Mon élocution sur la convergence
ontologique de la terminologie
issue de la science; du nano,
de la bio,du chimio moléculo
astro et de la physique
ainsi que tous leurs
dérivés entrecroisés
respectif...
Oui, je le l'admet notre univers, apparemment,
réfèrent s'expand. Nous originons du dit
"big bang" mais celui-ci n'est pas unique
et fut au grand jamais statique!
La matière émanant de ce vortex
apparemment initial n'est déterminé
que selon notre point d'observation
et à son envers est comme mon
affirmation; il tend plutôt
vers une grande putréfaction.
Qui pourait-êtres percu comme un "big bag"
en soit avec le recul des milliards
d'années lunières...
Partout et donc de nul part à
fois est ce qui qualifie
un vide stupide.
Cet autre point de reconvergence ce trouve
aux l'intersections d'autres grandes
déflagrations.
L'onde et la particule sont une chose l'une,
la vitesse de la lumière est relative
à la densité de la matière don elle
traverse les champs d'attraction
et de répulsion.
Selon ma conception, ironiquement le vide dans
l'espace n'existe pas, de mon point de vue ce
n'est que la matière fractionnée,
stressé au point d'être onde.
Je qualifie d'onde cet aspect de la matière
qui se trouve à un taux vibratoire tel que
sa masse ou son positionnement nous occultent.
Dans la tête des astrophysiciens ce trop peu
cet à peine perceptible ne peut être
mesurer en masse mais plutôt en tant
que vélocité qui suposément demeure
relative dans l'entièreté
de l'univers.
De retour sur terre à votre avis où
vont les photons qui n'éclaire pas
à travers un filtre qui donne
une opacité à la lumière.
Les photons sont-ils capturés par ce qui porte
l'ombrage ultime à lumière des arguments
en faveur d'une scission entre
la chimie et la physique.
Teinté par un filtre les ayant altérés
les photons sont-ils maintenant moins
rapide donc d'une couleur dans le
spectre lumineux.
Le nouveau statut de coloré à notre
vu fait-il qu'il fait moins clair
de l'autre côté de l'univers,
à l'opposé de la source de
la lumière.
Serait-ce parce que les faisceaux durent
larguer des photons en passant dans les
courants de champs magnétiques
qui peuplèrent leur parcours
de tout ce qui a cours sur tout,
au cours de la vertigineuse
course dans le vide plein
d'énergie.