vCité 1.0
vCité 1.0
Traduction libre de MxtM
avec l'assentiment de son auteur;
dr. Adam L. Gruen
Chapitre 03
"L'organisation de la Ville par des spécialistes est un événement récent dans l'histoire des villes."
--Richard Sennett--
Le désert m'aide toujours à me relaxer. Souvent, il n'est pas, comme beaucoup de gens se le visualisent, un terrain vague dénudé. Il est un écosystème en tant que tel, fragile à cause du manque relatif de précipitation, en tout point beau et serein dans sa palette d'orangé chaud et son aube incandescence rosé permanente.
Il était un des premiers secteurs que nous avons créé à cause de sa vastitude inéluctable. Quand vous ne portez pas attention de trop près aux détails -- à la broussaille, à chaque arbuste individuelment, aux nuages et aux scapps d'oiseaux, ce genre de chose -- comparativement aux autres secteurs la brousse est le mieux réussit. Nos karoos s'étendent du Pied du Volcan à l'Ouest aux dunes balayées-par-le-vent et les plages à l'est. Le désert est la frontière australe de la friche de la vCité, au-delà de laquelle il n'y a qu'un de plus Grand par delà.
Son ciel bleu pâle s'étend pas vers l'infinitude azurée. En plus d'être un cliché littéraire suranné, ce serait une impossibilité mathématique.
La première version de la simulation du désert apparaissait plutôt estropiée en tant que tel. Le problème de base était qu'aucun de nous ne savait quoi que ce soit sur l'écosystème que nous essayions de simuler. La solution nous apparaissait évidente, et c'était d'embaucher des experts. La corporation fit don de grandes étendues de volumes zonés au Centre pour la Conservation et l'Étude des Écologies du Désert, Inc.. En échange du secteur espace pour procéder exécute de leurs simulations, le spécialiste du CCED aidèrent nos concepteurs RV à intégrer des variables climatiques dans les cycles de croissance de la flore et de la faune.
Cela s'avéra tellement idéal comme technique que subséquemment nous l'avons transposé par la suite à la toundra, aux montagnes, aux pieds de montagnes, au "bayou," à la jungle/forêt tropicale, à la savane/prairie, aux terrains marécageux/marais, à La Baie et à L'Océan. Assez étrangement l'expertise la plus utile nous est venue des experts des corporations pétrolifères, mais ceci dit c'est une histoire qu'il vaut mieux passer sous silence.
C'était un bon exemple de comment, très tôt, la vCité, grandie d'elle-même. Il se trouvait un grand nombre de professionnels alors sur la Toile qui disposait de beaucoup d'énergie refoulée qui pouvait servir à la modélisation et au simulation de RV de choses qui les intéressaient. Étouffé par le confinement de leur discipline respective, ou peut-être frustrée par la lenteur du vrai monde, ils ont cherché à déboucher le futur en essayant de le simuler à travers la vCité, où les occupants d'espace virtuel peuvent de donner libre cours à de nouvelles idées autant sur la forme que la substance et au sein duquel tout ce qui y est peut littéralement épouser la forme voulue. Tout ce que notre corporation demandait était qu'ils "soient gentil."
La réponse fut étonnante. Les "gratuipriétaires", dès le début furent, non seulement gentil, ils étaient serviables, offraient de l'aide et des conseils sur une variété de questions auquel nous n'avions même pas considéré originellement. En effet notre corporation a reçu une tonne de consultation sans frais, si nous avions essayé d'embaucher des experts, nous aurions dû les payer des pelletées de dollars.
Après un certain temps quelques corporations commencèrent réclamer l'installer de leur alter ego; les corposimms (corporations simulées) dans la vCité. Nous les autorisèrent à se faire pourvu qu'ils adhèrent aux consignes de zonages propres à chaque secteur. Nous nous disions que nous avions besoin d'autant d'aide qu'il était possible d'obtenir pour pouvoir esquisser le profil de base de la métropolitaine de la vCité. Éventuellement, nous pouvions s'accorder le loisir de reconsidérer notre politique si cela s'avère nécessaire. Dans l'intervalle, en "donnant" ce qui était infiniment disponible, nous avions rien sacrifié et avions suscité la bonne volonté de nombreux clients potentiels.
Encore, nous étions surpris par la qualité de l'implication. Nous supposions que plupart des corporations enregistrerait une parcelle ou un quadrilataire quelque part dans District des QG de la ville, y iriger un édifice bureau RV en grande partie pre-fabriqué et y installer l'équivalent RV d'un panneau d'affichage. Nous avions même mis sur pied un projet d'étude du profil démographique des usagers de la vCité pour étayé la thèse de la vente d'espace publicitaire.
Au lieu, ce que nous avons découvert c'était que les compagnies établissaient des corposimms non pour être reconnues ou découvertes, mais plutôt pour faire CDE& E (Conception, Développement, Essai & Évaluation).
Vu que je défile déjà dans le désert, je peux bien vous démontrer un exemple se trouvant dans ces parages. La corporation LiC a une usine de production implanté ici quelque part. Elle n'est pas facile à trouver merde, puisqu'elle a été conçu pour s'intégrer harmonieusement à l'environnement local. Si je me souviens bien, l'édifice a l'air de quelque chose s'apparentant au style architectural des vieilles missions espagnoles.
Après avoir airé pendant un certain temps dans le désert, je le retrouve. J'aurais pu y être "téléporté" par l'entremise d'un signet, mais ce n'est pas aussi amusements. De plus, en n'étant "téléporté" on ne dénote pas les nouvelles additions au paysage.
L'architecte qui a conçu la structure RV utilisa principalement matériaux provenant des ressources indigènes cette écologie: brique, caillou, et boue. (En cliquant sur le poteau indicateur donne une explication textuelle complète à son lecteur de la raison d'être de ce bâtiment et pourquoi, il fut conçu de cette façon. Il est beaucoup question des implications liées à l'esthétique, des explications sur nature des textures et des allusions à l'histoire d'Amérindiens du désert du sud-ouest, mais elle semble avoir omis un autre point, à savoir que l'utilisation de matériaux locaux est meilleur marché de prime abord et l'est aussi à long terme si l'on considère les coûts de transport à l'emplacement de l'usine sur certaine période de temps) La bâtisse LiC est conçu aussi être autonome. Elle recycle en grande partie son eau, et produit la plus grande part de son pouvoir électrique par l'entremise de ses panneaux réflecteurs solaires dynamiques. (cliquez sur chacun de ces items plus d'explications, plus de détails techniques).
L'usine de production elle-même est soutairaine (pour favorisé la disipation de la chaleur et son refroidissement, selon les explications du texte). L'usine, est presqu'entièrement robotisée, son personnel humain est de trois personnes, produisant un composé de lithium de carbone appelé les lithocarbones aromatiques.
(Oh mes aïeux, des détails encore plus techniques. Une thèse entière de Ph.D. , ça ressemble à. Um. . . apparemment ce truc n'est pas stable dans sa forme pure, et tend à ce transformer en gelée ou quelque chose du genre, à moins qu'elle soit supporté par un de treillis interne de silice de carbone avec des éléments résiduels de métaux plus lourds. Bien, franchement, je ne comprends pas ce don cet auteur parle . Par contre, je ne sais pas encore comment mon grille-pain fonctionne, non plus.)
Maintenant, l'élément plus intéressant de LiC est qu'aucune de ces installations n'existe dans la réalité. Ni le bâtiment ni toute sa technologie, ni sa gestion. Tout qu'elle est c'est du CDE& E. Ou pour être plus précis, elle est de la pré-CDE& E, a conçu et réalisé pour attirer des investisseurs et pour débusqué autant ces fervents que c'est détracteurs pour les révéler à la lumière du jour pour que la compagnie parente (Protégé par le registre) puisse les engager dans un multilogue.
Ce qui, en fait, est exactement ce qui s'est passé. D'après mon suivit après coup, avec les concepteurs de corporation du vrai monde, mes recherches démontrèrent qu'en contrepartie y était très favorable. Les matériaux composites de carbone de lithium sont potentiellement utiles parce qu'ils ont la force et la cohésion structurelle de l'acier, mais tout en étant beaucoup plus léger que l'acier. Plus léger, en fait, que l'aluminium. La boîte courriel de "LiC" a été apparemment surabondé de requêtes d'ingénieurs du vrai monde issu des secteurs de l'automobile, de l'aérospatiale, et des industries de la construction, tous requérant une source d'approvisionnement pour ce composé. La boîte courriel était aussi rempli récrimination scientifique et provenant de professeurs d'université, de chercheurs, tous prenant un malin plaisir en indiquant les failles dans la théorie de cette composition chimique. Et il y eu des missives issues de compagnies en robotique, de la part d'entreprises architecturales, et de cabinets de consultant en gestion, tous réclamant une part de gâteau.
La corporation du monde réal qui avait créé "LiC" était, naturellement, enchantée. Eh bien, pas 100% enchanté. Apparemment ils ont reçu deux sommations les citant à procès pour des infractions liées à des droits patentés. Cependant je me suis dit que leurs avocats ne sont pas du genre à traiter dans la dentelle. En tout cas même les points négatifs peuvent être positifs. Au moins ils ont tôt fait de confronter l'opposition avant d'aller plus loin de l'avant.
Errant le long des couloirs de l'usine, je découvre que LiC y a ajouté une innovation intéressante. Il y a une pièce, un laboratoire VR en quelque sorte, où les visiteurs peuvent fournir une simulation moléculaire au programme et l'exécuter. LiC promet de publier les résultats des travaux remarquables, et, d'après leur département de relation publique, ils ont déjà embauché deux jeunes génies très prometteurs.
J'ai vérifié avec ma source à la version réelle de cette corporation, et elle me l'a confirmé qu'en effet c'était vrai arrivé. Un était un étudiant de 26 ans diplômé en génie chimique de l'Université de Singapour, et l'autre était une fille de 14 ans de la Corée du Sud qui travaillait dans une cordonnerie.
Avec un VMC et une bonne paires d'écouteurs, le l'arrière pays était un endroit très spécial à visiter. Le CPSDE vend une visite guidée d'une heure de l'écosystème, a agrémenté avec du son, pour $6.49 plus taxes. C'est une vraie aubaine quant à sa valeur ludo éducative. A premier je pensais qu'il était plutôt de banal, de vendre qui une expérience RV quand les personnes pouvaient apprécier la vraie chose gratuitement. Mais j'ai tôt fait de changé mon à cet effet. Très peu de gens habitent très près d'un désert. Et même quand c'est le cas, sait-il vraiment ce à quoi ils ont affaire? Ou qu'est-ce qui s'y trouve s'ils savent quoi chercher?
J'ai demandé le directeur au CPSDE pourquoi il ne publiait pas tout simplement les mêmes information de l'itinéraire sur DVD-ROM ou sur cassette vidéo et la mettre en vente comme tel. Pensez-vous qu'ils essuyèrent des pertes financières à cause de ceux-ci? Il m'a dit que l'écosimm de la vCité était une suite multimédia unique qui était rentable pour la simple raison qu'elle n'encourait pas de frais de livraisons et de manutentions. Les CD-ROMs et cassettes sont bon marché à fabriquer, mais ils ne peuvent pas être mis à jour facilement une fois publié. L'écosimm de la vCité, par contre, elle peut être mise à jour de façon continue sur le serveur du CPSDE. En réalité, il a ajouté, la nature continuellement changeante de la simulation est ce qui la rend unique, et pourquoi nourriture des personnes y retournent pour deuxième et troisième visites à $6.49.
Ce qui est arrivé à la version basée-PC, lui avais-je demandé. Est-ce qu'elle s'était bien vendue, aussi?
"Nah, " m'a-t-il répondu? "Nous donnons cette version. Personne ne veut vraiment s'asseoir et pousser sa souris à travers un simm de désert saccadé sur un PC quand ils peuvent manger le maïs soufflé et ce taper une version vidéo haute définition de la Nature. VMC la chose." "Bénéficiez-vous d'une redevance de la part des fabricants du casque," lui ai-je dit.
Un long silence se fi sentir à l'autre bout du téléphone. "eh bien, pas de commentaire," a-t-il rétorqué.
Dans l'aube du désert éternel. Il y a un symbolisme là caché quelque part.
4e chapitre