Les garçons disent que leur foyer est peut-être le liu où ils aimeraient se trouver, mais la route est l'endroit où ça bouge vraiment! Brian, Howie, Nicky, Kevin et Aj adorent être sur scène en face d'une foule et lui donner toute leur énergie.
Les cinq charmants garçons des Backstreet Boys sont des noms maintenant bien connus dans presque tous les pays de monde entier à l'exception du leur. Le groupe qui vient d'Orlando, en Floride, commenca sa carrière d'enregistrement en Europe et vient seulement de commencer à faire un tabac aux États-Unis.
"Le succès que nous avons connu en Europe nous est très cher" dit Kevin, mais nous voulons le transporter chez nous. Nous voulons que nos professeurs, notre famille et nos amis se rendent compte que nous n'avons pas perdu notre temps et qu'is soient fiers de notre succès."
Brian acquiese : "Nous avons fait un super démarrage partout dans le monde, sauf chez nous, alors il est vraiment temps maintenant de faire notre retour, nous détendre un peu et concetrer toute notre énergie sur une tournée aux États-Unis".
"We've got it goin'on" a été véritablement le premier hit du groupe et ils firent un véritable tabac lorsqu'ils apparurent à l'émission "Top of the Pops" en Angleterre.
La foule de fans qui suivent les Backstreet Boys n'ont fait que de s'agrandir à chaque fois que les garçons visitent un nouveau pays.
Un groupe de fans a même renversé une voiture à la sortie d'une station de radio en Allemagne où les garçons participaient à une émission de radio!
Mais pour le moment, c'est encore le calme au pays, enfin à peu près calme...
"Pour l'instant aux États-Unis, on peut encore aller dans les magasins tranquillement sans se faire assaillir," commente Kevin. "Mais on ne peut pas faire ça en Europe, au Royaume-Uni ou dans n'importe quel autre pays du monde."
"La dernière fois que nous étions à New-York, j'ai dû signer 10 autographes pendant que je me promenais dans les rues, mais c'était tous pour des touristes", dit Brian.
"Les étrangers disaient tous "Oh mon dieu", mais tous les New-Yorkais nous regardaient en se demandant qui on était? Ca nous rend un peu nerveux de penser qu'un jour on atterira à Orlando et il y aura encore plus de personnes qui nous attendront à l'aéroport que les 3000 qui étaient là pour nous dire aurevoir en Allemagne."
