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vCité 1.0


Traduction libre de MxtM
avec l'assentiment de son auteur;
dr. Adam L. Gruen
Chapitre 20

"...dans les pays démocratiques, fréquemment la presse incite les citoyens à lancer des ensembles dans la même a mal avisé que ces mesures et façons de classifier; mais s'il n'y avait pas de presse, il n'y aurait aucune activité commune. Le mal que les organes de presse produisent, est par conséquent, beaucoup moindre que ceux qu'ils guérissent."
--Alexis de Tocqueville--
Les instaliens sont en état de panique, il paraît donc. Au cours de l'onzième journée du référendum sur le site de l'Inspiration Exon, un petit plus de dix millions de gens, ont déjà voté au scrutin, et de ceux-ci, trois millions et demi ont voté oui en faveur du bannissement au bureau du registraire. Donc si les votants contre jouissent d'un solide 65% des voix, quel est le problème?
Le problème est qu'ils n'apprécient point les nouveaux venus. Dans les deux jours qui on suivit l'avis de Christine Wallach à "de reprendre le contrôle des rues virtuelles," résultat, presqu'un million de nouveaux vCitoyens enregistrés ayant pour but, l'interdiction, via leur vote, d'un emplacement.
Ce qui mit à rude épreuve nos chaoscrates, les vBrahmans comme ils aiment s'imaginer êtres. Ceci est un phénomène curieux dans histoire de gens ayant des idéaux égalitaires et sous la contrainte des innovations technologiques, ils les répudient au premier moment où se produisent des conséquences inopportunes. Ainsi, quelqu'un pourrait aussi bien arguer que la fin justifie les moyens.
Beaucoup des vétérans de la vCité réagirent e la même manière que Viktor Frankenstein réagi, à la vue de Mary Shelley. Ils amenèrent leur création à la vie mais ils n'apprécièrent guère son autonomie comportementale. Yahweh par contre, Frankenstein abandonna et c'était lui même absous de toute responsabilité à l'égard de sa création. Au moins Allah demeura un bon bout de temps et était miséricordieux.
Mais peut-être que j'intellectualise trop à ce propos. Peut-être est-ce un cas qui remonte à plus loin, au comportement dès plus primitif qui peut être résumée en quelques mots, "dégage ceci est mon territoire. Si tu n'es pas de mon clan, de ma tribu. Tu es différent. Part." Un thème qui semble courir partout dans l'histoire de la civilisation humaine, sans tenir compte des comportements animaux en généraux.
La peur. La peur de quoi? La peur de la perte de contrôle, ou de privilèges? La peur du changement? La peur de la bagarre? Je ne sais quoi. Dans les cinq années d'existence de la vCité, je ne n'ai jamais ressenti une peur d'une telle envergure. Je n'avais jamais vu des appels pour des amendements aux règles référendaires auparavant --entre autres, la proposition, que les nouveaux citoyens devraient avoir établir résidence depuis au moins trente jours, avant qu'ils puissent "avoir le droit de vote." La chose que nous verrons à l'ordre du jour sera que les soient titulaire de "Green Cards" pour avoir droit au chapitre. Ça ne pourra qu'aller de mal pi --les appels pour restreindre l'immigration. et bientôt le Passeport, peut-être?
C'est comme si nous étions happés par une bouffée de réminiscence de la France de l'époque contre-révolutionnaire de 1790, ou de la peur Rouge des années 1920 aux États-Unis. Un souffle puant, issu d'un passé misérable.
Bien sûr, ce pourrait être aussi la Chine plus récente de la dynastie Han ou les Romains de l'empire Justinien jetant un regard lointain sur les hordes de barbares avec une dose certaine d'appréhension.
Hmmm. La Roue est définitivement en train de tourner.
Il y a un domaine d'inquiétude particulier à notre corporation, celui des notions, maintenant exprimé au sein de quelques instaliens, que la chose à faire serait de fuir et d'établit une nouvelle ville virtuelle quelque part, autrement, un nouveau vMonde, pour ainsi dire. J'avais déjà lu des commentaires de cette nature auparavant. Je trouve intéressant que des personnes pensent qu'ils peuvent se sauver, géographiquement, de questions sociales aussi fondamentales. Mais c'est comme essayer de se sauver de propre ombre. Il n'y a qu'une seule façon de la faire et ce demeurer à jamais dans l'obscurité.
Ironiquement si cela se passait ce serait presque une image miroir de ce qui est arrivé aux fondamentalistes anglais de la Hollande du 17ieme siècle. Là, la peur de l'influence pernicieuse du laxisme moral induit par des choses telles qu'une économie basée sur la monnaie et la liberté de presse, un groupuscule de Puritains décida d'émigrer à la Baie de Plymouth pour qu'ils puissent y réimposer l'ordre social à leur communauté. Ici, la peur de l'influence pernicieuse de rigidité morale dans la vCité du 21ieme siècle, un groupuscule d'infocrates réfléchi à la possibilité d'émigrer à autre part au sein du cyber-espace donc pour qu'ils pussent re-imposer leur désordre social à leur communauté.
Donc, une scène surannée, maintes fois rejouées en travers le théâtre des discours humain; partout dans le royaume, les uns jettent des coups d'oeil furtifs à d'autres personnes à travers des rideaux tirés, espionnent "l'autrui" emménageant en face de lui, sur sa rue, tout en se demandant s'ils devraient vendre la maison et aller vivre dans bourgs plus acceuillants. Si ce n'était pas si triste, il en serait drôle.
Parmi les hurlements de protestations sur l'imminent déclin et la chute de la cyber-civilisation, il y se trouve des voix pourvues de raison. Ce bon vieux MacKenzie, je savais qu'elle serait debout rapidement pendant que les autres foutent le camp. L'entêtement n'est pas toujours une mauvaise chose; c'est la ténacité du leadership qui cautionne quelques âmes courageuses quand s'écrient "Teint ton bout, merde!" devant le grondement terrifiant des tanks va en s'approchant.
Son éditorial intitulé Rainforest Mac charrie un peu, mais les points concourants sont solides.
[morceau tronqué]
Donc, démocratie n'est pas un sport de spectateur.
Au lieu de pleurnicher sur l'anéantissement de la liberté d'expression, que les fondamentalistes occasionnent, nous devons reconnaître que le fardeau de la preuve de l'instruction* du procès d'intention repose sur *nous* et qu'il de notre devoir de les instruire sur la pertinence de nos eux et coutumes.
Premièrement, descendez de votre piédestal et aller voter si vous ne l'avez encore fait.
Deuxièmement, allez à la rencontre des nouveaux citoyens et découvrez qui ils sont, parlez-leur.
Troisièmement, ne vous isoler pas des autres simplement parce que vous divergez d'opinions.
Quatrièmement, répliquez. Vous êtes dans une ville ouverte. C'est votre ville. C'est leur ville.
C'est la ville de tout le monde. S'ils interdisent un des vôtres, proscrivez un des leurs.
Ils comprendront le message.
R.M.
Je dois admettre que je ne suis pas certain d'aimer le son de; "S'ils interdisent un des vôtres, proscrivez-en un des leurs." Cela sonne comme quelque chose que Peter Clemenza aurait pu dire à Vito Corleone dans le film Le Parrain de Mario Puzo.
Je ne veux pas qu'il y est de trouble dans la vCité de, pardonne moi. Beaucoup de piazellas pour tout le monde. Hé, on rajune?
C'est un phénomène intéressant, ce concept de bannissement. Des ombres projetant des ombres; il y la réalité et puis, il y la ville virtuelle et il y a le Grand par-delà le néant. Si un emplacement est interdit, où se retrouve-t-il? Ou si des agissements d'un persona s'avèrent négligent, irresponsable et qu'il doit mis-à-l'écart un certain temps, que fait-il où est-ce qu'il va? Le même endroit où les chaussettes s'en vont quand vous jetez douze paires dans la sécheuse et vous en retourne seulement onze et demi?
Si la réponse à la première question est relativement facile. Les dossiers demeurent là où ils sont. Si les gens y ont commis un signet, ils peuvent encore y parvenir. Ils n'ont seulement qu'à sortir la vCité au préalable. Il c'est tissé en effet une méta-vCité des interdits au cours des années passées (ce qui ressemble étrangement au Village des Damnés, n'est-ce pas?), elle existe au-delà de notre registraire du bureau des coordonnées civiques. Méta-vCité existe, je le suppose, comme un genre de vCité sans conscience.
La réponse à la deuxième question est plus ardue. Un concepteur de monde RV peut encore faire se qu'il entend faire, mais le fait d'avoir été mis au rancart fait que son persona a perdu son compte courriel fourni exprès par notre corporation. Cette persona ne peu plus affecter l'augmentation la démographie et le cour du développement de la vCité. Une fois banni, un nom, l'aie à jamais. Il n'y a pas de résurrections dans la vCité. Cependant, rien ne prévient, que cette même et vraie personne du monde, revienne sous une apparence différente, avec un nom de persona différent.
Pour faire une histoire courte, la mort virtuelle n'est pas vraiment une chose tellement terrifiante pour les vCitoyens qui on peu ou pas émotif avec leur persona. Mais pour ceux qui prennent la vie virtuelle métropolitaine au sérieux, il n'y a pas de cause pour l'inquiétude. Referendums est appelé jamais pour raisons capricieuses; eh bien, pas depuis l'épisode de la lutte professionnel de 1997 en tout cas. Il y a seul deux règles qui j'ai mentionné déjà. Leur RV place ne peut pas violer les lois de physique comme nous les comprenons; le concepteur / participant doit souscrire à l'essence de la vCité comme un monde dans qui nous souhaitons vivre.
Il y a beaucoup de chaos à même la vCité; en tant que Premier Citoyen, je suis le premier l'admettre. En général j'essaie de rester en dehors de Souville (des Taupes mal foutu aussi) et de Shantytown. Je ne désire pas voir des comportements anti-sociaux. Mais il existe. Que puis-je y faire? La laisser là, laissé ce policer eux-mêmes, y prêter une sourde oreille. Après tout, je ne suis pas un fasciste. Si je vois quelque chose qui je n'aime pas vraiment, je peux envoyer un message courriel l'offensant persona. J'essaie de raisonner les personnes. Plus souvent qu'autrement, cela fonctionne.
Laissez moi vous donnez quelques exemples. Il y a beaucoup d'endroits dans la Souville où les RV conçeptualisation esposé dans certain emplacement, dépasse les Volumes octroyé lors de leur zonage originel. Nous le qualifions l'effet "Dr. Who" d'après l'infâme le titre la série télévisuel britannique des 1970. À cette émission le TimeLord Tartus était un vaiseau spatiale qui était plus grand de l'intérieur que de l'extérieur.
En d'autres mots, disons que quelqu'un "possède" une pièce de 100 mètres cubiques (100 m3). Maintenant, si le concepteur RV ce fait insouciant dans sa conception, il a conçu des dossiers, qui une fois converti et traduit par un fureteur, à travers lequel la pièce apparaîtrait 2 fois plus grande.
Mais nous ne savons pas encore comment concevoir des masses d'espace-temps pouvant s'interpénétrer ou occuper un volume plus grand que leur volume apparent. La vCité, d'un point de vue structurel, est toujours demeurée Newtonienne et Euclidienne. Vous publiez la physique, la conception, la technologie et je lui permettrai de tenir debout. Et, en passant, veuillez cueillir votre Nobel vous-même.
Un autre exemple dès plus évident. Quelqu'un en l'année 2002 conçoit une vue du scénique qui inclut une colline boisée en arrière-scène. L'année suivante, une vMaison d'un autre vCitoyen trône sur cette colline. Cependant, le vCitoyen original ne sait sa vMaison à maintenant un voisin, donc, il ne modifie pas son décor. Il occupe un plus vieux continuum d'espace-temps. En ce qui le concerne, il n'y aucun voisin pour gâter la vue. Une solution qui, si vous s'y pensez, serait une bonne manière d'éviter un grand nombre de procès. En tout cas, bien que certain d'entre nous peuvent aimer vivre dans le passé et que d'autres d'une telle façon, ce n'est pas une solution viable pour le monde réel.
Tous ces genres d'erreur esthétique ne sont pas supposée exister, et pourtant, je dois l'admettre, toute journée donnée, en moyenne plus de 20% de nos emplacements de la vCité ont un quelconque problème, ils sont semblables et présentes toutes sortes d'anomalies de nature spatiales et temporelles. Je résous le problème en m'inquiétant pas à son propos. J'emprunte la longue perspective de mes points vus. Quand vous observer le fond de l'horizon, la perspective aérienne, c'est alors les petites erreurs s'estompent et disparaissent.
Bien sûr, déjà en 1994, les spécialistes VRML avaient déjà résolu ces problèmes techniques liés à la réalisation d'une ville en réalité virtuelle. L'approche la plus simple fut d'établir le contenu entier de la ville en l'archivant sur un serveur ou des grappes de serveurs. Donc, nous avons "ouvert" une porte, nous sommes tout simplement devenu au sein de ce nouveau monde, une nouvelle classe de gens et accédèrent à ce nouveau monde d'un coup plutôt que par l'entremise d'un u.r.l. (ex.: www.vcite10.com.bi) entièrement nouveau sur l'Internet. Dans beaucoup de situations l'approche de la distribution centralisée était techniquement supérieur à ce que nous faisons maintenant. Non pas le seul fait que nous pouvions défiler à travers le modèle beaucoup plus rapidement, mais a aussi permis concepteurs de RV l'adoption de librairies d'objets pré-définie pour leurs dossiers d'emplacement. Ce qui réduit considérablement le temps de téléchargement et l'espace répertoire.
Pourquoi donc, si la distribution centralisée s'avérait supérieure, empruntons-nous la voie la plus difficile?
Très simplement. Pour deux raisons. La légale et l'économique.
Premièrement, nous n'avions pas l'intention d'héberger le contenu d'autres personnes sur nos serveurs corporatifs, à moins que nous l'ayons acheté sous contrat noir sur blanc en papier. Le droit en matière d'Internet, comme la jurisprudence à pris forme au cours de cette dernière décade, inévitablement elle à décanté jusqu'aux emplacements et ultimement à la responsabilité de leurs propriétaires, locateurs, utilisateurs, concepteurs. Un crime-de-conscience dans l'État de l'Utah n'en n'était pas un en Californie. Des mégaoctets de bits entreposés sur un disque laser peuvent êtres inacceptables et punissables par la loi de l'Utah; les mêmes mégaoctets entreposés sur le même disque n'est pas contre la loi en Californie. L'entreposage de données pour approvisionner en royauté ces auteurs en dehors des États-Unis, si elles n'ont pas été transmises par l'entremise d'un serveur localisé aux États-Unis est une infraction; mais pas nécessairement en Chine! Bien sûr que c'est idiot, mais ne regardez pas. Je ne fais que travailler, ici.
Deuxièmement, notre corporation a intérêt à ce que son architecture soit décentralisée, en systèmes redondants distribués. Nous ne voulons pas que des milliards de personnes accèdent à nous, nous voulons que milliards d'elles accèdent aux requête de part et d'autre. Nous voulons les gens utilisent tous leurs 5 à 10 lignes télécoms 24 heures par jour, sept jours par semaine. La cadence de notre économie est tributaire de la vitesse de nos électrons. Plus que gens utilisent les technologies d'interéseautage, plus capacité grandie, plus que la vitesse s'accentue, ainsi que la robustesse des tuyaux et des concentrateurs-réaiguilleurs de nos infostructures, par conséquent ils engendre aisément des économies d'échelle à tous les niveaux de l'économie, ainsi vous obtiendrez de l'accès de plus grand marché offrant de meilleur prix et une précision nouvelle précision vous permettant de mieux cibler votre clientèle. Bien sûr, nous avons nos coûts fixes à couvrir -- les irritants mineurs; comme la comptabilité et les impôts. Donc nous facturerons des taux horaires pour ce genre de service. En effet, nous semblons rapporter des profits de temps à autre. Mais gardez à l'esprit que le "profit" est aussi un concept de réalité virtuelle. Donc si télémonaie n'est qu'un flot d'électron. Qu'est-ce que la richesse?


21ieme chapitre


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