"Au sein des démocraties, il ce trouve toujours une multitude de personnes dont les manques sont au-dessus de leurs moyens, et qui sont très disposé composer avec une satisfaction imparfaite, plutôt qu'abandonne entièrement l'objet de leurs désirs."
--Alexis de Tocqueville--
La première tombée de la nuit d'été, la plus courte nuit de l'année. C'est une soirée chaude et humide à Washington D.C., le genre qui restreint la conversation sous un couvert humecté par la lassitude. Quiconque a vécu dans cette ville connaît le récit dubitatif d'il y a plusieurs années où l'Ambassadeur britannique aux États-Unis reçu un traitement tropical lui permettant de porter des kakis comme compensation partielle pour être forcé vivre et travaillé dans la région à cette période de l'année. En vérité la ville à la mi-juin n'est pas pire que Singapour pendant le début de la saison pluvieuse. Qui, de l'aveu général, n'est pas une tasse de thé.
En tout cas, nous avons fini nos rituels du vendredi soir. Ma femme et moi, sommes allées dîner au temple, et en sommes revenu. Les chats sont nourris et se prélassent avec un contentement sans égal sur le parvis de notre porche. Ils regardent les lucioles avec un vague intérêt. Quelques étoiles filent furtivement à travers le ciel parsemer de comparses apparemment immobiles.
Ma femme me regarde avec un vague intérêt. "Sais-tu ce que j'ai envie de faire?"
"quoi?" je dis sur un ton neutre. Ce qui elle a l'esprit peut être bon ou mauvais, donc je garde mes options ouvertes.
"j'ai envie de..." elle fait une pause pour l'effet dramatique. "De partir à la plage."
"La plage? Tu veux dire, à la Plage Rehobeth pour le week-end?"
"Non. Je veux dire, à notre maison à Buena Vistas."
"Oh. Oui, très bonne idée. Nous n'y avons pas été depuis un certain temps."
"Oui, et le temps ce soir s'y prête parfaitement, ne trouves-tu pas?"
"d'accord, fait de la citronnade, alors. Je vais chercher l'équipement."
Buena Vistas est une plage issue de la réalité virtuelle. Sur la carte conceptuelle de la vCité, elle est localisée environ à deux cents kilomètres du centre de la vCité. Géographiquement c'est le cap d'une péninsule tranchant entre La Baie et L'Océan. Buena Vistas est une banlieue mais n'a pas de raccord au système de rail léger; l'unique chemin y conduisant en est t'un pour EPVR (Engin-Propulsant un Véhicule à Roues), sinon il y a la navette fluviale, le voilier, l'hélicoptère, le dirigeable, ou l'avion ultra-léger ou --pour le vrai Nouveau Millennitien-- le téléchargement direct.
Si Buena Vistas était dans le vrai monde, ce serait une propriété excessivement dispendieuse. Imaginez toutes les régions côtières ultra-chics que vous ayez jamais vu avec en moins les masses grouillantes de gens et les hôtels du pas-si-bien-que-ça. Pas de bâtiments, de bloc d'appartements pour gâter la vue. Beaucoup de dunes et de refuges fauniques; aucune industrie.
Quand en premier lieu nous avons établi les ordonnances de zonages pour la Buena Vistas, nous savions pertinemment que tout le monde voudrait un morceau de l'action. Il y a quand même très peu de gens qui passerait à coté d'une occasion posséder gratuitement quelques hectares de plage et un manoir ayant vu sur la mer, sans se soucier d'endommager la propriété a cause par la force implacable de vent, du sel, des marées, et du temps.
Cependant les régions côtières ont des écosystèmes encore plus fragiles que les régions désertiques. Ça peut sonner bizarre, mais c'est vrai. Où la terre rencontre la mer, vie pullule; cette bordure abonde d'une diversité de créatures de toute nature et c'est le paradis de la ferveur évolutionnaire. Mais si vous y changez quelques variables mineures, le système s'effondre. Des algues aux oiseaux de marin, la vie dit "voila le voisinage qui fout le camp" et liquide tout, ainsi donc les êtres humains après coup empile les sacs de sable pour se frayer un chemin hors de la misère s'ensuivant.
La présence humaine demande beaucoup à un écosystème. Nous avons besoin d'eau fraîche, de pouvoir électrique et un des moyens pour recycler ou disposer de ses produits dispensables en tous genres. Il y a des façons de réduire la pollution per capita, mais nous ne pouvons modifier qu'une seule variable au sein de la formule de base; la pollution est proportionnel à densité de la population humaine.
Donc qu'est-ce que le Conseil de zonages peut faire? Franchement, nous avons décidé de délibérément limiter la densité de la population de Buena Vistas en réservant d'énormes parcelles de terrain en tant refuge faunique; les volumes de zonages restants ont été alloué à de grandes maisons serties de grands terrains. Quelque unes de ces parcelles ont été réservées par le biais de la loterie, c'est ainsi donc que nous avons pu satisfaire démocratiquement l'excessive demande par rapport à l'approvisionnement disponible sans avoir recours à la "vente" de ces propriétés virtuelles. Les parcelles restantes ont été assignées sur une base du "premier à le réclamer, est premier attitré".
La sagesse de cette façon de procéder est devenue évidente dans trois semaines après l'ouverture de la vCité au public réseauté en général. Dès alors nous avons été inondés de demandes pour les immenses étendues de CCs plages. Plus que peu de personnes ont été désenchantées par le fait qu'après avoir appliqué pour résider dans la Buena Vistas, ils aboutirent en haut avec d'une tour sans prétention du sud ou dans chalet à l'ouest, ou dans des maisonnettes bon marché, et au sixième étage d'un des condos au bord de l'océan ou de la baie.
Par conséquence, la Première Loi du développement de la vCité, une fois de plus, fut cour-circuité, l'énoncé la résument claireemnt: Attendez-vous à de l'Inattendu. Des gens commencèrent à acheter et à vendre, avec de l'argent du vrai monde, les droits "d'occupation" pour s'arroger des volumes zonés dans la Buena Vistas.
Je pensais que c'était stupide et je l'avais mentionné à maintes reprises dans plein d'éditoriaux au sein de plusieurs instaliens. Mais pourquoi au nom d'une pipe des personnes achètent ce qu'elles peuvent se procurer gratuitement? L'équation de l'offre-et-de-la-demande existait seulement dans notre simulation; si quelqu'un désirait une plage virtuelle, ils pouvaient se la créer. Ils pouvaient créer un nouveau monde consistant de rien d'autre que des plages à perte de vue s'ils voulaient. Et elles se trouveraient qu'à un seul clic plus loin et quiconque pouvait s'y en quelques secondes.
Je pensais aussi que la vente et la location de VZ constituaient un affront. Quand quelqu'un appliquait pour et obtenait son VZ du registraire de la ville, tout ce que cela représentait c'était de CCs dans notre simulation se rapportant dans le vrai monde à une adresse IP. Si une adresse IP n'était pas plus valide ou "active," nous l'enlèverions du registre et le réassignions à la prochaine personne en attente ou a un nouveau client exprimant le besoin. Pour éviter de perdre son inscription, les propriétaires originaux créaient et maintenaient le code HTML valide ou en VRML d'une page ou d'un espace qui lui s'hyperliait simplement à quelqu'un autrement. Cette situation créa bon nombre d'embrouilles, confrontant l'utilisateur à des genres de "poteau indicateur" avant qu'il puisse réellement défiler dans la RV.
Dans le mode Basé-PC ceci occasionnait assez d'inconvénients, mais, en VMC ou en MSE, c'était la barfogénie directe. Cela s'apparentait à la rencontre soudaine et inattendue d'un mur dans l'espace. Très déconcertant.
Donc l'Empire rappliqua, et le Conseil de zonages décida d'interdire "le jalonnement via le truchement de poteaux indicateurs." En d'autres mots, même si un VZ avait un IP enregistré valide, une adresse active, il pouvait être proscrit s'il ne se conformait pas immédiatement aux consignes de zonages.
Cependant un échappatoire demeura. Un vCitoyen pouvait légitimement demander un changement d'adresse IP pour son VZ au registraire. Nous avions automatisé cette procédure pour des raisons évidentes. Donc comme il advint, ceux qui "louèrent" leur VZ à d'autres pour de vraies sommes d'argent n'ont qu'à signaler le changement d'adresse IP au registraire.
C'était parfaitement légal, mais je le trouvais aussi irritant qu'un mal de dents. Juste comme je devenais a l'aise avec l'apparence d'une maison --disons, un château rustique-- elle disparaissait, remplacé par maison à la mode bizarre d'un genre vaguement californien.
Hé bien. Nous avons un proverbe: "la vCité finie toujours par empiéter sur vous."
Donc ma femme et moi avons cet endroit dans Buena Vistas. Pour éviter des entretiens inutiles ou enflammées du vHoi-Paloi, le volume zoné n'est pas enregistré au Premier Citoyen mais plutôt à Goldi Locke, qui est le pseudonyme dans la vCité de ma conjointe.
Mme Locke est très fortunée. Elle possède la maison la plus raffinée avec la vue la plus prenante de la Buena Vistas. Elle un de style colonial blanche et massive perchée sur le haut d'une colline à deux pas de la pointe en saillie du cap de la péninsule Buena Vistas. De cette maison on peut observer le lever graduelle du soleil pointant par-dessus l'océan jusqu'à son couché dans la Baie à l'Ouest. Il y a des sentiers qui mènent au jardin disposant d'une terrasse et du porche jusqu'aux rocs et à la plage. Beaucoup de rebords offrent d'excellents coupe-vent pour l'agrément des pique-niqueurs.
Si c'était une vraie propriété du monde réel, sa serait probablement de $10 à $20 millions. Les impôts et taxes divers encourus seraient d'environ $500 000 par année. Cependant, dans le monde du trompe l'oeil l'emplacement entier (qui repose sur un serveur local dans la bibliothèque municipale) il nous coûte environ $30 par année à maintenir. Par contre, nous avons du dépenser environ $500 pour la conception et construction de l'emplacement, et un autre $1000 dans le matériel de VMC/ MSE.
Quand je mentionne "construction" ce que je veux vraiment dire, c'est la "mise-en-ligne." Nous n'avons pas réellement le travail de RV nous-mêmes. Mais ceux-ci ne peuvent représenter que des esquisses grotesques comparativement à ce qu'un architecte professionnel compétent, en utilisant un système haut de gamme, peut accomplir.
Maintenant, il advint qu'une amie de ma conjointe dans le vrai monde est une vraie architecte en bâtiment et en aménagement paysagé qui travaille avec du matériel du modelage très puissant. Donc elle nous a offert de concevoir emplacement RV à un coût défiant toutes compétitions. Tout ce que nous avions à faire c'était de lui fournir les paramètres, et elle s'occupa de reste. Elle savait programmer pour HMD puisse qu'elle en faisait déjà l'usage pour démontré à ses clients du vrai-monde le fruit de son travail avant la réelle mise en chantier. Elle mentionna que plus personne ne contractait ce genre de service, sans avoir au préalable, déambulé au sein de la simulation, de ce qui était à construire. Le coût de la confection d'un plan virtuel basé-HMD représentait, il faut l'admettre, une dépense importante avant coup, mais ses ventes ont quand même monté en flèche en conséquence relié à l'emploie de cette technique. Aussi, celle-ci prévenait beaucoup d'irritants en donnant la chance aux clients de voir sa maison avant s'engager la construction à proprement dit.
"mais celle-ci n'importe que peu," grommela t'elle. "Les foutus clients changeaient encore d'avis à mi-chemin pendant la réalisation effective d'un projet."
Quoiqu'il en soit nous l'avons payé et nous avons acheté deux casques VMC. Du matériel de toute première qualité confectionnée par des Koréen, naturellement --qui pour éviter les taxes à l'importation démesurée en Amérique du Nord, furent assemblés au Mexique. Cette appareillage comporte toutes les innovations qu'un contemporain à droit à s'attendre: une sono superbe aussi qu'une vidéo ajustable; ergonomiquement conçu pour adoucir l'irritation oculaire que toutes formes de tension au cou; et une panoplie de SCP (Services de Communications Personnelles) sans supplément, les appareils filtre tous signaux errants ou autre genres de bruit électro-accostique environant son utilisateur. Ce qu'un casque VMC permet de faire, c'est lien (sans fils) effectif avec tout appareil qui se connecte à un conduit numérique quel qu'en sa nature à partir du vrai monde. Qu'importe de quelle façon son utilisateur se connecte à l'Internet --par téléphone, par ligne xSDL, par modem câble, fiche de courant standard, ou par antenne parabolique-- ce dispositif vous donnera un lien solide.
Comme nous nous prélassons dans nos chaises longues sur notre perron en sirotant de la citronnade, nous sommes dans deux mondes à la fois. Il y a des aspects qui ne peuvent être reproduit tel que l'odeur et goût de l'air salin. En réalité, ce que nous sentons ce n'est pas la forte odeur de l'océan mais plutôt celle du chlore de notre bain tourbillon non loin de là. En revanche encore, nous pouvons taire l'incessant du gazouillis des abeilles, des cigales et des crickets avec une agréable ambiance sonore d'océan. Une substitution valable.
Ce que j'apprécie tout particulièrement ces la façon que notre amie architecte / programmeur a gréé le programme pour qu'à chaque fois qu'un son soutenu dans le notre fond sonore persistait, cela déclencherait un scapp à même notre mini simulation. Donc, par exemple, à l'occasion du croassement de grenouilles, un ou plusieurs (selon l'intensité du phénomène) batraciens fesai(en)t une entrée en scène plus ou moins remarquable.
En observant l'océan virtuel me rappela les problèmes que nous avions encourus en installant nos simms marins virtuels. Je n'avais pas jamais eu à faire affaire avec un tas gens plus têtu les uns que le cas que quand j'ai eu à composé avec des océanographes, des foreurs, des pêcheurs, et des marins en général. Je ne sais pas pourquoi il en fut ainsi. Peut-être c'était parce que la mer est toujours-changeante donc confrontés à ce manque épouvantable de stabilité dans leur vie de tout les jours, ils deviennent eux-mêmes des îlots. Peut être pour les hommes et femmes qui vivant avec la mer, la seule terra firma véritable est en eux.
Nous interrompons le courant de cette narration pour ce bref avis.
Et maintenant, de retour la programmation régulière de ce chapitre.
Nous nous avions jamais vraiment préoccuper avec la conception d'un système transport marin pour la simple raison qu'il n'y avait pas vraiment d'endroit où aller. La prémisse fondamentale du transport est, que c'est un processus permettant la mouvance de cargaison et de personnes d'un A à un point B. Cependant, le vCité n'était pas configuré pour simuler un archipel. Bref, le fait de se déplacer de A à A, était une perspective très passionnante. Le "B," pour ainsi dire, représentait une collection bigarrée de destinations riveraines industrielles (emplacements) comprenant des technosimms de plates formes de forage, deux centres de recherche sous-marin et / ou des corposimms d'installations vouées à l'exploitation minière et une poignée d'emplacements de la ferme d'aquaculture.
Néanmoins, nous avons essayé de mettre au point en quelque sorte un genre d'infrastructure portuaire qui permettrait à des individus et à des corporations engagées dans le secteur résidentiel, récréo-touristique et l'activité industrielle sur la Baie et l'Océan, même si tout ce qu'ils faisaient c'était de flotter toujours dans les mêmes parage. Étonnamment, il y eu une grande demande pour conception RV de nouveau genre de vaisseaux de la pêche, de recherche océanographique, de bateaux de croisière, de casino flottant, de restaurant flottant, de vaisseaux spécialisés dans l'observation des cétacés, de plaisance à moteur et à voiles en tous genres, et maison flottante. Apparemment les dessinateurs du bateau utilisaient déjà la technologie RV, avec leur Système de Conception Assistée Par Ordinateur de Design et de Fabriquation (SCAODF), donc il était relativement aisé pour ces professionnels de s'amuser les designers d'embarcation flottante RV à temps perdu.
Quelqu'un a même fait une étude de marché sur le potentiel pour d'approvisionnement d'une population résidentielle outre riveraine. Après tout raisonnèrent les analystes, si les navigateurs vont dériver comme bon leur semble ou à dérive comme des méduses dans leur maison flottante toute neuve, ils auront besoin des produits et de services. Ce qui a donné un sens totalement différent à l'expression "se maintenir à flot." En tout cas, ils ont vite découvert que la construction et les frais d'opération d'une maison flottante sont encore très élevés, et il y a inconvénients à sacrifier un emplacement place fixe même dans cet âge de la technologie comm sans fil.
Le Conseil de zonage était d'accord sur le principe général ce parce que les rivières et la mer partageaient un héritage commun, leur exploitation devait être équilibrée par la conservation et son enrichissement. Le courant politique pour la libération des forces du marché, en n'en déclassifiant statue de réserve faunique, sans causé une déchéance des conditions environnementales et de catastrophes résultant d'une exploitation des ressources par-les-embarcations-installées-sur-le-plan-d'eau, apparaissait douteux. Alors donc nous avons implanté le Centre d'Information Environnemental Maritime de la vCité. Ce centre est dirigé par par les vCitoyens eux-mêmes, ils règlent l'usage des technosimms Complexe Portuaire et du port de plaisance des Voilier, et qui établit les règles de conduites pour les vCitoyens qui désirent utiliser les plans d'eau virtuels comme moyen du transport ou lieu de résidence et d'affaire.
Le CIEMV ce fractionna, à cause de la discordes, en plusieurs factions, presque immédiatement après sa mise sur pied et généra une raz de marée de courriel, sur apparemment tout les point de vues imaginables. Leurs animosités débordèrent et entachèrent plusieurs autres aspects de la vie à la vCité et impliquèrent l'ensemble de gens dans le processus.
Par exemple, la surpêche. Après le dragage des algues de la rhétorique, une chose apparaissait évidente; un bateau pêche, est un gros investissement en capital il conçu pour faire fondamentalement une chose: tuez le poisson. Franchement, c'était une technologie dure détournée de ses multiples tâches. Le pire, d'ailleurs, c'est que industrie de la pêche partout dans le vrai monde est particulièrement réfractaire à, euh..., la conversion socio-économique.
La discussion portait sur: Est-ce que la pêche commerciale peut être développée pour qu'elle soit perpétuable? Oui, affirmèrent beaucoup d'organisations avec les prédispositions adéquates et un effort de bonne volonté de toute part de réduire la rentabilité à court terme par égard à la stabilité à long terme. L'exploitation de rivière, des rives côtières et des ressources océaniques ne sont pas un mal en soi, elles arguèrent. Tout dépendait des moyens on comptait utilisé et genre d'exploitation prendrait place, son envergure et la gradation de la disponibilité des ressources qu'au rythme du renouvellement. La Corporation Poisson (une corposimm, Marque Déposée) fit un malheur quand elle présenta en RV comment, essentiellement, les armateurs pouvaient convertir leur flotte de pêche en pisciculture en fonction des conditions saisonnières.
Non, dire leurs opposants, la pêche commerciale n'est pas perpetuable en plus d'êtres aucunement souhaitables.
Je suis intervenu qu'une seule une fois dans ce débat quand j'ai encouragé les designers à concevoir des embarcations non-polluantes, et encouragé les plaisanciers à ne pas s'engager dans activités destructrices ou perturbatrices sur les plans d'eaux. J'ai suggéré des amorces dans ce que je considérais la bonne direction, ceux-ci incluaient l'usage de cellules-combustibles actionnant les moteurs, la voile, et l'utilisation de fréquences du spectre qui n'importunerait pas les poissons et mammifères. J'ai indiqué cette aquaculture pouvait être un très effectif, facilement perpetuable, et raisonnablement doux envers l'environnement tout en produisant plus nourriture que l'industrie de la pêche que n'avait rêvé jamais de récolter. Et les gens peuvent investir dans offre une flottille d'amusement installée sur le plan d'eau là, flottant sur l'étendu; des centres éducations, des restaurants, des casinos, des hôtels, des aquariums, des universités, et caetera.
Mais ils m'ont chahuté bref, de m'occupé de mes propres affaires; Dès alors, je me suis terré.
Donc moi et ma comparse sommes détrempées de sueur dans l'épaise nuit, l'humide, nuit d'été à Washington, D.C., nous passons une soirée ravissante dans notre propre petit paradis, une propriété magnifique bien au-delà de nos moyens.
Je me souviens quand j'ai montré mon truc du tek RV à mon père pour la première fois. Il en fut mortifié, et a refusé de coiffer mon casque VMC.
"non," il me dit. "je pense que ces choses impropres."
"que veux-tu dire, p'pa?"
"Les gens ne vivront que dans leurs mondes imaginaires et ils auront tous des problèmes oculaires et des gros culs. Allez don faire une promenade au lieu!"
"Très intéressante philosophie. Je crois qu'on le nome le-syndrome-du-débranché-moi."
"Fait pas ton "intelligent". Tu as lu Huxley avec ses feelies, n'est-ce pas?"
"Le Nouveau Monde des Braves. Et puis?"
"C'est pareil."
"eh bien, moi je suis en désaccord. On peut facilement empirer notre sort en employant mal la technologie. N'avons-nous pas entendu les mêmes plaintes à propos des téléviseurs pendant plus de cinquante ans? Plus personnes ne sors en boite, demeurent-ils assis devant leur téléviseur câbler, à la maison toute la journée? Des films sur VHS? Le radio numérique, Les MP3, Les mpeg2, c'est du pareil au même.Des formes de divertissement électronique."
"Les gens en général devraient lire beaucoup plus," marmonna-t-il.
"Peut-être que oui, mais résout cette énigme que je te propose; Batman: Ce n'est qu'un roman de fiction, une forme très peu évoluée d'une technologie de divertissement qui en soi est une réalité virtuel."
"Oh, n'essaie pas de jouer au plus malin avec moi."
"Écoute, P'pa. Abdordons le sujet en ces termes. Tout le monde veut être capable d'avoir les moyens de s'accorder du bon temps. Mais, par définition, c'est une impossibilité. Aucune société démocratique peut tenir tête à la tension d'une existence purement capitaliste, parce que capitalisme révèle efficacement l'inutile, ce qui fait de certains d'entre nous des êtres plus stupides pendant que d'autre apparaissent plus brillant. Donc nous devons imaginer une politique de substitution par laquelle une grande masse de personnes puissent jouir d'une certaine forme de luxe sans avoir à leur fournir en substance. Les personnes besoin de croire qu'ils peuvent faire ce qu'il ce qu'ils veulent, profiter de quel que ce soit qu'ils désirent --même si pourtant les dégâts environnementaux résultant de telles poursuites, d'autant de recourt mal-avisés détruirait la planète."
Il secoua obstinément la tête. "Pas la planète. Seulement les gens."
"Voyont," je lui dit, en coupant l'alimentation du casque. "allons ensemble faire une promenade."
Il s'égaillât. "Oui, ça nous ferait grand bien."
