LES MICROPROCESSEURS NE ROUILLENT JAMAIS
LES MICROPROCESSEURS NE ROUILLENT JAMAIS
Troisième Partie
Traduction libre de MxtM
avec l'assentiment de l'auteur;
Eric Meunier
J'ai vu les meilleurs esprits de ma génération détruit par folie, affamé, dépouillé, hystérique, ce traînant ca et là dans les rues de guettos noir à la recherchent d'un fâcheux fix, des arrivistes brûlant d'envie pour l'atteinte du vieux rapport céleste à la dynamique étoilée dans la machinerie de nuit, qui appauvrit et titille les yeux-creux-évidé et perché de haut de son étata de grâce du au fumage dans l'obscurité surnaturelle d'appartements baignant dans l'eau froid en travers des cîmes de la villes, contemplant son jazz, qui révèla leurs cerveaux au Paradis sous le lui qui est moi et qui a vu les anges Mohammedien chancellant sur les couverture d'appartements éclairé, qui passairent à travers l'universités avec des yeux d'une fraîcheur radieuse hallucinant l'Arkansas et la tragédie de Blake-light des académiciens de la guerre.
Allen Ginsberg, 1955-1956
Oh, mon ami, vous voulez savoir quand est-ce que la fin sera venue? Laissez moi vous dire quand; vous serez assi dans votre appart un dimanche après-midi splendide, vous divertisserez en bonne compagnie, quand tout à coup le téléphone sonne sur votre ligne confidentielle, et un jeune américain parlant un très mauvais français puisse qu'il semble l'avoir appris à l'Université et il essaie de vous vendre une souscription à des magazine qui peuvent être expédié d'outre-mer vous faisant bénéficier de grandes économies sur le prix en kiosque. Et vous lui demanderez, "Comment avez-vous obtenu mon numéro?" mais il hésite à répondre parce qu'il est peu disposé à vous dire que son patron a des recours pour obtenir des numéros confidentiels de francophones. Et vous lui racrochez le combiné téléphonique au nez avec fracas, c'est alors que vous vous rendez compte avec stupeur qui vous ne n'aurez plus jamais une minute vraie sérénité pour le restant de votre existence.
Un photographe français enterviewé sur son opposition à la prise de contrôle de France Telecom proposé par AT& T/Sears Newsweek, octobre, 1998.
Le Bureau du Maréchal des États-Unis a tout récemment accorder des pouvoirs discressionaires sans précèdants à l'Association des Concepteurs de Logiciel, une compagnie fondé dans les années 80 qui prétendait représenter les intérêts de la propriété intellectuelle des fabricants de logiciel. Dès lors la compagnie entreprit des manœuvres quasi-légales qui comprenaient des menaces de poursuites de compagnies soupçonné d'utiliser des logiciels piratés et empochait, lors de règlements hors-court, le bénéfice pour elle-même. Alfred Milbourne, alors Président de Digiscript Inc., nous décrit un scénario typique: "Vous verriez des posters avec les effigies de deux de nos produits, et vous pouviez lire en caractères gras au haut de la dite affiche; Celui de droite a coûté seulement $500,000 à quelqu'un, 'et il s'y trouverait une image d'un nos popre disques Digiscript. L'annonce renchérissait en affirmant que vous pouviez envoyer $80 et obtenir une copie d'un détecteur du logiciel pirate, qui était dans réalité rien plus qu'un répertoire au sein duquel s'inscrivait tous les fichiers exécutables présent sur votre disque dur!"
Milbourne entreprit de répertorier la teneur de certains communiqués de presse particulièrement vindicatif émis par la SPA, y compris des comptes rendu de la mise sous verrou de plus grands leaders de réseau de piraterie de logiciel écrouées pour les années à venir dans des pénitenciers fédéraux. Les effectifs légaux de Milbourne, éventuellement examinairent les cas de plus près: "nous avons découvert que la SPA appelait une compagnie et le faisait part du fait qu'un dénonciateur lui avait fait part qu'un de ces employés utilisaient des logiciels piraté et qu'ils devraient dès alors se soumettre se à un audit ou être l'objet d'une enquête scrupuleuse de Bureau du Maréchal des États-Unis. Ils visiteraient alors leur bureau et ils s'y découvrirent, la raison et le pourquoi de la justificaton de leurs existences, quelqu'un utilisait une copie dupliqué illégalement de notre programme Digiscript. Dépendant de la crédulité du président de la compagnie visé, la SPA la secouerait alors de haut en bas pour qu'elle défraye des dizainnes de milliers de dollars pour prévenir toutes poursuites en domages et intérêts. C'est alors donc que nous avons découvert que notre produit leur servait souvent fer de lance pour mener à terme ces extorsions, cependant, croirez-moi ou pas, nous n'avons pas jamais vu un sou de la SPA!"
Les efforts de la SPA pour servir d'organe quasi-officiel du gouvernement lui a finalement rapporté gros: en début d'année la SPA sera autorisé a disposer de ses propres effectif de sécurité et ainsi contrôlera totalement les officiers affectuant les razzias des compagnies soupçonnées. Le office du procureur général des États-Unis actroya à la SPA toute l'autorité voulue pour chercher et saisir tout matériel informatique qui peut être suspecté de harborer un logiciel piraté. Ceci signifie que que employé à la solde de la SPA peut maintenant entrer dans votre compagnie et d'un coup dénoter le fait que vous disposé d'un hypercube qui vous a pris des mois a obtenir et partir avec à cause que soudainement il vous soupçone. C'est tout c'est qu'il a besoin de faire! Le procureur général Gregory Lucas questionné à ce propos rétorqua que: "je ne suis pas très au fait de tout les questions les ordinateurs soulèlent, vous savez, les bits et les octets je m'en balance, mais ce que je sais c'est que si nous permettons aux pirates proliférer au sein de notre société ce sera la fin de civilisation américaine en tant que tel. Je suis fier que de gens comme ceux de la SPA voient l'iradication manumilitari de ces pirates verreux et qu'ils continueront de bénéfier de mon support aussi bien que celui de l'autorité mon office et la dévultion de ces pouvoirs lors de raffle de l aSPA sous mes auspices."
Les publications de la SPA peuvent maintenant ce trouver dans la plupart des écoles, aussi bien que les vidéos au brillent la vedette de la musique rap le D.J. saran-rap-le-dur-de-la-bande tout récemment libéré de prison, battant la mesure hargneuse d'un Jingle acrocheur de la SPA: "N'archive pas sur cet ordinateur de façon non autorisé!"
Wormwood II, avril, 2001
Arthur Hanson ce tenait debout devant Dr. Jarod Owen, pas tout à fait sur de ce qu'il devait dire. Owen aboya, "tirez-vous une chaise. Dr. Hanson, il y a cinq ans déjà que nous nous sommes vue, racontez-moi ce qui vous ai survenu jusqu'ici!" Bon, rien hors de l'ordinaire. Hanson s'enfouis encore plus dans sa chaise, son bureau décrépit où il préside, sa chaise émi un gémissement sous le lent impact langureux de sa colonne vertébral.
"Doc, peut-être suis-je hors circuit, mais quel damnation fait que je soi ici? Un jour qui j'erre à l'aveuglette au sein du système de baraquement des Wurkhaus et le suivant je me retrouve prof fraichement embauché ici."
"Vous avez erré dans le système des camps depuis cinq ans." Dit Owen en secouant tristement sa tête, mais tout en laissans trahire dans l'éclat de ses yeux son caractères de fonceur infaticable. "Permettons-nous tout les deux de recommencer du commencement. Maintenant depuis que c'est une surprise pour toi que je soi encore vivant, je peux seulement présupposer que tu pensais que j'étais mort dans l'attaque avec un grand nombre d'autre gens. Pour un bon bout de temps c'est ce que j'ai pensé moi aussi"
Hanson leva les yeux et aperceva une tache au plafond qui suintant de l'eau. "j'étais ici pour au moins six mois après les bombes eux attérient ici. Un des tunnels à vapeur situé sous les locaux de l'Association Étudiante menait à une salle de storage. Environ cent-cinquante d'entre nous y trouvairent refuge. Il y faisait plus chaud que sur un toit fraichement goudroné au mois d'août. Nous déduisirent qu'il y fit au moins 40 degéres centigrades dans le courrant des deux ou trois jours que durèrent les incendies. Nous fument très fortuné d'avoir pu bénéficier d'une pièce enfui assez profondemment pour que nous puissions y survivre tant bien que mal à notre aise."
"Comment arriviez-vous à vous nourrir?" demanda Owen.
"Oh, ça avait duré environ 4 mois; une énorme caisse de nourriture en conserve nous rassasia environ un mois. Je pense que ma traque digestive ne se rétablira jamais de cette mésaventure culinaire. Quand nous avons épuisé tout notre stock de nourriture, nous avons commencé la reconnaissance des alentour du haut du sommet. Quand j'ai été appréhendé par un du MetalFuzzAllemand, je..."
"allemand quoi? interrompu Owen.
"L'Infanterie motorisé allemande de sécurité policière. Je l'ai persuadué que s'il nous aidait a trouvé de la nourriture "nous lui serions emplement redevable pour sa peine". Le Fuzz obtenu de nous un chargement d'environ 200 mini-réfrigérateurs issue du doctoir du collège juste avant que son patron lui mette le grapin dessus. Nous avons passé ce campus au peigne fin de fond en comble pour quel quoi ce soit que nous puissions trouver. Ampoules, couvertures, l'enfer, même ces affreux plateaux de la cafétéria étaient en grande demande"
"Il parait que les autorités Centrales sont encore en furi à propos de ces foutus plateaux," exclama en riant Owen.
"Naturellement nous n'étions à court de chose à troquer. Une loi nouvellement institué permettait aux Fuzzs appréhender des personnes et des expédier à des camps s'ils n'avaient pas de domicile, et la pluspart d'entre nous furent rassemblé et expédié manumilitarie au nord. J'ai été expédié au Wurkhaus 211 à l'intersection de l'Autoroute 12 et 93."
"Premier Moteurs Courtois" demanda Owen.
"Ce l'était alors, mais maintenant il est devenue l'usine principale de production de semi-remorque du Michigan oeuvrant pour l'Armée allemande. Je fut envoyé pour y vivre et y travailler avec une bande d'ouvriers affecté à la chaîne de montage de l'usine plus particulièrement la section qui empaquetaint les camions juste avant qu'ils soient envoyés à la zone en guerre de la Rivière du Mississippi. Heureusement pour moi on m'a soustrait de la ligne de montage et a placé en détention dans l'attente d'un interrogatoire. Quand je fut mené à la salle des interogatoires au bout du couloir longeant les cellules, je fois rendu à assi sur la chaise où je devais prendre place je fu ligotté sur celle-ci, et on m'a dit que je serais interrogé par un Major dénomé Schulmann ."
"Et est-ce que ce fut un incident heureux?" demanda Owen.
"eh bien, à ce moment j'était de la pensé. Mais tout de même Schulmann entra dans la pièce et me demanda toutes sortes de questions, alors naturellement je lui ai dit ce que je faisais ici au Central, et il devint vraiment furieux et commenca à ingurier en allemand quelqu'un au téléphone, je pouvais à peine comprendre, mais j'ai cru décripté quelque peux la teneur de ce qu'il hurlait à un de ses Fuzz sur le fait qu'il m'avait mal traiter et la raison pour laquel j'avais été acheminé ici en premier lieu. Les gardes m'ont alors sorti à l'extérieur. Ils devinrent tous soudainement agréable et courtoit à mon égards, me fournissant cartes à nourriture et cigarettes. J'ai été mené à une grande maison d'où j'ai pu m'appercevoir ce qui soutandait ce changement d'attitude."
"Ce qui en l'occurence présagait?"
"Tout que vous pouvez vous imaginer comme pouvant aller mal dans un bureau informatisé. Du matériel mal raccordé, des opérateurs ne saugardant pas leurs dossiers, pas de documentation, des prises murales ressemblant à des excroissances tentaculaires, une liste exhaustives d'informations passé date et inaproprié. J'ai eu vent dans la semaine qui suivi que Schulmann avait été mis en demeure avec le mandat d'organiser le bureau de l'entrepôt dans les plus brefs délais sinon il serait transféré au front pour faire face aux iraniens."
"Votre premier travail dans le vrai monde!" Owen rétorqua sarcastiquement.
"Les ordinateurs étaient la partie facile. La logistique était un peu plus ardu parce que, essenciellement, je devais déduire comment l'Armée allemande pouvait transférer les marchandises vers et hors de notre entrepôt au Michigan de façon à ce que les pertes encouru de route soient minimisées."
"Des pertes?"
"Oh ouais. Partout. Je peux t'affirmé sans l'ombre d'un doute que pas une seule boîte de Pop-tarts à la Cannelle n'a jamais franchit la zone de la Rivière. Les boîtes inaltéré font parti des choses qui commandent des prix prohibitif sur le marché noir. Schulmann avait assez de jugeote pour comprendre ce à quoi je fais allusion. Je lui montré comment camouffler la camelote dans des cargaisons, l'utilisation de formules comptables réversibles et de base de données clef pour l'accrédition et l'enregistrement des semi-remorques entreposé pour l'expédition. Il devint un type très heureux après un certain temps. Lui et son supérieur immédiat obteinrent une promotion à un échelon plus haut au sein de la hierachie militaire et furent relocalisé quelque part dans le Kansas. L'entrepôt fut alors vendu à profit au Frère Jims."
"Ooh, mon Dieu LE Jims."
"j'ai à peine pu m'échapper le jour même ou les Jims enclavèrent l'endroit avec des fils barbelé empoisonné. Schulmann avait probablement dit aux Jims que je venais avec l'achat. Ce fils de pute. Depuis ce moment-là j'erre dans la région, m'organise de quoi survivre les mois d'hiver et mène principalement une vie d'objecteur de conscience fort à l'aise quand le temps redevient clément."
"Ce qui nous mène jusqu'au point dans votre histoire où vous vous apparessez mystérieusement sur la liste des ressources humaines de le base de données du FMI." Owen se tortille en ayant l'air mal à l'aise dans sa chaise. Il avait une énorme faveur a demander à Hanson. Une qui pourrait probablement coûté a Arthur sa vie.
La corporation Dataflage a seulement a annoncé une nouvelle ligne d'ordinateurs portatif concu a l'intention des utilisateur désirant se prémunir des saisies abitraire de l'Association des Éditeurs de Logiciels, dont les agents en civil maraude à la sortie des aéroports où des voyageurs transportent une vaste game de portables avec eux lors de leurs voyages d'affaire. Pour voyageurs qui désirent le nec plus ultra, Dataflage fabrique un clone de l'engin de Réalité Virtuelle de le Silicon Graphique 4D pour les gens en transit qui est déguisé en vieux portatif de Radio Shack. Un économisateur d'écran simulant un écran à cristaux liquide monochrome d'une résolution "d'époque", l'écran exige, pour être réactiver en mode d'exposition holographique, votre empreinte vocale prononcant le mot de passe d'usage. Le transmetteur d'ondes-delta vous habilite a naviguer à travers le monde virtualisé par le microportable, fut déguisé comme un vieu lecteur cd walman, les transducteurs à la tête son camouflé sous un vieux casque AV volumineux. Des dégats simulées de coka et des traces de doigt ajoutent à l'effet. Leurs propriétairereçoivent aussi un catalogue d'accessoires qui permettent le voyageur de revètir l'apparat complet informaticien techno grunge, avec articles tel que sandale de caoutchoucs deux pointure trop grand et chandail qui apparaît fané et sale. Le catalogue aussi recèle des tritres ayant l'air défraichis tel que; "Dune" et "Faut que Spock Meure" qui peut être utilisé comme pile et de cache à cellulaire. Ne devenez pas un autre statistique de la SPA! Appelez Dataflage aujourd'hui!
Morais appuya sur le bouton de réécoute des message en le boutonnant à répétition sa montre à plusieurs reprises, mais il n'arrive pas à n'en déchiffrer l'auteur ou l'origine du message.
"Dar qui pensez-vous que c'était?"
"mon évaluation me dit que c'était Grove. Je pouvais dicerner un accent Texan exprimant sous ce tritureur de voix,"Dar répondi en secouant ses épaules.
"Grove était censé être dans la Biosphere 9. S'il avait eu a effectuer une expédition spécial en direction de la lune, quelque chose ce tramait. Tient, voici ma montre, porte la au poignet; ça devrait faire échouer le téléavertisseur du bureau. Je vais accourrir au bureau d'Ivari et voir si je peux constater le dénoument de ce drame d'un point de vue à l'écart."
Dar Im-Tula pris la montre-com de Morais et l'a apposa à son poignet. Dar était un des rares programmeurs Indien qui s'autorisait le fait appelé par son nom. Chez le Yanomami il c'était habituellement considéré comme une insulte d'appeler quelqu'un par son nom. Morais a du consacré plusieurs années avant comprendre la mentalité Yanomami, mais pour ses efforts il fut récompensé de deux façons: on lui accorder le privilège d'adresser Dar par son étiquette phonétique, et il eu accès bassin de gens les plus douée et talentueux de d'informaticien de la planète. Ses collègues n'étaient pas si fortunés. Êtant des types moins consilliant et compréhensif, ils entendraient souvent parler des prouesses informatique légendaire des Yanomami et alors alors les embauchèrent sur des projets de programmation à l'Institut. Les directeurs de ces projets invitairent les Yanomami des Réunions de Projet, leur parlant de date limite, de dates de livraison de produit, d'horaire de travail, et de salaires. L'employé "Amazone" membre de la Tribu ce fesait alors montré son cubicule et c'est alors qu'il était sommer de s'y représenter à 8:00 le lendemain matin. Les résultats furent désastreux. Le nouvel employé ne ce présentait jamais à l'heure, quelquefois arrivant aussi tard que 4:00 de l'après-midi. Un directeur du projet pouvait être en train de dîner sur son porche ceinturé d'écran à la maison et il n'a qu'a lèver les yeux pour appercevoir un employé assis à autre côté de lui, après s'être immiscé silencieusement à l'intérieur, tout amballé de discuter du projet. Pour empiré les encores plus les choses, ils ne révelleront pas jamais leurs noms, et refusent obstinément signer quelque paperasserie qui leur soit présenter, affirmant qu'un salaire leurs yeux c'était insignifiant, cependant présentant le soir, on demande a emprunter la traîne d'eau, parce qu'ils devaient visiter un oncle pour les deux prochaines semaines, et revient alors deux mois plus récent sans le traîneau parce qu'il avait été donné pendant un festival. Plus directeurs devinrent apoplectique face à cette sorte de comportement, résolu à ne jamais embaucher un autre Yanomami, mais tout en n'ayant jamais dédaigné ce dégoter des morceaux de code Yanomami sur les réseaux du public particulièrement alléchant et les réutiliser. Morais, cependant, poursuivi une approche différente.
Dix ans auparavant, quand un problème noueux de la Plate-forme de Construction de l'Espace survint Morais n'est dormait plus la nuits, Morais régarda en haut de son moniteur, pour appaisées ses yeux c'est alors qu'il apperceva un indien Yanomami qui l'épiait se tenant debout, silencieusement à côté de lui. Il marmonna "Est-ce que je peut m'assoir?" Morais était trop fatigué pour protester et lui s'aida sa chaise. En 4 heures le Yanomami inconnu avait entièrement re-écrit l'algorithme de la comportement émergent des robots qui leurs permis de revenir à leurs réservoirs du combustible sans perdre leurs réglages primaire qui consistait à faire d'eux des rouleur de feuilles d'acier servant à recouvrir au cour de la procèdure de formation des poutres de la Plate-forme. Après plusieurs scéance d'optimisation du code, le visage doux sans âge paraît tribuliste leva les yeux en direction de ceux de Morais et marmonna "Souvient toi que la Fourmi donne ses jambes à la Colonie avant qu'elle se déplace pour propre son corps." L'Amazone disparu silencieusement laissant derrière lui un Morais perplexe. Mais plus tard, quand la Plate-forme commenca à récevoir des cargaisons de l'acier de la Terre, la signification derrière les mots du Yanomami frappèrent Morais. Pas tout à fait capable l'exprimer verbalement, Morais était néanmoins capable donner la proposition complète au maître d'oeuvre russe pour le Programme Lancement sur Mars. À chaque occasion ou le programme ralentissait, la même chose se passerait. À l'arrière de la salle de réunion, quand la conférence en scéance des directeurs dégénérait en querelle, un individu solitaire apparaîssait silencieusement. Morais ferait taire alors les débats et demandait a entendre ce qui le Yanomami devait dire. Ses mots avaient toujours une conotation mystérieuse mais tout en ayant une sonorité tribale. Quelquefois ces occurences souleverent des éclats de rire des chefs du projet, qui étaient alors surpris de constater que l'indien riant avec eux. Mais ce qu'il devait se passer ce passait toujours..., que se soit quatre heures plus tard, deux jours ou même deux semaines. Morais se rémémorait les mots marmonnés à cette occasion et c'est qu'il se trouvait foudroyé par un autre éclat de génie qui le mênerait au pas de course tout droit au labo du Maître d'oeuvre russe. Le génie pratique du Maître d'oeuvre à l'effet de tout ayant atrait à la mécanique des choses, habituellement refoulait les idées peu solide avec froideur désintéressé en faisant de vague geste de la main et tout ignorant complètement le messager. Mais avec Morais setait différent. Le Maître d'oeuvre lui aquiessait doucement d'un signe de la tête, et se détounait momentanément pour esquisé furieusement sur une vielle table à dessin délabré. Après cinq années de cette étrange ménage à trois permis à Morais d'accéder au poste de Directeur du Projet d'Exploration de l'Espace Sur vol habité pour le compte l'Institut Technique Amazonien, une position qui lui apporta beaucoup de prestige et notoriété, dans le monde, aussi bien à l'intérieur de l'Empire brézilien qu'outre-frontière. Mais pour le Yanomami, il demeurait toujours le même. Un individu, un frère, un cousin, il se présenterait peut-être à votre maison: Est-ce que je peux emprunter ce portable? Mon Grand-père veut recencer le nombre des Dauphins dans la Rivière. Mon troisième cousin d'en haut, au Nord commence ses classes, peut'il habité à votre maison pour pendant un certain temps? Est-ce que je peux m'asseoir? Ce programme fonctionnerait beaucoup de mieux si vous faisiez ceci.
Commen bien vous protéger au 21st Siècle
avec une nouvelle introduction par
Général Buford Keegan
Mesdames et Messieurs. Ca fait plus de dix ans que j'ai été impliqué directement dans la production du volume qui vous tenez à présent dans vos mains. Quand Roberto DelReyes, l'auteur principal cet édition de ce livre, m'a approché à propos de la rédaction d'une nouvelle préface, je n'ai pu lui refuser. Après tout c'était Roberto lui-même qui eu l'idée pour ce livre il y a presque vingt ans quand de telle information n'était pas aussi répendues. C'était, après tout, il y a vingt ans que Roberto s'impliqua courageusement dans l'audacieux projet d'évacuation la ville de Riverside de l'Ohio, en effet rendu possible la continuation de mon travail et assurera à plien d'hommes de partout, le maintient du libre choix aux citoyens libres et responsables de cette grande planète du nôtre. Les questions de Roberto m'assurèrent que même à une époque comme la notre, qui que ce soit possédait un bon esprit et coeur vaillant pouvait comprendre les questions le plus noueuses s'impliqué dans la résistance à la dictature de la haute-technologie, de quelque façon que ce soit. J'ai gagné grande force de savoir que dans circonstances si chaotiques soit tel que nous la subissions, le gros bon sens de base commun est tout que nous avions besoin pour comprendre de tels sujets comme la programmation d'un virus astucieux ou quelle comportement est approprié quand nous sommes sous surveillance infrarouge.
Que nous vivons à un époque difficile, une époque qui ressemblent ce souvent plus à la guerre civile de 1860 qu'au paradis art déco de 1950, quand il était de croyance populaire que tout ce que aviez besoin pour survivre une guerre nucléaire était revêtir une combinaison imprégné de plomb, ce qui à première vue apparait tout à fait évident. Vous tenez maintenant dans vos mains un volume très spécial. Un volume qui fait trois par cinq pouces, et dont on peut lire à son rabat Tablaux des Élément Périodique des Poids et Mesure Impérial. En camouflant de tel façon notre livre, nous sommes pratiquement assuré que peu de personnes consulterait volontiers son contenu fatigant et ennuyeux présumé sur ses pages. Cependant le rabat indique aussi que ce volume a une utilité inhérente donc lui assurent une certaine pérénité, et en effet, souvent le gens a qui vous enverrai ce volume le placerons sur une étagère en évidence, à l'abri, sans jamais être ouvert. De cette façon notre manuel ces émissé au sein de tous les racoins de la société, et beaucoup de ceux-ci dans la section des livres de référence de votre bibliothèque publique et vous n'aver qu'à vous s'y rendre pour le retrouver. Beaucoup de techniques semblables à celle-ci sont décritent se retrouvent dans les pages de ce livre.
Ceux de nous impliqué dans dans la production de ce volume taxer de: Terroriste, criminel, révolutionnaire, et également de Communiste, même quand les techniques dans ce livre aident l'individu défendent de l'oppression d'un système Communiste aussi bien que tout autre. Nous ne souscrivons pas à quelqu'étiquettes qu'ils soient. Rétrospectivement si nous regardons le vingtième siècle, nous pouvons constaté que les étiquettes, quels soient bien intentionés ou pas, se retourne contre et nous oppresses nous ancarcanes. Plutôt que d'étiquetter, nous tenons le point de vue radicale que les individus sont beaucoup plus susceptibles de déterminer leurs destinées propres qu'une quel conte organisations extérieures. Le idéateur de modes organisationnel accuse plus qu'autrement déphasement irréconsilliable avec la réalité et que notre philosophie propose l'iradication des organisations. Mais nous demandons à ceux qui cherchent à relaigué à l'oubli, une question continuelle: à quel moment de notre histoire l'individu a bénéficié d'une l'allégence à une organisation? Un exemple souvent mis de l'avant est la défaite d'Adolf Hitler lors de la deuxième guerre mondiale ('après la lecture historique occidentale). Les évidences ont démontré que la défaite de l'Allemagne Nazie découla de la volonté d'individus qui choisirent d'agir collectivement temporairement (les forces de la résistance). Quand le besoin pour un tel collectif fut passé, ceux qui décidèrent de le perpétuer en ce faisant par l'entremise d'organisation et de moyens extra-individuel, engendrèrent la débâcle du Vietnam, un événement si humiliant a contempler que toutes ce qui y réfère a été excisé des manuels scolaire des États-Unis de l'est. Parce que ces vues firent l'objets d'accusations selon lesquelles elles seraient en parti responsable d'un pessimiste prévalent et destructeur de la cause première de la nature humaine. Quand en fait la vérité est tout à fait contraire. Nous avons un optimisme inlassable envers l'Esprit humain. Nous sommes le produits d'au moins 3 milliards d'années d'évolution biologique, et quand une si grande création choisit des s'interroger d'opinier à savoir si tel guerre est vertueuse ou si tel gouvernement est corrompu, il est sein lui prêter une oreille attentive. Croire que notre instinct individualiste est d'une quel conte façon inférieur à celui de l'état Nation ou des autres formes d'entités supra-individuel, c'est inviter la catastrophe comparable à celle que nous vivons dans les Etats-Unis de l'est, ces résisdants assiègés peuvent maintenant l'attester sans hésiter un instant. Nous vivons à une époque radicalement dangereuse ce qui nécessite une nouvelle forme de résistance. Ceux de nous qui on eu accès à une histoire non censuré de la fin du siècle dernier on vu les mêmes erreurs répété et cela à mainte reprise: alors, pour vous défendre contre votre ennemi, vous devez battre votre ennemi; pour battre votre ennemi, vous devez devenir votre propre ennemi, et dans le processus, vous perdez ce que vous essaierez de défendre. Nous nous sommes résolu à ne plus jamais commettrent ce genre d'erreur. Nos ennemis sont ceux qui nous disent qu'ils doivent nous capturer pour que nous puissions être réintégrés dans leur collectif, un collectif ravagé par la maladie mentale, foutu à cause de la toxicomanie, l'itinérance, la violence et l'adoration d'un groupe de vieillards corrompus, séniles et fichu dont les uniques exploits dans la vie ont été de tenir des grands seaux sous les robinets d'argent de la Réserve de la Banque Fédérale Américaine. Nos ennemis sont venus après nous avec des pistolets, des avions, et des tanks, cependant, dans tout les cas, nous avons été capables des les battre sur notre propre territoire, sans avoir recours à leurs méthodes basé-sur-l'armée. Vous trouverez nos méthodes dans ce livre. Nos méthodes sont plus rapides, meilleur marché, et plus efficace que les leurs. Notre méthode compte sur quelque chose de loin meilleur marché, et de plus mortel que l'encombrante quincaillerie militaire, et dangereusement explosives. Notre méthode compte sur l'Information. Et c'est avec l'Information et peut d'autres choses qui vous permettra à vous seul le désarmement d'un tank ou de causé un soldat le repli de l'ennemi vers sa patrie. Notre méthode est la plus efficace d'entre toute puisqu'elle redirige la force de votre ennemi sur lui-même.
Dans la décénies sombres de 1980-90 l'Administration Reagan a choisi d'aller à guerre contre les paysans de Nicaragua pour que des actionnaires corporatifs puissent encaissé encore plus profits dans la vente de quincaillerie militaire. À l'époque, il apparaissait difficile de tuer un paysan et ses enfants; le soldat plus souvent qu'autrement avait une famille lui aussi, et il était rétisent à prendre une telle action. Cependant, juste en marmonnant un sel mot: "Communistes!" ce même soldat pouvait facilement détruire un village entier. Ceci mes amis, était le pouvoir de l'Information. Pour apprendre à survivre dans le vingt et unième siècle vous devrez apprendre à vous sevir de l'Information en tant qu'arme, et vous devrez savoir à quel point l'ennemi est déterminé utiliser l'Information comme une arme contre vous, et comment entreprendre les contre-mesures nécessaires pour assurer votre prorpe défence.
Je vous souhaite la meilleur des chance
dans tout ce que vous entreprendrez,
Général Keegan
Durango, Mexique, mai, 2025
Table des Matières
p. iv Préface du Système Impériale de Mesure
p. 10 Paramètre Diamètre de Tables de conversion
p. 123 Une Analyse exhaustive des Masses Atomique
Shéma de Classification
p. 150 Charte de Conversion Métrique (Ed. Note:
Pourrait exiger l'utilisation d'une loupe.)
p. 190 Comment vous protéger dans le vingt et unième siècle
p. 200 Introduction du Général Keegan
p. 201 Un Survol d'enemble du Contre-Terorisme
p. 220 Le Sectionnement de Cables: Qualitivement,
Non-Quantitivement
p. 280 L'Info-terrorisme et l'Usurpation Culturele
p. 340 Tout ce que Vous avez Besoin de Savoir
sur le Sabotage d'Ordinateur
p. 400 Les Réseaux à Partir de Pieces de Rechange.
GIS Sur Téléphone Public
p. 487 Agir Sous Surveillance
p. 520 Technique de Contre recrutement
p. 600 Confusion et Techniques de Maladie Mentale
p. 670 L'Encryption Rendu Facile.
p. 700 Technique de contre attaque en différé
p. 823 L'Usage l'effet-fax à Votre Avantage
p. 900 Amusez-Vous Avec le Système Métrique!
Puzzles et Agaçe Cerveau basés sur les Tables
de Conversion de l'Impérial-Au-Métrique
p. 940 Votre Carrière: Un Future dans les Tables
et les Chartes
p. 980 Index
De: Bob Jacobson bleuefire@well.sf.ca.us
Sujet: L'État du Washinton (E.U.A.) la législation
pourait censurer la RV ( beaucoup de plus)!
Date: Fév 19 4 23:25:54 GMT
Ceci a de la pertinence partout au États-Unis et au tour le monde, comme il peut survenir n'importe où l'ignorance de la réalité virtuelle est emflammé par idées bizarres.
Réacheminé par Daniel Pezely >dpezely@bvu-lad .loral.com< Un ami qui fréquente le gouvernement de l'état de Washington m'a passé ceci:
Il y a un projet de loi au niveau de l'état: (extrait de la Santé Publique & de la Sécurité L'acte de 1994" libellé, SBR 6174)
NOUVELLE SECTION. Sec. 706 (1) Une licence est exigée pour l'usage commercial de la technologie de la réalité virtuel pour le divertissement ou des buts en bonnes et du forme comme l'éducation , la formation, la recherche et le dévelopement.
Où la RV est défini:
NOUVELLE SECTION: Sec 7. (4) "Réalité Virtuelle" est défini Au moyen d'ordinateur ou d'autre technologie électronique qui créent une l'illusion a rehaussé des trois dimensions, en temps réel ou dans des réalités interactives s'approchant-du-temps-réel par l'entemise de l'usage de logiciel spécialisé, de quincaillerie, d'hologrammes, de gants, de masques, de lunettes, de pistolets, d'ordinateur, ou d'autre articles capable de produire un stimuli visuel, sonore, et des effets sensoriels d'une vraisemblance au-delà de ce qui disponible avec un ordinateur personnel.
Mon ami était présent à un partie des pourparler de la commission sur l'adoption de cette loi. Évidemment, la personne endossent cette loi, le Sénateur Phil Talmadge, et son supporteur tente de convaincre le Congrès de l'état que la RV autorisera "une illusion réaliste du meurtre d'une autre personne et qu'une tel illusion rendra plus facile l'exaction réellement de tels infractions en dehors de RV." Le Congrès de l'état siegera très brièvement cette année. Cette matière pourrat-être votée aussitôt que la semaine prochaine (semaine du 14 février 94), et les fins de la session congressionnelles 8 mars 1994, donc elle pourait-être voté d'ici moins d'un mois.
Sénateur Phil almadge (206) 786-7436 Leader de l'opposition: Sénateur Sheldon (206) 786-7644 Télécopieur du Sénat: (206) 786-1999. Projet de loi sur la Santé Publique & Sécurité Acte de 1994. La loi sera entendu au Comité des Moyens et façon (Sen. Reinhart, Président), la nuit du mercredi, le 9 février 1994; et alors au Règlements. Pour vous enquérir sur la situation de ce projet de loi, contactez le Secrétaire du Séna aut: (206) 786-7550
Si réalité virtuelle est bannie, il n'y aura que les hors-la-loi qui en bénéficiront.
'L'Auteur ouverture de la ligne 12
exécution du lien de donnés
300 baud emagasiné et acheminé
1700 KHz signal porteur
note aux nouveaux auditeurs: la clef de decodage public ce trouve sur l'arrête de l'embalage du DAT intitulé "Les plus Grands succès du Punk Honky-Tonk"
"Sommes-nous de retour en onde? Fantastique. J'avise constamment les gens que mon télé-avertisseur ne fonctionne toujours, mais fortunez que vous êtes mes chers auditeurs, car vous menquerai pas un hiatus de prestation. Radio Hogger. C'est moi. Et Hogger se souvient quelques uns d'entre vous sont curieux de savoir comment Hogger parvient à diffuser comme il le fait. Vous vous souvenez peut-être qu'il y a longtemps Hogger a eu un accident et que ses tympans furent replacé avec ce qui est convenu d'appelé des transducteurs cochléaires ceux-ci n'on besoin que d'un fil attaché de la bonne façon pour que vous puissiez syntoniser ce que j'entends, je possède ma propre station émettrice confectionné à partir vielles radios recyclé qui ce logent dans un semi-remorque que j'appels affectueusement La Radio Libre du Colorado et je dois constamment voyager d'un emplacement à l'autre pour éviter toute détection par les membres auto-proclamés de l'escouade du comité de surveillance . Mais l'émission de radio Hogger est si populaire que moi et RFC la maintiendrons en onde tant et aussi longtemps que nos frères de l'est seront encore en enchaînés, nous nous y engageons contre vents et marées, contre l'enfer et la damnation.
"Comme nous entendions il y a quelques de minutes, de la bouche du légendaire rebelle Bobby DelRay qui se confia à votre bon Hogger qui profitait de la fin de la saison de ski à la montagne, et Hogger ne pu pas passer outre l'occasion de demander ce qu'il c'était passé il y a vingt ans lors de la rébellion du gros hamburger frie du Kentucky et Bobby y consenti, à condition que votre gracieux hôte lui fournisse la bière.
"Maintenant Boby, tu nous disait donc que de retour au lycée vous fumes convoqué au gymnase pour parler à."
"Oui. Tout les étudiants rassemblés pour écouter ce type, O.K., et d'amblé il nous dit qu'il travaillait pour le FMI qui est le Fonds International Monétaire. Maintenant le FMI est une grande banque don nous ne savions à peu près rien, mais ce type continua à nous expliquer que d'une façon ou d'une autre que le FMI était maintenant la plus grande banque des États-Unis et que récemment la Banque de la Réserve Fédérale des États-Unis d'Amérique avait fait ce qu'il était convenu d'appelé un triple défaut de payment; qui en l'occurence représente le fait que gouvernement avait épuisé ses trois chances de payer l'intérets de ces dettes dûes, donc fut sans argent à chacune de ses trois dernières échéances. Il ce retourna, on éteignit l'éclairage et d'un ordinateur portable une puissante lumière jaillit nous pouvions, au mur en face de nous, voir la projection de son écran, il s'y trouvait plein de grilles d'évaluations, de tartes et d'autres coquetteries comptables. Alors naturellement nous lui avons demandé de quoi il nous parlait au juste.
"Finalement il nous dit que le gouvernement fédéral avait manqué à son devoir en omettant d'instituer un programme d'austérité donc les paiements en intérets sur le huit billions de dollar de la dette fédérale n'avait pu être honoré le cas échéant. Il mentionna aussi, que c'écait primordaile pour être opèration, de rester liquide, ' le gouvernement fédéral a dû vendre des bons du trésor à de riches mecs étrangers donc pour avoir les moyens payer l'intérêt sur les bons du trésor émis par les fédéraux qui étaint achetées et vendu à l'extérieur des États-Unis.
"C'est comme prendre l'argent sur votre crédit pour payer l'intérêt sur un autre de vos carte de crédit."
"Ouais, si vous pouvez accumuler plus de huit billions sur votre crédit . Ne me citez pas sur ce truc; Je suis sûr que certain des faits que je vous relate apparessent mals foutues, mais c'est fondamentalement ce que je me souviens. Quoi qu'il soit, il parvenu à la partie de son énoncé qui nous affecte vraiment. Il dit que maintenant nous devions nous acquité de toutes nos dettes, qui, j'en déduisi, qu'ainsi nommé, le nous incluait ceux qu'il était convenue d'appeler les contribuables et qu'un groupe de banques avait été autorisé par le gouvernement fédéral à prendre le contrôle de tout les actifs du gouvernement des États-Unis et que nous devions continuer à travailler et donnez la moitié de notre salaire à ce qu'il appela les créanciers majeurs des contribuables de Américain."
"La moitié? Mais ton salaire faisait dans les trois dollars une heure? Bref, ça ne vous laissait qu'avec à peu près $1.50 l'heure."
"Essai plutôt cinquante cent l'heure. Puisqu'iI s'est avéré qu'une autre banque étrangère endossait quelque chose appelé la Corporation de la Sécurité Sociale et du Revenu qui légalement, peut prélever d'importantes sommes de nos chèques de paie et ce, comme bon lui semble. Ella le faisait pour qu'a son tour elle puisse accordé un retour stable à ses propre bailleurs de fonds. Bien sûr, quand au moment ou nous aurions droit à notre retraite nous obtiendreriont quelque chose, n'est-ce pas? Est-ce que cette entière opération était une anarque de prémière classe, mais non, c'était la loi, donc que pouvions nous y faires? En tout cas, la conversation conclut finalement loin de tout ce flafla et trancha au coeur de sujet. Il s'avéra qu'a cause d'une chose qui le noma le "Domaine Fédéral", toutes nos maisons et tout les terres furent liquidés et rachetés par un groupe de banques Européene et que nous devions préparer nos bagages car nous étions nou s allions être relocalisé dans les semaines à venir par les nouveaux détenteurs de nos titres de propriétés. Le type du gymnase était un de leur représentant, il apparaitre au mur un tableau qui nous indiquait ce que nous allions devoir faire. Comme toutes vos voitures, télés, appareil-photos et truc dans le genre furent aussi repossèdé donc nous allions devoir les laisser derrière nous dans bonne un bonne état, ' Nous étions seulement autirisé à prendre les vêtements que avions sur le dos et autant de nourriture et de médicament que nous pouvions l'emporter dans nos mains. Et puis alors la situation devint vraiment effrayante. "La Loi Martiale" ou quelque chose dans le genre vevait tout juste d'être déclaré dans notre comté ce qui signifiait que nous étions sommés de ne quitter pas la ville jusqu'à ce qu'un camion soit venu nous ceuillir à notre domicile pour que nous soyons acheminé à notre nouveau lieu de travail"
"Le nouvel endroit nous appelé à travaillé?"
"Oh oui. Le type de l'étranger était maintenant entrain de montrer quelque film de son portable, et il avait vraiment l'air vieux, du genre vieux bout de films 16mm papiècé ensemble. Ceux-ci dépeignent des scènes où toutes les personnes réside dans un grand baraquement quelque part, tous sont souriant, fond leur lit, marche à pied à travers des jardins et récoltent des légumes. Le type continue de parler, et dit qu'une nouvelle loi fédérale vient justement de passé qui rend le travail obligatoire pour tous, même si nous avons perdu nos maisons et que nous n'avons plus d'endroit où aller, et qu'on nous accorderait une entrevue pour savoir à quel tâche nous serrait assignée. Exemple, si vous aviez quelque expérience de travail lié à électricité dans votre profils vous seriez assignés à l'armée, mais si vous étiez un jeuno quel conte comme nous, vous étiiez confiné à un baraquement à travailler à un job et plus tard, si votre attitude était vraie bonne, vous seriez éligible pour quelque chose qu'il appelait Le Plan."
"Le Plan?"
"Yep. Tout ce que nous en savions l'époque c'était qui ça avait quelque chose à faire avec qui du télévangéliste complètement dément Frère Jim qui dépossèdait les richissimes et vielles personnes de tout leur avoir. C'était dans les premier temps du grand désordre fédéral, duquel il a su profité en trantant dans tout dans toute sorte de combine et nous étions sûrs qu'il nous extirpa une forturne ce faisant. Ça apparaissait, tout à fait logique pourtant. Ce personnage complètement Dingo était constamment en ondes, la personnage principale d'une infopubs interminable nous disait comment profiter du "Boom Immobilier" avec des tactiques du genre: trouver quelqu'un qui a de trouble à rencontré ses paiements de maison, marcher devant sa maison l'hiver, tombez-y, faitent une réclamation par avocat en lui intentant un procès pour que la facture de frais médicaux vous permette de lui aracher le titre de la maison lors d'entente hors de court. Mais beaucoup de personnes le supportait et disaient de chose comme; "mais le Frère Jim est bon et il veut aider l'Amérique, nous devons l'écouter, il est un des grands chefs spirituels et toutes sortes d'idioties pareils.
"Maintenant vous pouvez vous imaginez qu'il se trouvait des gosses qui ce pensaient vraiments futés et entendant son discour, deux d'entre eux hurlèrent qu'ils ne laisseraient pas foutre dehors. C'est alors que survint l'incident Mark Shipman ."
"Un incident Très célèbre en effet!"
"Ouias, Mark saute en l'air et commença à s'écrier; "Mon Père dit que vous n'êtes qu'une bande de Nazis et que si vous ne faites que vous approcher de notre maison, il vous pompera tout plein de plomb!' Donc le visage de l'orateur tourna au rouge rage il sorti à l'extérieur pendant un moment et fit signe du à quelqu'un, un autre type avec un costume du [pinstriped], seulement avait ceci de diférent; une petite mitrailleuse en badouillaire sur l'épaule, et l'orateur pointe son doigt à Mark et le gars à la mitraillieuse griffonne quelque chose et s'en va. Juste après, nous sommes mener hors de l'école par quelques autres types avec des pistolets et on nous dit que nous ne pouvons plus y revenir. Deux jours plus tard il y eu un énorme incendie deux blocs loin. C'était où les Shipmans habitait. Quelqu'un avait téléscopé une bombe dans la maison au beau milieu de la nuit. Mes parents notifiés du même état des choses sensiblement de la façon que nous, sauf qu'eux avaient reçu la visite des colporteur de movaises nouvelles pendant que nous étions à l'école et qu'en ce faisant ils postaient des gendarme qui bouclaient les principaux issues. Père avait été avertit qu'il serait contrôlé de temps à autre pour s'assurer que rien hors de l'ordinaire ne soit passé. Je devais encore aller travailler Gros hamburger frie, seulement maintenant c'était pour quelque chose comme quatre-vingts heures une semaine, et ce sous l'yeux attentifs de leurs caméras. J'ai essayé de savoir si je pouvais demeurer empoyé à Grand l'hamburger après que la ville est été évacuée, mais ils répondirent que non, qu'ils s'apprêtait à installer des machines de service au tables à très efficasse, plus rapide que jamais nous le pourrions, et me dit aussi que nous serions parti d'ici deux semaines aussitôt que notre transition serait complétée. Ces à ce point que Bif a commencé jouer un rôle imposant dans nos vies"
"pour le bénifice de notre auditoire, explique nous maintement qui est Bif."
"maintenant Bif, heu, j'voulais dire Keegan Général, le Commandant-en-Chef de la batterie de Défense du nord du Mexique, et si vous avez eu accès a des papiers dernièrement vous savez que nous lui sommes tous redevable pour la récente défaite de la Nation Aryenne lors de leur derniere offensive sur l'état d'Arizona. Mais avant, pourtant, nous n'avions pas idée. Pas idée du tout de qui Bif était. Vous voyez, dans le temps des écoles, Bif était ce que nous appelions un Pirate.' Et dans une aimable petite ville comme le nôtre, quand vous étiez bidouilleur de programmes vous étiez l'object du plus grand dénigrement. Donc, Bif n'avait pas beaucoup d'amis, par concéquant il consacra une quantité phénoménale de son temps dans le sous-sol de son oncle, même quand t'Il faisait beau et chaud, Dieu seul savait ce qu'il y faisait avec les lignes de téléphone et ses vieux jeux ordinateurs cracker, des graveurs de CD bousilliés et des rebuts, quel qu'ils soient, ceux qu'il avait réussi à chaparder des restant de la récente faillite du comptoir de réparation des petits appareils électroniques de son oncle. À ce moment, je ne comprenais pas très bien Bif, mais nous étions devenus amis environ un mois auparavant lors de l'infâme discour du gymnase parce qu'il m'avait refilé un mot de passe volé nous permettant d'opérer des ponction dans l'inventaire de Gros l'hamburger avec l'ordinateur d'où je travaill et grace à cette combine j'était nourriture nourri au frais de l'endroit. Une nuit après que j'ai dirigé glisser au dehors pendant que mes parents dormait, j'ai pu parler à Bif après qu'il c'est introduit dans notre sous-sol. Il y eu d'autres garçons de notre âge qui y suivirent et il dit qu'a partir de maintenant il y allait se tenir des réunions quotidiènes à trois heures du matin. Oh, mais que ce Bif avait changé."
"Changé?"
"Vous auriez du y être. Il a commencé par nous montrer toutes ces cartes du comté, utilisant des termes comme l'Info-terrorisme' et les Points Faibles des Zones de Surveillance.' Il s'avéra que Bif fut finalement capable d'utiliser son poste de radio amateur après tout et malgré la pagaille qui persiste. Un groupe de pirates du Toledo avait trouvé une façon de masquer une conversation sous un apparent bruit de fond, quelque chose d'appelé l'analogiquue au plus petit symbole stégonographiable, 'mais ne me demande pas ce que cela signifie réellement. Pour décoder la conversation, vous deviez connaitre quelqu'un qui vous révèlerait le code secret. Alors, toute forme de codage secret, le PGP et ces variantes, avait été rendu illégal, donc Bif et ses amis risquaient vraiment leurs vies.
"Nous avons parlés à voix basse, pendant des heures, je ne saisissais que les points essentielements fondamentaux de son propos, mais l'aube venu je suis officiellement devenu un membre du Plan."
"Le Plan?"
"nous avons adopté ce que Frère Jim utilise comme nom un code pour ses propres activités donc ce si quelqu'un nous entendait par hasard il ne serait pas capable de deviner de quoi nous discutions. Bif avait formé un réseau secret en quelque sorte, un genre de patrouille pirate qui allait frapper le jour où les camions allait nous ceuillir. Vous devez réalisez qu'alors, une attaque de pirates contre ces types, ça sonnait à beaucoup d'oreilles d'un ridicule éclatant, mais je ne sais pour quel folle raison, j'ai cru que Bif savait de quoi il parlait, et qu'il représentait notre meilleure chance de s'échapper vivant de cette situation."
"Hmm, clarifie pour notre auditoire, pourquoi utilise-tu le mot vivant'."
"Bif avait découvert à travers son réseau que toutes les villes de l'est des États-Unis avait été assiègé de la mêmes façon. Nous n'avions plus de services téléphonique, de journaux, ou quoi que ce soit qui arrive en ville qui nous éclairait sur ce qui se passait. Si vous regardiez la Télé, tout ce que vous obteniez c'était de la camelote. Même le poste local montrait rien que cette merde d'infopubs sur comment prévenir une faillite. Mais Bif pouvait obtenir de vraies nouvelles sur son ordinateur, qui il avait maquillié pour qu'il ressemble à une vielle machine à dactylographié pour ne pas éveillé les soupçons de la SPA. Bif apprit qu'il y avait continuellement d'importantes émeutes à Cleveland et Détroit. Il avait même des nouvelles sur les camions qui étaient censé nous prendre plus tard. Eh bien, il parrait que ces camions étaient conduits derrière de grande guérites dans la régions où les conteneur et sa cargaison étaient empilées les uns par dessus les l'autre et que le conducteur repartait pour aller chercher sa prochaine charge. En ce qui concerce 'emploie, seulememnt un petit portion de ces camions conduiraient des personnes dans le Michigan pour s'occupé à quelques travaux dans des condition horribles et forcé. Bif avait appris que la population de l'Ohio était considérée comme êtant en surplus' et que ce seulement les personnes qui avaient des habiletés bénéficiraient de vrais emploies. Bien sûr, que ça causait beaucoup d'éruption de violence. Et des uniformes étranges. Il nous apparu que des policers européens avaient été envoyées ici pour réprimer certaines des émeutes en portant l'uniforme complet costume trois-pièce épingle-rayé, fidèle dans les détails jusqu'à la fausse boutonnière blanche dans le revers de la manche. Bien sûr, pour tout les gens de notre ville était maintenant défendu de voyager hors des limites de celle-ci, et ceci fort heureuse nous fit gagner du temps. Vue qu'ils ratissaient du haut vers le bas l'état, et que notre ville avait seulement trois semaines avant le Jour du Jugement. Les contacts de Bif à Cleveland lui avaient fourni toutes sortes de données techniques à apprécier, et il était à peu près certain que tous nos concitoyens pouvions s'échapper de la ville dans migré au Kentucky, qui lui jouissait encore d'un gouvernement intact, si nous avions un bien préparé le plan."
"Et le réglagle n'aurais jamais pu être mieux ajusté"
"La date butoir des trois semaines nous plaçait le lendemain de l'Halloween qui allait être une soirée de nouvelle lune! Bif mentionna que cet avantage était très important, il commenca nous décrit comment allait porter l'habit de combat/camouflage sous nos vieux déguisements d'Halloween et utiliser la réception annuelle donné à cette occasion comme d'une diversion. Les tenues allaient aussi nous facilité la tache pour sortir les personnes sous plusieurs copies d'un seul et même costume, hors de la ville et à ce mouvoir à travers un système de relais. Par exemple, un petit se présenterait à votre porte revêtant une tenue et il vous la tenderais et vous feriez e même à quelqu'un en bas le sous-sol, qui lui le prendrait sa place et quiterait la maison avec ses bonbons. Il donnerait alors des bonbon au garde qui surveille ce bout de rue tout en le filmant avec son caméscope infrarouge. Le gosse ce pencherait par en avant et revêtais un autre costume, un nouvel accoutrement pour la prochaine maison. De cette façon nous pouvions faire circuler plus de gosses par notre maison où nous avions sortir dehors pour passe au travers des rampart de feuilles menant à la forêt. Beaucoup de détails a résoudre en peu de temps. La point décisif du plan était que nous devions avoir l'air d'être d'heureux villagoies qui était ignorant leur destin et qui était heureux de passer un dernier veille de la Halloween avec amis et famille. Nous avons même invité la tête dirigente de la nouvelle compagnie immobiliaire à ce joindre à notre réception costumé! Bif avait développé aussi quelque chose qu'il appelait un bombe EMP qui consistait en un bâton de dynamite câblé dans une grande bobine de fil donc quand cette bombe fut détonné, une puissante onde radio qui rôtit tout les ordinateurs et ayant des micro-circuit des waltie-talkie que nos invités utilisaient. Bif et ses assistants avaient des cartes qui montraient où tout était localisé, et quel fils devaient être coupés et quel radios devaient être frite pour créer la bonne diversion. Nous avons décidé que le retantissement du clocher à Minuit serait le signal de notre première attaque, et j'ai fut chargé de dépister leur chef de sécurité et pour qu'il soient butté une fois que la grille électrique de la ville eu été coupé. Comme vous le savez maintenant, quand nous avons réellement été de l'avant avec notre Plan, le dénouement prouve une chose: qu'on obtient rarement ce que l'on planifie, notre plan s'avait vraiment détraqué"
Notice de Déconnection
Brie de Security Possible
Étaigné jusqu'à nouvel ordre
Le Q.G. de MxtM