"Si une somme de plaisir public est concernée, une association est formée pour donner plus de splendeur et de régularité à l'amusement."

--Alexis de Tocqueville--

Après avoir passé la grande partie de la journée à la lecture des éditoriaux dans les instaliens, je conclus plusieurs choses. D'abord, gens apparaissent plus concernés la prochaine joute du tournoi VitesseLumière que des questions mondaines des choses du genre de comment concevoir un futur perpétuable pour l'avenir de la civilisation.

Deuxièmement, peu de ces personnes ont visité le site de l'Inspiration Exon cependant, en dépit du fait qu'il est hyperlié à partir de la vCité depuis presque trois semaines. Les effets pervers du référendum furent tel que les gens saturèrent les interconnexions menant à cet emplacement et causèrent l'un ou l'autre, soit une une panne de serveur, sinon un profit énorme pour son propriétaire -- imprévisiblement l'un ou l'autres phénomènes, mais rarement les deux. Un référendum de ce genre ne doit pas être dénombré avant que les 20 jours qu'il fut déclaré soient échus. D'ici là, une fortune peut être amassée.

Troisièmement, malgré la portée limitée des arguments, le niveau s'en est élevé, je vois que j'ai de la chance. La majorité est partie prenante pour l'emplacement (et, par conséquent, adversaires de toute proscription) joue et fond de la liberté d'expression et de publier leur cheval de bataille. Et j'ai l'intention les désarmer en étant d'accord avec eux.

Donc, c'est en faisant une note mentale, que je me retrouve au Trou-à-Rat du Canyon Plasteel pour eux c'est le Complexe de Sports et d'Amusement, voir ce que tout l'engouement à propos de VitesseLumière sous tendait. Je pourrais m'y télécharger tout simplement, bien sûr. Sauf que..., quel plaisir pourrais-je en retirer?

Depuis que je suis tout petit, j'entretiens une histoire d'amour secrète avec les trains miniature, et celui que nous avons finalement conçu pour la vCité les battes tous. La vCité bénéficie d'un système dernier cri de rail léger et rapide interconnectant la région. C'est une honte que si peu de personnes l'utilisent au lieu de jalonné impatiemment leur parcourt avec des signets. Peut-être est-ce parce que nous ne l'avons pas jamais déplacé hors du mode de défilement Basé-PC, depuis que la nouvelle rage est le VMC et le ESM.

À vrai dire le système de transport en commun est un des seuls techsimms quasi-socialistes que notre corporation est installé. Nous avions tenu beaucoup de discussions sur cette technologie, en fin de compte, ni nous ni les consultants du transit surent comment résoudre l'épineux problème de l'accès garanti et universel au sein d'un marché libre et ce en maintenant la sécurité du système et son efficacité.

Nous avons décidé que le système techsimm de transport serait probablement dirigé par des corporations publiques ayant des contrats à long terme avec le gouvernement local, qui chargerait essentiellement un prix modique fixe en échange pour qu'en contrepartie un plafond sur le prix du billet soit maintenu et par conséquent, les profits.Les passagers achèteraient le billet/jetons à des guichets automatisés; le prix du billet/jeton dépendrait de la distance à parcourir et des heures d'affluence. Des laissez-passer gratuits seraient octroyés à tous les touristes et quiconque affirmerait être incapable de défrayer le prix du billet. Pour encourager les usagés à ne pas abuser du système (il n'y aurait pas de répression), le billet/jetons servirait comme billets de la loterie, et les gagnants recevraient toutes sortes de gracieusetés. Ceux qui ne pouvaient pas payer leurs billets/jetons feraient don de leurs mains d'oeuvres/expertise l'entretien du système pour participer dans la loterie du transport en commun.

Le système de rail léger fut programmer pour opérationnel de 05:00 à 24:00 VCT pour la commodité des banlieusards à et des faubourgs régionaux. Il se connecterait, sans escale au Réseau Rapide de Transport (R.A.T.), un système fonctionnant de façon continue pour la commodité de concitoyenneté du centre-ville de la vCité proprement dite et des banlieues les plus denséments peuplées. Le R.A.T. est caractérisé par des stations sous et sur terre. Les deux systèmes, bien qu'interconnectés à huit points transfère en T par par voie piétonnière à l'abri des intempéries et se rapportent au même centre de coordination et ceux de transport urbain, opérerait functionnellement indépendamment l'un de l'autre. C'est pour la laquelle nous avons conçu que R.A.T. de façon à ce qu'il soit hautement automatisés et utilisant intensivement des moyens technologiques; les règles et la formation appliquée à sa construction, son opération sécuritaire, son entretien et sa réparation serait plus complexe et ne serait probablement pas approprié pour un système plus rudimentaire de rail léger. Par exemple, le personnel d'entretien et les robots du R.A.T. devraient des quarts de travail en paquet; alors que les équipages du rail léger peuvent travailler de façon ininterrompu entre les heures de 00:01 et 04:59 TCV.

Nous nous sommes dit qu'il y aurait une saine rivalité entre le personnel les deux systèmes. Le personnel de R.A.T. serait hautement rémunéré, des professionnels bien formés, principalement ingénieurs informatiques et des gestionnaires, tiré des rangs du personnel du rail léger ou du niveau collègial. Le personnel du rail léger tendrait à être plus jeune, donc, plus relaxe et verrait ceux du R.A.T. soit avec étonnement ou comme une possible voie à l'avancement d'une carrière.

Le système du rail léger a été conçu pour alléger l'embouteillage de la circulation des régions à basse densité et celles de moyenne densité; il y aurait un élément essentiel le circuit serait en forme d'anneau, convergeant vers le centre de celle-ci quelques rayons. Ainsi donc les banlieusards n'auraient pas à passer par le centre-ville de la vCité pour aller où ils s'en vont. Le horaire typique pour les wagons aux heures hors pointes est une affaire de deux voitures, mais quelques trams offriraient de 3-6 voitures tout dépendant du trafic prévu par le système prévision des flux de transport.

Les voitures sont confectionnées par la Corporation EEB (une corposimm) qui possède deux usines de fabrication et un quartier général dans le vCité. Les voitures Kleinwagen d'EEB asseyent 64 passagers et ont une capacité totale de 80. Elles sont conçus pour convenir aux besoins des banlieusards et en vante plusieurs attraits y compris l'accès complet et matériel spécial pour les handicapés, de larges et confortables sièges réglables, des fenêtres à polarité variable (le genre ça peuvent passé électrochimiquement de translucide à opaque à l'appui d'un bouton), de panneau sono/vidéo individuelle avec connexions ISDN, de spacieuses soutes à bagages, des portes bicyclettes, installations/toilette/douche/salle d'habillage et dispenseur automatisé de nourriture et boisson. Les voitures fonctionnent à l'électricité sur un troisième rail et sont équipées avec deux moteurs jumelés capables d'atteindre approximativement une vitesse maximale de 90 km/h. Dans l'avènement d'une panne de réseau généralisé, des piles au LiH d'urgence fournissent assez de pouvoir pour déplacer le car à la prochaine station du rail. Chacunes des voitures est autoguidé et peu logé un maximum de deux membres d'équipage dans sa cabine.

Les stations du rail léger, nous avons décidé, aurait style architectural plaisant donc coloré et unique à chaque station pour quel reflète le caractère unique de ces résidants. Elles seraient conçues pour la commodité du banlieusard et comporteraient d'ample stationnement et luxuriantes aires d'attente climatisée. Quelques-unes des plus extravagantes auraient aussi des concessions en tout genre, des vKiosks, des cafés, ce genre de chose.

Le R.A.T., par contre, a été conçu pour une chose et bien la faire: mouvoir des grandes masses de gens de façon continue d'une région à haute densité à d'autres endroits où le flot de la circulation est à son comble. Nos études ont démontrés que le R.A.T. coûté cher à entretenir et mette à jour, mais il s'avère meilleur marché comparativement à la catastrophe environnementale et sociale qui résulterait de son absence.

Il y a trois "trames" R. A.T avec deux points de transfert intrasystemes, à Confluencia et au centre-ville. La Rivière ou la "R" s'étant de l'Ouest Abordable à l'axe de l'Aube du Sud. L'Aéroport ou l'"Une" s'étirent à partir de l'Aéroport Régional de la vCité à la Rivière Haute. Et celle de la Baie ou la "B" sillonne du centre-ville au Complexe Portuaire. Le train typique aux heures hors-pointes à quatre wagons; pendant les heures de pointes et quand les conditions de circulation le justifient, trains ont de 6 à 8 wagons.

Les wagons R. A.T. sont des merveilles technologiques conceptuelles, conçues et fabriquées par la Corporation USNIWA (une corposimm) avec ses deux usines de fabrication et son quartier général situé dans la vCité. Les wagons Wa d'USNIWA ont une capacité totale de 220 personnes principalement parce qu'ils n'ont pas trop de sièges. Ils sont conçus pour la commodité du système et pas nécessairement pour l'utilisateur. Par exemple l'accès y est limité pour les handicapés. Cependant, là où cela s'avère possible, il se trouve quelques touches agréables, y compris: des systèmes "intelligents" pour assurer la sécurité du passager en prévenant les accidents au seuil des portes coulissantes; des modules d'accentuation de signaux pour la communication sans fil en continus lors des transports et même en traversant sous les tunnels et au sein du réseau souterrains; des écrans vidéo directionnels affichant des données (pour la pub et l'infotainment); un système de contrôle environnemental ingénieux qui contrôle la qualité de l'air (comprenant les vaporisations aromatiques); une cale stabilisatrice contenant un gel-liquide pour les promenades lisses. Les wagons Wa sont construits pour durer et pour entretenu par des robots. Ils s'alimentent par induction électrique à partir d'un troisième rail et est équipé avec moteurs de jumelé capable d'une vitesse opérationnelle sans danger d'un maximum de 85 km/h. En cas d'urgence les piles LiH peuvent fournir assez de pouvoir pour mouvoir le train à la prochaine station dans l'éventualité où il cesserait de fonctionner lors d'une panne de réseau. Chaque voiture est autodirectionel et a une "nolo cabine" invisible d'où "l'équipier", qui lui se trouve réellement assis dans une pièce dans le Centre R.A.T, guide télévisuellement le train.

Les stations R. A.T. sont conçues pour deux choses; la commodité du passager et sa sécurité, aussi bien que pour contrôle des foules. Il n'y a pas d'"empacteurs" entassés les personnes dans les wagons parce que les plates-formes d'abordage sont distinctes et adjacentes à la région de l'attente. De multiples barrières "comptent" le dénombrent la quantité appropriée de passagers et agissent comme des membranes entre les deux régions. Par conséquent, de temps à autre de l'entassement peut se produire avant les barrières mais aucun ne se produit après que celles-ci sont franchies.

Eh bien, presque aucun. Le système n'est pas parfait parce qu'il implique des êtres humains --pour quelque raison, les passagers, même en mode Basé-PC, ont une tendance à vouloir prendre place dans un wagon spécifique, habituellement à une ou l'autres extrémités de la plate-forme. Cela explique parfois les délais irritants rappelés par une agréable voix artificielle qui signalent aux êtres humains que "l'espace est disponible dans les autres wagons du train."

Bien sûr, tout de ça n'est qu'un simm utopique. Aucun argent n'est réellement transmis dans un monde RV, le réseau lui-même est le système de transport en commun.

Donc qu'est-ce que tous nos valeureux efforts nous donnèrent à la fin? La vCitoyenneté a uriné sur le concept d'une grande altitude. Ils ont nargué le Rail Léger comme étant le "Léger Rail" ( "même service super que le rail lourd, mais seulement un tiers du coût"). Et ils ont surnommé le R.A.T. les paliers souterrains; des "trou-à-rat."

Oh bien. Nous avons un proverbe dans le bizness de la vCité: "vous ne pouvez pas faire un simm des personnes." Il est difficile de mesurer l'efficacité d'un concept de transport dans un monde virtuel où les gens peuvent se télécharger n'importe où ils veulent, n'importe quand, avec aucun risque de mort ou de blessure (excepter l'occasionnel épisode de barfogénu induit par l'ESM).

J'aime encore utiliser le RAT, ainsi que certains autres. D'après nos stats il est encore populaire chez les vCitoyens Belges, Hollandais, Allemands, Japonnais, Coréens, Singapourois et Taiwannais de tous sexes, de la tranche d'âges des 35ans et plus. Et nous disposons d'un noyau indéfectible de supporteurs mondial d'enthousiastes ferrovipates-- assez étendu pour que nous puissions vendre de la pub à cette communauté. Donc le techsimm du système de transport en commun persiste, prit à jamais dans son mode basé-PC bientôt-rendu-obsolète.

Quand le train s'immobilise à un arrêt, un nombre semi-aléatoire de scapps de passager sort par les portes du train sur la plate-forme surélevée du côté droit. En défilent en dehors les portes, quelqu'un y verrait un panorama splendide se déployer: le Complexe S&A, kilomètre après kilomètre d'étendues verdoyantes ouvertes, des terrains de golf, des bâtiments de tous genres, des stades, des pistes, des structures, des lacs, des falaises d'escalades, des parcs, et caetera. Ici le soleil a toujours l'éclat de midi tapant et brille dans un ciel bleu. Des scapps de Cumulus se prélassent paresseusement à une altitude de 5000 mètres. Les occasionnels mouvements de scapp d'avion ou de dirigeable au loin.

Le Complexe S&A , ou seulement le "S et A" comme il est ainsi appelé autant par les masses de buveurs de bière de la Coline de l'Aube que par l'élite qui sirote-du-champagne de Houghty, est un centre de villégiature, d'amusement, de loisir et de sport d'une sorte qui n'a jamais été donner de voir. Propriété de et géré par un consortium de concessionnaires privés a appelé le Cartel de la Bonne Fortune (GLF), le S&A se caractérise par ces arènes et des installations pour presque chaque genre de sport et amusement qui soit. Et beaucoup de ceux-ci n'existent pas encore formellement.

Une exception à cette règle étant la lutte professionnelle. Très tôt sur dans la vie de la vCité, quand j'étais encore sous l'emprise de mon vGruau, j'ai interdit le site en le qualifiant de "stupéfiant" après avoir été témoin d'une joute de démonstration. Il m'a m'apparaissait de loin inférieur au site de lutte Sumo. Cette tentative flagrante d'imposer ma "vision mondiale" sur le vCité fut ma première et ma seule erreur; elle a causé un tsunami de courriel et après coup je me suis adouci. Par la suite, nous avons toujours eu recours au procédé référendaire. J'ai appris ma leçon. J'ai appris que Dieu seul peut enlever la lutte professionnelle de la civilisation. En tout cas, ce qui est drôle c'est qu'en rétrospective, il y eut beaucoup de personnes qui furent d'accord avec moi et qu'à la fin, l'emplacement s'est écroulé de faute de support. Et, dans les cinq années qui suivirent ce moment-là, personne n'a essayé d'en ouvrir un nouveau.

La GLF est une corposimm d'un genre spécial, depuis qu'elle représente la façade deux vraies corporations du monde réel dans la vCité, aussi bien que les autres vraies corporations qui prennent part à la mascarade permanente de la vCité, elles sont toutes des vendeuses du monde des idées et elles l'utilisent comme banc d'essai. Il y a beaucoup de volume ouvert au développement de nouvelles installations; le cartel est ouvert à tout venant. S'il osait ce faire dans le vrai monde, en retour d'être libre-de-frais-de-location dans le vImmobilié de la vCité, le GLF prélèverait un pourcentage fixe sur tous profits et les commettrait à un fond consolidé des revenus locaux généraux. Comme il est courant dans notre corporation nous ne demandons seulement à la GLF de bien s'autogéré et de résider gratuitement. Tout ce que nous lui nous demandons c'est qu'elles soient agréables à vivre.

Nous savions dès le début que la S&A serait utilisé comme un outil de prototypage analogue au vrai monde, et nous n'avons pas été déçus. L'idée derrière la vCité qu'elle servirait d'outil de marketing était, après tout, de servir comme banc d'essaie pour les concepts trop cher et risqué à tester dans marché du vrai monde.

Un exemple éloquent fut celui de l'Association de Football Américain Planétaire. L'AFAP est une corposimm qui sert de devanture pour le cartel du Football Américain (Marque Déposée) du vrai monde. La corporation du monde réel derrière l'AFAP a approché notre corporation avec l'idée d'installer une ligue virtuelle avec des vJoueurs et des programmes de vSimm du sport. Naturellement ils ont eu besoin aussi d'un vStade. Ce contrat nous rapporta dans $500 000 en vrai argent, ce qui au début des années 2000 représentait une coquette somme.

Le vStade de la vCité Numéro Un est luxueux en tout point. Bien au-delà-de-la-fine-pointe, une installation qui assit 80.570 convives. Des systèmes "Intelligent" de contrôle et de conditionnement du climat et du drainage du sol. Son entretien est robotisé. Un stade muni d'un dôme complètement escamotable donc utilisable à l'année longue. Son sol est recouvert de gazon naturel. Sa fondation, faite de d'un gel-liquide stabilisateur estompe les vibrations harmoniques et prévient les dégâts en cas de tremblements de terre.Des étouffeurs sonores dégonflables. 362 "des-loges-de-luxes-hautes-perchées" louées aux plus offrants. Aucun mauvais siège ou de vues obstruées par endroit. 42 caméras hautes définition contrôle-et-opéré-à-distance. Les box de presse ont un lien satellite direct. Tous sièges sont réglables, capitonné, muni d'un socle à tasse/bouteille, le nécessaire en sono/vidéo et une entrée/sortie de port ISDN et amplement d'espace pour étendre ses jambes. Des grands écrans Haute-définition, se retrouvent partout. Plus de salle de bains par personne que tout autre stade jamais conçu. De l'excellente nourriture, boisson et des concessions détaillant des prix très raisonnables. Centre commercial interne, hôtel, centre d'achat, d'amusement et des jardins. L'accès y est excellent pour les handicapés. Des modules d'accentuation cybernétique spéciaux sont disponibles pour qui à une ou des facultés affaiblies ou désirent les accentuer. Un service de gardiennage pour enfant y est également disponible. Finalement le stationnement y est gratuit.

Utopique? Bien sûr, c'était l'objet de l'exercice. L'idée était d'essayer de découvrir ce que les personnes considéraient comme essentielle, agréable-à-avoir, ou d'inopportun. Parce qu'aucun de cartel de sports, de promoteur de la construction, de ville, ou de banque donneraient son aval à la construction d'une telle chose sans avoir fait au préalable une analyse du marché titanesque et même si elle était faite, elle hypothéquerait leurs souscripteurs pendant six générations. Avec ce genre de risque à jugulé, ils avaient besoin de quelque de ce genre d'assurance, et c'était ce qui avait fait que S&A de la vCité avait été mandaté de faire.

Pourtant, une chose très bizarre s'est passée avec l'AFAP. Il s'est avéré que gens plus intéressés à regarder les activités de la ligue virtuelle que répondre à ses études de marchés. L'AFAP a procuré l'information que le cartel du monde réel voulait, mais il fut découvert aussi que les vCitoyens étaient friand des joutes virtuelles et l'assistance ce représentait dans les millions. La simulation, comme ils furent à même de le constater, leur apparaissait plus intéressante, l'action avait des dénouements plus rapides, abordables et plus accessibles que le vrai sport lui-même. Il commença engendré des revenus appréciables. Leurs propriétaires du vrai monde furent éprit de joies, dès alors car ils n'avaient plus à négocier avec les syndiques de joueurs. Plusieurs lettres très désagréables de la part des vraies syndiques de joueurs du monde réel, nous furent adressées. Cependant, leurs lettres nous affectaient en rien comparativement aux missives vitrioliques que les banques qui possédaient des vrais stades du monde réel et les réseaux de télédiffusion détenteurs des droits aux joutes du vrais monde, qui nous parvinrent. Ils furent pétrifiés que le vSport coupe dans leur part d'auditoire et dans l'assistance de leurs stades. Ce différend fut réglé hors court il y a deux ans. Mais je ne suis pas à la liberté de vous divulguer les termes de l'accord. En fin compte? Beaucoup de tarte pour tout le monde.

Quand les autres corporations de sports ont vu ce qu'il en retournait, elles aussi réclamèrent la conclusion "d'accord" pour développer des simms au S&E. Nous avons négocié des accords avec chacune d'entre elles. Je ne peux pas aller dans les détails de l'un ou de l'autre de ces contrats, excepter que je peu dire que le revenu annuel total que nous recevons d'eux représente environ soixante fois les coûts d'exploitation de la vCité.

La Ligue du Base-ball Planétaire (une façade d'une corposimm d'une Marque déposée d'un vrai cartel issu du monde réel) a payé pour la conception du Ballpark Un de la vCité. Il est luxueux lui aussi si l'on se fit au standard qui caractérise genre d'établissement exception faite de celui mentionné précédemment, le stade du base-ball assied seulement 48,430, il a moins d'aménagement luxueux et d'espace de parking, et n'abrite pas d'hôtel. Ca conception architecturale extérieure imite le style "du-tournant-du-siècle" d'un genre semblable au Parc Fenway. Les sièges du champ sont très près du terrain de jeu. Celui-ci peut-être réglé, ces grillages intérieurs et externes sont rétractables ainsi qu'un mur "brique et lierre". Un tableau d'affichage "vieux style" au niveau du terrain de jeu est opéré-par-un-robot-à-la-main. Des détecteurs laser "virtuels" déterminent automatiquement les fausses balles et le coup de circuit; un autre détecteur laser "virtuel" détermine la zone des prises mais dans l'axe horizontal (l'arbitre encore juge les balles "hautes" ou "basses"). Tous les sièges on le nécessaire interactif sono/vidéo via un panneau-écran tactile donc les fans peuvent examiner une reprise, mettre à jour les statistiques et les feuilles de pointages, et faire part de leur opinion électorale comme "marqueur officiel" pour déterminer les coups sûrs versus les erreurs, les lancés raté contre les buts sur balles, [etc].

Le PBL mena sa ligue un pas plus loin, et encouragea les vCitoyens à développer leurs propres équipes et ligues. Tout est devenu un étrange mélange de base-ball d'arcade et du base-ball vrai monde basé télé. Quelquefois quand je passe devant un écran du monde réel et que j'y vois une joute de base-ball ayant lieu, je ne sais pas honnêtement si ce que je regarde existe réellement en fait. Est-ce que c'est la vraie réalité, ou est-ce la réalité virtuelle? Est-ce qu'il y une vraie différence? Elles sont toutes des questions d'affaire.

Avec le succès de l'AFAP et du PBL, les vannes furent, toutes grandes, ouvertes. Maintenant le Complexe S&E a un Colisé, le Palais des Glaces de la vCité, l'Arène des Eaux de la vCité, Les Courts, Les parcours de vGolf de Woodhills Parc du numéro 1 au 12ième trou (très populaire chez notre vCitoyenneté Japonnaise), (un terrain de golf vDisc), un club de de tir de Fusil & de Pistolet, et la Gare de Pineforest (une arène de vKriegspiel, très populaire avec mâles de tous âges). Le vSports a l'affiches incluent le football d'intérieur, le soccer, la crosse, le jai-lai, le disque ultime, le cyclisme de compétition, le hockey sur glace, d'autres sports de de glace & d'amusement, le basket, le volley, le racquetball, le handball, la gymnastique, la lutte greco-romaine, la lutte sumo, la boxe, les arts martiaux, l'escrime, la danse acrobatique, le tennis, le court à double disque, les sports de raquette de tous genres, les petites et grosses quilles, le tir à l'arc, la nage, le plongeons, et le water-polo.

Les vCitoyens eurent de houleux débats sur la question de la tenu ou non des courses de chevaux. Il n'y avait rien mal avec la simulation de course chevaux construite pour le S& E par la Corporation Très hors circuit de Paris (une corposimm, don le nom est vrai une vraie Marque Déposée). VOTB n'a violé aucune consigne de zonages. Il n'y avait même pas de quoi de mal avec télégambling, aussi loin que nos avocats puissent chercher, il n'avait pas d'échange de vraies monnaies du monde réel d'impliqué sur ces serveurs localisés aux États-Unis. L'objection principale est venue d'activistes des droits des animaux, qui désapprouvaient une simulation de courses de chevaux sur la base que l'exploitation d'animaux à profit était un futur ni désirable ni perpétuable.

C'était un différent difficile à trancher alors c'était le vPopuli qui devait le faire. Est-ce qu'en tant qu'animaux les êtres humains ne pouvaient pas l'être aussi? Et si les êtres humains ne peuvent pas être exploités pour un profit, alors la prémisse entière de la démocratie capitaliste était fondamentalement vétuste. Dans les mots d'un de mes ex-collègues sur le Conseil de zonage de la vCité, "Oy Gevalt."

Mais à la fin, nous avons tenu un référendum, et l'emplacement a été interdit. Sur l'Occams du Rasoir pèse et c'a avait la passé de près. La porté de la question ce distille ainsi: les êtres humains exercent leur libre arbitre et raisonnent, par conséquent entre certaines limites, peuvent s'exploiter les uns les autres (excluant l'esclavage qui est sur la liste noire); parce que les animaux non-humains ne disposent pas du libre arbitre et de la raison, l'exploitation humaine d'animaux non-humains pour le profit doit être proscrite, et par conséquent pas de courses d'animaux, de zoos, ou de cirques. Le contre-argument allait comme suit : comment? vous considérez les animaux non-humains dépourvus de raison et sans libre arbitre?

Il y avait aussi une tangente qui a causé plus de controverse. Ceux qui disaient qu'en somme ceux qui plaidaient en faveur des droits des animaux étaient en grande partie intéressés au sort des mammifères et pour des raisons évidentes. Ils ont soulevé naturellement la question de la viabilité et la perpétuabilité de pratiques telles que l'élevage du bétail, l'exploitation d'un ranch, l'élevage des lapins pour la recherche médicale, pharmaceutiques et pour tester les produits de beauté. Mais les animaux non-humains couvraient de bien plus vaste territoire y comprenant; poissons, oiseaux, insectes, arachnides, mollusques, amphibiens.

Dans un cas il y avait un volume zoné sur la plage et des dunes de sable nonloin de Sansprétention un établissement opéré par un type qui faisait la promo et la vente d'électricité produite par des anguilles électriques. Il y avait rien de mal avec son concept RV --il était bien dans limite de son VZ-- et j'ai pensé que la perpétuabilité organique de son idée était plutôt intelligente. Néanmoins un référendum fut tenu et sur la base cette fois de l'électricité générée par ses anguilles. La décision fut que peut être qu'elle était une technologie appropriée pour nous, elle ne l'était pas pour les anguilles. Si je me souviens correctement, l'emplacement ne fut pas éradiqué après le propriétaire eut promis de prouver que les anguilles étaient heureuses, bien nourrie, et qu'elle n'éprouvait aucune sensation de douleur! Comment il avait l'intention de le prouver c'est quelque chose qui demeure un mystère.

En tout cas, nous avons atteint le nadir (ou zénith, dépendant du point de vue du sujet) de ce qui peut-être controverser quand quelques personnes ont commencé a plaider en faveur des droits de toute forme de vie y compris la végétation. Il fut question des fleuristes et de l'agribizness, et s'ils avaient le droit d'exploiter et tuer des fleurs et des plantes pour leur propre intérêt capitaliste. Comme le même collègue plus dit après le fait, "Oy Gevalt au carré." En effet, c'était talmudique.

Tout ce que cela me rappela la plaisanterie du vendeur de vison qui affirmait à qui voulait bien l'entendre que tous les visons impliqués dans la confection commirent des suicidés. Bien sûr, pour beaucoup de personnes sur le net, l'apostolat de la vie n'est pas un sujet de plaisanterie. Nous n'en sommes pas venus à conclure une résolution sur la sanctification souhaitée de notre devenir à venir. Je pense que quand nous avons inauguré la vCité nous savions pertinemment que des discussions sociaux-politiques allaient avoir lieu. Peut-être que cela était, aussi le point en question.

À propos de VitesseLumière maintenant.

VitesseLumière est un jeu qui n'existait pas, jusqu'à tout récemment, dans le vrai monde. Il a été inventé pour être un sport pratiqué dans la réalité virtuelle par une corporation de marchandises de sportives (Marque déposée) qui avait commencé en tant que fabricant de chaussures. Cette compagnie de chaussure qui a étendu sa gamme de produit pour y inclure les patins-à-roue-alignées. Maintenant elle est devenue une gigantesque entreprise de franchisage et de marchandages du domaine sportif. Quelqu'un dans la haute hiérarchie de ce mastodonte corporatif décida que, ce qu'ils avaient vraiment besoin de faire, c'était de stimuler les ventes de "rollers" et du protecteur matériel qui y est associé, en créant de toutes pièces, un nouveau sport. Après coup, ils pouvaient s'accorder toutes les licences associées avec ce nouveau sport: non seulement le matériel, mais aussi les jeux, les stades, les ligues, les droits de télédiffusion, les collectionnables, les Maillots, et caetera.

C'était une idée brillante avec un problème majeur. Le risque. Personne ne savait vraiment si un sport créé artificiellement susciterait l'enthousiasme, et la pénalité d'un échec dans de telles circonstances serait des pertes massives. Donc ils sont venus à la vCité dans l'espoir d'en faire la mise en marché virtuelle avant de s'engager dans le vrai monde.

Le jeu VitesseLumière emprunte à beaucoup du jeu Disque Ultime et du hockey de rue. Il ce joue sur une surface lisse, dure ayant des proportions rectangulaires d'approximativement 40m x 80m, chaque équipe est composé de cinq patineurs et d'un gardien de but, ils tentent de se passer un disque les uns aux autres et manoeuvre vers le but de l'adversaire (aussi appelé le "filet"). Si le disque dépasse le gardien de but et ce loge dans le but, il est considéré comme un point. La première équipe qui marque 13 points gagne la joute; cependant, l'équipe gagnante doit remporter la joute par au moins 2 points. Une joute ne prendre fin sans cet écart de pointage (13-12 ou 14-13, et caetera).

Les règles du jeu sont fondamentalement simples. Quand un joueur est en possession du disque, ce joueur ne peut pas patiner mais il peut rouler en utilisant son momentum (ses deux pieds doivent toucher la chaussée en tout temps). Un joueur peut passer le disque à un coéquipier à n'importe quel moment; cependant, si le disque touche le parterre dans la zone de jeu pour toute raison, il est considéré comme un "revirement" ou un "échappé." Un joueur de l'équipe opposante prend possession du disque au point du revirement. D'un tir-au-but résulte l'une ou l'autres choses; soit qu'il est bloqué ou attrapé par le gardien de but, ou devient un point s'il échappe à sa vigilance et se loge dans son but.

Il y a beaucoup d'autres règles mineures définissant que tel coup porté au corps est illégal, mais en sommes, cela résume assez bien comment jouer a VitesseLumière.

Dans un contexte de réalité virtuel ceci se traduit réellement assez bien. Chaque joueur revêt un VMC des gants et pantoufles d'ESM. L'ensemble des douze joueurs se "voient" dans la représentation virtuelle et non seulement le terrain, mais aussi les avatars connectés de leurs coéquipiers et adversaires. Le "disque" qu'ils se passent de long en large est représenté par un disque lévitant multi-colore lumineux. Le pointage est affichée pour chaque joueur avec d'autres informations additionnelles qu'ils peuvent souhaiter savoir tel que la vélocité du vent, le nombre de minutes que les joueurs de l'équipe opposante ont joués, les pourcentages de réussite, les points marqués, ce genre de chose.

J'ai essayé d'y jouer une fois et je l'ai trouvé extrêmement exaspérant. Une chose en partant, je n'aucun talent de "patineur", au tout cas pas dans une paire de pantoufles RV. Ce n'est pas difficile positionné debout et si on se tient tranquille --on peut toujours refiler la rondelle à un coéquipier-- mais cela s'avère extraordinairement contraignant une fois "en mouvement." J'ai constaté que je ne cessais jamais de sortir hors des limites parce que, tout simplement, je ne savais pas arrêter. Et il est très gênant de glisser hors zone et entendre, ou lire, des commentaires de vos coéquipiers serviables interconnectés tels que "Tête de noeud!" ou "Trou du cul!" Bien qu'il y est une certaine qualité rafraîchissante dans l'écoute de langage ordurier dans une langue étrangère exotique.

VitesseLumière s'est avéré énormément populaire. Presque immédiatement, les enthousiastes ont formé une Association vVitesseLumière complète avec des horaires, des statistiques misent à jour à toutes les heures, des tournois, et des prix. Je trouve tout ça très étrange et peut-être un peu décourageant. D'une façon ou d'une autre dans mon esprit, le sport était toujours le dernier bastion de la camaraderie et de l'amitié --sans mentionner de l'exercice physique. Maintenant les gens peuvent pratiquer des sports d'équipe et cependant être complètement seul; ils peuvent appartenir à une équipe dont les membres ne se rencontreront jamais, à moins qu'ils consentissent l'effort pour ce faire. Est-ce un aperçu du futur?

Peut-être pas. Une fois que la corporation des marchandises de sport a découvert qu'elle avait un gagnant entre les mains, elle a entamé la production dans le monde réel et a fait une tonne de publicité sur son nouveau sport "VitesseLumière". J'ai vu le jeu se joué sur des terrains vagues, des parkings sur les rues partout dans le vrai monde, et les gens --surtout les gosses-- semblent vraiment l'apprécier. Alors peut-être que je ne suis juste un vieux chambranlant, qui pleurniche comme ses aïeux le firent avant lui lorsque l'innovation sociale fait que je ne peux pas comprendre et que je ne souhaite pas participer.