Nick : Je crois que nous avons tous deux personnalités. Quand je suis avec un adulte, j'ai un comportement plus mûr, plus intelligent. Il n'y a que lorsque je me trouve avec des gens de mon âge que je suis moi-même. A ce moment-là, je me fous de mon image et de ce qu'on peut penser de moi. Après tout, je ne peux pas bosser 24 heures sur 24 non plus!
Howie : C'est Brian qui est le plus comédien de nous cinq. C'est un peu notre show-man. Il déconne, nous raconte des histoires drôles. ON n'a pas à le pousser beaucoup pour qu'il se mettre à jouer les clowns pour nous faire marrer.
Brian : Je ne me vois pas bosser dans un bureau de 9 heures du matin à 17 heures tous les jours, assis à m'ennuyer devant ma paperasse. Je deviendrais une sorte de plante un peu triste. Tout ça pour dire que je ne veux rien d'autre que cette vie avec les Backstreet Boys. C'est le job le plus chouette au monde!
Nick : Celles qui me plaisent ne fument pas car je déteste quand une fille a mauvaise haleine. Je crois que je m'entendrais bien avec quelqu'un d'honnête, qui ne se laisse pas facilement influencer et qui garde les pieds sur terre. Enfin, je suis trop jeune pour penser à quelque chose de sérieux.
Aj : Si je ne faisais pas partie des Backstreet Boys, je choisirais un métier qui me couvrirait également de gloire. Je tiens par-dessus tout à être célèbre. Peu importe la manière, mais avoir des fans m'aide à vivre.
Nick : J'essaie de montrer aux gens qui je suis vraiment, et pas seulement cette image d'un mec jeune et blond. Je crois que c'est le but des Backstreet Boys : permettre à chaque membre du groupe d'être soi-même. Il y a des moment où ce qu'on dit sur toi t'énerve un peu. Mais quand tu es un personnage public, il ne faut pas trop prendre la tête avec ça.
Kevin : J'ignore ce que me réserve l'avenir. Combien de temps les Backstreet Boys existeront-ils encore. Je ne veux pas songer à cette éventualité, celle d'une séparation. Backstreet Boys ou pas, je tiens à avoir une femme sympa et deux beaux enfants. Sans eux, ma vie n'aurait pas de sens. Il me manquerait quelque chose.
Nick : Aujourd'hui, je suis bien dans ma peau. Le groupe a fait de moi un homme. Avant, je nouais difficilement des contacts. J'étais plutôt introverti et replié sur moi. Si je ne suis pas encore un grand bavard, j'arrive nettement mieux à vaincre ma timidité.
Brian : Je n'ai jamais eu de coach pour me pousser à chanter. Mais j'ai eu le même professeur à la chorale de la 11ème à la 7ème et c'est à lui que je dois ce que je suis aujourd'hui. Je crois qu'il a eu énormément de patience et qu'il voulait vraiment m'aider à m'en sortir.
Nick : Je dessine beaucoup. Je crois que c'est comme ça que je m'exprime. Je dessine des petites B.D. qui tournent autour du groupe. ON y apparaît comme des super héros, avec plein d'aventures et des missions invraisemblables à accomplir.
Aj : J'ai des rêves récurrents. Nous sommes à une cérémonie des Music Awards. Brian chante en leader et juste après l'intro du titre, il s'arrête car il a oublié les parloles. Tout le monde quitte la salle dégoûté. Et c'est là que Brian se souvient et alors, le public, un à un, revient et commence à taper dans ses mains. Et finalement, on nous accorde notre Award.
Kevin : La dernière fois que j'ai pleuré, c'est sans doute le jour où l'on nous a remis nos disques d'or. Quand tu fais ce métier, tu ne penses pas forcément au succès : tu bosses, tu bosses, jour après jour et tu fais avec. Et il te faut une occasion spéciale comme celle-ci pour enfin comprendre ce que tu as accompli. A ce moment-là, tu prends un peu de recul et tu te dis : "Wow, on s'est bien battu!"
Nick : Les Backstreet, c'est toute ma vie! Voilà la chose la plus importante. On vit tous les jours concentrés sur le groupe et on est désormais tous très proches les uns des autres. Tout simplement parce que l'on passe le plus clair de notre temps ensemble.
