"Tout le monde qui je vois dans mes environ m'apparaît enclin à prodigués à ces contemporains, par précepte et exemple, que ce qui est utile ne n'est jamais mal ou erroné. Est-ce que personne n'entreprendra de faire comprendre comment ce qui est raisonnable peut être utile?"

--Alexis de Tocqueville--

Ça fait maintenant presque seize jours que le référendum sur l'Inspiration Exon est au scrutin, et quelqu'un --vraisemblablement Lee Ward-- est devenu, dans l'entremise, très riche. Plus de trente millions de personnes ont déjà voté dans ce référendum et il devrait y avoir un lourd achalandage au cours de ce week-end définitif. Il n'a jamais disparu depuis le problème de casbar, plus de gens qu'auparavant ont été capables d'accéder à l'emplacement. Bien sûr, pas tout le monde qui a voté, a réellement vu l'emplacement comme tel. Je serais prêt à parier que les sept millions de nouveaux vCitoyens furent acheminé par hordes gracieuseté de la Coalition des Gens qui Sont Légèrement plus Santifié Que Toi ceux-ci n'on certainement pas visité l'emplacement, ils ce sont seulement enregistré et on voté pour l'interdiction. Il n'est pas dit combien d'argent l'Inspiration Exon fait, mais je l'estimerais à au moins $30 millions. Ce n'est pas un mauvais retour sur un investissement en RV, un effort de conceptualisation d'une valeur approximative de $400.000. Cela met, je le pense, les affaires courantes de l'industrie cinématographique sous la lorgnette d'une perspective plus claire. Pourquoi une production paieraient des salaires à la tune de $20 millions pour faire $90 millions, quand en vérité, il n'aurait besoin de payer que $1.2 million en salaire pour faire $90 millions? Bien sûr les acteurs, dialoguiste et les metteurs en scène du monde ne peuvent pas le voir de cette façon.

Avec de tels chiffres je m'imagine que je serai bientôt assiégé par des personnes mendiant, réclamant de moi qu'un référendum soit tenu sur la teneur de leur emplacement, pour qu'eux aussi deviennent riches. Eh bien, au diable cette idée. Je peu sûrement contourner le problème, mais quel est la solution? Où est ma casquette des Expos?

Oh oui, le décompte du vote. J'oubliais presque. C'est presque l'égalité maintenant. Quinze millions et un quart (51%) ont voté non, quatorze et trois quarts de million (49%) ont voté oui. Et nous avons obtenu sept millions de nouveaux vCitoyens desquels, peut être, un million d'eux demeurent réellement à la vCité et apprennent d'elle, en font partie, nous aide à jalonner un futur meilleur. Ceci est le vrai retour sur l'investissement --tout le reste est simplement transitoire et souvent de la bouillie pour les chats.

Nuit le service du vendredi pendant l'été au temple juif réforme est une chose vite faite, ce qui ma belle-mère a une fois sommairement qualifié de Sabbat Léger. Permettez-vous-le, venez tous, vous réjouir au Sabbath Léger. Vous y êtes, vous y étiez, Shalom Shabbat!

Comme l'oneg tirait à sa fin, notre rabbin vint s'adresser à moi. Elle voulait discuter de la ville virtuelle avec moi, pour voir si elle comprenait toutes les nuances à cet égard. Je n'étais pas vraiment sûr si elle était contre la proscription ou en faveur de celle-ci.

"Je pense que ce vous faites êtes un grand service," me dit-elle, sérieusement.

"Ah bon, Nous sommes principalement une opération commerciale, reb," je lui répond. "Si elle n'était pas profitable, je doute que notre corporation serait impliquée avec elle."

"Vrai, vrai," elle fit un signe distrait de la tête. "Mais j'aime l'activisme social. Et il est mondial, aussi! Tout le monde en parle, tous argumentent les uns avec les autres. C'est très prometteur."

"J'aimerais en penser autant."

"Oh, absolument! Si l'Internet n'existait pas, les juifs auraient dû l'inventer."

"Quoi?" je dis en riant.

"Sans blague," elle riant en répondant. "Nous sommes encore les personnes Élues, vous savez."

"Nous fumes désignés pour faire quoi?"

"Ah ha," elle me répondu, ne souriant plus du tout. "Maintenant, c'est ce qui est en question, n'est-ce pas? Pendant presque six mille années, nous avons lutté pour répondre à cette question. Pourquoi que Dieu a choisit Abraham? Moïses? Chacun d'entre nous? À quoi sert d'être juif aujourd'hui?"

"Eh bien..." j'ai rétorqué.

"Ne m'arrête pas, je suis sur une lancée," dit-elle, haletante. Le "monothéisme? Non, ce fut accompli en grande partie. Presque 75% de la population du monde croit maintenant en un Dieu. Le gouvernement représentatif? C'est fait aussi. 70% de toute la population de la planète est républicaine ou démocratique maintenant. Le bien-être social et la responsabilité sociale? Répandez ces concepts aussi. Donc que reste-t'il?"

"Le retour à l'Éden?" j'ai offert.

"Vous parier. Voyez-vous, la Diaspora juive a forcé les juifs à penser globalement et à agir localement. Une planète, un peuple. Nous étions des futuristes longtemps avant que le mot est été inventé. Shomrei Adamah, vous le connaissez? Les curateurs de la République Mondiale. Nous sommes encore les élus pour accomplir cette tâche. Nous devons faire de tout le monde, une unité. Et à ce jour, le nom de Dieu sera Un, et l'erreur ne sera plus."

"Amen, reb," je dis gaiement. "Je pensais dans une lignée plus spirituelle."

"Spirituel?"

"Certainement. Est-ce que vous n'avez jamais pensé à la probabilité que ce que nous considérons comme étant la réalité, n'est dans une perspective Divine, que de la virtualité?"

Elle me regarda avec un éclat mystérieux dans ses yeux. "Continue de causer, tu m'intéresses."

"Eh bien, supposons que le corps est l'avatar de l'âme. Nous nous déplaçons, nous interagissons, nous vivons nos vies ici sur Terre produisant et dévorant, créant et détruisant, assistant à des mariages, des naissances et à des enterrements. Cependant, peut-être que tout cela n'est simplement qu'une illusion très élaborée. La réalité n'est pas ici du tout, mais, dans une dimension quelconque, là où les âmes immortelles existent. Peut être que les âmes y arborent des corps, le temps de s'y fixer, pour s'amuser où pour comprendre un but plus essentiel qui je ne professe pas savoir les tenants et aboutissants. Le Forest Green qui est debout devant vous, n'est simplement qu'un nom, un persona --l'alter ego d'une âme qui a un autre nom dans un méta plan d'existence."

"Le Nom qui est prononcé n'est pas celui de l'Éternel," me dit-elle.

"Exact. Peut-être que mon âme revêtait un autre persona dans le passé, ou le fera encore à l'avenir. Peut-être que la terre n'est qu'un petit monde virtuel dans l'Internet intégral qui nous appelons l'Univers physique. Peut-être qu'il est un quatrième Univers dimensionnel mais qui est d'un aspect minuscule, visible --une technologie, si vous voulez-- de la beaucoup plus grande réalité qu'est celle de Dieu."

"Est-ce que tu crois dans ce que tu dis?"

"Eh bien, parfois. C'est une intéressante théorie qui certainement, rallierait ensemble beaucoup des grandes religions du monde et quelques unes des mineurs. Bien sûr, ce ne serait pas la première fois qu'une métaphore technologique eut été utilisée pour inspirer un nouveau paradigme. La création de fabrication d'horloge de précision, par exemple, a inspiré beaucoup de théologiens européens à penser à Dieu en tant qu'horloger, concepteur de l'Univers fonctionnant parfaitement du tac au tac sans bricolage, sans rien laisser au hasard. Ce qui amena beaucoup d'Européens à chercher les fondements de l'ordre, et de percevoir le monde en termes de mécanistes."

"Alors, pourquoi penses-tu que Dieu a créé le temps et l'espace?"

"Je ne sais pas. Ce n'est pas de l'information qui est disponible aux simples avatars. Un programme, un logiciel ne se questionne pas sur l'existence de l'Internet, il s'exécute simplement selon sa programmation. Une âme pourrait avoir réponse à cette question. Si vous me demandiez; pourquoi le peuple a créé l'Internet, je ne suis pas sûr de pouvoir vous donner une bonne réponse.

"Elle pinça ses lèvres et fit une pause de quelques secondes à songer. "Alors pensez-vous que la Terre peut être comme votre ville virtuelle?"

"Peut-être."

"N'est-ce pas une théologie dangereuse? Je veux dire que si nous détruisons la Terre, par exemple, quelle différence cela aurait sous votre système?"

"Pour nous? Ou à Dieu?"

"Les deux."

"Eh bien, les avatars cesserait d'exister, bien sûr, aussi bien que tout les scapps, tout terrain, tout quoi. Mais, du point de vue d'une âme, c'est sans signification. Vous me demandez, qu'adviendrait t'il si la simulation cessait d'elle-même d'exister? Je pense que les âmes iraient quelque part d'autre. Dieu créerait un nouveau concept le l'essaierait encore une fois de plus. Mais peut être que le point est d'essayer de garder la nôtre fonctionnel en premier lieu de lui permettre de dégénérer en un chaos totalement inintelligible."

"Il me semble y avoir un bon sermon dans cela quelque part," dit-elle.

"Le bon contre le mal, reb. Toujours un vainqueur."