouvoir envisager de jouer un quelconque rôle humanitaire novateur et de participer à l'époque à venir; de la même façon que la pruderie mal placée empêche à beaucoup de gens la possibilité d'aimer le sexe. Mais la vie, on peut le penser, devrait culminé avec à son apogée une célébration orgasmique d'être, pas une disparition lasse et effacée dans un monde fataliste.

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