DE
Pourquoi?
Suis-je sufisant en soi?
Le sommes-nous en tout?
Moi pour toi
Quand moi-même j'ai peine à exploiter l'abysse
sans fond de ma psyché
Sécurisés par ces pensées, nous vous réconfortons
S'affirmant, nous disposons de la vérité émergé
Celle souvent camouflée pour nous inciter à la recherche
Résistant, tant au bien qu'au mal, nous nous impatientons
Malgré nous, elle a libre car malgré tout elle dirige tout
Sans elle existerions-nous?
Saurions-nous nous poser toujours et encore
des questions seines?
Réalité, fruit de l'imaginaire de la matière du nucléaire
à l'interstellaire
Où es-tu symptômes de fantômes hantant,
influençant nos insécurités
Certains s'acharnent à en déterminer
les provenances obscures
Pour je ne sais quelle véhémence leurs dépendances
leurs valent de la reconnaissance
L'accoutumance, l'absence mettent sous tutelles les nouvelles
D'autres recensent les recrudescences effervescentes désobligeantes
De leur part contre, les homogénéifier purge l'originalité
Inconsidéré ces imposteurs qui ingénient
la peur d'ailleurs
Détourner du meilleur des pires des délires sans vrai dire
Sans la fausse modestie, humiliez-les.
Colporteur de l'érudition ingratifié, je masturbe les intellects
Même si je me délecte quand j'humecte les babines de ta copine
Laisse, laissez-moi subvertir, travestir la normalité
Et alors?
Confrontez-la, la tornade!
Assumez en la fougue foudroyante!
Écoutez ses éclairs !
Parcourez des aires à la vitesse de son vortex!
En contemplant ce déferlement d'ondes, vous verrez pointer
des rayons transperçant les encagements
Louvoyant en vous dirigeant, en rendant grâce aux étoiles
Échoué en un néant blanc, j'm'élève en vers et contre le courant
Hou, ou aannnnn!!
Chaviré, basculant instantanément d'angles
à d'autres repositionements
Face ce rugissement puissamment déstabilisant
A la merci de ce vide, j'vous prie de sursoire votre haine
Encore sans effort, sans gicler de sang, sans l'inconvénient
dû au malheur
Entretenez la ferveur de la première heure
Bombardé de toute part par des particules,
vous êtes de tout depuis le départ
Brimé d'appoints stabilisateurs vous vous transcendez
avec d'la vigueur
Tu vois la mort contrée
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Putsch Pop
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