vCité 1.0
Traduction libre de MxtM
avec
l'assentiment de son auteur;
dr. Adam L. Gruen
Chapitre 27
"Le commerce est naturellement adverse à toutes les passions violentes; il aime temporiser, il ce réjouis dans la compromission, et évite studieusement l'irritation ".
--Alexis de Tocqueville--
Eh Bien, je n'allais pas rester dans mon pyjama ce lundi matin il y avait ça de clair.
J'allume mon PC ce matin pour vérifier le décompte du vote. Aucun doute à ce propos, les forces en faveur de l'interdiction ont gagné et ils ont consolidé leur marge à 51%. Si Lee Ward est intelligente, elle retirera l'emplacement demain pour presser la dernière parcelle de revenu hors de celui-ci, et puis alors le redessinera, pour pouvoir mieux le resoumettre.
Mon diablito m'informe que j'ai un message prioritaire côté 1A. Ceux-ci sont, en ce qui me concerne, une occurrence assez rare. J'ai étiqueté comme 1A., seulement cinquantaine de gens, et pour le monde entier.
Il provenait du Grand Patron. Une rencontre dans son bureau à 09:00. Il s'y trouvera aussi le président du conseil de direction, présidant du service financier, le président des services Informationel, David Smythe-Johnson, et mon propre patron.
"Qu'est-ce que tu fais"? ma femme me demanda, étonné.
"Je noue une cravate".
"Je le constate. Vas-tu à un enterrement"?
"Espérons que non".
"Alors, qu'est-ce qui ne va pas"?
"Rien. Je dois aller à une réunion, c'est tout".
"Oh." Avec qui dois-tu être lors de cette rencontre?
"Personne d'important. Sans vouloir changer l'a propos, comment ce fait-il que ne part pour travailler"?
"J'ai un rendez-vous chez le médecin ce matin, donc je m'es suis dis que je pointerais plus tard ".
"Qu'est que t'as"?
"Rien, c’est seulement un bilan de santé général".
"Ah, bien".
Nous nous sommes regardés l'un l'autre pour un moment. D'une façon ou d'une autre, chacun de nous savait que l'autre se mentait. Mais ni l'un ni l'autre ne savaient pourquoi. Le moment est passé.
"C’est ton 43e anniversaire dans deux jours, "me dit-elle, en m'inspectant. "Où désires-tu aller pour ton dîner d'anniversaire?"
"Peut-être quelque part à Morgan Adams. Nous-y sommes pas allés depuis un bon bout de temps déjà".
"Le resto Jamaïquain que tu aimes"?
"Ouais, cela semble une bonne idée. Ou surprend moi".
"D'accord. Tu m'apparais très séduisant dans ce costard tu sais".
"Merci," je grimaça. Les compliments ont toujours présagé de grands problèmes." T'es belle dans ton pyjama".
Alexandra Touissant est une des femmes dès plus gentilles que j'ai jamais rencontrée. D'après légende, elle a été l'Assistante Exécutive et Secrétaire Principale pour le Bureau du Président et PDG pendant dix-sept ans. Elle est le roc; nous sommes la rivière.
"Salut Alex," je dis, en essayant de sembler gai. Je n'étais jamais allé au Q.G. un lundi matin; d'une façon ou d'une autre en dépit de l'abondante luminosité intérieur, le bâtiment m'apparaissait vaguement menaçant et déprimant.
"Docteur, c'est un plaisir c'est vous voir encore". Depuis je l'a connais, elle a toujours pris plaisir à m'appeler Docteur, comme si cela signifiait quoique ce soit. Peut-être qu'elle préfère seulement appeler les gens par leurs titres et que cela lui permettait de mémoriser plus facilement leurs noms ce qui lui évité de gaspillage du temps inutilement."Comment se porte votre femme Eliza"? Ajoute-t'elle. Voilà ma théorie qui fou le camp.
"Elle se porte très bien, merci beaucoup. Et vous"?
"Très bien, merci".
"Bon bien, tout apparaît parfait? Alors, qu’est-ce qui se passe"?
Alex ajuste ses lunettes. "Vous avez un 9 AM avec les autres".
"Je le sais, Alex, chose étrange --c’est pourquoi j’suis ici".
"Oh Doctor, vous êtes si drôle quelquefois".
Je le suis? Alors, pourriez-vous m'expliquer ce qui se trame"?
"Ils ne me disent pas tout, vous savez".
"Peut-être, mais cela ne veut pas dire que vous ne savez rien".
À cette remarque, elle me regarda. Ou vit à travers moi. Comme si j'en avais trop vu, et que maintenant je devais être éliminé avec regret, par l'Empire.
"Hhmph," elle dit. "Non, pas cette fois". Elle ne bougea pas d'un hiatus, c'est peine perdue pour une rivière d'essayer de l'éroder en si peu de temps.
"D'accord, " je répondis, en me retirant." Je devine, que j'en serai informé bien assez tôt"!
Attendre à la réception est difficile. Mon esprit aime aligner des raisons possibles pour ma présence. Le problème est: aucune d'elles n'est bonne.
Cynthia Stillaman apparaît, mon patron, le Président de notre compagnie qui elle-même est une filiale appartenant complètement à la corporation. La plus profitable des deux, je peux ajouter. Elle son regard me semble menaçant et déterminé ce matin. Son visage d'un blanc pâle est même plus pâle et plus blanc qu'habituellement. Avec ses cheveux noir - mat, sa coupe rase motte, un petit nez, les yeux verts et sa mâchoire en saillie, elle ressemble à une fille de cabaret ravagé par le passage de temps, avec ses rides en pattes d'oies qui ont une apparence tellement étirée serrée évoque des chirurgies cosmétiques et font allusion à un mariage ou deux de trop.
"Qu'est-ce que vous faites ici"? elle laisse filer d'entre sa dentition crispée.
"J'ai été invité," je lui réponds de façon concise. Elle est, évidemment, pas de bonne humeur du tout.
"Je sais cela. Je veux savoir, pourquoi"?
"Je ne le sait pas. Mais ça augure mal".
Alors, elle m'observa attentivement, quelque peu décontractée, elle réussit même à afficher une esquisse de sourire sur son visage. "Ne t'inquiète pas. Je suis certaine qu'ils ne veulent que t'interroger sur quelques questions concernant les procédures opérationnelles".
Je lui fais un signe de la tête sympa, en ne la croyant pas du tout. L'information ne s'écoule tout simplement pas de cette façon et elle le sait. Si quelqu'un avait des questions, il les enverrait électroniquement ou les adresserait par téléphone. Ceci n'est une question d'information, c'est plutôt à propos d'options et de prise de décision. Ou au sujet d'une réorganisation imminente.
D'autres arrivent. Voilà "Koosh" Paddel, le principal officier organisationnel. Un homme blanc chauve, court, trapu, dans le début de la cinquantaine terriblement énergique. Son proverbe favori est que ce qui lui manque d'intelligence, il le compense par une détermination absolue. Je le crois. Ce n'est type avec qui vous voulez jouer. Le suivant à la trace derrière lui, et même plus court, j'aperçois Sue Tran, notre officier financier en chef. Elle est comme un oiseau; aucun détail n'est trop insignifiant pour échapper à sa faculté de discernement. Smythe-Johnson suit, un grand garçon, blanc, mince et avec un en permanence l'air fatigué, d'un chien épagneul sur le visage. Le dernier mais non le moindre a apparaître est notre CIO, Hamner, l'homme noir impressionnant, un mâle alpha qui facilement, aurait pu être un joueur du football professionnel s'il n'avait pas eu pas fait une entorse majeure au genou pendant sa seconde année d'étude collégiale. Au lieu, il du choisir de vivre du crime, en tant que col blanc acro du numérique.
Alex se faufile en et hors de la réception, pour disparaître dans le sanctuaire intérieur mystérieux pour en revenir encore, de long en large, on dirait qu'elle vérifie sur si le Grand Patron est prêt ou ne pas pour recevoir ses collègues.
Finalement nous sommes introduits dans le bureau, à intérieur c'est accueillant, l'ameublement y est de couleurs sombres ce qui évoque le calme et la rationalité. Comme une banque, peut-être, ou l'étude d'un bibliothécaire. Assit à son bureau, c'est l'Homme lui-même, qui y examine quelques paperasseries revêtant un complet très gris et distinctif, il est habillé impeccablement. Il me rappelle quelque peu Alastair Cooke, seulement plus mince et avec les rebords plus coupant. Derrière lui une grande, fenêtre teinté révèle une vue panoramique splendide de la campagne verte Reston un jour de juillet ensoleillé.
"Prenez-vous un fauteuil, "nous dit t'il, en faisant signe en direction de ceux-ci, qui curieusement sont déjà disposés devant lui en demi cercle. "Quelqu'un désire un café ou un thé"?
"Je prendrais un café," j'offre volontairement.
Il me regarde et me pointe à un bar dans le coin du bureau. "Servez-vous".
Je me lève, heureux de soulager la tension. Je ne suis jamais très confortable dans un costume, en toutes circonstances. Je regarde les autres autour. "Est-ce que quelqu'un désire quoi que ce soit"?
Ils me regardent surpris, comme si un comportement social normal et poli était déplacé ici d'une façon ou d'une autre. Soudainement je perçois dans l'attitude de David Smythe-Johnson, et chez probablement d'autres, qu'ont me considère inconséquent et à être ignoré. Ce sont des gens puissants pour qui les faveurs sont dispensées par les autres régulièrement. C’est un paradigme débile, le maître et le domestique, une relique sociale d'une époque passée quand gens plutôt que les machines, fournissaient la main-d'oeuvre. Mon offre de faire une faveur à quelqu'un est mal interprétée, comme le comportement servile d'un domestique. Mais il ne peut pas y avoir de domestiques ici, dans une réunion à huit clos. D'où la confusion.
"Est-ce qu'il n'y a que moi qui veuille du café"? Je répète, avec un air surprit burlesque.
Aucune réponse.
"D'accord," je dis, abaissant mes épaules. Je me déplace pour prendre une grande tasse de java fraîche faite --d'après l'odeur, une torréfaction Kénienne. Qu'ils aillent se faire foutre. S'ils ne veulent s'ajuster à la venue du nouveau désordre mondial, alors laissons-les s'asseoir dans le passé. Cela ne fait aucune différence. L'histoire se déplace avec la force imprévisible d'un ouragan et on ne peut fuir ou se préparer pour lui et apprécier le spectacle. Mais on ne peut pas souhaiter qu'il nous outrepasse.
Pivotant sur mon fauteuil d'en arrière à l'avant, j'attrape un coup d'oeil momentanément du vieil homme assied à son bureau. Ses yeux montrent qu'il est amusé. Il comprend que les autres ne le sont pas.
La réunion commence, et tout le monde prend un carnet de note ou un assistant numérique sauf moi. J'ai trouvé, il y a des années que la prise de notes était une distraction qui amoindrissait la qualité de l'écoute. Don le seul bienfait était de garder les mains occupé. Il y a plusieurs articles à l'ordre du jour et aucun d'eux n'a de rapport avec ma situation --projetions d'alliances, législation en suspens à la chambre des représentants Américains et au Dutsha russe, les dates de parution projetées pour nos progiciels les plus récents, une nouvelle campagne publicitaire, blah, blah, blah,. Je suis heureux d'avoir un café, cela m'empêche de sombrer dans une somnolence stupéfiante.
"Bon bien," dit le Président irrévocablement. "Maintenant, passons à d'autres affaires. Dr. Green, bienvenue à la parade".
"C'est un plaisir d'être ici," je lui réponds, en mentant.
"Dr. Green, ce matin j'ai reçu un coup de téléphone de la Maison Blanche. Est-ce qu'il y a une raison particulière pour laquelle vous avez décidé de ne pas leur retourner l'appel"?
"Il ne me le fut pas mentionné, Monsieur".
"Oh? Qui vous a dit cela"?
Je jette un regard à Smythe-Johnson. "Dave m'a dit de lui soumettre" tous mes appels téléphoniques.
"Est-ce exact"? demande le Président.
Smythe-Johnson hausse les épaules. "Le récent battage à propos du contenu Des Bahamas est une question sensible."
"Ah oui," dit le Président, "nous-y parviendrons dans une minute. Bien, comme il s'avère, j'ai parlé au Vice-président ce matin, et, pour arriver au coeur du sujet, il est très intéressé par ce qui se passe sur l'Internet avec notre simulation de ville. La Maison Blanche veut mettre sur pied un panel sélect, et ils vous veulent, Dr. Green, que vous en faisiez partie".
La Roue tourne. À grande allure.
"Est-ce qu'ils me veulent spécifiquement"? Je demande. Ma voix semblant très minuscule. Une octave de plus et je ferais Mickey (Marque de la Corporation Disney).
"C'est ce qu'il a dit".
Pour faire quoi?
Le Président hausse les épaules. " Il n'est pas sur pied encore. Qu'est-ce que ça change"?
"Avec tout le respect je vous dois, Monsieur, j'aime le travail que j'ai maintenant". Je dérobe un coup d'oeil furtif à ma patronne; comme le reste d'entre eux, elle est mortifiée simplement parce que j'ose questionner l'Homme même.
"Bien sûr, je comprends tout ça fiston," me dit-il d'une condescendance paternaliste me dégoûtant au plus haut point, comme si je lui avais dit que ce je voulais vraiment, s'était de devenir un astronaute."Mais vous devez le considérer le point de vue de la corporation. Nous avons tous besoin des contacts que nous pouvons obtenir avec cette administration. Et vous s'y avoir serait un vrai plus".
"Est-ce que ce panel se rapporterait au Bureau du Vice-président"?
"Je le pense".
"Le Bureau Vice-Présidentiel équivaut à un seau de crachat chaud". Je dérobe un autre coup d'oeil à ma patronne; comme le reste d'eux, elle est maintenant mortifiée et semble appréhender le pire.
"Probablement moins avec inflation," répond l'Homme d'un ton monocorde."Encore, c'est là où vous avez besoin d'être, pour maintenant".
"Est-ce que vous me le demandez, ou me le dites"?
"Bien, vu que tu le perçois de cette façon, je te le dis".
"Est-ce que vous m'ordonnez directement de prendre une période sabbatique étendue"?
"Oui ".
"Avec plein salaire"?
"Oui ".
"Dans ce cas, j'accepte".
"Bon. Le service des ressources humaines commettra les paperasseries d'usage, vous pouvez commencer votre congé à solde lundi prochain. Maintenant, concernant la ville Internet, il paraît que nous avons un problème".
"Monsieur"?
Il fait un signe de la tête à Smythe-Johnson. "David"?
L'homme au nez de faucon - au faciès canin - avec un regard aux yeux gris acier me fixe avec un grand embarras, comme s'il allait me dire que ma braguette était ouverte. "Est-ce que nous sommes en voie de retirer le lien sur le contenu des Bahamas"?
"Ça en a tout l'air".
Koosh Paddel interrompt."Excusez moi, mais qu'est-ce que ce foutu contenu Des Bahamas"?
Smythe-Johnson allonge sa paume en ma direction, comme s'il me reléguait la responsabilité de l'explication.
"Il fait référence à une grappe de serveurs localisée aux Bahamas," j'explique au chef du service financier."Il contient de la pornographie en réalité virtuelle assez graphique, vendue à raison $30 la visite de l'emplacement."
"Oh ça," dit Paddel rapidement. "D'accord, oubliez ça".
"Donc, vous pensez que nous sommes en bonne voie pour retirer le lien"? répète Smythe-Johnson.
"Oui".
"Eh bien, nous ne pouvons pas."
Un silence monstrueux s'abattit sur la pièce, un silence si profond qu'il aurait pu être celui d'un applaudissement d'une seule main.
"Je ne comprends pas," je m'entends dire. Wow, un moment proche d'une sortie hors corps.
"J'ai parlé à Roberto Canseco ce matin, et il est assez indisposé".
"Pourquoi"? Je lui demande. "Quel rapport doit-on faire avec lui"?
"Apparemment une de ses compagnies possède ce contenu, les serveurs, la banque et probablement la moitié des Bahamas, aussi," répond Smythe-Johnson nerveusement, en nous regardant. "Ceci est de l'information confidentielle, donc n'allez pas l'ébruiter. Aussi, pour vos oreilles seulement, son groupe planifie l'introduction de matériel semblable sur dix nouveaux emplacements un peu partout sur l'Internet".
"De combien d'argent parlons nous, David"? demande poliment le Président?
"Entre $40 et $50 millions déjà, avec les revenus projetés, dans les centaines de millions".
"Doux Jésus," quelqu'un dit," peut-être que nous devrions examiner la question plus à fond".
"Ce n'est pas une bonne idée," dit Smythe-Johnson, en secouant la tête. "La chose seule qui nous garde maintenant à l'abri de toute poursuite de la part de la NSA est le fait que nous ne tirons pas profit de ceci directement. Qu'en fait, nous tentons de le retirer".
"Alors la convocation d'un référendum fut une chose intelligente à faire"? dit ma patronne.
"Pour garder le gouvernement à distance, oui," dit Smythe-Johnson. "Cependant, nous sommes pris entre deux feux ici, parce que si nous ne retirons pas le lien, nous aurons plus de problème qu'un chien plein de puces, et si nous le retirons alors nous devrons faire face à un procès très onéreux de la part Literati Inc.".
"Sur quel fondement"? Je demande.
"Pratique commerciale portant préjudice, entrave au commerce, une boîte de pandore sans commune mesure quoi."
"David," prévient le Président.
"Désolé. Un bon nombre de récriminations douteuses possibles qui auront trait au fait que nous avons soixante-dix millions de spectateurs et que nous ne lui accordons pas un accès équitable. Toutes devraient être réfutées, peut-être même défendues. Mais ce n'est pas l'aspect vraiment le plus dangereux.
"Lequel l'est"? demande Paddel.
"Bien, Canseco est un actionnaire. Un très grand actionnaire, presque 5% de nos actions de classe B sont en sa possession et ce n'est que ce qui est inscrit en son nom propre. Il pourrait en contrôler beaucoup plus par l'entremise de ses protégés. Il n'a pas besoin de nous intenter un procès pour tanguer notre barque. Juste en dilapidant sa réserve. Il pourrait entamer le début de notre perte simplement en laissant flotter des rumeurs".
"Cela n'est pas du tout satisfaisant" soupira le Président. "Donc, Dr. Green, cette situation est issue d'une de vos initiatives personnelles. Quelle est la solution"?
Tout le monde me regarda. Oh oui, je pense, donnez-moi que des faciles.
"M'accordez-vous l'autorisation à parler franchement, monsieur"?
"Absolument," répondit le Président sans hésiter." "J'insiste".
"D'accord," je réponds rapidement, avant qu'il ne change d'avis. J'adresse mes commentaires à lui directement parce qu'il est celui qui prendra la décision finale, quoi qu'il advienne. Qu'en fait il est impossible de s'adresser à un groupe de gens simultanément et efficacement sans l'Internet. "En premier lieu, nous paraissons coincés au beau milieu de deux forces opposantes très puissantes. Donc la stratégie évidente serait de se défiler de la bataille pour faire en sorte qu'ils s'opposent à l'un et l'autre directement".
"Hmm mm," il marmonna.
"Deuxièmement, nous avons besoin d'examiner comment au juste, de puissance ils ont réellement et quelles sont leurs vraies motivations. Si vous connaissez leur masse et leur vélocité et pouvez prédire leur accélération, alors vous pouvez déduire où ils peuvent aboutir. Comme des boules de billard".
"Hmm-hmm," dit le Président, semblant très évasif. Je dérobe un autre coup d'oeil au reste d'entre eux, ils sont tous là, à me regarder comme si je venais d'atterrir d'une autre planète. Eh bien. Quelqu'en soit l'ampleur la question demeure pleine et entière.
"Maintenant, concentrons-nous sur le gouvernement en premier et plus généralement, les forces en faveur de l'interdiction de la pornographie virtuelle sur l'Internet. Le DTS de la NSA actuellement, a l'autorité de condamner à une amende, l'emprisonnement, ou la saisit des biens de gens et de la corporation ayant violés les lois comm fédérales. Cependant ces statuts font référence principalement à l'encodage. Il y a une section du code rendant le matériel obscène et pornographique disponible à des mineurs qui ne nous concerne pas. Il s'y trouve aussi du verbiage qui interdit à un parti d'être complice dans transmission de matériel obscène ou pornographique. Le gouvernement Américain aurait extrêmement de difficultés a essaie de prouver cela dans notre cas. En outre, puisque le contenu est localisé à l'extérieur des États-Unis, ce n'est même pas clair si c'est sous sa juridiction. Mais de toute façon, s'ils nous poursuivaient, ils devraient prendre les mêmes disposition à l'endroit des vingt-trois corporations d'interéseautages et des milliers de fournisseurs d'accès, ce que je doute qu'il fasse".
"Maintenant, la raison pour laquelle le DTS agite son bâton et s'écrie que l'administration ressent la pression politique des activistes pour la famille et autres groupes puritains de tous acabits. Ce n'est qu'un écran de fumé, parce que le DTS sait pertinemment bien que l'accès aux contenus de l'Internet est une occurrence éminemment proactive et donc un choix individuel. En résumé, les puritains pourraient simplement ignorer le mal s'ils choisissaient de ce faire. Donc quel est le vrai intérêt du gouvernement dans tout de ceci? Ce doit être le revenu. Je pense si nous creusons assez profond, nous trouverons que la vraie inquiétude venant du département de la servitude au Revenu Fédéral.
"Maintenant, si c'est vrai, ce que nous avons besoin de faire est de découvrir ce que les types au revenu désirent. Ou, vous pouvez accentuer encore plus votre perspective sur les événements et vous demander, comment est-ce que l'économie Américaine gagnera ou perdra face à cette problématique? La réponse est simple. Si vous gardez le contenu localisé aux États-Unis, alors sa transmission dans les États-Unis peut-être taxés aux taux des États-Unis. En outre, les gens dans les autres nations auront accéder au contenu Américain et déposer leur télémonaie dans des comptes basé au États-Unis. Donc l'Américain y gagne de deux façons".
"Maintenant, concentrons-nous sur Canseco. Ses projections de revenu sont farfelues, parce qu'il les base sur des données récoltées lors d'une aberration. La raison pour laquelle tant de gens visitent l'emplacement est liée à sa nouveauté et à cause du référendum. $30 pour la visite d'un emplacement, est un très fort taux à payer, dans n'importe quelle circonstance. Si vous le mesurez en termes de la valeur relative du divertissement, le prix du marché devrait avoisiner le $5, ou $3/l'heure, approximativement. Pourtant, Il est judicieux de charger un prix élevé pour chaque visite de l'emplacement, puisque cette industrie comporte un très haut taux de roulement. Ce qui signifie, que si vous en avez vu un, vous les avez tous vus, si vous comprenez ce que je veux dire. Instaurer dix nouveaux emplacements saturerait le marché. Mais, pour être honnête avec vous, je ne suis pas sûr de l'envergure réelle de ce marché, s'il y en n'est".
"Donc qu'est-ce que Canseco vise vraiment? Un procès sur d'accès équitable serait un gaspillage de temps; la décision de la cour suprême Américaine de Jurgen versus Le Réseau ADCI établit qu'aussi longtemps que l'accès à l'Internet lui-même n'est pas nié, un individu ou une corporation ne peuvent pas être tenues responsable pour le refus de faire référence à quelqu'autre adresse Internet, ou de logiciel ne reconnaissant pas certains types de fichiers, à moins que ce soit un acte délibéré et prémédité pour occasionner un préjudice sérieux à un concurrent. Et ce fut une décision à 7-2 ce qui signifie que Canseco devrait acheter trois juges de la cour suprême, ce qui est impossible".
"Mais Dave a raison au sujet de sa capacité d'engendrer des problèmes, donc nous ne pouvons nous permettre de le faire chier, sauf le respect que je vous dois. Donc, qu'est-ce qu'il veut? Comme tout bon homme d'affaires, il veut faire autant d'argent qu'il peut et contrôle autant de part de marché qu'il peut. Il voit que le potentiel de croissance de la vCity est presque illimité et il sait pertinemment que c'est le pôle d'attraction le plus fort des mondes RV sur l'Internet. Cela qu'il désire vraiment ce n'est pas l'accès à notre clientèle de base, mais plutôt l'accès à nos nouveaux clients. Ceux qui n'ont toujours pas vu d'emplacement RV pornographique".
Le Président leva sa main, comme un agent de police dirigeant la circulation. "Arrête. Quelle est la solution"?
"Faires que Canseco et le caucus du FRS et consente à Literati Inc. l'installation de nouveaux contenus et serveurs dans les limites frontalières des États-Unis. Assurez-vous qu'ils soient situés dans un état assez libéral, afin qu'ils ne soient pas importunés par des problèmes, aux niveaux locaux. Ou mieux même, établissez-le dans le District de Columbia où le gouvernement fédéral pourra le garder un oeil sur lui ou saisir contrôle de la situation si les régulateurs locaux deviennent hostiles. Mais cela ne risque point d'arriver, parce que la région de D.C. a bien besoin de nouvelles sources de revenu. Accordez quelqu'autorité désirent pour surpervisés l'installation de sauvegardes contre les globes d'yeux tendres de mineurs et citoyens Pieux de partout adéquate au TDS.
Le Président examina Smythe-Johnson. "David"?
L'avocat gratta son oreille gauche. "Ça vaut peut-être la peine d'essayer. Ce que je n'arrive pas à résoudre ces comment est-ce que nous nous y prendrons pour prévenir que les gens de vote ces emplacements hors de nos listes"?
"Qu'au sujet de cela, Dr. Green "? demande à Grand Patron.
"Vous ne le faites pas," je lui réponds. "C'est ça le point. Laissé à elle-même la pornographie VR est fondamentalement ennuyeuse, un exercice dans la futilité sans signification. Quand le fruit défendu est accessible à tous, il pourrit rapidement. Ce qui le rend intéressant c'est que des autres gens veulent s'en débarrasser, le cacher. C'est le principe de base derrière la lanière du costume de bain en j-string. Ce que Canseco doit comprendre, c'est que cet appel au référendum pour l'interdiction d'un emplacement est nécessaire à sa rentabilité. Dites-lui que nous serons heureux d'appeler un référendum pour chaque emplacement qu'il installe dans la vCité et ce pour un prix. Dites-lui que tout ce qu'il aura besoin de faire c'est déplacez son emplacement une fois par mois et s'assurer qu'il si des défauts conceptuels quelconques. Le contenu, évidemment, n'importe vraiment pas".
"Mais est-ce que d'autres gens ne commenceront pas soumettre du contenu pornographique dans la vCité"? demanda ma patronne.
"Assurément. Mais nous n'avons pas à convoquer des référendums sur tout et rien. Si la notoriété est vraiment précieuse, alors nous devrions recevoir quelque compensation pour la créer".
Le Président sourit. "Fiston, t'es trop intelligent pour ton propre bien".
"Alors pourquoi m'abandonnez-vous à cet absurde pannel aviseur à la con"?
Son sourire disparu, pour être remplacé par un rictus pensif. Il réfléchit avant de répondre. J'apprécie ce genre de comportement.
Est-ce que tu joues au jeu de Go"? dit-il, faisant référence au jeu Japonais?
"Je le connais à peine".
"Eh bien, apprenez-le. Et quand vous comprenez le jeu, alors vous comprendrez le mouvement".
C'était un dénigrement, et nous sommes partis. C'était aussi bien qu'il en soit ainsi; mon café s'était refroidi.
Lors de la descente de l'ascenseur, ma patronne fut muette. En fait, elle n'a rien dit jusqu'à ce que nous soyons arrivés à son bureau.
"Vous êtes insensé, Forest".
"La génie est statistique".
"Vous ne pouvez, vous adressez à lui, sur ce ton-là! Douce miséricorde".
"Ah, relaxe, Mamsahb. Il s'est beaucoup fait lécher le cul toute sa vie, je suis sûr qu'il ne s'y trouve pas un bout qui ne soit pas velu.
Elle me regarda singulièrement. "Vous êtes un fils de pute bâtard".
"J'essaie".
"Bien, je suis désolé de vous voir partir. Qui devrait vous remplacer dans vos fonctions"?
"Je ne sais pas. Ce gosse Darrin, peut-être. Il semble avoir un brillant avenir comme lécheur de cul.
"D'accord, j'y penserai". Elle me regarda encore avec une certaine curiosité. Qu'est-ce que Mamsahb signifie au juste? Si j'ose le demander"?
"Oh, ce n'est qu'un titre honorifique. Il signifie l'Honorable dame".
28ieme
chapitre