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vCité 1.0


Traduction libre de MxtM
avec l'assentiment de son auteur;
dr. Adam L. Gruen
Chapitre 10

"La ville de l'homme, pour toute la largeur de son expansion partout dans le monde et pour toute la profondeur de ses différences dans cet endroit et ce, est une seule communauté. La vérité est simple l'attachement d'une nature commune fait un de tous les êtres humains. Néanmoins, chaque individu dans cette communauté est éconduit par la poursuivre de ses passions, de ses buts personnels. Malencontreusement, les objets de ces buts sont tels qu'une personne (non seulement, la communauté mondiale) ne peut jamais être complètement satisfaite."
--Augustine d'Hippo--
Les lundis matins ne sont pas tout si menaçants dans une civilisation ou on peut travailler non rasé en pyjama.
À la veille époque je gaspillais deux heures de ma journée pour me rendre au bureau en ville et pour revenir à la maison le soir. Donc moi et la corporation avons flairé la bonne affaire et négocié une entente. En retour pour leur dépense sur quelques pièces d'équipement extravagantes, en plus d'une ligne téléphonique supplémentaire, et d'une connexion ISDN a mon bureau à la maison, je ferais don de 2 heures quotidiennes --un supplément de 10 heures par semaine-- à l'Empire. De cette façon Ils obtiennent un employé travaillant 50 heures semaine au même salaire, leur coût d'assurance descend, et ils n'ont a pas louer d'espace de bureau supplémentaire. Ainsi donc je peux travailler non rasé dans mon pyjama, et les chats peuvent maintenir leur sommeil-de-veille sur la table à café à côté de moi. Tout le monde y gagne. Ce message d'intérêt public est un gracieuseté l'Association de l'Industries de la Réseautique d'Amérique du Nord.
"Le Télétravail" était un alliage et non pas de l'or pur. Quelques personnes découvrirent qu'ils appréciaient sensiblement la routine d'avoir à aller quelque part d'autre --loin de la maison, où ils peuvent être souvent déroutés par des soucis mondains comme la garde des enfants, les ordures et les collations toujours présentes au réfrigérateur. Pour les indisciplinés de telles fuites productivité pouvaient dilapider tous les gains consentis par leur employeur.
La décade de 1992-2002, les corporations et les gouvernements ont effectué étude après étude sans en finir, après avoir dispensé beaucoup de millions de dollars à des consultants nécessiteux de partout, ils déterminèrent ce monde de vie représentait un compromis. Et oui, certaines personnes foutaient strictement rien à la maison. Mais ces personnes étaient aussi inaptes au travail qu'avant, excepté que, maintenant, elles l'étaient chez elles. Oui, les institutions pouvaient créer des infrastructures compliquées pour motiver le comportement de l'employé avec la méthode de la carotte et du bâton dans l'espoir d'augmenter la productivité. Non, elles n'emportèrent pas cette proverbiale lutte, puisqu'il n'y a rien de plus ingénieux qu'un esprit humain qui entreprend d'éviter le travail qu'il ne souhaite pas effectuer. La résistance agit comme une bulle d'air; en appuyant sur elle, vous n'en répartirez le contenu qu'en une autre forme.
Cependant, tout de cela n'était que secondaire, à l'inquiétude suscitée par plus la grande question de comment de "télétravail" allait affecté l'économie. Les gouvernements locaux, régionaux, et nationaux de partout étaient très intéressés de déterminer ce que tout cela pouvait bien présager. Plusieurs autres millions de dollars furent distribués --vraisemblablement aux consultants qui n'avaient toujours pas reçu de subventions ou de contrats à cet égard-- et les résultats prouvent décisivement que le changement engendre des vainqueurs et cause de la déperdition. Mais aucune personne ne fut effacée de la carte; le "télétravail" a simplement occasionné une redistribution des flux du revenu, comme si un tremblement de terre mineur avait provoqué le changement de lit d'une rivière, drainant finalement quelques marais et inondant quelques champs.
Par exemple, les propriétés propriété immobilières commerciales furent quelque peu dévaluées. Puisqu'il avait été en surabondance dans les années 1980 aux années 1990 ou parce que la demande pour les espaces bureaux traditionnels c'était vraiment difficile à affirmer. Les secteurs où le coup fut le plus dur à amortir étaient la ville centre classique regorgeant de propriété commerciale --le centre-ville de beaucoup de métropoles-- et peu d'autre emplacement. Les terrains de stationnement " 9 à 5" les épiceries fines approvisionnent la foule costard-et-cravate perdirent de la clientèle. Les restaurateurs, les services d'entretien de bâtiment, les fleuristes, cireurs de chaussure-- y perdirent tout au change.
Les banquiers, les investisseurs, les propriétaires, et agents du revenu ont commencé s'énervé, mais sans être pris de panique. La raison est qu'ils avaient eu le temps de s'ajuster. Sur la place du marché de l'argent et des idées, l'innovation technique et sociale cause plus souvent qu'autrement de nouvelles marques plutôt que des gouffres. Le "télétravail" était une puissante réalité, mais n'était pas le marteau-pilon que certains prédisaient. Il était plutôt question de millions de biseaux capables de sculpter une nouvelle forme hors du béton et de l'acier-renforcé de la civilisation urbaine.
La plus grande part des compagnies immobilières investirent dans des propriétés hybrides zonées commerciales et résidentiels, donc les effets de la dévaluation commerciale furent négligeables. Les ouvriers de la construction et les architectes qui se spécialisaient dans les gratte-ciel à bureaux s'attelèrent à la tâche de les convertir en des espaces habitables à vocations multiples. Il y avait encore un marché pour remettre à neuf les vieux bâtiments existants. Comme les gouvernements municipaux perdaient des revenus, les consignes de zonages furent assouplies autorisée et même à encourager les grands propriétaires fonciers d'hybride commercial au résidentiel, donc les gens purent travailler et vivent dans le même bâtiment. Ce qui diminua d'autant l'enthousiasme pour la vie de banlieues, depuis que ses quelques avantages relatifs justifiant les navettes incessantes s'évaporèrent à vue d'oeil.
Les plus grands vainqueurs étaient ces compagnies qui se sont spécialisés dans fourniture du nécessaire pour télétravailleur moderne. Pourquoi ceci aurait apparu surprenant est au-delà du flair de tout observateur rationnel. Quelques personnes l'ont perçue comme étant évident dans leur recherche obscure, je suppose. Cependant, ce qui n'a pas été affirmé clairement (non généralement prédit), était que le capital finançant l'industrie du télétravail est venu des mêmes banques, investisseurs et propriétaires qui avaient précédemment financé les banlieues traditionnelles et fait de la navette entre elle et la ville centre, une industrie.
L'exemple le plus flagrant qui je peux évoquer est les systèmes de transport en commun des plus grandes villes en d'Europe. Les Hollandais et les Belges, pionnier de l'approche "si vous ne pouvez pas les battre joignez-vous à eux", remarquèrent que leur achalandage stagnait, et non plus capable d'effectuer des razzias en règles de fond public pour consolider l'approvisionnement général en revenu, et peu disposé à augmenter les tarifs de passage par peur d'aggravant leur perte, investirent tout simplement massivement dans les services réseautiques. A Amsterdam, par exemple, le métro est aussi le plus grand détenteur de câbles-et-fibres-optiques fillant à même son réseau du centre de la ville à sa banlieue éloignée. Loin de traiter "télétravail" comme une marée augmentante a être endigué, ils l'ont embrassé comme une extension verticale d'une industrie de transport des électrons en plus des traditionnels atomes qui étaient mu par ceux-ci. Par l'usage intelligent de publicité promotionnel --par exemple, la mise à la disposition des détenteurs de laissez-passer métro le libre à accès à sa clientèle à de services d'accès Internet spécifiquement conçu pour eux-- ils ont alors maximisé le potentiel générateur de revenu pour les deux au sein d'une audience captive.
Dans les nations d'Amérique du Nord, en Australie, en Afrique du Sud, et au Brésil, l'avantage positif de "télétravail" n'était pas de prime abord très économique, il était plutôt de nature environnementale. Les gens conduisant moins des gains liés à la qualité de vie s'ensuivirent. Le volume du trafic ne fut pas réduit considérablement --peut-être 10% tout compris-- mais l'incontournable était qu'il a effectivement été réduit. Au sein d'une civilisation étouffant sous sa dépendance au moteur-à-combustion, c'était la grande révolution, accomplie sans crier gare, du début-de-siècle. Ce qui donna à tout le monde suivant l'industrialisation du 20e siècle, un petit répit leur permettant de remettre à neuf leurs routes, les tunnels, ponts, et autres investissements en capitaux. Et ce faisant, en accordant à une industrie, qui jusque-là menait un train d'enfer, le temps de se remettre en question et de penser ses plaies.
La vCité n'a pas prouvé cette hypothèse directement en écartant tous doutes, bien sûr. De la même façon que nous nous sommes engagés dans des dépenses considérables pour la conception du simm de transport en commun, nous avons dû consacrer d'encore plus imposants montants pour concevoir un simm complet de l'infrastructure nécessaire à l'utilisation du moteur à combustion. J'en mentionnerai un peu plus sur ce fantasme à quelques autres occasions. Ce qui demeura fondamental c'est que personnes n'avaient pas l'intention d'utilisé vraiment que ce soit l'un ou l'autre mode de transportation. Il est impossible de forcer des gens à l'utiliser quand ils peuvent se télécharger instantanément où bon leur semble. Est-ce que nous aurions pu arbitrairement interdire le téléchargement, bien sûr que oui, et est-ce que les personnes forcées défiler d'une partie à l'autre de la ville par l'entremise d'un simm de transport en commun, mais quel bien est-ce que cela aurait occasionné excepter que de faire chier nos vCitoyens et vTouristes? À quoi servirait une simulation, si tout ce qu'elle reproduisait, serait ce que nous insisterions, doivent s'y passer?
Non en effet, il s'avérât que l'anti-médium, devint l'anti-message. Il y a une raison pour laquelle le peuple ne gaspille pas son temps en défilant des heures durant dans une vAutomobile parvenir d'un endroit à un autre dans la vCité. Parce qu'à la longue cela devient tout simplement navrant. C'est précisément pourquoi plus personnes ne désirent plus le faire dans la vraie vie aussi.
Ma femme frappe sur la porte mi-ouverte et entre. "Es-tu déjà à l'oeuvre?"
"Mon travail n'est jamais fini," je lui déclare.
"Mais t'arrive-t-il de dormir?"
"Je suis l'oeil sans paupières."
"Heuh?"
"Chaque Barad Dur a besoin de son palantir."
"nom de Dieu, de quoi parles-tu?"
Je soupire d'exaspération. "des allusions Littéraires. Le Seigneur des Aneaux?"
"J'en ai entendu parler. Wagner."
"Non, damné, Tolkien. Vous pensez à la série des Anneaux."
"P'tit studieux," dit-elle.
"P'tite Fille de la Prairie," je lui réponds.
"Eh bien, tu n'es pas descendu ici pour échanger des compliments."
"Vendre quoi, alors?"
"Je m'en vais travailler."
"Passe une bonne journée à l'orifice."
Elle caresse la forme dormante de son peignoir noir et blanc tigré, Londolozi. "Eh bien, au moins quelques-uns d'entre nous ont des vrais emplois."
"Apôtre du papier."
"Drogué de l'Électron," elle me répond, distraite. Le chat allonge langoureusement sous ses ministères. "N'oublie pas de tondre la pelouse aujourd'hui."
"Est la pile du nolo est chargé?"
"Je ne sais pas."
"Eh bien, comment suis-je supposé tondre la pelouse avec une pile morte de nolo?"
"Vous seulement descend votre âne et poussée il manuellement!"
"Luddite."
"Borg-à-chaise." Elle se penche et m'accole un baiser sur le dessus de la tête. "n'oublie pas de d'acheter de la nourriture pour le chat. Adios, Edzaco."
"Adios, Fivirino."
A la mention de la nourriture pour chat, Londo, déjà un presse-papiers de 7 kilos pourrait facilement être confondu pour un petit puma, me fixe dans l'expectative. La preuve éloquente, qu'en fait, les chats, comprennent le français.
Je le regarde me tourner le dos. "Mange en tant que t'en veux; nous en ferons toujours plus. Slogant de la Marque Frito-Lay, [circa] 1988."
À propos de cette tondeuse, maintenant.
Le besoin pour une tondeuse dans la vCité est approximativement proportionnel au taux de croissance de l'herbe virtuelle qui pousse --qui, dans les deux cas, équivaut à zéro. Aucune personne saine d'esprit voudrait créer un simm avec du gazon qui y pousse; ce truc est assez irritant dans la vraie vie. D'accord, peut-être bien que les gens au Centre d'Études et du Développement de la Prairie de l'Institut de la Terre observent la croissance d'herbages virtuels, mais qu'en est-il du reste de la population?
En tout cas, ce qui est très étrange à ce sujet, c'est que la vCité eut un important rôle à jouer dans le développement de la nolotondeuse. Lequel, en tant que Premier Citoyen, je me remémore quelquefois, qu'en dépit de nos meilleures intentions, la technologie se retourne contre nous, en accourant à nos trousses pour nous happer tout cru.
Sombre intrigue. Au début de la décade de 1990, les budgets combinés des départements militaires des États-Unis se rétrécissaient. Aux États-Unis les militaires se trouvaient dans une situation unique qui n'avait rien à voir avec l'efficacité réelle du secteur militaire, et plutôt tout à faire avec les cycles économiques du monde des affaires, ce qui occasionna beaucoup de dislocation entre secteurs économiques -- de plus, en fait, l'avènement du télétravail.
En fait, une nombre sensiblement important des corporations, dont les sources de revenus découlaient directement de contracts gouvernementaux, commencèrent à être pris de panique. Généralement, ils adoptèrent une de quatre stratégies.
La première était déni, impliquant des lobbys imposants, de publicité, de financement de campagne et de corruption visant généralement le soudoiment d'élu du Congrès. Pour quelques-uns ça avait fonctionné, mais pour la plupart ce ne fut pas le cas, pour la simple raison que électeurs destituaient leurs représentants plus rapidement que les corporations et les institutions États-Uniennes pouvaient les restocker à Washington, D.C..
La seconde stratégie fut la fusion avec/ou l'acquisition de la compétition. Pour quelques-uns ça avait fonctionné, mais pour la plupart ce ne fut pas le cas. L'assainissement de leurs structures conjointes débita un nombre impressionnant de composantes redondantes. À vrais de ces opérations engendrèrent des mises à pied massives de personnel. Le régiment entourant la présidence pouvait aisément sauter dans le vide muni de parachutes dorés, mais généralement parlant, la grande masse des employés de ces corporations n'aime pas l'idée de bondir hors d'un avion en flammes sans parachute. Il n'y a pas "d'atterrissage en douceur" sans parachute.
La troisième stratégie fut d'endurer les intempéries et de couper la paie. Même problème.
La quatrième approche fut de rouler avec les coups durs et de chercher des nouveaux marchés dans lesquels on puisse utiliser ses acquis, en tant qu'une force de leviers pour passer au niveau supérieur.
Prenez la corporation Hedley Koor à titre d'exemple. Les Industries HK étaient une entreprise Basée-en-Californie qui dérivait la plus grande part de son activité de contrats d'entretien sur les bases de l'Armée de l'air. Une des choses qu'il faisait était la tonte soignée autour des installations de l'USAF (armée de l'air États-Unienne). Maintenant, ce peu sonner comme une sous-spécialité arcane, mais il y a tout un corpus de littérature --le gouvernement des E.U.A. faits des appels d'offre sous ses spécifications-- sur la façon don l'herbe doit être coupée. Toutes violations peuvent être passibles d'amende ou même de révocation de contrat, particulièrement par officiers sous contrat désespéré rencontrés les objectifs de coupures budgétaires et en renonçant à des choses telles que l'octroi de payements ou même de l'émission de factures. Donc HKI Inc. était très intéressé à ce que les pelouses de l'U.S.A.F. soient coupées exactement selon les spécifications.
Pour couper de l'herbe avec une précision inhumaine, vous ne pouvez utiliser des êtres humains. HKI Inc. devint un pionnier dans l'usage de tondeuses de pelouse robotisées. Au commencement celles-ci étaient des machines fonctionnant à l'essence opérant d'une manière autonome avec des arpenteurs-au-laser, des gyroscopes, un système du positionnement local et une panoplie de bidules programmés d'IA (intelligence artificielle). Ils étaient énormément coûteux à concevoir, à programmer et à confectionner; cependant, leur cycle-de-vie sur une trentaine d'années était estimé être meilleur marché que l'utilisation de travailleurs, considérant tous coûts affairant y compris les soins de santé prodigués à l'humain, les assurances, les avantages sociaux, le fond de retraite, et les "interruptions-de-travail" liées à celui-ci.
Mais quand HKI Inc. a essayé de vendre la même technologie au secteur privé, ce fut un échec lamentable. Personne ne désirait faire au spectre qu'un dispositif apparenté au "Terminateur" poursuive ou chasse Fido de la pelouse à cause d'une erreur de routine d'analyse langage basé objet. La corporation prit grands soins de rassurer les gens ce scénario était pratiquement impossible; mais les gens, dans leur infinie sagesse, demeurèrent en désaccord total. Je ne sais pas qui a vraiment raison dans tout ça, mais passons...
Quoi qu'il en fût HKI Inc. était désespéré de capitaliser sur quelque chose --n'importe quoi-- essayant de se dénicher une place sur le marché. Ce fut à ce moment que l'idée de la vCité germa. Quelques ingénieurs de HKI Inc., familiers avec la programmation VR installèrent une corposimm dans la vCité seulement pour s'amuser, sans l'autorisation de leurs patrons. Marketing saisit l'opportunité et commença à interroger à des gens à travers la vCité. Quel genre de tondeuse de pelouse désiraient-ils vraiment, en somme?
Les vCitoyens à cette époque était d'une manière prédominante des propriétaires tout-à-fait-à-l'aise, des mâles Nord américains vieillissant de plus de 35 ans. Ce n'est pas la tranche de population la plus représentative de la planète, cependant il était précisément le marché qui risquait d'être intéressé par quelque chose d'aussi ridicule qu'une tondeuse à gazon robotisé.
HKI Inc. en fut ravi. Ils apprirent tout d'abord que personne ne voulait d'une technologie complètement autonome, mais qu'une machine téléguidable serait tout-à-fait appropriée. Du point de vue de la programmation c'était réellement plus facile concevoir. Ils ont appris que ces mêmes personnes ne voulaient pas d'une tondeuse fonctionnant à l'essence parce qu'elles étaient bruyantes, malodorantes, exigeaient de l'entretien, violaient quelques ordonnances locales, parce que de plus, leurs pelouses n'étaient pas assez grandes pour exiger de la vitesse et puissance fournie par un moteur à combustion interne. Ils ont aussi fait savoir à la compagnie que les tondeuses électriques qui ont besoin d'être connectées étaient peu appréciées parce que leur fil d'alimentation avait tendance à s'enrouler autour des arbres ou à s'accrocher à d'autres obstacles. Ils ont appris beaucoup d'autre choses. Et HKI Inc. eu aucune difficulté à recruter un groupe un groupe d'intéressé prêt mettre à l'épreuve leurs prototypes pour la future mise-en-marché.
Le résultat, pour rendre une longue histoire courte, fut l'introduction de la nolotondeuse. Elle a une pile qui peut être rechargé (RB) l'appareil peut-être utilisé un bon deux heures de façon ininterrompue sa puissance est d'approximativement 8 c.v.(cheveaux-vapeur, h.p.). Lié par comm sans fil à un appareil spécial qui se connecte au téléphone et de là à l'Internet, elle peut même être opéré comme s'elle en était dans un contexte de réalité virtuel induit par PC ou VMC de n'importe où sur le globe. Opération est, bien assurément, assigner à un individu don le code d'identification personnelle compte (NIP) ainsi donc personne ne peut couper de l'herbe de façon non-autorisée.
Vous penseriez que cette pièce de technologie aurait été ridiculisée hors d'existence, le moment où il a été introduit sur le marché. Ce, cependant, est une pensée issue pré-vCitoyenne. HKI Inc. ne l'aurais introduite si elle ne l'avait jamais testé en premier lieu avec soin dans en cette enceinte de RV, et si n'avaient pas de prime abord établi un rapport direct avec leur clientèle antérieure à la période d'étude de marché, de design, de développement et de mise-en-marché-virtuelle.
Dans la réalité, il s'avéra énormément populaire et pas seulement avec hommes d'ages mur, mais aussi avec femmes d'un certain age. La nolotondeuse fut un grand succès parce que les gens pouvaient l'opérer en faisant quelque chose d'autre, par exemple, la lessive, du triage ou en regardant une télédiffusion. L'appareil avait aussi un dispositif simple appelé "l'engrenage d'un homme mort" qui prévenait tout fonctionnement quand il n'était pas sous contrôle directe de son usagé.
Il y eut, cependant, quelques problèmes inattendus. Les services de tonte et d'entretien pelouse la détestèrent; quelques hommes d'affaires peu scrupuleux payèrent des employés pour dans les voisinages et les sabotèrent. Quelques parents qui avaient été insouciants avec leurs NIPs ont été épouvantés par l'aspect de la pelouse de Jackson Pollack quand leurs enfants ont considéré la nolotondeuse simplement comme une autre forme de divertissement. Dans un cas célèbre un individu dérangé eu besoin d'une sérieuse évaluation psychiatrique, que les policiers et les journalistes le qualifièrent naturellement du "Fou à la Tondeuse," qui chasserait ses voisins, les colporteurs, et les postiers de sa propriété par contrôle téléguidé de sa nolotondeuse. Il fut finalement déclaré coupable d'assaut avec une arme pouvant causé la mort, mais le jury ne pu décider s'il avait assaillit ses victimes avec la réelle intention de tuer ou pas.
Ce dernier cas a soulevé l'horrifique spectre que quelque part dans le futur, d'autres "nolos" technologies seraient utilisées exécuter toutes sortes d'activités criminelles ou terroristes à distance. Que surviendrait-il si son contrôleur résidait dans un pays étranger au-delà de la portée de la mise en application de la loi, quelle force policière pourrait intervenir dans de telles circonstances? Ou si le contrôleur oeuvrait d'un lien Internet non retracable? Au moment de la rédaction de ce texte, il y a plusieurs avant-projets de lois en suspens dans les officines du pouvoir du Congrès qui exigerait l'inscription de tout dispositif "nolo" soit machinerie au matériel de agricole, pour qu'ils soient traité comme s'ils s'agissaient véritablement d'armes.
C'est en quelque sorte triste, mais c'est la vie... Peut-être nous devrons suivre l'exemple japonais, et entretenir des jardins parsemés de roches, de gravier et de plantes, au lieu d'entretenir l'avide culte de la pelouse.


11e chapitre


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