vCité 1.0
Traduction libre de MxtM
avec
l'assentiment de son auteur;
dr. Adam L. Gruen
Chapitre 22
"La société idéale est mise de l'avant comme si elle était modèle dans le ciel, où ceux qui le souhaitent, peuvent y voir et trouver ce que recèlent leurs coeurs. Mais peu importe s'il existe ou s'il existera jamais; c'est le seul état dans lequel politique ne peut prendre partie."
--Platon--
Mode pontifical.
Un vieux pote, une fois, me confia, qui est dans les affaires publicitaire ludoducative, "Les pionniers prennent toujours les premières flèches." (Avertissement du Consommateur du Contenue et Notice de Désistement; 367HL: Pendant la période de l'invasion et de l'expansion des technologies européennes et de leurs idées sur le continent Nord américain, c.1500-1900, les cultures indigènes ont résisté à avec les armes approprier à leur niveau de technologie comprenant l'arc et les flèches. Pour les indigènes américains l'européen et les Afro-Américains n'étaient pas des pionniers, ils étaient envahisseurs. Ce message d'intérêt public vous est parvenu par l'entremise du Comité pour l'Analyse Équilibrée de l'Histoir par Égard au Futur de la Civilisation.)
Ceci peut être vrai, mais pourquoi? Deux raisons. Premièrement, ils essaient souvent de faire des choses seul, sans la quiétude qu'apporte le nombre et sans avoir recours à de puissantes institutions. Deuxièmement, ils ne pensent pas à tous les tenants et aboutissants. C'est probablement parce qu'un individu seul ne peu simplement pas, à lui seul, penser acquérir assez de connaissance et compétences dans une vie, pour comprendre tous les équations pouvant modifier l'affectation d'une façon concevable au point qu'elle représente quelque chose de nouveau.
Les marées du monde des affaires changent. Il y eu une époque où, la plupart des innovations étaient introduites par des entrepreneurs, mais elles étaient surtout adopté et financé par des représentants de grands intérêts corporatifs et ce, au moment, à l'endroit leur convenant, choisi pour pouvoir en accroître les profits possibles. D'où pensez-vous que les flèches sont venues ? Cependant, aujourd'hui, au 21ieme siècle, les entrepreneurs suscitent de grandes inquiétudes au sein des intérêts corporatifs. Ironiquement ces mêmes corporations consistent principalement, d'énormes essaims d'entrepreneurs cherchant tous simultanément le nectar du revenu à haute marge de profit. Leurs affaires de coeur sont intimement liées aux changements de toutes sortes. Ils recherchent des avenues à haut risque et d'une grande profitabilité.
Puisqu'ils sont tous engagés dans différents champs, le risque individuel est contrecarré de part et d'autre. L'échec dans une région peut être amélioré par le succès d'une autre. Dans un sens, la corporation moderne agit comme le bailleur d'un fond mutuel énorme.
Donc oui, je suppose pionniers essuient des tirs de flèches. Cependant n'affecte en rien le processus de colonisation. Il se trouve toujours de nouveaux pionniers prêts à relever un défi. Des abeilles meurent; la ruche vit.
Les entrepreneurs tendent à être des personnes très individualistes, des libres-penseurs, des gens créatifs. De par leur nature intrinsèquement anti-corporative. Il est très difficile d'en assembler tout un lot dans un même endroit, sous le même toit, parlant la même langue, habiller dans un style semblable, arborant leur insigne de sécurité corporatif, rouspétant sur la qualité douteuse du café de temps en temps et des ascenseurs lents. Ce peut être fait, mais seulement pour de très courtes périodes de temps. Éventuellement, ils commencent à se dissocier. La corporation d'un entrepreneur fait toujours, soient l'un ou l'autre, elle explose ou implose. Les personnes brillantes partent pour poursuivre leurs idées quelque part d'autres, ou séjourne et finesse par avoir l'air d'une pièce d'argenterie ternie par trop d'exposition aux rayons du soleil.
Par conséquent une corporation transnationale moderne s'assure une stabilité, un état perpétuable seulement par l'entremise de l'interéseautage. Ce qui accorde une ample marge de liberté que les entrepreneurs apprécient tout en accordant de l'excellent support à ceux qui manifestent le besoin. Non seulement un support financier --qui peut être acquit de beaucoup de sources y compris bancaires-- mais aussi un support intellectuel. De par la planète. Jour et nuit.
Alors, sans l'ombre d'un doute, les corporations d'interéseautage s'en ont rendu compte les premiers parce qu'il en avait fait leur affaire. De la même façon que, dans les États-Unis du 19ieme siècle les premières vraies corporations nationales furent les compagnies ferroviaires. Les voies ferrées ont élevé une génération de directeurs qui ont vu le potentiel de la production en masse, de la distribution de masse et de la consommation en masse, simultanément. La corporation dite, multinationale fut la suite logique au 20ieme siècle. Il y avait, malheureusement, un côté sombre --l'arme de destruction massive.
La Roue a tourné; mais à aube du 20th siècle, des gens pensaient que la question ne se posait plus en fonction d'une masse critique, mais plutôt sur les déflagrations. Le défi n'était plus rendre une vue d'ensemble, mais d'en jalonner l'étendue et de comprendre la signification de chacun de ses fragments, comme s'il était aussi beau et mystérieux à nos yeux qu'un ciel étoilé. En effet, bien que je parle ici de marketing et d'économie, ceci s'applique à la politique comme à bien d'autres domaines. Le défi du 20ieme siècle était établir la gouvernance démocratique. Le défi du 21st siècle est de réaliser l'anarchie démocratique à géométrie variable.
Nous avons créé notre vCité pour faciliter notre capacité, comme une corporation d'interéseautage transnationaliste, comme nous le relatons à nos clients et nos bailleurs de fonds. Nous avons appris comment réduire notre risque, à garder les opportunité potentiel payante très élevé, en communicant librement au sein d'une structure décentralisé dans le cadre d'une culture corporative très jeune, dynamique, flexible et énergique. Les idées y affluent et peuvent venir de n'importe où; peu importe où qulqu'un est, ou si celui-ci était inférieur à de l'escrément de cétacé. La unique facteur qui importé le plus est la qualité et la pertinence de la contribution. Alors nous avons appris comment réduire notre risque même les plus lointain, et tout en améliorant le potentiel des dividendes plus gros, en obtenant des conseils et des analyses d'expertise ce trouvant à l'extérieur de notre corporation.
C'est le vieux language du paradigme, mais ceci devrait suffir pour l'instant. Nous en somme pas à une situation vraiment du nous à l'opposé d'eux. Nous ne sommes pas des chiens berger, jappant après le troupeaux d'un paturafe verdoyant à un autre. Nous sommes eux; eux sont nous.
En 1995 une corporation qui est devenue le noyau d'une des corporations d'interéseautage les plus puissantes actuellement un slogan publicitaire dès plus gai, une tentative louable pour ce distinguer dans le nouveau désordre du monde. Est-ce que c'était l'intrigant "Jusqu'Où Irez-Vous Aujourd'hui?" (Slogan de Microsoft Inc.), qui, avec son attrait particulier, surtout qu'il passerait facilement pour un slogan de campagne présidentiel. J'imagine l'homme ou la femme qui sont levée avec lui un bon matin une idée plantée en tête probablement, et vous est t-il déjà venu après une dure journée de travail à la maison, de vous demandé, "Où Vas-Tu Aller Mange Ce soir? ", ouais!
Les premières tentatives de villes virtuelles connurent de jolies et nombreuses ratées parce qu'ils n'ont pas tenté d'inciter les personnes à construite leur propre bâtiment dans la ville modèle. Les toutes premières tentatives sont captivantes à regarder, mais finalement s'avèrent être des panneaux réclames. Quand l'effet de la nouveauté de naviguer dans un environnement 3D s'est dissipé, l'achalandage chuta, des entreprises se sont découragées vite, leurs revenus publicitaires, et leurs modèles d'entreprise furent passés à tabac.
Plusieurs efforts ont échoué parce qu'ils chargeaient aux gens pour des terrains virtuellement vides --c'est-à-dire, un espace répertoire sur un serveur. Ce modèle avait à peu près autant sens qu'amené des enfants à la plage, et puis alors, le placé dans carré de sable vide toujours proverbialement à eux, "d'accord, maintenant pour chaque dollar que vous me donnez, je vous donnerai un seau de sable pour jouer avec." Heuh? Qu'est-ce qui est survenu de ce concept marketing?
D'autres efforts furent vains parce qu'ils tentaient de plaire à tout prix. Les professeurs étaient à peu près les seuls à vraiment apprécier les écosimms dès leurs mises-en-fonction initiales. Les gosses les ont aimés. Tout le monde les a aimés. Le problème devint, il n'y en avait aucun de rentable. Celui-ci représentait un segment de marché très peu poreux; la minute quelqu'un essaierait prélever un télépaiement pour l'observation d'un écosimm, tout les gens se dirent simultanément, "J'irais plutôt au planétarium ou au zoo." Les gosses, bien sûr, sont notoirement avaricieux. Les concepteurs d'écosimm les plus intelligents ont gardé leur emplacement RV libre d'accès et sans frais, et dégottaient des subventions et des souscripteurs institutionnels et corporatifs. C'est alors que le concept entier dégénéra en un bourbier de genre service public dans lesquels des corporations essayait d'y leur pub sans avoir à payées les emplacements ludoducatifs.
D'autres mondes virtuels (pas justes des villes, mais des galaxies entières) ont fait faillite parce qu'ils n'avaient pas d'autre objectif qu'offrir une plaisante d'amusement. Elles étaient, en effet, des consoles de jeux vidéo chaotiques gigantesques.
Je me souviens d'un des premier mondes virtuelle il s'appelait WildWest, il s'agissait, essentiellement, d'une simulation de combat d'armes à feu colossale, décampant, continuellement en travers de l'espace et des époques. Peut-être c'est de là d'où vient l'expression "La Colline du Redémarrage", je ne sais pas. Vous parlez de susciter le hir des parents, hoo-mon-gars c'était une dure à battre. Il y eux des cas d'enfants si sévèrement intoxiqués au jeu qu'ils souffraient de malnutrition et d'anémie. J'imagine que beaucoup parents n'appréciait pas toujours les factures que l'usage de l'Internet commandait. Il y avait aussi des cas --principalement hommes, pour raisons que je pense que nous comprenons complètement-- qui sont devenu obsessionnel à l'égard de jeu 3D joué sur Internet, que leurs vies ont été ruinées et que leurs vies affectives fortement affectées.
En tout cas, quel genre de personnes augmenterait haut son point de vue au monde pour réclamer le droit d'archiver des images d'hommes et de femmes nus, la même personne accepte gaiement qu'un monde virtuel dont le slogan peut aussi bien être, "Qui Voulez-Vous Fourer Dès À Présent?"
Ce qui ne revient pas à dire que WildWest, et Les Seigneurs du Dragon, et ConquêteGalactique, et caetera, n'était pas sans charmes. Bien sûr qu'ils avaient rapporté une tonne d'argent. Leurs plus grands problèmes à toutes, étaient, qu'elles ne s'avéraient qu'éphémères! Là, se trouvait notre marque de distinction. Une civilisation qui consacre tout son temps et ses énergies à des poursuites d'amusement puéril, ne peut survivre bien longtemps.
Donc, en deux mots, c'est la raison pour laquelle notre vCité est devenue la première simulation de ville virtuelle à survivre à long terme. Nous avons cherché à atteindre la chose plus grande qu'il nous apparaissait possible et d'accomplissable techniquement; nous avons cherché à comprendre ce qui était désirable dans un sens politique. Naturellement, une polis est un bon endroit pour ce faire.
Je pense que peut-être Platon l'aurait compris, l'aurait applaudi et peut-être la vCité elle-même. Les Athéniens aimaient l'idée de la perfection, et ils ont lutté pour définir ce qui était Bon. S'ils savaient sus qu'ils ne pouvaient pas atteindre la perfection, néanmoins ils aspirèrent vers cet objectif en perfectionnant leur art, dans leur architecture, dans leurs corps, et caetera. La civilisation du monde moderne, d'un autre côté, a abandonné la perfection comme objectif. Nous la nions, son existence est impossible pour nous à appréhender, de cette façon la production s'embrouille avec le processus, les fins avec les moyens. Nous apparaissons satisfaits de produire ce qui est simplement acceptable. Le paradoxe de Xeno est beaucoup plus ennuyant maintenant qu'il ne l'était aux premiers philosophes des villes état grecs.
Entre ces deux mondes du passé et du présent, là gît le futur de la vCité. Il est ni atteignable, ni inatteignable; il est ni perfection, ni pragmatisme; il est les deux.
23ieme
chapitre