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Nick : Bonjour!

Sonia : Allo. Tu as une mine superbe.

Howie : Bonjour, mon amour.

Sonia : Allo, mon beau!

Aj : Fais attention cette fois-ci...

Sonia : Désolée. J'étais trop emballée. Ça va...Salut les gars. Allo, mon chou. On dirait une réunion de famille. Allo, Kevin. Contente de te voir. Bon, maintenant, il faut que je passe aux choses sérieuses. C'est chaises-là sont pour vous. C'est un plaisir de vous revoir. Vous savez que j'aime votre musique et que je vous aime bien aussi, on a fait du bon travail ensemble. Vous récoltez encore du succès et je suis certaine que ça ne vous surprend pas. Mais en écoutant, je savais que ça devrait être délibéré. Il y a l'esprit des Backstreet Boys, mais aussi une maturité et un côté léché sur l'album. Était-ce un choix conscient de votre part d'emprunter cette direction?

Kevin : On essaie toujours de s'améliorer.
Howie : ...d'évoluer.
Kevin : Autant dans le sujet des chansons que dans la qualité de la musique et de notre chant. On souhaite que le public constate notre évolution.
Brian : Ça s'est fait naturellement : on n'a pas eu à songer au fait qu'il fallait composer pour le nouvel album, ou viser un but particulier. On a voulu trouver une approche différente au niveau musical et mettre à l'épreuve nos capacités.

Sonia : Comme le pemier album a eu bien du succès, vous auriez pu décider d'en faire un semblable. Êtes-vous conscient du fait que vous avez pris un chemin qui n'était pas facile? Vous étiez prêts à le faire.

Aj : Oui, il fait prendre des risques au niveau musical.
Kevin : Et auvec le clip aussi.

Sonia : Oui, il faut en parler. C'est un clip génial. Vous voilà qui jouez des personnages bizarres, sous des tonnes de maquillage. Votre but était-il de prouver au public américain que vous n'êtes pas que de beaux gars, que vous avez également du talent?

Nick : On avait fait...Combien de clips avant celui-là?
Brian : 8 clips.
Nick : Bon, on en avait sept ou huit et on voulait un concept différent.

Sonia : Qui en a eu l'idée?

Aj : Nous tous.
Howie : Ce n'était pas prévu : la chanson figure sur la version internationale, mais pas sur la version américaine. Comme c'était le premier extrait de l'album international, on voulait frapper un grand coup. On voulait trancher avec ce qu'on avait faire auparavant.

Sonia : Les gens de la maison de disques ont-ils aimé l'idée des le départ ou ont-il trouvé ça trop flyé?

Howie : Ils n'aimaient pas trop l'idée.

Sonia : Je m'en doutais. Comment les avez-vous convaincus?

Kevin : Une fois le clip tourné, ils ont vu le résultat, et maintenant, ils nous félicitent.
Howie : Ils nous appuient dans notre décision.

Sonia : Le succès en Europe et au Canada vous a donné pas mal d'expérience. On sait que vous avez maintenant vendu des millions d'albums. Et voilà que vous vous apprêtez à percer dans votre propre pays, ce qui doit être important pour vous. Qu'avez-vous retenu de l'expérience dans le monde et que vous allez pouvoir appliquer au lancement de votre carrière aux États-Unis?

Aj : La patience qu'on a acquise et l'assicuité de nos efforts.
Howie : Et la persévérance.
Aj : On a fait notre apprentissage et on continue à le faire : il faut recommencer à zéro ici, auz États-Unis. C'est un rêve réalisé pour nous, car on a eu du succès partout sauf dans notre pays. Et c'est ce ui nous tient à coeur, alors on veut y réussir.

Sonia : Est-ce plus stressant pour vous de savoir que votre famille et vos amis sont ici et que votre carrière va finalement se mettre en branle?

Kevin : Oui.

Sonia : Comment vivez-vous ça?

Kevin : Maintenant, on sait que tous ont les yeux rivés sur nous : nos professeurs, nos amis d'école et nos anciens collègues de travail. Ils en on entendu parler et ils vont le voir à leur tour. Ça nous rend plus nerveux de savoir qu'ils nous observent. Mais c'est bien aussi.

Sonia : Bon, c'est le lancement de l'album à l'échelle internationale : les gens de partout dans le monde vont être à l'écoute simultanément. Si ça démarre comme vous l'espérez, vous savez que la vie sera difficile : vous êtes dans votre pays, le seul endroit où vous pouvez vous promenez dans l'incognito, on doit vous reconnaître déjà, mais bientôt, tout ça fera partie du passé. Vous y préparez-vous?

Nick : On va le prendre quand ça va nous arriver.
Aj : C'est comme en Europe au début, on ne savait pas à quoi s'attendre. On verra quand ça nous arrivera. Et on espère que ça va marcher fort.
Howie : Bien des gens ici nous ont dit que si on a du succès ici, on n'aura plus de vie privée. Mais on est prêts à faire ce sacrifice parce que l'on tient énormément à notre carrière. Et une fois que ça va démarrer, ça va être emballant pour nous, surtout dans notre pays.

Sonia : Je vous ai vus à l'émission Regis and Kathie Lee. Je ne peux qu'imaginez ce que vous deviez ressentif : c'était la première fois que vous vous produisiez dans le cadre d'une grande émission américaine. C'est le genre d'émission que vos parents et amis doivent écouter. Qu'est-ce que vous vous êtes dit lorsque vous étiez en coulisses?

Nick : Juste avant, j'ai dit à Brian : "Eille, on passe à Regis and Kathie lee."
Brian : En coulisses, j'ai dit à Kevin que j'avais la bouche toute molle tellement j'étais nerveux. Il m'a dit :"Brian, combien de fois est-ce que l'on a donné des prestations à la télé? Y'a rien là" Puis, on a sortis sur le plateau et j'ai figé là...

Sonia : Une fois sur le plateau, étiez-vous encore nerveux?

Brian : Non, rendu là, ça allait.
Aj : Quand on habite aux États-Unis, on regarde David Letterman et Regis and Kathie Lee, où on voit défiler toutes les grandes vedettes. On se considère encore comme des gars normaux : pour nous, de passer à cette émission, ça signifie que l'on est sur le même pied d'égalité que ces artistes, c'est époustouflant.
Howie : Comme on l'a dit, on avait déjà participé à ce genre d'émission en Europe, au Canada, mais on ne comprenait pas leur portée. Maintenant, on le voit en comparaison. Et même des émissions de plus grande envergure. Oui, mais ça n'était pas dans notre pays, on ne saisissait pas toute leur importance.

Sonia : J'ai écouté cet album et j'ai remarqué que l'un des gars du groupe a contribué une chanson sur l'album. Et je l'ai sous les yeux... Raconte-moi ça : as-tu présenté une de tes compositions aux gars, ou avez-vous tous décidé d'inclure une chanson de Brian sur l'album?

Kevin : En fait, c'est la seule composition qu'on a eu le temps d'enregistrer.
Aj : On a accordé du temps à Brian pour qu'il fasse sa chasnon et on a participé aux choeurs. Brian l'a composée et l'a réalisée en collaboragion avec nous. Jusqu'à maintenant, sa chanson a été la seule contribution de l'un de nous. Mais on a tous au moins quelques chansons de composées que l'on n'a pas le temps d'enregistrer. Mais sa chanson est géniale.

Sonia : Tout à tour, dites-moi ce qui a le plus changé pour vous, Aj depuis le débuts, il y a 5 ans, lorsque tout ça n'était qu'un rêve... Est-ce mieux que le rêve ou est-ce qu'il y a de la pression que tu préférerais ne pas subir?

Aj : Ça implique bien des choses auxquelles je ne m'attendais pas. Ça gruge de plus en plus de temps dans notre vie privée. Il faut l'accepter; c'est ce qu'on est prêts à faire pour le succès. Je passe de plus en plus de temps loin de chez moi et je dois apprendre à être un Backstreet Boys, car je veux le faire toute ma vie. Comme les autres, je veux continuer à essayer de réaliser mes rêves.

Sonia : Et toi, Howie?

Howie : Je sais que tant que je suis dans ce groupe, ma vie ne m'appartient pas. C'est comme si on était tous mariés. Pour le meilleur et pour le pire... J'ai appris qu'iil ne faut pas tenir les choses pour acquises; nos horaires changent constamment. On ajoute et on annule des trucs car tout se bouscule à la fois. J'ai appris qu'il faut profiter pendant que ça passe et se laisser porter par la vagues...

Sonia : Et toi, Kevin?

Kevin : J'ai beaucoup appris sur le monde. Il y a tant de belle cultures et de belles personnes.

Sonia : As-tu vu plus de belles choses ou plus de trucs qui l'ont attrisé?

Kevin : J'ai vu bien des choses navrantes, comme dans le Sud-Est de l'Asie : la surpopulation, la vie dans les rues. On s'ouvre les yeux et on voit des choses qu'on voudrait changer.

Sonia : Si tu avais la chance, ferais-tu quelque chose pour les changer?

Kevin : Oui, tant mieux pour moi.

Sonia : Et toi, Nick?

Nick : Le fait d'être dans ce groupe m'a fais grandir. Pas trop, ça m'a fait atteindre un autre niveau. Parfois, quand je rentre à la maison, je fréquente mes amis et je me rends compte que j'ai changé. Ce n'est pas si pire que ça et j'apprécie ce que je vie avec les gars, c'est peut-être tout ce qui a changé.

Sonia : Quand on fait un pas en avant, on ne peut pas reculer. Et toi, Brian?

Brian : Je me suis découvert en tant que personne : qui je suis, d'où je viens et où je voudrais en arriver un jour...

Sonia : Qu'est-ce qui te plait le plus dans ce que tu as découvert?

Brian : Par exemple, à l'école secondaire, je fréquentais des gens plus âgés. Ils avaient une vingtaine d'années et ils allaient au collège : il se rendaient compte que c'est dur, la vrai vie. On le comprend seulement quand on le vit à son tour. Ce que je vis et ce que j'ai la chance de partager avec les gars du groupe me fait réfléchir au positif et au négatif : j'arrive à voir un ordre dans tout ça. C'est ma vie et c'est ainsi que je vais continuer à être heureux, car je le suis...

Sonia : Je vous dis merci du fond du coeur.

Aj : Je t'aime.
Howie : Bienvenue

Sonia : On a hâte de vous voir chez nous.

Kevin : On se revoit bientôt au Canada.

Email: cath91@hotmail.com