Écrit par: Vince Gilligan
Réalisé par: Rob Bowman
Première diffusion au Canada: 25 Octobre 1996
DISTRIBUTION:
RÉSUMÉ: Le seul espoir de Mulder pour arrêter un tueur psychotique sont des photos psychiques révélant les sombres fantaisies du psychopathe.
LIEU: Traverse City, Michigan
DATE: Octobre 1996
Une femme va dans un drugstore pour prendre une photo pour son passeport tandis que son chum l'attend dans la voiture. Elle sourit à la caméra mais lorsqu'elle allait payé, elle se rend compte qu'elle n'a pas d'argent. Le pharmacien met la photo de côté pour qu'elle développe en attendant qu'elle aie cherché son argent dans la voiture.
Alors qu'elle marche dans le stationnement, une personne dans un imperméable jaune la bouscule et lui donne une piqûre à l'épaule. La femme tient son épaule et comment à réagir de façon désorientée. Elle appelle son chum mais lorsqu'elle atteint la voiture, il gît dans le siège du conducteur avec du sang qui coule de son oreille. Elle tombe, étourdie, tandis qu'une autre voiture s'approche. La même personne dans l'imerméable jaune s'approche d'elle. À l'intérieur du drugstore, le pharmacien enlève la pilicule de la photo. Il regarde, horrifié, la photo d'une femme hurlant d'horreur.
Mulder conduit tandis que Scully regarde la photo; c'est une partie d'un dossier qu'elle avait en main. La femme, Mary LeFante, est raportée disparue pour trois jours; il n'y aucun cheveu ou fibre dûe à la pluie abondante; et l'autopsie de l'homme montre que son cerveau a été transpercé par un objet pointu et long à travers l'oreille. Aucune ranson a été demandée. Scully demande pourquoi il sont amenés à enquêter et Mulder lui montre la photo. Elle dit qu'elle pensait que la photo a été prise par la personne qui a enlevée Mary mais Mulder dit que la photo a été prise par le pharmacien avant son enlèvement.
Dans le drugstoire, Mulder et Scully questionnent le pharmacien à propos de la caméra. Scully rôde autour, regardant où le film a été stocké -- au dessus du chauffage -- est remarque que le film est passé date. Lorsque le pharmacien marche, il est évident qu'il boîte. Mulder fait une joke en disant qu'il pourrait être un suspect. Scully émet une théorie que le film est endommagé et que ça expliquerait les tâches autour de la jeune femme mais pas le visage hurlant de peur. Mulder hoche la tête sans même écouter Scully. Elle lui demande s'il a une théorie mais il en a aucune.
À la résidente de Mary LeFante, Mulder et Scully parlent à un inspecteur local, Pruitt, qui leut dit que Mary était une employée à la poste qui a été suspecté de vol de colis. Mulder demande "...pourquoi avoir tranpersé son chum? Est-ce que la magie avait disparue?". Il regarde autour de lui, cherchant une caméra. Scully lui demande pourquoi. Trouvant une caméra Polaroid dans une armoire, il avertit Scully de se tasser car le c'est ouvert. Tandis qu'il prend des photo de sa main, il lui parle de la photographie psychique -- l'abilité d'imprimer sur film ses pensées.
" Dans les années 60, un groom nommé Ted Serios devint passablement célèbre pour ce qu'il appelait ses idéographies. Il prétendait qu'en se concentrant sur un négatif non exposé, il pouvait créer une représentation photographique de ses idées et de ses images mentales."
Les photos se développent, montrant le visage hurant de Mary LeFante. Scully pense que le film a été altéré délibéramment. Mulder n'est pas d'accord, il pense que le kidnapper a suivi Mary et était assez près pour affecter la caméra. Il demande à Scully si quelque avait cet abilité, l'image représenterait l'esprit de la personne dans ses plus sombres fantaisies.
Mary est retrouvée dans une robe de chambre sur une route par la police. Le résultats preliminaires à l'hôpital montre des restants de morphine et de scopolamine dans son sang, une mixture communément connue comme un anesthésiant souvant utilsé dans les bureaux de dentistes et pour les femmes au travail. Scully demande que Mary reçoit un scanner crânien. Tandis qu'elle regarde les résultats du scanner, Scully semble dérangée. Elle dit à Mulder que Mary a reçu une lobotomie transorbitale, aussi connu comme lobotomie à pic-à-glace parce que c'est fait avec un instrument inseré à travers les lobes occulaires. Elle dit aussi que la personne qui a fait ça ne sait pas comment le faire. Soudainement, Mary répète continuellement "unruhe" dans le scanner. Un officier entre dans la pièce pour annoncer un autre enlèvement.
Attachée à une chaise, elle est réveillée par une lumière. Elle se rend compte qu'elle a un tape sur la bouche. L'homme s'approche d'elle en parlant en Allemand, tout en préparant ses instruments pour perfomer une autre lobotomie.
La victime mâle est mort de la même pathologie que la première. Alice Brandt a disparu. Mulder dit à Scully qu'il pense que le mot "unruhe" est significatif mais ne trouve aucune connection. Scully dit que ça veut dire trouble ou agitation en Allemand. Scully semble sceptique et frustrée par la théorie de Mulder sur la photographie psychiques et isiste qu'en travaillant sur les photos du crime du premier enlèvement sera bénéfique. Mulder dit que les photos sont normales puisque le tueur n'était pas là. Il pense que le kidnapper ignore qu'il a cette abilité. Scully remarque le logo d'une companie de construction à travers la fenêtre qui apparaît aussi sur la photo. Elle suit cette piste tandis que Mulder s'en va à l'unité spécial photographie du FBI pour analyser la seule preuve tangible, les photos de Mary LeFante.
À l'Unité des photographies du FBI, Mulder et un tecnicien travaille sur la photo. Des images de crânes entourent Mary. Il découvre un visage d'un homme dans l'arrière-plan. Mulder remarque aussi l'ombre d'un être avec de longues jambes et pense que c'est le kidnappeur. Le kidnappeur tourne autour de Mary, comme s'il passait un jugement sur elle, comme s'il était un dieu.
Pendent ce temps, Scully suit sa piste et rentre dans un chantier de construction. Elle recontre Gerry Schnauz, l'homme qui a travaillé sur le site lorsqu'Alice s'est fait elevée. Tandis qu'elle lui demande sur ses heures de travail, Mulder l'appelle et lui dit que soit le tueur est très grand ou bien il veut le devenir; que ses jambes sont disproportionnés. Scully regarde Gerry, qui porte des échasses, et dit "Unruhe". Gerry commence à courir. Scully le poursuit est l'arrête en lui tirant à l'épaule. Tandis qu'elle le fouille, elle se pique sur un énorme pic-à-glace qui se trouvait dans sa poche.
Scully et Mulder interrogent Gerry dans une station de police. Il nie tout sur les crimes. Mulder et Scully lui racontent sa violente vie: sa soeur s'est suicidée, Gerry a battu son père si sévèrement avec des coups de hache qu'il a passé le reste de sa vie dans une chaise roulante. Gerry a été incarcéré pendant six ans dans un asile d'aliénés. Scully questionne à propos d'Alice mais Gerry lui dit qu'elle a l'air troublée. Mulder distrait Gerry en lui montrant l'image de l'homme de la photo de Mary LeFante. Il lui demande si c'est son père. Gerry veut savoir où Mulder a obtenu la photo et il lui que c'est lui qu'il a laissé, comme une empreinte digitale. Mulder questionne ensuite sur les formes qui ressemblent à des crânes entourant Mary. Il les appelle les "hurleurs". Mulder continue à questionner Gerry à propos d'Alice d'une voix douce, presqu'un un murmure, mais Gerry lui dit qu'elle est en sécurité, loin des hurleurs.
Alice est retrouvée morte dans les bois. Scully est frustrée et s'en va. Elle attend dans la voiture impatiemment. Mulder la rejoint. Il lui dit que Gerry pensait qu'il les guérissait d'un certaine façon. Les sauvant de la damnation. Les sauvant de ces chose qu'il appelle les hurleurs. Scully dit que tout est fini et semble résignée. Mulder continue à dire sa théorie, les photos ne sont pas ses fantaisies, mais ses cauchemars. Scully s'en crisse et quitte la scène du crime.
À la station de police, un officier prend une photo de Gerry. Il regarde la photo développé avec surprise, sur la photo, il se voit avec une balle dans la tête. Durant ce moment d'inattention, Gerry réussit à prendre le gun de l'officier et le tue. Un peu plus tard, Mulder regarde la photo et dit à Scully que Gerry n'a pas essayé de sauver cet homme; il a eu la balle dans la gorge et non dans la tête. Scully l'informe qu'un vol à l'étalage vient d'être commis dans le drugstore où Mary a été enlevée.
Dans le drugstore, Mulder remplit une machine à photo tandis que Scully lui informe que Gerry a pris des ingrédients pour faire un anestésiant. Mulder dit qu'il a aussi pris la caméra pour les passeports et tous les films. Scully pense que Gerry va enlevé sa prochaine vicitme au site de construction où il a été arrêté. Mulder lui demande d'aller prendre la voiture tandis qu'il attend que les photos se développent. Tandis qu'elle dévérouille la porte de l'Explorer, Scully se fait piquer au pied avec une hypodermique. Elle essaye de prendre son gun avant de s'évanouir. Gerry sort de sa cachette (en dessous de la voiture) et la met dans la voiture. Durant ce temps, Mulder prend la photo développée est y voit le visage hurlant de Scully. Il court à l'extérieur et cherche frénétiquement l'Explorer. Mulder voit la voiture sortir de la rue et la suit en criant le nom de Scully.
À la station de police, Mulder regarde intensément la photo de Scully, comptant ce qui semble être six doigts entourant son visage. Il découvre dans le porte-feuille de Gerry l'obstuaire de son père. On y voit cinq tombes sur la photo. Mulder et la police s'en vont au bureau dentaire de Schnauz Sr, qui est poussiereux et abandonné. Ils découvrent qu'il manque la chaise dentaire.
Scully est sur la chaise, inconsiente. Ses poignets et ses pieds sont attachés et elle est baillonée. La lumière est faible, les murs sont matelés. Elle se réveille et voit Gerry dans un coin et lui dit de la laisser partir. Il s'approche d'elle et parle doucement en Allemand. Il lui met un nouveau tape sur la bouche. Elle l'arrête en lui parlant en Allemand, disant qu'elle n'a pas d'unruhe, qu'elle n'a pas besoin d'être sauvée. Il lui dit qu'elle en extrêment besoin en anglais. Scully le confronte en lui parlant de sa soeur et de son père, demandant si elle s'est suicidée parce que son père lui a fait quelque chose. Gerry se frustre et lui dit que c'était les hurleurs. Scully essaye de la convaincre qu'il n'existe pas d'hurleurs sauf dans son esprit. Il insiste qu'ils existent pour de vrai et qu'il les a vu sur la photo que Mulder lui a montré, disant que les photos ne mentent pas. Il prend une caméra et prendre une photo de Scully. À la dernière minute, il décide de prendre une photo de lui-même.
Mulder est frustré, tournant en rond et en parlant tout seul dans le bureau. Regardant le photo, il la compare avec la photo obstuaire, comptant cinq tombes et six doigts. Il fait une connection. Son père fait six. Lui et la police vont au cimetière.
Gerry montre les photos à Scully, lui demandant qu'est-ce que ça veut dire. Elle lui dit qu'il a besoin d'aide. Il est d'avis contraire, disant qu'il pense qu'il manque de temps. Il met le tape sur la bouche de Scully et prendre le pic-à-glace. Il y a un son, causant Gerry de quitter Scully. Il voit Mulder par un trou. À l'extérieur, Mulder voit le porte de clé de Scully dans la voiture. Scully réussit à se libérer et enlève le tape de sa bouche. Elle crie à l'aide mais Gerry retourne avec le pic-à-glace. Mulder casse la fenêtre avec une planche. Mulder réussit à rentrer et tire sur Gerry. Les photos tombent à terre, montrant Gerry, mort. Mulder et Scully réussisent à sortir de la roulotte.
Scully tape son rapport dans son appartement:
Je n'ai toujours pas d'explication pour les photos. Et je doute fort d'en avoir jamais une. Ma captivité m'a amenée à comprendre, et même d'une certaine façon à m'identifier à Gerry. ma survie en dépendait. Je saisis maintenant l'importance d'une telle pénétration psychologique.
Si nous voulons vraiment désarmer les monstres, il nous faut d'abord les comprendre. Il faut oser pénétrer dans leur esprit. Mais en faisant cela, est-ce que nous ne risquons pas de les faire pénétrer dans le notre ?"
" Après sa mort, on a trouvé un journal intime dans les affaires personnelles de Gérald Schnauz. Écrit à la deuxième personne, il s'agit apparamment d'une lettre ouverte à son père. Les noms de ses victimes y figurent, les femmes qu'il voulait 'sauver'. Mon nom apparaît en fin de liste.
Image empruntée courtoisement du site La Vérité est ailleurs
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