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vCité 1.0


Traduction libre de MxtM
avec l'assentiment de son auteur;
dr. Adam L. Gruen
Chapitre 15

"..une clameur confuse est entendue de toute part; et un millier de voix simultanément, demande la satisfaction de leur aspiration sociale."
--Alexis de Tocqueville--
Dans les cinq années depuis que nous avons inauguré la vCité, aucun référendum sur quelconque emplacement n'a soulevé autant les passions que celui-ci, d'après les projections courantes. Ça fait maintenant six jours et environ 5% des vCitoyens --un peu moins de trois millions personnes-- ont statué leur vote au scrutin. Comme je l'avais anticipé, le sentiment initial dans faveur de "l'expression sans restriction" commence à s'effriter sérieusement, et de plus de personnes, révolté par l'Inspiration Exon, vote maintenant pour le lien soit supprimer en des raisons des actes graphiques de violence qui y sont dépeint, ce qui en somme, représente un futur non-perpetuable, ni désirable. Quoi il en soit, le vote est encore à 85% contre la proscription.
En n'en juger les instaliens, le principal problème semble être casbar. Le serveur Bahamien est subjugué de requête issue des vCitoyens exigeants à en savoir plus sur l'agitation occasionnée à ce sujet. Même s'il y a peu de vCitoyens qui statueront leur vote sans avoir constaté directement au préalable ce qui est vraiment en question. J'aime cette communauté. Ne prenez pas l'avis de quelqu'un au mot --liez-vous-y maintenant!
Eh bien, vous êtes mieux de vous-y-lier bientôt, puisse qu'à n'en juger la teneur des appels téléphonique qui j'ai reçu aujourd'hui, le casbar c'est déjà produit apparaîtra une séance de méditation comparativement à l'affluence monstre d'Internet qui risques de s'accentuer bientôt. Puisse que c'est la première fois, à ma mémoire, qu'une question de politique interne à la vCité suscite un tel intérêt à l'extérieur la communauté de la vCité et il semble que cette question a teinté une corde résonnante parmi la plus grande masse de la citoyenneté du monde réel.
Le premier appel téléphonique m'est parvenu d'un journaliste travaillant sur un reportage pour "Les Affaires de Demain". J'ai oublié de lui demander il si c'était un journal, un magazine, ou une émission radiophonique ou s'il s'agissait d'un bulletin de nouvelles télédiffusées, mais cela importe peu de toute façon. Il me parut intéresser dans notre processus le référendaire.
"Donc, vous dites qu'une personne peut voter plus d'une fois?"
"Techniquement, oui. Chaque personne ayant une adresse courriel dûment enregistrée dans notre base de données à droit à un vote. Donc si une personne est enregistrée plus d'une fois, elle peut voter plus qu'une fois. Mais..."
"Pensez-vous que cela est équitable?"
"Eh bien, en fait oui. Ce que j'allais dire étais que, la plupart des personnes ne votent pas du tout."
"Oh il en est ainsi? Quel est le pourcentage de votant lors d'ou référendum typique?"
"Environ 30% sur les questions les plus controversées."
"Pourquoi est-il tolérable de permettre à certaines personnes, plus que d'autre, d'altérer les résultats?"
"Parce que chaque avatar contribue à la construction la ville de virtuelle. Mais il n'est pas question de le permettre explicitement donc comme beaucoup le reconnaissent, le fait est qu'il n'y a pas de façon sûre à 100% de l'empêcher. Nous ne sommes pas des policiers."
"Si je comprends bien, votre corporation utilise la ville virtuelle comme un outil de marketing, n'est-ce pas?"
"Absolument."
"Alors que répondez-vous aux personnes des études du marché? Comment pouvez-vous rassurer un publicitaire que quelqu'un ne répondra pas plusieurs fois au même questionnaire?"
"Nous ne le faisons tout simplement pas. Les publicitaires sont très bien informées que quelques individus peuvent influer sur les résultats de travers de très petits échantillonnages. Mais deux choses à ce propos. D'abord, ils comptent rarement sur un petit échantillonnage. La ville virtuelle a une très grande population, vous savez. Deuxièmement, le rapport entre le fournisseur et la clientèle ne fonctionne pas de cette façon. Il un rapport spécial s'instaure entre les compagnies et leurs clientelles potentielles. Quand elIes parlent, les unes avec les autres, elles établissent un multilogue."
"je vois," dit le journaliste. Je savais qu'en fait il n'y comprenait rien. "Eh bien, merci pour votre temps M. Green. Oh, une encore une chose."
"Oui?" Qu'est-ce que ce type pense qu'il était, Columbo?
"Croyez-vous que votre corporation devrait fournir de pornographie en réalité virtuelle?"
J'hésitai, retenant mon tempérament. "Je suis désolé, peut-être je n'ai pas été clair comme j'aurais dû l'être. Je pensais avoir été assez clair sur le fait que notre corporation ne fournit pas pornographie RV."
"Mais. . ."
"Le contenu numérique n'est pas archivé sur notre serveur. Veuillez clarifier ce point dans votre reportage."
"Mais vous vous liez à lui. Est-ce que cela ne fait pas de vous, dans ce cas, des éditeurs?"
"Non, absolument pas. Le seul parti de la simulation de la ville virtuelle que nous contrôlons, est celle qui est archivée sur nos serveurs. Nous ne dictons pas aux utilisateurs ce qu'ils doivent mettre sur leurs serveurs."
"D'accord, je comprends" dit-il. "Mais néanmoins, vous êtes un conduit, n'est-ce pas? Les gens peuvent quand même s'hyperlier à lui à travers votre simulation, par l'entremise de vos liens."
"Exact."
"Alors, donc votre corporation choisit ce que vous désirez que votre audience s'hyperlient à?"
"Oui," je lui répond, soudainement affligé d'une sensation de fatigue passagère. "Mais c'est toujours vrai, pour quiconque. C'est vrai les environnements pour 3D ou 2D. Cette affirmation s'applique à tout l'Internet."
"Donc vous discriminez sur la base du contenu."
"Non. Nous discriminons sur la base de format. Nous avons le soin aux vCitoyens de discriminer en ce qui a trait aux contenus."
"je vois," dit-il. Je savais qu'en fait il n'y a vu que du feu. "Puis-je vous demander comment vous avez voté?"
"Je n'ai pas encore voté."
Le second coup de téléphone fut pire, pas parce qu'il était confus mais plutôt parce qu'il visa droit au but.
"Forest? John Warden a l'appareil."
"Bonjour, Warden. Comment vont les choses au QG du Contrôle de la Pensée?"
"Vous êtes un drôle de bonhomme, Forest, c'est pourquoi nous allons vous mettre dans prison le dernier."
"Eh bien, j'apprécie cela, Warden. Est-ce que congrès serre encore les cordons de votre bourse?"
"Oh non," dit-il, ricanant. "nous ne sommes plus tributaire du FCC --ne vous en souvenez-vous pas? Notre département se rapporte à la NSA maintenant."
"ah ha oui, l'Agence de l'Insécurité Nationale. Donc, que puis-je faire pour vous aujourd'hui?"
"Eh bien, c'est à propos de cette chose pornographique."
Mon estomac se noua. "Qu'en est-il?"
"Je suis juste surpris qu'il soit encore disponible au public."
"Pourquoi, Warden? Est-ce que l'Internet est brisé?"
"Non pas encore. Ce je veux dire est; pourquoi votre corporation est complice dans la dissémination de matériel pornographique?"
"Ce serait une sérieuse violation des lois existantes si cela s'avérait vrai."
"Oui, vous savez ce que j'en pense exactement."
Il y eut une pause pour de quelques secondes.
"Donc," j'osai finalement, "est vous en train d'affirmer que vous allez statuer un 59B?" C'est une référence abrégée à un corpus législatif qui autorise la NSA condamnée à l'amende individus et corporations sous plusieurs violations du code des télécomms.
Il soupira. "Non. Pas en ce moment. Je ne suis pas sûr que les autorités judiciaires mordraient à cet hameçon."
"Le Premier Amendement est tellement ennuyant, n'est-ce pas?"
"Pas du tout, mon garçon. Nous l'aimons réellement, la constitution des E.U.A.. Elle autorise le gouvernement fédéral à faire n'importe quoi qui s'avère nécessaire et adéquat. Bien sûr, ce n'est pas un cas concernant le premier amendement comme vous le savez. La pornographie n'est pas une expression et l'obscénité n'est pas un droit garanti par la constitution."
"Oui."
"D'accord, Forest. Je désirais seulement vous permettre de savoir que nous sommes informés sur la situation."
"L'argent de nos impôts au travail."
"Oui. 'Bye pour maintenant." Il raccrocha.
Je jette un coup d'oeil à Londo à côté de mon clavier.
Dans mon meilleur ton sudiste je lui dis, "Maintenant ce qui nous a ici, est un échec télé-communiqué." Londo soupira. Il avait déjà entendu cette farce défraîchie à plusieurs reprises et il même lui ne l'appréciait plus. Mais elle cadrait parfaitement avec la situation. Je veux dire; combien fois dans une vie quelqu'un peut tanguer avec nommé avec un bureaucrate Warden?
Le coup de téléphone suivant était de Roberto Canseco. Pour ce de vous qui avez vécu sous une roche au cours de la décade passée, Canseco est un baron de la presse et un des hommes les plus riches dans le monde. Il possède, probablement un bout d'à peu près tout: banques; propriétés immobilières; actions; compagnies; représentants législatifs dans cinquante-sept démocraties différentes. Cet homme, originaire de la Columbie, citoyen américain, est un type très jovial. Tant que vous s'y êtes associer en affaire et non un de ses concurrents.
"Docteur Green? Je désirais m'entretenir avec vous pour un moment s'il vous plaît."
"Ce serait un honneur, monsieur. J'obtiens si rarement la chance de parler avec un de nos actionnaires." Ce, bien sûr, était un mensonge éhonté --les chances sont qu'avec quiconque je parle au téléphone , celle-ci possède des actions dans notre corporation, même s'il ou elle ne le sait pas.
"Docteur, j'ai reçu de l'information comme quoi les fédéraux ont l'intention de signer un 59B contre vous."
"Vos informateurs sont tout à fait bien informé," je lui répondit agréablement tout étant intérieurement choqué. "Je viens à peine de m'être entretenu sur le sujet avec John Warden de la Division des Standarts et des Télécommunications de la NSA."
"Cet homme est la semence du diable."
"Merci de le mentionner, je ne m'en serais pas aperçu."
"Son museau grossit à mesure qu'il renifle les affaires d'autrui."
"Je ne l'ai jamais rencontré."
"Moi oui. Il est un petit homme. Les petits hommes sont dangereux."
J'ai du étouffer une pouffé de rire, à cause des images qui j'ai vu, Canseco lui-même est plutôt court, un p'tit gaillard une tête plus court que la plupart des autres.
"Oui, les petits esprits sont dangereux, puisse qu'il y en a tellement d'entre eux," Canseco continua. "C'est la raison pour laquelle j'appelle vous aujourd'hui. Vous ne devriez pas fermer l'emplacement de la femme australienne."
"femme australienne?" répétais-je inutilement. Ce type doit dépenser une fortune en espions.
"La femme, oui," expliqua t'il patiemment, comme si traitait avec un malentendant. "Celle qui a conçu les images sur Internet."
"Oh, je vois," je dit, pour gagner du temps. Quel est le rapport ici? Pourquoi est-ce que Canseco m'appellerait lui-même au lieu qu'un de ses avocats le fasse pour lui? Quel était son intérêt personnel dans cette affaire? Ou était-ce une affaire? "Eh bien, ne vous inquiétez pas, monsieur, nous ne fermons jamais qui que ce soit."
"Vous ne retirerez pas le lien de votre simulation de ville." Il l'avait exprimé sous la forme d'une question, mais d'une certaine façon ce n'est pas celle qui m'apparut.
J'ai décidé de passer à l'offensive. "Est-ce que vous nous le demandé, ou vous nous le dite?"
Il rétorqua. "Je le demande, bien voyons donc. Hey, vous m'avez répondu du tac au tac, vous avez du cran, j'apprécie les gens comme vous."
"Eh bien, j'espère bien les garder. Donc aussi longtemps que vous semblez le réclamer, permettez-moi de vous poser une question. Quel est votre intérêt en cette matière?"
"Eh, eh, ne permet pas à votre museau de s'allonger."
"Désolé."
Il y eut une pause. "Vous êtes un garçon brillant, vous avez mis votre casquette à penser et décortiquez l'énigme. Pendant ce temps-là, dites à Smith-Jones, ou quel que soit son damné nom, appelez-moi s'il vous importune." Il se référait à David Michael Smythe-JohnSon, la tête de notre Bureau de Délibération Générale.
"Je serai content de lui mentionner que bénéficie de votre support."
"Bon, bon. Continuez votre le bon travail. Adios."
"Gracias pour votre appel," je lui dit, mais la ligne était déjà déconnectée.
Environ vingt minutes plus tard, j'ai reçu un autre appel. De la Station Grande Centrale d'Aujourd'hui.
"Docteur Green?"
"Lui-même."
"Docteur, c'est Révérend Wallach de la Coalition pour Conservation de la Famille et de la Société. Est-ce que vous avez une minute pour me parler?"
"Certainement." J'y réfléchis une seconde, qui êtes-vous? Quel? Alors ça m'a frappé. C'était la Christine Wallach. Directrice exécutive pour la CCFS, une alliance religieuse de chrétiens, juifs et musulmans. Un des groupes politiques des plus puissants en Amérique du Nord avec un nombre d'adhérents plus grand que celui de l'organisation de l'Association Nationale pour le Port d'Armes. Une des femmes plus puissantes de toute l'Amérique du Nord.
"Excellent. Je dois dire, Docteur, j'ai beaucoup de difficulté à rejoindre quiconque dans votre corporation qui me parlerait."
"Eh bien, ils sont sûrement effrayés par vous, j'imagine."
Son rire carillonna distinctement du téléphone, comme l'eau peut jaillir d'une fontaine. "Mais vous, Docteur, vous n'êtes pas effrayé par mon humble personne?"
"Je n'ai peur de rien sauf du jugement du Tout-puissant, M. Wallach."
"ah ha, eh bien répliqué." Elle était tout à fait sérieuse. "Donc, vous êtes un homme ayant-peur-de-dieu?"
"Non. Je suis un homme aimant ce qui est divin madame."
"Ah. Certains diraient, l'un et l'autre sont les mêmes. Eh bien, je dois vous dire, que vous me surprenez! Je ne comptais pas retrouver quelqu'un qui parlait le même langage."
"L'anglais?"
"Non, je voulais dire..., eh bien, peu importe. Qu'est-ce que vous approuvez qu'est-ce que votre corporation fait?"
"Laissez-moi deviner. En ce qui concerne notre simulation de ville virtuelle?"
"Oui. Comment est-ce qu'une personne telle que vous, de toutes personnes, peut cautionner de telles saletés sur Internet?"
"Mlle Wallach, la saleté se trouvait sur l'Internet bien avant que je sois à l'emploi de cette corporation. La saleté existait avant même que l'Internet voie le jour. Mais quoi qu'il en soit, la question n'est pas de savoir si je dois la permettre ou pas. Vous êtes-vous informé sur notre processus référendaire?"
"Pas précisément, non."
"Eh bien, en bref, je ne dicte pas ce que les personnes peuvent voir ou ne le peuvent pas, je ne fais que soumettre à une question au référendum pour les personnes puisse décider d'elles même si un emplacement particulier doit être inscrit dans nos listes. Pensez à notre ville virtuelle comme elle était un grand annuaire de Pages Jaunes où les clients inscrits sur la liste de renvoi postal choisissent quel numéro de téléphone peuvent apparaître. Est-ce assez simple?"
"Quelquefois les gens ne savent pas toujours ce qui bien; ils ont besoin de conseils."
"Comme des enfants? Je suppose c'est vrai dans certaines circonstances. Cependant, presque toutes des personnes qui ont accès à la ville virtuelle ont plus cinq ans."
"Mais pourquoi exposer les personnes à de telles perversions? Ce n'est pas quelque chose votre corporation devrait faire."
"Même si nous retirions le lien, Mlle Wallach, la perversion s'y trouverait encore."
"Mais vous ne devriez pas le rendre facile pour personnes. Vous devriez retirer le lien."
"Je juste parler au téléphone avec Roberto Canseco. Il a insisté que je ne retire pas le lien."
"Cet homme est la semence du diable."
"Je ne saurais dire."
"Nous sommes très en désaccord à cet égard" prévint-elle.
"Eh bien alors j'ai une suggestion pour vous. Et si vous dites que l'idée vous est venue de moi, je le nierai."
Une courte pause. "J'écoute."
"Le CCFS est une organisation en faveurs de la conservation de la famille et, des valeurs sociales au sein des structures démocratiques, comprenez-vous?"
"La démocratie. Poursuivez."
"Bien, je le prends, acquiesçant. Alors ce qui vous pouvez considérer ces de demandez votre membership de mettre à leurs ordinateurs et d'accéder la ville virtuelle et par la suite de devenir citoyens de la ville virtuelle. À ce moment ils auraient le droit de vote au référendum. Alors vous pourriez leur dire de voter oui à motion d'interdiction de l'emplacement en question."
"Est-ce que cela nous en débarrassait?"
"Eh bien, il me donnerait l'autorité d'enlever les coordonnées de ce site de notre liste. Il disparaîtrait de la ville virtuelle. Mais son accès demeurait encore disponible de l'Internet."
"Mais votre corporation ne fournit-elle pas de l'accès Internet de part le monde fournit, comment est-ce que cette démarche pourrait résoudre le problème?"
"Elle ne le ferait pas," je doit vous le dire honnêtement. "Le problème n'est pas technologique mais moral, ce qui se trouve à être une plus grande question. Tout qui je peux faire, pour utiliser vos propres mots, s'est d'en rendre l'accès difficile aux gens. Les forcer à aller à extérieur la ville virtuelle et à utiliser un fureteur différent."
"Un quoi?"
"Logiciel. En d'autres mots, rendre incommodant le fait d'avoir à changer d'une paire de lunettes à une autre. Personnes n'aiment ce faire."
"Je vois votre point vu. Donc ce que vous dites en somme, c'est que nous pouvons affecter le résultat à travers la force de notre nombre?"
"Oui."
"Crée une Ville virtuelle de Dieu?" "Devinir un nouvel St. Auguste, si vous voulez."
"C'est une idée intéressante, Docteur. Je la considérerai. Merci."
"Ne me remercie pas; c'est votre idée."
Elle ria. "D'accord. Eh bien, merci pour votre temps et que Dieu soit avec vous."
Environ une heure plus tard, le téléphone sonna encore. Il était David Smythe-John-Son, Vice-président Exécutif de l'OGC. Probablement le numéro quatre de la corporation.
Qu'est-ce que vous pensez que vous foutez?" s'écriant au téléphone. Le raccord sonnait mauvais, comme s'il parlait sur un combiné téléphonique bas de gamme.
"Est vous en mode main libre?" Lui demande aie je rapidement.
"Oui je suis au volant de ma voiture téléphone. Attend, je vais me retirer de la circulation." Il transféra la communication à son combiné. "Est-ce mieux maintenant?"
"Oui."
"D'accord, merveilleux. Maintenant, "Qu'est-ce que vous pensez que vous foutez?" s'écria-t-il encore une fois de plus.
"En ce qui a trait à?"
"Je viens tout juste de conclure un entretien téléphonique avec Sandie. Elle dit que tout récemment elle a reçu appel d'un des avocats de firme Literati Inc. Et elle dit que Canseco vous a parlé. Est-ce vrai?"
"Oui. Il m'a appelé, il y a environ une heure et demie de cela."
"Eh bien vous n'êtes pas supposé parler à quiconque sur quoi que ce soit, est-ce clair?"
"Certainement, Dave. La prochaine fois que Roberto Canseco m'appelle, je lui raccrocherai tout simplement la ligne au nez."
"Ce n'est pas ce que j'ai voulu dire et tu le sais pertinemment. Qu'est-ce qu'il t'a dit?"
"Il voulait seulement me prévenir que si nous retirions le lien emplacement de l'Inspiration Exon, qu'il couperait mes testicules et qu'il les mangera pour son petit déjeuner."
"Merde."
"Réellement, je ne me rappel plus de son expression exacte, j'ai mal le comprendre. Peut-être qu'il n'avait seulement l'intention de m'inviter à déjeuner avec lui."
Ne fait pas ton p'tit malin avec moi, Forest. Est-ce qu'il t'a réellement menacé?"
"Non, pas vraiment. Il m'a paru tout à fait inquiet que nous ferions les frais d'un article 59B."
"Un 59B?" gémi Smythe-JohnSon. "Est-ce t'essai de me faire sortir de mes gonds ou quoi?"
"Non. John Warden y fit allusion aussi."
"T'as parlé avec Warden aussi?!"
"Il y a environ deux heures."
"Merde! Tu n'es pas supposé parler avec lui."
"D'accord, je lui raccrocherai la ligne au nez à lui, aussi."
"Doux Jésus," gémi Smythe-Johnson. "Qu'est-ce que t'as dit?"
"Ce n'était qu'un appel de courtoisie. Pour nous faire savoir que le TSD observe la situation."
Je l'ai entendu gémir à l'autre bout du fil.
"Dave, es-tu bien là?"
"Ouais, j'y suis toujours."
"Je pense vraiment que tu devrais ingurgiter un comprimé anti-stress Dave."
"Écoute à moi très attentivement. Si quiconque --QUICONQUE-- t'appels à propos des affaires corporatives, réfère-moi les. Est-ce bien compris? Parce que tu es plus bas que de la merde de cétacé. Est-ce que tu m'entends?"
"Je te reçois 5 sur 5. Soit silencieux, terre-toi profondément."
"Heuh?"
"N'adresse pas la parole à qui que ce soit. Et ma femme?"
"Ne joue pas avec moi, Forest. Je vais..." Soudainement le raccord s'estompa et fut perdu.
Reconnaissant, je raccroche. "Eh bien, ce ne pas une conversation très intéressante," expliquais-je à Londo. "Jusqu'à quelle profondeur de la merde de cétacé peu caler, en toutes circonstances?"


16e chapitre


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