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Leurs secrets pour conquérir l'Amérique!

Ça se précise pour les Backstreet! Babyface vient de leur offrir une chanson. Les Boys ne pouvaient rêver de meilleur parrain pour faire craquer les États-Unis. Nick, Kevin, Howie, Brian et AJ ne sont pas près d'arrêter leur course folle. Prochaines destinations: l'Amérique du Sud, puis la russie. Plus rien n'arrête les Backstreet Boys! Plus rien, à part Super, le temps d'une interview en exclu!

Kevin : "Chaque fois que nous revenons en France, on a l'impression que notre popularité ne cesse d'augmenter. Et c'est plutôt sympa, d'autant plus que cela se passe très progressivement. C'est le meilleur moyen de bâtir de bonnes fondations. Lentement mais solidement. Et je sais que lorsqu'on reviendra faire un concert ici, avec notre groupe, nos fans diront à leurs amis que nous sommes des vrais chanteurs qui se la donnent à fond en "live". Et ça nous permettra de convaincre de plus en plus de gens et de gagner en crédibilité."

"Get Down", l'un de vos premier clips, était plutôt sophistiqué. Aujourd'hui, vous semblez vous diriger dans une direction plus naturelle...

Nick : "Get Down" fut notre vidéo la plus facile à tourner. Pourtant, c'est vrai, quand tu le regardes, tu as l'impression qu'au contraire, c'est la plus compliquée. Tout à été fait ensuite par trucages! En général, notre maison de disques choisit un single. Ensuite, elle reçoit plusieurs projets de clip. Et on décide ensuite avec notre manager quel sera le meilleur script pour nous. Là, nous avons plus envie de choses, disons , plus "live", plus sincères."

En un an, votre image a pas mal changé. Explications?

Nick : "On n'a pas délibérément choisi de changer notre image... C'est plus quelque chose de naturel. nous sommes ce que nous ressentons et puis, bien sûr, nous avons mûri. Moi, en particulier, j'ai pas mal grandi... Les changements qu'il y a eu au niveau de mon look se sont faits petit à petit. Très normalement en fait, comme pour n'importe qui."

Votre manière de vous habiller est aujourd'hui très différente de celle de vos débuts...

Kevin :"En un an, nous avons énormément voyagé. Aujourd'hui, je porte des fringues que je n'aurais sans doute pas mises l'année dernière, c'est vrai. Parce que depuis j'ai découvert des styles différents dans chaque pays et j'ai choisi ceux qui me plaisaient le plus. Notre look a subi l'influence des endroits dans lesquels nous avon vécu."

Vous portez, comme Peter Andre et pas mal d'autres, des fringues Tommy Hilfiger. Les Backstreet seraient-ils pas des victimes de la mode?

Nick : "Tommy Hilfiger représente pour nous l'Amérique... Simplement parce que son logo est rouge, blanc et bleu. C'est pour ça qu'on aime ce qu'il fait. Quand on porte du Tommy, c'est un peu comme si on s'habillait avec l'âme des États-Unis."

Parlez-moi des États-Unis justement! Comment allez-vous vous y prendre pour conquérir l'Amérique?

Brian :" Nous allons donc sortir un premier album aux États-Unis. Mais il sera différent de celui que tu connais. Il y a aura probablement tous les singles qui sont sortis en Europe. C'est cinq chansons sont sans doute parmis nos meilleures, alors on ne va pas s'en priver. Le reste sera sans doute consitué de nouveaux titres composés pour le marché américain. Babyface notamment nous a écrit une chanson. Notre deuxième album européen reprendras ces chansons et on ajoutera d'autres inédits. Ce qui fait que vous seuls allez avoir un album complètement nouveau!"

Vous vous envolez vers les États-Unis après avoir écumé l'Europe. Les fans françaises doivent-elle vous faire un crise de jalousie en disant que vous gardez le meilleur pour la fin?

Kevin : "Non, pas du tout! En fait, quand les Backstreet ont commencé, nous avons décidé d'aller là où l'on recevrait le meilleur accueil. Il s'est trouvé que c'était en Europe, et notamment en Allemagne. Ensuite, on a visité un à un tous les pays. L'Angleterre est venue bien après la France par exemple. Notre succès sur le vieux continent nous a permis d'avoir plus d'attention de la part des Américains. Aujourd'hui, on part là-bas en étant plus fort. Nous n'avons pas gardé le meilleur pour la fin. Nous avons simplement mis toutes les chances de notre côté!"

Vous venez de passer quasiment une année entière à séduire l'Europe. N'avez-vous pas hâte de retrouver les États-Unis?

Kevin : "On te mentirait en te disant le contraire. L'an dernier, nous n'avons passé qu'une semaine chez nous. Une semaine de vacances. À Noël. On doit l'avouer: oui, on a le mal du pays!"

Email: cathy58@hotmail.com