vCité 1.0
vCité 1.0
Traduction libre de MxtM
avec l'assentiment de son auteur;
dr. Adam L. Gruen
Chapitre 05
"Dans une communauté démocratique, habituellement chaque citoyen est engagé dans la contemplation d'un objet très chétif, à savoir, lui-même."
--Alexis de Tocqueville--
Le secteur du centre-ville de la vCité appelée le Canyon Plasteel ressemble particulièrement à la scène d'ouverture du film Blade Runner, mis à part la pollution, les flambeaux d'excédant de gaz naturel ou la pluie continuelle. J'étais impatient voir une nouvelle métropole du millénaire avec bâtiments si haut et massif qu'ils ont besoin de leur propre bulletin de prévision météorologique. Ces pyramides du vingt et unième du siècle, j'envisageais, qu'ils soient appelés des "ziggurats."
Un des plus ancien et un des meilleurs emplacements de ziggurat du Canyon Plasteel est le volume zoné Minas Ithil. À sa base à niveau du sol, il occupe un quadrilatère entier de la cité. En l'observant du niveau du sol vers son sommet (cela est plus probant avec un VMC que dans le mode Basé-PC) on ne peut apercevoir son faîte. Je me suis fait dire que sa fondation (ça part du VZ qui allonge dans la direction opposée, "en dessous" du rez-de-chaussée) est aussi profonde qu'il est haut. Les tunnels connectent Minas Ithil au vaste labyrinthe de Souville. Il est écrit que l'emplacement Minas Ithil est la résidence de plus de 100.000 vCitoyens. Et il y a peu près plus de cent édifices juste comme lui dans la région du Canyon Plasteel.
Le portail cathédralesque paré de joyaux de cette tour noire-et-rouge monumental est un célèbre point de ralliement pour les touristes. Les visiteurs qui en sont à leur première expérience de la ville en débarquant à l'Aéroport International de la vCité sont souvent trop impatient pour emprunter le système de transport en commun en direction du secteur de centre-ville aiment être télécharger directement ici, pour qu'ils puissent eux aussi se vanter d'avoir été ébahies par la plus récente expérience de marketing de masse.
Pourtant le fait d'être une attraction touriste fort prisé engendre ses problèmes. Le conseil de coordination d'organisation Minas Ithil a dû se procurer un serveur miroir pour contenir une telle affluence de visiteurs, et, à plusieurs occasions le site s'est disjoncté malgré toutes les provisions. Par conséquent les visiteurs ont commencés à entrer par via des liens secondaires et surabondé plusieurs citoyens qui ne se doutais pas que le ziggurat planterait leurs serveurs. Personne n'avait été en mesure de prédire ce genre de problème de circulation, qu'aujourd'hui nous nommons le "casbar." (je l'ai vérifié récemment. Apparemment, le mot est la contraction du terme cascade échec et fubar, qui lui-même est une anagramme de foutue au-delà de la bienséance reconstituable).
Désespéré, le conseil du Minas Ithil a imploré notre corporation de les aider. Nous avons résolu le problème d'une façon très simpliste en ayant recours à des vKiosks VZ qui servaient maintenant de zone tampon. En d'autres mots, nous avons détourné l'attention des touristes d'entrée de jeu de leur fixation de ce téléporter directement aux ziggurats en leur en imposant le passage obligé que sont les vKiosks ou ils peuvent consulter les instaliens les plus récents. Et ça a fonctionné. Minas Ithil rapporte que le débit de son trafique ne diminua que de 3%, les pannes de serveur elles, diminuèrent de plus de 90%, et la satisfaction des clients augmenta de presque 20%.
Il m'apparaissait évident que les incroyables constructions verticales comme les ziggurats -- de petites villes en somme -- exigeraient de nouveaux matériaux de construction. À la NASA ils avaient un mot pour ce dire: "Unobtainium." Regrettablement, au moment de nommer ce dont nous avons eu besoin pour constituer les secteurs de la vCité, la tasse de mon inspiration était vide. L'unique mot qui me vint à l'esprit était "plasteel," un terme respirant abondamment le cliché SF si en était un. Je ne n'avais pas idées sur lithocarbones aromatiques avant de répartir les zones au moment où j'ai du ce faire pour les besoins de la vCité.
Eh bien. Il y a centaines d'exemples de genre qui sont dénotables dans la vCité, si quelqu'un s'y attarde. Nous avons tenté de terrer de telles erreurs conceptuelles mineures sous un sédiment d'explications semi-plausibles, mais le fait demeure que, si j'avais pu anticiper le futur de la technologie avec exactitude, n'aurais-je pas investi tout mon avoir dans ces marchés?
Une des choses que nous avions correctement prédit étaient le concept de l'instalien comme étant un successeur logique du journal quotidien. C'était l'évidence même. Cela n'a pas exigé du tout d'imagination, simplement de l'observation de ce qui transpirait déjà au milieu des années 90.
Historiquement parlant, le journal était un objet fabriqué du seizième siècle au vingtième siècles. À l'époque il représentait une grande innovation, mais c'était quand: un) pas grand chose de nouveau se passait sur une base journalière; b) le papier-chiffon était bon marché représentait un nouveau médium de transmission chaud, supplantant le parchemin; et c)l'impression est devenue une technologie du traitement de texte fiable. Ce ne fut pas une erreur historique qu'une nation fut rendu célèbre pour ses presses d'imprimerie et ses maisons d'édition --des Provinces Unies de la Hollande-- était aussi vicieusement capitaliste et d'une société principalement dominée par la profession d'armateur de la mer. Les Nouvelles en ce temps traitaient essentiellement de Commerce Internationale, farci de petit potin en marge et de quelques éditoriaux pour remplir les espaces vides. Originellement se furent les commandants qui fournirent ce service d'information à valeur-ajouté, mais la demande pour ces services d'information outre-mer grandi à un tel point que la capacité de la fournir par un homme au cour d'un dîner cordiale ne suffisait plus. Effetivement le journal a si mi à fonctionné comme service de répartition publique.
Par contre, vers la fin du 20th siècle, un) tout changeait simultanément; b) nous avions l'internet, en tant que nouveau médium de transmission chaud; c) nous avions la quincaillerie et logiciel qui, combiné ensemble, engendrait une technologie de traitement de texte la plus fiable qui fut. Les gens du monde entier accédèrent pouvoir du savoir d'Internet, aux moyens d'un modem, d'un ordinateur, d'un logiciel, et d'une imprimante --et dans beaucoup de nations, ceci n'équivalait qu'à moins de 10% du revenu annuel moyen per capita-- pour devenir l'éditeur d'un "journal".
Bref, la cour de l'infodémocracie mondiale est née. Comme il s'avère souvent avec les nouveau-nés, la première chose qu'ils font c'était de balbutiener, de pleurer, de vomir et généralement priver beaucoup de monde de sommeil la nuit.
Comment un "journal" se traduirait dans l'univers de la vCité? Nous nous sommes vite rendus compte que le problème majeur avec le "journal" (ou toutes variations de cela, comprenant les bulletins d'informations, les magazines d'infos, les brèves télédépèches, etc.) était fondamentalement statique --la même problématique se présentait avec les DVDs, les CD-ROMs, les cassettes VHS ou les disquettes. Une fois publié, l'objet devient un artefact. Idéalement le "journal" pourrait mis-à-jour instantanément et retransmissible --en effet, il fournirait un lecteur avec éditions en temps continus. Quelque peu sur le modèle de la radio et des nouvelles télévisuelles, mais infiniment flexibles, malléables et s'adresserait aux intérêts spécifique du lecteur. Non de la diffusion de masse, mais approvisionnant des éléments essentiels à l'épanouissement de différentes sortes de consciences.
Nous avons aussi réalisé que le "journal" (et ses cousins papier) était essentiellement un ouvrage de référence pour société en général. En d'autres termes, si quelqu'un désirait faire ce faire une opinion sur film, il pouvait lire la critique d'un film. Si après coup il désirait le voir, il consultait l'horaire du journal pour voir où et quand ce film était représenté. Mais le journal papier ne fournissait pas lui-même le film, ou un aperçu du film. Il faisait seulement que les rapporter. Il en était ainsi aussi avec les restaurants, ou les événements sportifs, ou les musées.
Dans la vCité cependant, rien n'empêchait quelqu'un de décrire ce qu'il avait aimé (ou détesté) sur son parcours. Si quelqu'un décrivait ce qu'il avait aimé (ou détesté) sur un volume zoné particulier ou un vSite -- par exemple, parcours de vGolf #6-- ils fourniraient les coordonne dans ville pour le vPG6, et que quelqu'un puisse y être télécharger en quelques secondes. En d'autres mots, le "journal" pour le vCité était non seulement un ouvrage de référence du plus haut ordre, tout étant un moyen de transport et de communication. C'est pourquoi nous avons décidé de le nommer l'instalien.
Puisque que la vCité a été créée en tant qu'outil marketing dans un but de simulation, nous nous sommes rendus compte que nous avions besoin de mettre à la disposition des gens à beaucoup d'endroits où ceux-ci puissent aisément disposer d'instaliens. Ceci cause une explosion de créativité intellectuelle qui n'a de précédent qu'en ex-U.R.S.S. lors de la tenu des comités d'organisations de l'état communisme naissant, le Conseil de zonage soumit le nom vKiosk. Eh bien, je suppose que je suis sévère. Il aurait pu être plus pire. Le kiosque est une pièce d'architecture qui date du 17ième siècle, qui est dérivé du mot turc kushk ou pavillon en plein air. Il a fonctionné, alors comme maintenant, en tant qu'une petite tente de laquelle on offre des marchandises et des services.
Plusieurs personnes de notre corporation voulaient concevoir un vKiosk standard et en disséminer partout dans la vCité, mais j'ai argué contre ce point de vu mon raisonnement était que ce si ses personnes désiraient aménager le parc de l'ennui, qu'ils pouvaient demeurer dans le vrai monde. L'avantage d'un vKiosk était qu'il pouvait fournir un nombre infini d'instaliens dans un relativement petit volume de RV. Sa forme peut être plaisante et bizarre aussi longtemps qu'elle respecte parfaitement dans les contraintes des lois de la physique.
J'ai fini par l'emporter sur ce point. De l'aveu général les vKiosks ont poussé comme champignons et ont donné à la vCité une apparence et impression d'être un immense bazar bizarre. Et puis après? En ayant modifié la métaphore, quand on permet à mille fleurs d'éclore, nous prédestiner à aboutir au sein d'un jardin plutôt sauvage.
En réalité les vKiosks ne font pas seulement que fournir des instaliens, ce qui était un autre exemple de la première règle de développement de la vCité: Attendez-vous à l'Inattendu. Quand les gens ont commencé des vKiosks, ils s'y offrirent des instaliens, mais ils ont aussi commencé à vendre des marchandises et des services.
Un exemple typique de bien était ce qui aujourd'hui nous appelons les téléchargements, ou en d'autres mots, des logiciels. Un téléchargement peut être du contenu numérisé d'un simple texte à un scapp. Quelques entrepreneurs, flairant la bonne affaire, ont tôt fait de vendre des graticiels RV utilitaire à des touristes dupes, mais nous sommes intervenus rapidement pour colmater cette brèche par un moyen dès plus simple; l'instruction des visiteurs dès leurs premier instants au sein de la vCité en leur mentionnant que nous pouvions mettre à leur disposition tout les utilitaires RV gratuitement et quand ils seraient devenus des vCitoyens.
Des crapuleux ont aussi vendu des logiciels infectés, mais nous avons du palier à cet égard aussi. La solution à cette forme particulière de télécrime était simple. Je n'ai eu qu'à le mentionner aux rats terrés. Les rats terrés constituèrent, sur le champs, une brigade de surveillance et d'interventions vCitoyennes, une étude à relever leur lieu de prédilection est la Souville dans le secteur des terrés. Leur profil démographique indique qu'ils sont cosmopolites, principalement mâle et âgé de 8-16 ans. Ils passent le plus de leurs temps à télé-plaisanter, comme les gosses et les adolescents aiment le faire. Pourtant si vous leur demandez gentiment d'aider, alors ils essaiment vicieusement et de façon continue au grand dam des télécriminels jusqu'à justice soit faite. Ce n'est pas joli à voir, en revanche, ça fonctionne à merveille. La vCité est virtuellement libre de criminalité, et cela malgré le fait qu'il n'y est pas de polices.
Un exemple d'un service était ce qui est maintenant convenu d'appelé les mapps (Applicaions Marketing). A premier, celles-ci étaient littéralement des cartes de la vCité, que les premiers vCitoyens mirent aux point. Mais cependant, dès la première année d'opérations, la vCité est passé "d'éponge à oignon" et a grandi tellement rapidement qu'il s'avera impossible de dresser une carte fidèle de l'ensemble. Après quoi plusieurs vCitoyens intelligents ont commencé à vendre à des touristes et à de nouveau vCitoyens des mapps en prenant bien soin de s'enquérir sur le genre de choses qu'ils désiraient avoir sur ces mapps. En effet un carte "intelligente" était mis à jour instantanément pour montrer les différents aspects de la vCité pour satisfaire le besoin express du client. Notre corporation trouva cette idée si intéressante qu'elle en fi la promotion dans le vrai monde sous l'appelation de GridUnlock (Marque Déposée) le progiciel et cela s'avèra très profitable. Les agents immobillier du monde entier plantaient nos serveurs en essayant d'en télécharger les récentes éditions ce détaillant à $0.79 la copie, taxent sus là ou celles-ci s'appliquent.
Je me rend à un vKiosks choisi au hasard, voir les instaliens s'y trouvant. Rasheed, a première vu, apparait modeste. Rasheed (je ne sais pas si c'est le vrai nom de son proprio ou pas, mais peu importe --dans le vCité, nous avons un proverbe: "Il peut être virtuel, mais il demeure réel") il vend des instaliens en arabe, en anglais et en hébreu. Je regarde ses titres, je ne vois rien familier et j'avance au vKiosk voisin. Celui-ci est appelé L'Enfant Terrible et vend une variété étonnante d'instaliens, de téléchargements et de mapps. Après une minute de recherche, je découvre finalement le nom d'un instalien familier, un vieux succès en or titré Mac de la Forêt Tropicale.
Le Mac de la Forêt Tropicale est encore un instaliens des plus respectable, dans le coin, il en est à sa cinquième année d'opération. L'éditeur/producteur est une femme que je connais réellement dans le vrai monde, courrier à bicyclette de jour et une hellione de nuit. Elle est une dur, donneuse de coups de pied au cul d'un pragmatisme sans fla fla, elle n'hésiterait jamais à dire exactement ce qui elle pense. Elle fut une des premières vCitoyenes à demander un permi de résidence dans une région de l'arrière-pays et au lieu d'y bâtir une vMaison conventonnelle au sein de la vCité. Elle consacra quatre mois (ce qu'elle affirme) à concevoir et à réaliser une vMaison majestueuse, en somme un palace, celui-ci était niché au haut-pays surplombant une vallée de la Jungle/Foret Tropicale de l'arrière pays. Je n'ai pu me résoudre à la réprimander pour sa décision de s'isoler dans une contrée si magnifique et à toute fin pratique inaltérée. Quand le vrai monde d'une personne consiste d'un pavé l'enfer, pourquoi ne pas rêvasser dans ciel paradisiaque de Forêt tropicale?
La réponse étant qu'il n'est pas une option réaliste pour le monde réel. La vocaton de la vCité est d'être une simulation politico-sociale qui a pour but d'essayer de concevoir un futur perpétuable, et puis alors d'y aller. Les experts de la Jungle et de la Forêt tropicale eurent des attaques d'apoplexies à propos d'elle et de sa simulation. À cause d'elle une guerre de courriel s'ensuivi; dans le procsssus j'en ai appris plus que j'aurais voulu en savoir environ l'équilibre précaire de l'écosystème de la Forêt tropicale. Finalement nous avons refusé de en zoner une route memant si loin, surtout que nous s'y télécharger à ses coordonnées si besoin était. Mais nous avons accepté son héliport.
Quoi qu'il en fut, Mac de la Forêt Tropicale est né. Si quiconque remarquerait mon message au babillard de la Division de la Bonne Volonté, ce serait MacKenzie.
Elle le fit:
[bris]
Pendant ce temps-là, une fois encore le vPopuli sont traités à un exemple splendide de comment le Premier Chérubin aime prendre l'épée en flammes et le manier pour garder les entrepreneurs RV de revenir à Eden goûter les fruits de l'Arbre de la Connaissance.
Qu'est-ce qui cloche avec L'Inspiration Exon Lee Ward [liez-vous-y maintenant]
à part son contenu exécrable? Pourquoi est-il en violation de l'ordonnances de zonage du Confluencia [liez-vous-y maintenant]?
VPopuli, je vous recommende fortement voter non de le référendum à venir.
Je ne plaide pas en faveur de l'emplacement, je plaide en faveur des vôtres et vos droits de vCitoyens de créer et d'examine le contenu que nous choisissons.
R.M.
6e chapitre