vCité 1.0
Traduction libre de MxtM
avec
l'assentiment de son auteur;
dr. Adam L. Gruen
Chapitre 07
"Il est évident pour tous et chacun qu'une grande révolution
démocratique à cour parmi nous; mais tous ne l'aperçoivent pas dans la même
lumière."
--Alexis de Tocqueville--
Il y a des fois que la vie de la vCité traverse dans et affecte le
vrai monde. Je ne me rapporte pas n'importe quel concoctions de réalité et de
rêve du dépeint dans La Rose Pourpre du Caire de Woody Allen. Il apparaît
seulement que souvent ce qui transpire dans la vCité est par définition,
politique. C'est une forme plus pure de politique auquel nous sommes habitués
à laquelle nous qui nous buttons à cause de la lenteur du vrai monde don nous
sommes libéré à la vCité. Vu que c'est politique, c'est à notre esprit, et
parce que c'est à notre esprit, c'est vrai. Et parce qu'il est vrai, ce fait
rend les chefs nerveux. Ils ne savent jamais vraiment vers où la parade
s'achemine et la voie qu'elle a l'intention de prendre la prochaine fois, donc
ils doivent constamment jeter un coup d'oeil pardessus leur épaule déduire où
il faut conduire la marche de la civilisation.
Tard dans la journée je m'assieds à mon bureau dévorant une
collation de pretzel quand le téléphone sonne. C'est mon patron, la tête
dirigeante de la compagnie. Numéro Six de la corporation.
( "Qui est numéro un?" "VOUS êtes numéro six")
C'est très exceptionnel; n'importe quoi qu'elle doit me dire,
normalement le serait par courriel. J'avale rapidement -- étant donné que ce
que je mange est plus dur et sec que du cuir de chaussure, un exploit en
soi.
"bordel mais qu'est-ce qui se passe?" dit-elle
sèchement.
"À propos de?"
"J'ai eu trois appels, aujourd'hui de journalistes me demandant
notre politique concernant la pornographie virtuelle."
"En avons-nous une?"
"Mais, j'en sais rien," admit-elle. "Vendons-nous de la
pornographie virtuelle?"
"Non."
"Alors pourquoi ai-je des appels à ce sujet?"
"Il y a un emplacement hyperlié à la simulation de la ville qui en
est un."
"Est-ce légal?"
"Dans les Bahamas, ce l'est. C'est là où l'argent va, et c'est où
l'emplacement est localisé."
"Mais nous ne pouvons nous coupable par le simple fait d'être
hyperlié à lui?"
"Non. Il n'est pas illégal rapporter une adresse IP ."
"Encore." Elle songea. "Nous ne devons pas probablement. Il peut
être interprété à contresens comme étant un soutien en faveur de la
pornographie, ce que nous n'endossons pas."
"Nous n'avons pas vraiment le choix."
"Quoi? Simplement enlever le lien!"
"Nous ne pouvons pas le faire. D'abord, si nous le faisons, nous
reconnaissons que notre corporation refuse de transmettre un index référentiel
de contenu numérisé basé sur son contenu lui-même. Ce serait comme retirer un
numéro 1-900 d'une section d'affaire des Pages Jaunes parce que celle-ci
concerne l'offre de conversation sexuelle téléphonique. Une fois que nous
aurons fait cela, nous ouvrons la porte à des procès intentés par quiconque ou
presque qui se dit offensé pour tout ou rien. Deuxièmement, que nous perdrions
beaucoup d'affluence, parce que nos simulations ne simuleraient que ce que
nous considérions comme convenable ce qui n'est pas, avouons-le, une
proposition marketing très alléchante? Et troisièmement, ce serait un
cauchemar de relation publique." il y eu une courte pause.
"Est-ce qu'Il pourrait invoquer le Premier Amendement?"
"Réellement, c'est plus une question d'Accès
Non-discriminatoire."
"Merde. Alors, qu'allons-nous faire?"
Maintenant..., Ce qui je fais à ce propos. Pas ce qu'on doit faire
en ce qui me concerne. Il y a une nuance subtile là qui ne peut pas demeurer
inaperçu. Le sort en est jeté.
"j'ai demandé notre clientèle de décider s'ils souhaitent
continuer à recevoir le lien comme il est enregistré. Si une majorité simple
choisit de changer son registre, alors nous pourrons retirer le lien. La
démarche référendaire publique satisfait le critère légal qui motive le
changement et justifie le fait qu'il n'a pas été fait pour raisons
arbitraires, de restreinte sur le commerce, ou l'une l'autres de la douzaine
de raisons discrimination possibles."
"Mais...Est-ce que cela ne violerait pas de la liberté
d'expression?"
"Non. Parce que si nous retirons le lien, l'emplacement est encore
là. Les gens peuvent encore s'y rendre via l'Internet. Seulement pas par
l'entremise de notre simulation."
"Vous avez vérifié avec l'OBV sur ce sujet?" Elle voulait dire le
Bureau de Délibération Générale, notre division légale.
"Absolument, il y a des années de ça. Le cas de Jurgen v. ADCI
Réseau fut éclairci en 99."
"Oh. Eh bien, bon. Faites-le-moi savoir quand le lien sera
retiré."
"Peut-être qu'il ne le sera pas."
"Quoi?"
"Les votants peuvent décider le de garder où il est."
"Foutue infodémocracie!" elle fuma, en ajoutant alors, "Vous
n'avez pas entendu ce que je viens de dire."
"Entendu quoi?" Lui ai-je répondu.
"Bonne réponse. Eh bien, quelle est la solution? J'ai des
journalistes à mes trousses que je dois rappeler et je ne veux pas que cela
nous explose au visage. Et je ne veux pas troubler les activistes des Droits
de la Famille, ces lunatiques sont des bombes à retardement avec des amorces
plus courtes que le gourdin de mon ex-mari."
"Ne t'inquiète pas Mamsahb," je lui dis. "J'ai un plan secret.
Tout est dans le "timing". Pendant ce temps-là, dit la vérité aux
journalistes. Quelquefois ça marche."
8e
chapitre