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vCité 1.0


Traduction libre de MxtM
avec l'assentiment de son auteur;
dr. Adam L. Gruen
Chapitre 09

"..plusieurs des aspects apparemment routiniers de l'administration municipale, comme l'administration, la construction résidentielle et l'éducation, n'on pas besoin d'êtres routinières, mais c'est l'occasion parfaite pour développer la vie communautaire, ainsi revigorant les rapports des gens directement concernés."
--Richard Sennett--
Dans ma boîte courriel il y a une demande du professeur Jan Heiden, de l'Université d'Internet de la vCité, m'invitant à m'engager dans un multilogue en temps réel avec ses étudiants aux environs de telle à telle heure, à propos du développement des technologies de la réalité virtuelle. Je pense qu'ils enseignent un cours d'histoire, mais ce peut être un de science politique, ou même d'ingénierie électrostatique --en tout cas, ce que je trouve fascinant de toute l'affaire c'est Dr Heiden est en Hollande, je suis aux États-Unis, les étudiants sont éparpillés sur la planète de la Chine au Chili et la "classe" aurait lieu grâce à truchement savamment orchestré de combinaison d'HTML et de VRML inter-réseauté aussi bien par visio-conférence que par courriels interposés. De la haute voltige quoi.
Une des curiosités dès plus apprécié de la vCité c'est ça façon de parodier le monde réel. Quelquefois, l'existence dans la vCité ne s'apparente pas au futur, elle l'incarne littéralement. Les services électroniques qui y sont mis au point rivalisent souvent avec les meilleurs d'ailleurs, souvent de nouveaux concepts y naissent certain y exposent les défauts, les travers de leurs semblables du monde réel ou permette de palier à des lacunes avant que ces inconvénients ne surviennent réellement.
À l'aube du 21ieme siècle, l'université moderne était indiscernable en tout point à toute autre entité corporative. Elles possédaient une variété d'actifs y compris des propriétés immobilières et des installations; engagé dans la recherche fondamentale et appliquée, établies dans plusieurs régions différentes, ayant à leurs dispositions; salariés, assurant des bénéfices marginaux à des milliers de personnes; préparaient (et défonçaient) des budgets annuels; a fournissaient une pléthore de produits et services en retour de liquidité bien sonnante; et rivalisaient généralement avec les membres de leurs propres espèces sur le marché pour une cote part du revenu et du profit. Beaucoup d'universités avaient leur propre force de sécurité, possèdent et entretiennent des réseaux d'ordinateurs, et certaines ayant leur propre devise en circulation. Les universités ont formé des associations, paient des lobbyistes et obtiennent régulièrement des gouvernements de grosses subventions et d'alléchants contrats. En somme elles étaient des acteures de premier plan au sein des marchés mondiaux.
Cependant, ce qu'une université accomplissait réellement était quelque peu vague; de temps à autre vous verriez de vraie université du monde vivant péniblement, décider s'elle avait un but fondamental autre que son instinct de conservation. En revanche encore, la chose peut-être mentionnée de beaucoup de conglomérats transnationaux qui se demandent de temps à autre: "dans quel secteur économique sommes-nous vraiment engagés?"
La supposition générale était qu'une université était en affaire pour instruire des personnes, faire avancer LA connaissance et peu être faire les deux simultanément. C'était une industrie étrange, dans le sens que les gens pouvaient effectivement s'instruire eux-mêmes et faire avancer LA connaissance sans nécessairement avoir besoin d'une infrastructure lourde et complexe. Néanmoins société semblait préférer des individus don lustre étincelant avait été peaufiné par une longue association avec une institution réputable. Il y avait beaucoup d'attachement à LA marque, la loyauté, ça vendait. Une université pouvait charger prix des frais d'inscription mirobolants --des fois trois ces que ses concurrents pratiquaient comme structure tarifaire, pour essentiellement le même produit-- simplement parce qu'elle avait une réputation pour excellence ou du prestige (ou les deux).
Malheureusement pour les universités, le professorat d'agent libre et l'autodidactcie firent des percées significatives sur le web. Quelques-unes des universités du monde réel, plus intelligentes, anticipèrent l'érosion de leur revenu base et tentèrent de se réinventer. Mais la surprise vraiment accablante que ces administrateurs éclairés la découvrirent c'est qu'une université n'était pas un endroit, mais plutôt un concept, que quiconque peut créer du jour au lendemain!
Dans la Hautevile à l'ouest de Confluencia de l'autre côté des trois rivières, il y a une région appelée l'Université d'Internet de la vCité ou "U.I.V." en anagramme. Beaucoup de personnes pensent que l'U.I.V. est une corposimm, mais elle ne l'est pas. Il est réellement enregistré dans l'état de Delaware comme l'Université Virtuelle de la Cité de l'Internet, Inc.. À but lucratif, les actions de cette corporation sont principalement détenues par ses employés --les administrateurs, directeurs, ingénieurs, et professeurs. Les employés de l'université reçoivent leurs salaires sous la forme d'actions convertissables, mais ils reçoivent aussi des commissions en espèces pour les rentrer de revenu leur étant attribuable.
Dans ce système les professionnels plus hautement rémunérés sont réellement les professeurs (fournisseur de contenu et son analyse), puisqu'ils sont ceux qui génèrent le plus revenu via l'affluence des masses estudiantes (les utilisateurs en fin de compte). Le coeur et l'âme de l'U.I.V. reposent sur des moyens d'expression et de la communication des connaissances ce fait par le biais de sa quincaillerie de réseaux d'ordinateurs et de ses logiciels. En deux mots, l'U.I.V. est un réseau qui li ceux qui souhaitent apprendre avec ceux qui souhaite faire de même.
Le principe fondamental du secteur économique que représente l'éducation est que les étudiants (utilisateurs-payeurs) doivent couvrir les coûts de leurs professeurs (procurateurs de satisfaction). En tarifiant les recherches dans la bibliothèque (base de donnée) ou l'accès aux éducateurs sur une base utilisateur-payeur, l'U.I.V. encourage l'efficacité partout dans le système d'éducation qu'elle procure aux étudiants du monde entier. D'abord, si les étudiants ne pouvaient pas jouer au cancre la moitié du temps, parce que c'était leur argent qui était siphonné en temps réel par l'université à mesure que l'instruction défilait tout dépendant de la qualité de la qualité de l'interface de l'étudiant ainsi donc tarifé en conséquence. Deuxièmement, les professeurs n'ont pas gaspillé le temps ou d'effort avec les incongruités, parce sinon ils airaient rapidement perdu leur base étudiant (cote d'écoute). Ça n'aurait été qu'une question de jour, dans les faits. Les professeurs apprirent rapidement comment attirer de grandes affluences d'utilisateurs payants, d'une façon ou d'une autre ils devaient fournir une qualité satisfaisante, une analyse approfondie ou a être franchement amusant (comme des humoristes en spectacle).
L'achat et la vente de minute éducative s'effectuaient par le logiciel sophistiqué U.I.V., dont la minicie et l'à-propos demeureront inédits pour des raisons profitables. Fondamentalement, contenu de l'information est crypté et on l'on vous accorde le mot de passe. Par conséquent, il est non seulement impossible d'"écoute aux portes" d'un groupe de discussion académique ou de lire la matière fournie par un professeur donné, mais il est aussi souhaitable que toutes reproductions ou dissémination de cette information soient rendu impossible (à moins que le professeur lui-même fournisse le fichier d'une clef universelle de décryptage de médium électronique des réseaux ou lors de la reproduction numérique de copie conforme sur support tangible). Aussi loin que la mémoire corporative de l'U.I.V. puisse ce rappeler, personne--y compris l'Agence de la Sécurité Nationale-- n'a jamais réussi à percer ses codes de sécurité. Mais l'U.I.V. permet à ses étudiants d'essayer. Pour un prix, bien entendu. Et si quiconque résout cet ultime bidouillage, alors facilement il obtiendrait un emploie très bien rémunéré en tant nouvel actionnaire de l'université, en tant qu'expert, en sécurité. Ou avec toutes organisations, autant terroriste et/ou que gouvernementale du monde entier.
L'efficacité de l'U.I.V. fut terrassante pour les professionnels de l'éducation. Auparavant, en 1998, le coût moyen d'une minute-éducative était approximativement de $0.30/ minute, brochette déduite en diviser les frais d'inscription totaux par le coût à l'heure par crédit, non compris sont les coûts affairant et les occasions perdues de générer des revenus. Le coût facturable moyen d'une minute-éducative prodiguée par l'U.I.V. aujourd'hui elle vaut approximativement de $0.08 la minute.
Ce fut comme si, accidentellement, vous percutiez, de la tête un nid de guêpes suspendu. Je me souviens très bien comment les administrateurs d'université sont venus après nous, volant à nous de toutes les directions et plus vigoureusement qu'une horde d'ados sur le coca. Ils menacèrent d'intenter plusieurs procès contre notre corporation pour une chose et l'autre --je ne pense pas leurs avocats étaient jamais très clairs à ce propos, les nôtres étaient très certainement mystifié-- et finalement elles firent inscrire sur une liste noire quiconque participait des activités reliées de près ou de loin à l'U.I.V.. Elles tordirent beaucoup de bras de gens haut placé de plusieurs grandes corporations de manières à ce qu'un diplômé l'U.I.V. ne soit pas traiter comme légitime et s'engagea dans une campagne vicieuse de salissage contre la valeur des recherches effectuées au sein de cyber-environnements éducationnel. Ils y eux même des représentations d'effectuées sur certaines collines parlementaires pour obtenir des Congrès et des assemblés considérés "stratégiques" pour l'application d'impôts et du taxage des universités qui "n'on pas en leur possession d'installations physiques."
Elles ne furent que des échecs lamentables, en effet, un cas patent depuis lors cité en exemple quand il est question de fomenter une catastrophe en relation publique. Le plus d'argent fut investi, en publicité et, en mesures de représailles de toutes sortes que les universités orchestrèrent, plus le problème apparaissait gros, aux yeux du public et plus le résultat ainsi obtenu, empirait la situation. La seule chose qu'ils faisaient en sommes s'étaient de s'acheter d'énormes blocs de publicité négative.
Les étudiants de premier cycle commencèrent sérieusement a soupesés leurs besoins par rapport aux offre --ce qui ne traitait pas la vie de collège comme une balade de quatre ans aux frais de leurs parents, en fait-- et le total net fit en sorte qu'il était meilleur marché d'acheter un PC et une connexion à l'Internet et de s'adjoindre une faculté télé-universitaire.
Les gouvernements étrangers ont rapidement adhéré à la notion qu'il était meilleur que leurs étudiants télé-apprennent de personnes issues des nations développées, au lieu de risquer de perdre leurs meilleurs cerveaux s'ils vont étudier au sein même de ces nations développées. En effet, ouvrant leur propre université virtuelle, ils pouvaient garder leurs meilleurs professeurs sur place. Pas une année après n'a passé sans qu'une nouvelle succursale de l'U.I.V. soit inauguré, Singapour possède déjà son université virtuelle, talonné de près par la vUniversité de Ville du Cape en Afrique du Sud.
Les professeurs qui brisèrent alors les rangs devinrent légion. Sans ceux qui profitaient avantageusement du système avant, bien sûr, mais des multitudes d'étudiants diplômés et de savants et de professeurs auxiliaires ce sont rendu compte soudainement qu'ils n'avaient pas à se déplacer à une quelconque partie obscure du globe pour gagner un salaire décent. Encore plus révolutionnaire fut le concept qu'alors leurs rémunérations étaient à peu de détails près, proportionnel à leur capacité d'enseigner et/ ou de ces connaissances et/ou pouvant être jugulé par les forces du marché à leur avantage ou pas selon la demande effective.
Le coup de grâce, fut asséné par l'association des directeurs en ressources humaines et du consensus des professionnels de l'embauche et du recrutement du personnel qui affectèrent les politiques d'exigences de la plupart des corporations transnationalistes de par la planète. Le système universitaire, en définitive, avait été créé simplement pour les accommodées.
L'idée qu'un grade universitaire symbolisait une unité standardisée ou un niveau minimal de connaissance était importante pour la préservation de la précieuse attention des directeurs du personnel souhaitant embaucher les meilleurs candidats à des postes particuliers. Ce que cela a permit, c'était de départager et de tamiser des CV à la phase initiale sans pour autant consulté les candidats. L'application même du système d'examen-et-de-triage, n'avait été établi ni par les étudiants ni les professeurs, mais plutôt par les directeurs et les administrateurs qui avaient cherché une façon efficace et peu onéreuse de déterminer selon leur paramètrage de la valeur relative des différentes formes de diplomations.
Cependant, le p'tit secret du système d'universitaire, était qu'il avait connu de raté dans plusieurs régions du monde. Dès la fin des années 1990, il apparu douloureusement évident que beaucoup d'étudiants frais émoulus des universités, ainsi nommé ainsi c'est diplômé, ne faisait pas l'affaire des employeurs et en fait n'avaient un manque de maîtrise considérable au sein leur de compétences exigées dans l'exercice de leurs professions; en plus, vu l'attaque inflationnaire massive de la surcotation, le processus déterminant la valeur relative était devenu inutile. De plus en plus de directeurs furent contraint à un examen initial de palette plus joufflu de candidats potentiels donc d'élargir les paramètres de leur système d'analyse des candidatures et de parler avec certain d'entre eux, même si pourtant les CV reflétaient un niveau de compétence suffisant. Ce qui les directeurs de l'embauche découvrirent c'étaient que les personnes qui avaient acquis leur connaissance électroniquement n'étaient pas moins ou plus ignorant que les personnes qui avaient appris par une université "béton".
Le résultat net fut que les corporations acceptèrent de validité les gradations de l'U.I.V. et jugèrent de leur valeur avec le même discernement qu'un grade issu d'une université "béton". Vu que le concept d'université virtuelle offrait beaucoup d'avantages et qu'une éducation acquise par son entremise coûtait 70% meilleur marché que son équivalent "béton", il n'y avait pas de fin en vue de la part de marché que ces universités virtuelles pouvaient occuper. Les souscripteurs de la première heure au capital l'U.I.V. ont fait de petite fortune en vendant qui leur stock de U.I.V. à de 100 à 1000 fois leur valeur initiale.
Il y a un an de ça, j'ai reçu une lettre d'un vieux copain, autrefois professeur à l'Université Benjamin Thompson, maintenant il est recteur. Son nouveau titre est Directeur pour les Politiques Spéciales ou quelque chose dans ce genre. UBT fut une des premières universités "béton" à se rendre compte du dilemme terrible qui les accablaient qui fut par la suite sellée à cause d'une infrastructure vieillissante et d'une érosion constante de la part du marché. Ils avaient travaillé sur un quelconque document de travail intitulé l'"Université du 21ieme" ou "Réinventont l'Université," je n'ai pas un souvenir très exact mais ils le soumirent annuellement pendant environ cinq ans. Ils étaient très éloquents sur le résultat escompté, mais d'une façon ou d'une autre, ils avaient d'énormes difficultés à surmonter pour en obtenir. Donc il m'écrivit un courriel, me demandant conseils et ma participation à la rédaction d'un document devant statuer leur politique à cet effet.
Voici le message que je lui ai répondu par courriel:
[morceau tronqué]
Pete:
Apparemment, la première et la règle la plus importante des administrateurs universitaires du futur est: s'il est possible fournir des services pédagogique par par le truchement des moyens de télécommunication, alors *ne construit pas* une infrastructure mais fournissez plutôt une infostructure.
Après tous bâtiments, les installations et le matériel cela coûte une tonne d'argent à construire, à entretenir, et à rénover.
Deuxièmement, au cas où des infrastructures doivent absolument êtres créés, ajustez votre tarification pour vous assurer que vos utilisateurs primaires puissent devenir des procurateurs fondamentaux eux-mêmes.
Subventionnez seulement les moins bons de vos riches client ou des instances gouvernementales particulièrement mal en point; vos installations peu ou pas profitable doivent-êtres liquidés et vendus à un de vos concurrents.
Quels genres d'installations vous restent? En grande partie, celles don l'activité physique est la composante fondamentale.
Par exemple, l'entraînement pour devenir un pro du tennis, vous avez besoin d'aménager des courts où les étudiants et les professeurs peuvent suer quelque peu.
Il y a donc des limites à ce que nous pouvons faire avec la téléprésence et la bioingénierie, après tout.
La technologie VMC/ MSE peu seulement vous jusqu'à un certain point, en tout cas jusqu'à présent.
Ici, l'université doit décider, si c'est une infrastructure qu'elle désire construire, tout en sachant qu'elle rivalisera avec des cours privés et des parcours autodidactes.
L'université doit s'ajuster aux attentes et aux caractéristiques du marché dans lesquelles leurs étudiants se trouvent (ou désirent être). S'elle construit et opère des installations, don le coût de son cycle-de-vie doit être refilé à ses utilisateurs.
Mais évidemment, les tarifs ne peuvent être considérablement plus élevés que ceux pratiqués par d'autres corporations oeuvrant dans les mêmes secteurs à moins que l'université ajoute de la valeur sur le parcours.
Donc l'ajout de valeur est clef. L'université "béton" survivant au bouleversement du l'environnement économique futur, deviendra probablement plus un centre sportif à la fine pointe de ce qui est su assortie de lieux d'interactions sociales et d'amusement ludo-scientifique tout en ayant des installations cliniques.
Elle deviendra aussi un endroit de convergences pour s'engager dans toutes sortes d'événements à caractère culturel qui ne sont pas nécessairement issus des courants dominants. (s'ils l'étaient, ils seraient vraisemblablement offerts par des promoteurs à meilleur compte).
En fait l'unique facteur qui assurera à l'université du futur les importantes marges bénéficiaires qu'elle aura besoin pour survivre et proviendra de la créativité de ses employés et de leur disposition à prendre des risques dans prolongement des limites de ce qui est considéré artistique, dans la musique, le théâtre, les performances et les expositions etc. Les nouveaux services et les idées novatrices, par définition, n'a pas de structure de prix établi entre l'offre et la demande-- donc quand quelque chose devient suffisamment en vogue et que la compétition pointe à l'horizon, ce sera votre signal déclenchant la liquidation effective à ses intérêts à des compagnies privées pour financer les nouveautés en devenir qui dès alors mérite votre support plus soutenu.
L'université "béton" fournira aussi des installations qui encourageront la recherche et le développement dans la médecine, la science et les technologies.
Après tout, en dépit de quelques gains incroyables dans logiciel de modelage 3D, il y a encore des étapes de prototypages qui on besoin d'être testé physiquement, si n'est pour aucune autre raison que de s'assurer que les suppositions des ingénieurs usant d'outillage en modelage 3D concerné par la cohésion de nouveaux matériaux soient vraiment vérifié comme étant exactes, le soient.
Des systèmes, tel que les organismes biologiques, sont si complexe a modélisés qu'ils sont à toute fin pratique impossible à cerné sans l'ombre d'un doute, ce nécessitera encore des laboratoires physiques pour tester des la validité des effets escomptés des nouvelles molécules et des produits synthétiques en tout genre sur le corps humain.
par courriel il répondit:
[morceau tronqué]
Mais est-ce que ta position ne nous mettra pas carrément en compétition avec plusieurs corporations de R&D dans industries établies y compris le domaine pharmaceutique, la robotique, en architecture et en intelligence artificielle?
Encore par courriel je rétorque:
[morceau tronqué]
Oui. Donc vous devrez êtres disposés à vous engager dans projet à haut risque pour qu'en retour plusieurs autres corporations vous garantissent des revenues consolidées important pour le fruit droit au fruit de vos réussites et de l'expertise découlant de vos échecs.
De cette façon, les corporations très compétitives dans un domaine ou elles sont bien établies, évitent les surprises désagréables en sous-traitant les risques et les coûts pour tout projet spécifique en R & D.
L'université obtiendrait le bénéfice d'apport de revenu stable en hébergeant des locataires à même de profiter synergiquement de leur facilité, pouvant ou pas être avantageux du court au long terme.
Plus récemment, il m'a e-écrit une courte note pour me remercier pour la pertinence des mes judicieuses observations, qu'il avait passé d'autres instances pour être étudiés et approfondit.
Alors il ajouta:
[morceau tronqué]
Je pense que vous soulevez plusieurs points valides ici, mais la chose qui m'inquiète est la possibilité d'un manque d'accès. Ce n'est pas donné à tout le monde d'avoir accès à un ordinateur décent ayant une connexion à l'Internet, surtout dans les nations sous-développées. Quelle est votre solution devant ce genre de problématique?
Je ne suis pas du genre à manquer l'opportunité de placer le dernier mot, je lui ai répondu:
[morceau tronqué]
Cher Pete:
Aucun système d'éducation n'est parfait. Si une société prévoit jouir des fruits d'un processus pédagogique décentralisé cela résorbe efficacement plusieurs problèmes liés à la bureaucratie, au racisme, au sexisme, à la bigoterie religieuse et à toutes sortes formes de discrimination basée sur l'apparence physique ou les handicaps, il devra aussi composer avec les racines de la pauvreté.
Parce qu'évidemment vous ne pouvez pas vous attendre à ce que quelqu'un télé-apprenne si il ou elle ne peut pas avoir à sa disposition un ordinateur et un modem, ou de quel que soit la forme particulière d'accès technique existante.
Avec tout le respect qui est dû à vous et mon à mon ex-faculté universitaire (j'ai décroché avant la graduation), votre question cache mal ses soubassements d'hypocrisie. Il certainement plus facile d'emprunter pour acheter un PC, un modem câble et de l'accès Internet qu'il ne l'est de sortir diplômé après quatre années à UBT!
En d'autres mots, qu'est qui vous donne l'idée que l'accès à l'éducation était universel sous votre vieux régime?
EFG


10e chapitre


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