DISTRIBUTION:
RÉSUMÉ: Lors d'une enquête confiée par le Directeur Adjoint Kersh, Scully devient attaché à un photographe qui semble être plus vieux qu'il semble l'être.
LIEU: New York City, New York
DATE: 4 Janvier 1999
À New York City, un homme suit une employée de bureau qui livre le courrier à divers bureaux. Dans un ascenseur, il voit l’employée et les autres gens en noir et blanc. Après avoir quitté l’ascenseur, il descent les escaliers vers le sous-sol. Le cable retenant l’ascenseur se casse et la cage tombe à toute vitesse. L’homme ouvre l’ascenseur et photographie les corps.
L’Agent Scully est assignée à travailler avec l’Agent Payton Ritter du Bureau de New York. Il a découvert des photographies de scènes de crime sur lesquelles l’heure est indiquée. Cependant, l’heure démontre que les photos ont été prises avant que le crime a été enregistré par la police. Il y a eu plusieurs cas semblables et Ritter pense que le photographe, Alfred Felig, peut avoir commis ces meurtres. Scully contacte Mulder pour voir ce qu’il en pense. Mulder pense que c’est un Dossier Non Classé mais Scully refuse de le croire et s’en va à New York.
À New York, Scully remarque que Felig a été un photographe de scène de crime indépendant durant plusieurs années. Ses papiers départementaux remontent à 1964 et les photos démontre qu’il n’a pas l’air d’avoir vieilli depuis trente ans.
Ce soir-là, Felig est témoin d’un crime dans lequel l’agresseur essaye de voler une paire de souliers appartenant à un joggeur. Le joggeur est tué et lorsque Felig s’approche pour prendre la photo, l’agresseur s’approche de lui et le poignarde plusieurs fois. Felig retire le couteau et s’en va.
La police découvre les empreintes digitales de Felig sur le couteau laissé sur la scène du crime. Ils appellent Felig pour l’interroger. Celui-ci admet à Scully qu’il était présent et qu’il a été blessé. Il déboutonne sa chemise et motre les blessures qui ne sont que des simples égratignures.
Mulder intercepte le rapport de Ritter qu’il allait envoyer au Directeur Adjoint Kersh. Il offre son aide pour chercher les antécédents sur Felig pour Scully.
Pendant ce temps, Ritter surveille l’appartement de Felig. Lorsque Scully arrive pour le surveiller, elle réalise que Felig sait qu’il est surveillé. Elle s’en va à sa porte pour le confronter. Felig accepte de s’expliquer à condition qu’elle fait une promenade en voiture avec lui.
Après une heure de voiture, Felig voit une prostituée sur la rue et dit à Scully que la femme va mourir bientôt mais il ne sais pas comment. Un homme s’approche de la prostituée et la menace. Scully court pour l’arrêter mais la prostituée s’en va et se fait écraser par un camion. Felig quitte les lieux en laissant Scully à la scène du crime. Ritter ne croit pas l’histoire de Felig et accuse Scully de déranger l’enquête. Mulder rapporte à Scully qu’il a découvert plusieurs empreintes concordant à Felig daitant de 149 ans. Scully retourne chez Felig et l’accuse de profiter des morts des autres. Felig met au clair qu’il est incapable de mourir et qu’il essaye de capture la Mort dans l’acte. Il montre une photo dans la laquelle la Mort peut être aperçu. Il resent qu’il a été laissé de côté dans quelque chose que tout le monde peut vivre sauf lui parce qu’il est immortel. Il parle alors l’épidémie de la Fièvre Jaune. Il était à l’hôpital lorsqu’il a vu la Mort. Il a regardé ailleurs et la Mort a pris une infirmière à la place.
Scully voit une photo de Felig de 1929 avec le nom Lewis Brady sur le dessus. Elle appelle Mulder pour qu’il vérifie ce nom. Dans les archives, Mulder trouve une photo qui démontre que Lewis et Felig sont la même personne. Lewis a été accusé du meurtre de deux personne mais il s’est enfui de la prison. Felig agrippe le cellulaire de Scully et l’éteint. Il voit Scully en noir et blanc, ce qui indique qu’elle va bientôt mourir.
Mulder essaye de rejoindre Scully mais ne réussit pas. Il appelle Ritter qui s’en va chez Felig. D’après les commentaires de Felig, Scully réalise qu’il pense qu’elle va bientôt mourir. Scully menotte Felig sur la table mais Ritter entre dans la chambre et tire sur Felig. La balle passe à travers Felig et blesse Scully. Tandis que les deux saigne, Felig lui dit de fermer ses yeux et de ne pas regarder la Mort. Cependant, il voit la mort et meurt.
Une semaine plus tard, Scully est au Centre Médical de l’Université de New York, recouvrant de sa blessaure. Ritter a des gros problèmes pour avoir tiré sur Scully. Le rapport du coroner dit que Felig est mort de sa blessure de la balle. Mulder dit alors à Scully qu’il ne pense pas que Felig allait mourir naturellement de tout manière.
The woods decay, the woods decay and fall,
The vapours weep their burthen to the ground,
Man comes and tills the field and lies beneath,
And after many a summer dies the swan.
Me only cruel immortality
Consumes; I wither slowly in thine arms,
Here at the quiet limit of the world,
A white-hair'd shadow roaming like a dream
The ever-silent spaces of the East,
Far-folded mists, and gleaming halls of morn.
Alas! for this gray shadow, once a man--
So glorious in his beauty and thy choice,
Who madest him thy chosen, that he seem'd
To his great heart none other than a God!
I ask'd thee, "Give me immortality."
Then didst thou grant mine asking with a smile,
Like wealthy men who care not how they give.
But thy strong Hours indignant work'd their wills,
And beat me down and marr'd and wasted me,
And tho' they could not end me, left me maim'd
To dwell in presence of immortal youth,
Immortal age beside immortal youth,
And all I was, in ashes. Can thy love,
Thy beauty, make amends, tho' even now,
Close over us, the silver star, thy guide,
Shines in those tremulous eyes that fill with tears
To hear me? Let me go: take back thy gift:
Why should a man desire in any way
To vary from the kindly race of men,
Or pass beyond the goal of ordinance
Where all should pause, as is most meet for all?
A soft air fans the cloud apart; there comes
A glimpse of that dark world where I was born.
Once more the old mysterious glimmer steals
From any pure brows, and from thy shoulders pure,
And bosom beating with a heart renew'd.
Thy cheek begins to redden thro' the gloom,
Thy sweet eyes brighten slowly close to mine,
Ere yet they blind the stars, and the wild team
Which love thee, yearning for thy yoke, arise,
And shake the darkness from their loosen'd manes,
And beat the twilight into flakes of fire.
Lo! ever thus thou growest beautiful
In silence, then before thine answer given
Departest, and thy tears are on my cheek.Why wilt thou ever scare me with thy tears,
And make me tremble lest a saying learnt,
In days far-off, on that dark earth, be true?
"The Gods themselves cannot recall their gifts."Ay me! ay me! with what another heart
In days far-off, and with what other eyes
I used to watch--if I be he that watch'd--
The lucid outline forming round thee; saw
The dim curls kindle into sunny rings;
Changed with thy mystic change, and felt my blood
Glow with the glow that slowly crimson'd all
Thy presence and thy portals, while I lay,
Mouth, forehead, eyelids, growing dewy-warm
With kisses balmier than half-opening buds
Of April, and could hear the lips that kiss'd
Whispering I knew not what of wild and sweet,
Like that strange song I heard Apollo sing,
While I loin like a mist rose into towers.
Yet hold me not for ever in thine East;
How can my nature longer mix with thine?
Coldly thy rosy shadows bathe me, cold
Are all thy lights, and cold my wrinkled feet
Upon thy glimmering thresholds, when the steam
Floats up from those dim fields about the homes
Of happy men that have the power to die,
And grassy barrows of the happier dead.
Release me, and restore me to the ground;
Thou se'st all things, thou wilt see my grave:
Thou wilt renew thy beauty morn by morn;
I earth in earth forget these empty courts,
And thee returning on thy silver wheels.
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