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6X15 Monday

(Lundi)

Écrit par: Vince Gilligan & John Shiban
Réalisé par: Kim Manners
Première Diffusion au Canada: 28 Février 1999

DISTRIBUTION:

RÉSUMÉ: Mulder et Scully doivent revivre continuellement un hold-up dans une banque jusqu'à temps que les choses tournent en leur faveur.

LIEU: Washington, DC
DATE: Lundi

SYNOPSIS

À l’extérieur de la Banque Cradock Marine, plusieurs de police se stationnent. Les officiers sortent avec leurs armes. Une femme dans sa vingtaine les regarde. Elle semble triste et fatiguée. Le Directeur Adjoint du FBI Walter Skinner court vers la scène et se dirige vers le Lieutenant Kraskow qui est en charge de l’opération. Il lui demande ce qui se passe. Le lieutenant lui informe que le système d’alarme silencieux de la banque a été déclanché il y a une demi-heure. Ils croient qu’il y a un voleur armé. Une balle a été tirée il y a vingt minutes. Les stores de la banque sont fermés mais ils sont certains qu’il a un corps sur le plancher.

Tandis que Skinner lui dit alors que deux de ses agents sont à l’intérieur, la femme, Pam, court vers eux mais un policier l’agrippe. Elle interpelle Skinner par son nom, lui disant d’empêcher cela.

À l’intérieur de la banque, Scully est agenouillée sur le sol, la tête de Mulder appuyée sur sa cuisse. Il saigne énormément d’une blessure à la poitrine due à une balle. Elle est sur le point de pleurer. Elle fait une pression sur l’hémorragie. Les autres clients et banquiers sont couchés sur le sol. Scully carresse le visage de Mulder et regarde le voleur, Bernard, qui les fixe. Des dynamites sont attachés sur son corps. Son pouce repose sur un interupteur.

Scully lui dit qu’il est en charge maintenant et c’est à lui de décider de finir le tout en beauté. Soudainement, une équipe SWAT rentre avec force à l’intérieur. Bernard allume les explosifs attachés sur sa poitrine et le bâtiment expose. À l’extérieur, Skinner se penche derrière une minivan de police pour éviter les débris.

Dans le corridor de l’appartement de Mulder, un camelot distribue le journal. Le bruit du journal frappant contre sa porte réveille Mulder. Il est dans son lit d’eau. Il reste couché pour un moment et réalise que quelque chose va de travers. Il se lève et ses pieds atterrissent sur le tapis mouillé. Le sol est innoné d’eau. Il soulève un coin du drap de lit et un jet d’eau l’éclabousse.

Il regarde son horloge qui ne fonctionne plus. Il déplace sa table de chevet et voit que le jet d’eau arrose directement sur la prise de courant. Il enlève alors le fil électrique. Il essaye de prendre son cellulaire qui tombe accidentellement sur le plancher mouillé. Il le remasse mais le cellulaire ne fonctionne pas. De l’eau sort du boîtier. Il regarde son montre Omega qui lui dit qu’il est lundi, 7h16 du matin. Il sacre et se dirige vers la salle de bains.

Le téléphone sonne. Il jette son cellulaire sur le plancher dans le salon et prend une casserole de cuisine et se dirige vers sa chambre à coucher. Malheureusement, il trébuche sur ses espadrilles qui traînaient là et tombe à plat ventre sur le sol mouillé. Il rampe vers le téléphone et répond. En même temps, il place la casserole de sorte qu’elle reçoit toute l’eau. C’est la personne qui habite l’appartement en dessous qui appelle. Il se plaint de recevoir toute l’eau dans sa demeure et exige des explications. Mulder s’explique tant bien que mal et raccroche.

Il met alors son doigt sur le trou dans le matelas. Pour un moment, le jet arrête mais l’eau continue de jaillir et le trou s’est aggrandi. Il prend la casserole et la met sur le jet mais sans résultat.

SIÈGE DU FBI
WASHINGTON, DC

Dans le bureau des Affaires Non Classées, Mulder est à son bureau et ouvre son chèque de paie. Tandis qu’il endosse le chèque, Scully entre à l’intérieur du bureau et lui dit qu’il n’a pas encore manqué la conférence. Elle a pris une pause pour le chercher. Mulder lui raconte de façon sarcastique sa plus belle matinée de sa vie. Après lui avoir raconté son aventure du matin, il lui dit qu’il doit aller déposer son chèque de paie sinon le chèque pour rembourser pour les dommages va rebondir. Il lui demande de couvrir pour lui tandis qu’il s’en va à la banque.

À l’extérieur de la banque, au coin de la Rue E et la 8ème Rue, une voiture laide se stationne. À l’intérieur se trouvent Bernard et Pam. Bernard lui dit qu’il s’en va pour dix minutes pour s’occuper de quelques affaires et qu’il va revenir. Il sort de la voiture lorsqu’un cycliste faillit de foncer sur lui. Tandis qu’ils s’insultent, Pam murmurent leurs paroles avant même qu’ils les prononcent.

Bernard entre dans la banque. Dans la voiture, Pam voit Mulder s’approcher. Celui-ci la regarde par la fenêtre de la voiture mais continue son chemin quelques secondes plus tard. Pam semble surprise, disant à elle-même qu’il n’a jamais fait cela avant.

Mulder entre dans la banque et se met en ligne. Il regarde sa montre et commence à taper du pied. À une des tables, Bernard écrit sur une enveloppe, "Ceci est un hold-up…"

Dans le bureau du Directeur Adjoint, Skinner, Scully et deux autres agents écoutent le rapport de l’Agent Arnold. Il est extrêmement ennuyant, délivrant son discours sur un ton monotone en faisant des pauses inutiles. Il parle des projections sur le taux d’homicide. Skinner regarde Scully et lui demande si Mulder est arrivé. Scully se lève et quitte le bureau.

À l’intérieur de la banque, Mulder attend toujours en ligne. Il regarde encore sa montre. À sa table, Bernard a fini son message. Il frosse la note et prend une grande respiration. Il se tourne vers les clients et pointe son arme.

Une femme hystérique qui a besoin de se faire frapper (vous comprendrez lorsque vous verez l’épisode; la femme est vraiment gossante) commence à pleurer. Bernard leur demande tous de se coucher sur le sol et que quelqu’un ferme la trappe de la femme (que je veux tuer). Mulder obéit. Bernard ordonne alors aux caissières de remplir ses sacs d’argent et de ne pas peser sur l’alarme. Tandis que la plupart des cassières obéissent à ses ordres, une cassière pèse sur un alarme silencieux à son pied.

À travers une fenêtre, Mulder voit Scully s’approcher de la banque. Mulder informe alors à Bernard de vérouiller les portes. Scully entre dans la banque, pointant son arme vers Bernard. Bernard se retourne et tire Mulder sur la poitrine. Scully regarde Mulder tomber sur le sol. Bernard ouvre alors son manteau pour revéler des explosifs attachés autour de lui.

Dans le bureau de Skinner, les agents continuent leur conférence extrêmement ennuyante. L’assistante de Skinner fait interruption et regarde Skinner d’un air qui indique un problème.

Pam est toujours assise dans la voiture lorsque des policiers arrivent brusquement sur la scène. Pam sort alors de la voiture. À ce moment, Skinner arrive. Pam court vers lui et lui dit de ne pas laisser les policiers foncer dans la banque.

À l’intérieur de la banque, Scully enlève la cravate de Mulder et déchire sa chemise. Elle caresse son visage sur ses genoux et fait une pression sur l’hémorragie. Scully essaye de convaincre Bernard d’arrêter le tout et de laisser partir Mulder. Bernard lui avertit que si les policiers arrivent ici, il va faire sauter la placer.

Soudainement, l’équipe entre très intelligemment dans la banque et Bernard allume l’interupteur servant à faire exploser les dynamites autour de lui. La banque explose.

Dans le corridor de l’appartement de Mulder, un camelot distribue le journal. Le bruit du journal frappant contre sa porte réveille Mulder. Il est dans son lit d’eau. Il se lève et ses pieds atterrissent sur le tapis mouillé. Le sol est innodé d’eau. Il soulève un coin du drap de lit et un jet d’eau l’éclabousse.

Il regarde son horloge qui ne fonctionne plus. Il déplace sa table de chevet et voit que le jet d’eau arrose directement sur la prise de courant. Il essaye de prendre son cellulaire qui tombe accidentellement sur le plancher mouillé. Il le remasse mais le cellulaire ne fonctionne pas. De l’eau sort du boîtier. Il regarde son montre Omega qui lui dit qu’il est lundi, 7h14 du matin. Il sacre et se dirige vers la salle de bains.

Il jette son cellulaire sur le plancher dans le salon et prend une casserole de cuisine et se dirige vers sa chambre à coucher. Il place la casserole sur le sol de sorte qu’elle reçoit toute l’eau. Le téléphone sonne. Il répond. C’est la personne qui habite l’appartement en dessous qui appelle. Il se plaint de recevoir toute l’eau dans sa demeure et exige des explications. Mulder s’explique tant bien que mal et raccroche.

Il met alors son doigt sur le trou dans le matelas. Pour un moment, le jet arrête mais l’eau continue de jaillir et le trou s’est aggrandi. Il recule et trébuche sur ses espadrilles qui traînaient là et tombe sur le sol mouillé. Le téléphone sonne à nouveau mais Mulder ne répond pas. Il prend la casserole et la met sur le jet mais sans résultat.

Dans l’appartement son appartement, Pam est seule dans sa chambre, attendant au téléphone pour que Mulder réponde. Après plusieurs sonneries, elle raccroche. Bernard entre dans la pièce. Il lui dit qu’il doit aller quelque part et qu’elle doit venir avec lui. Pam essaye de décliner l’invitation mais Bernard insiste. Pam essaye de le convaincre d’aller travailler aujourd’hui. Bernard lui dit que tout va changer demain.

Dans le bureau des Affaires Non Classées, Mulder est à son bureau, ouvrant une enveloppe contenant son chèque de paie. Lorsqu’il retire le chèque, il est déchiré. Il le signe quand même lorsque Scully entre dans le bureau.

Mulder s’excuse d’avoir manqué la conférence. Scully lui dit qu’il ne l’a pas manqué car c’est la plus longue de l’histoire du FBI. Elle est venue durant sa pause pour le chercher. Mulder lui dit que tout va mal depuis ce matin tandis qu’il essaye de recoller le chèque. Il lui demande alors si elle a déjà voulu reculer dans le temps et recommencer sa vie. Elle dit qu’elle se souhaite cela fréquemment mais elle croit qu’elle aboutirait dans le même chemin.

Mulder: Alors tu penses que tout est contrôlé par le destin? Nous n’avons pas de libre volonté?
Scully: Non, je pense que nous sommes libres d’être les gens que nous sommes: bon, méchant ou indifférent. Je pense que c’est notre personnalité qui détermine notre destin.
Mulder: Et tout le reste est préordonné? Je ne crois pas à cela. Il y a trop de variables. Trop d’embranchements sur la route. Je voulais arriver à l’heure pour travailler ce matin mais mon lit d’eau a eu un trou et cela a innondé mon appartement… et l’appartement en dessous du mien et cela m’a retardé pour la conférence. Ensuite, j’ai réalisé que je devais écrire un chèque pour couvrir les dommages de mon propriétaire mais, tandis que je marchais pour travailler, j’ai réalisé qu’il a allait rebondir à moins que j’encaisse ma paie. Donc, je dois aller à la banque, ce qui me retarde encore plus.
Scully: Depuis quand tu as un lit d’eau?
Mulder: Je pourrais facilement de ne pas avoir un lit d’eau et je serais alors à temps pour la conférence. Tu aurais pu facilement rester en médecine et ne pas aller au FBI, et alors nous nous rencontrions jamais. Blah, blah, blah…
Scully: Le destin.
Mulder: La volonté libre. Avec tous les choix, tu peux modifier ton destin.

Scully lui prend le chèque et lui dit qu’elle va le déposer pour lui. Elle lui dit qu’il prépare ses dossiers et d’aller voir Skinner immédiatement pour la conférence. Elle s’en va tandis que Mulder se dirige vers son cabinet de dossiers.

Scully entre dans la banque et se met en ligne. À une table, Bernard écrit une autre note.

Dans le bureau des Affaires Non Classées, Mulder rassemble ses dossiers et se prépare à sortir du bureau lorsqu’il voit le papier sur la table. Il réalise que c’est le chèque. Il quitte le bureau promptement.

Mulder est quasiment rendu à la banque. Il regarde des deux côtés avant de traverser la rue. Pam sort alors de sa voiture et court vers lui.

Pam: Mulder! N’allez pas à la banque aujourd’hui?
Mulder: Excusez-moi?
Pam: Bernard est là-dans. S’il vous plaît, n’allez pas dans la banque.
Mulder: Je suis désolé. Est-ce que je vous connais?
Pam: Vous passez devant moi tous les jours sur cette rue. Tous les jours. Cette journée, sur votre chemin vers la banque. Et lorsque vous entrez à l’intérieur, tout le monde se fait tuer… vous, votre partenaire, Bernard, tout le monde.
Mulder: Je passe devant vous et ensuite, nous mourons.
Pam: Oui. Encore et encore. Seulement, la dernière fois, vous m’avez regardée, comme si vous m’avez reconnue. Comme si vous vous rappelez. S’il vous plaît, rappelez-vous.

Ils entendent alors un coup de revolver à l’intérieur de la banque. Mulder court vers la banque, son arme à la main. Il entre dans la banque et voit Bernard et Scully pointant leurs armes l’un et l’autre. La femme hystérique a été tirée (yé!). Il pointe son arme vers Bernard.

Bernard ouvre son manteau pour montrer des dynamites autour de sa poitrine. Mulder l’appelle par son nom. Scully regarde Mulder d’un air étrange et s’agenouille devant la femme pour prendre le pouls. Elle dit alors à Bernard qu’elle n’est pas morte et qu’il peut finir cela de la bonne façon.

Une caissière lui dit alors d’écouter Scully et Mulder et que la police s’en vient. Bernard, réalisant qu’elle a trébuché sur l’alarme, laisse tomber son arme et allume les exposifs. Mulder court vers lui pour l’arrêter mais trop tard, la banque explose.

À l’extérieur, Pam se penche derrière la voiture et couvre ses oreilles. Elle pleure de douleur.

Quelques mêmes lundis plus tard, le camelot livre les journaux. Mulder se réveille au bruit du journal cognant contre sa porte. Sur son lit d’eau, il réalise qu’il est trempé. Il trouve le trou. Il sort du lit et ses deux pieds plongent dans le tapis mouillé. Le téléphone sonne. Il décroche, envoyant accidentellement son cellulaire sur le sol. Il s’excuse à l’interlocuteur et raccroche.

Il regarde son horloge et réalise qu’il est défectueux. Il prend sa montre. C’est le lundi, 7h15 du matin. Il sort de la chambre à coucher mais trébuche sur une paire d’espadrilles.

Dans le quartier général du FBI, Scully marche vers l’ascenseur, le cellulaire à l’oreille. Pam court vers elle. Elle lui dit de ne pas aller à la banque de Cradock Marine aujourd’hui, celui sur la huitième rue. Elle lui dit d’empêcher Mulder d’y aller sinon, ils vont mourir.

Le guide arrive alors et dit à Pam qu’elle n’est pas sensée d’être là. Il l’escorte vers la porte.

Scully entre dans son bureau où se trouve personne. Mulder arrive quelques instants plus tard. Ils se saluent et Mulder ouvre son chèque. Il a l’impression que quelque chose d’étrange se produit.

Mulder: J’ai juste eu la plus étrange sensation de déjà vu. J’ai cela depuis ce matin.
Scully: C’est très commun.
Mulder: Oui mais jamais à ce degré. Je me suis réveillé, j’ai ouvert mes yeux, j’étais complètement mouillé… C’est une longue histoire mais j’ai la sensation distinct que j’ai déjà vécu ce moment.
Scully: Bien, tu aurais pu. As-tu consommé beaucoup d’alcool au collège?
Mulder: Je me demande qu’est-ce que cela veut dire.
Scully: Mulder, je ne vois pas pourquoi c’est sensé de faire du sens.
Mulder: Tu sais, quelques Freudiens croient que le phénomène du déjà vu est des souvenirs repressés qui s’échappent de notre inconscient. Cela représente un désire d’avoir une seconde chance de régler les choses correctement.
Scully: Régler quelle sorte de choses?
Mulder: Ce qui est de travers.
Scully: Mulder, nous parlons plus précisément de simple neurochimie, un problème technique dans l’habilité du cerveau de processer la reconnaissance et la mémoire. Cela ne veut pas dire que le souvenir est authentique.
Mulder: Oui? Bien, mais si c’était authentique?
Scully: Si tu as vécu ce moment avant et que maintenant, tu le revis encore?
Mulder: Oui, pour que nous puissons modifier le tort ou changer le destin.
Scully: Bien, maintenant, je dois dire que ton destin est d’aller à la conférence.
Mulder: Non. Actuellement, mon destin est d’aller à la banque.
Scully: Mulder, quelle banque?
Mulder: Cradock. Au coin de la rue.
Scully: Sur la huitième rue.

Scully lui dit qu’une femme l’a interceptée il y a dix minutes. La femme lui a avertit qu’ils ne doivent pas aller à la banque sinon ils vont mourir. Scully la décrit (cinq pieds huit, mince, yeux verts, cheveux teints). Mulder lui dit qu’il va utiliser la machine car il ne veut pas tenter le destin.

Skinner est dans son bureau, continuant la conférence sur les projections criminelles fédérales. Scully jette un coup d’oeil à la chaise vide de Mulder.

À l’extérieur de la banque, Mulder se tient devant la machine automatique. Il cachète l’enveloppe mais se rend compte que la machine est défectueuse. Il regarde la porte mais se retourne en voyant Pam. Elle se tient devant la voiture, les bras crossés. Mulder la rejoint.

Pam: Vous me reconnaissez?
Mulder: Vous remplissez une description. Vous êtes la femme qui a donné un avertissement à ma partenaire, n’est-ce pas? Sommes-nous déjà rencontré?
Pam: Plus de fois que je peux compter. Ici sur ce troittoir. Normalement, vous marchez devant moi. Vous arrivez quelques minutes plus tôt, quelques minutes plus tard. Les petits détails, ils changent mais cela finit toujours pareil.
Mulder: Qu’est-ce qui finit toujours pareil?
Pam: J’ai toujours cette conversation.
Mulder: Nous allons à l’intérieur de la banque et nous mourons. C’est que vous avez dit à ma partenaire. Est-ce que quelque chose va arriver dans la banque? Est-ce qu’il va avoir un vol?
Pam: Chaque fois que je vous dit qu’il va avoir un vol, vous courez pour essayer de l’arrêter mais c’est là que les choses vont mal. Vous ne voyez pas? Nous sommes en Enfer. Je suis la seule qui le sait. Quelque chose est arrivé de travers la première journée que c’est arrivé. Quelque chose s’est trompé. Les choses n’ont pas fini comme ils étaient sensé. Maintenant, c’est comme une aiguille coincé dans la machine.
Mulder: Vous me dites que ce jour ce répète encore et encore.
Pam: Jusqu’à temps que tout va bien. Jusqu’à temps que mon copain ne fait pas exploser la banque. J’ai tout essayé pour l’arrêter. J’ai caché ses clés, j’ai drogué son café… j’ai même appelé la police. Il arrive toujours à la banque. Il est sensé d’être là. C’est vous. C’est vous et votre partenaire à chaque fois. Si ce n’était pas de vous, personne mourrait.
Mulder: Si ce que vous dites est vrai, comment cela se fait que je ne me rappelle pas? Comment cela se fait que vous êtes la seule?
Pam: Ça doit être la cinquantième fois que vous me demandez cela.
Mulder: Cinquante et unième. Quelle est la réponse?
Pam: Je ne sais pas. Je le suis. Sois content que vous ne l’êtes pas. S’il vous plaît, vous devez arrêter cela. Vous êtes la variable. Cela doit être vous. J’ai essayé tout le monde. Tout ce que je demande, c’est de vous en aller.

Dans le bureau de Skinner, l’Agent Arnord continue son discours monotone. Mulder entre avec ses dossiers et donne un faible sourire à Skinner. Il se rend compte que le siège de Scully est vide. Skinner lui dit qu’elle vient de quitter pour le retrouver. Mulder quitte la pièce.

À l’intérieur de la banque, Scully entre et cherche pour Mulder. Bernard vient de finir sa note et pointe son arme aux clients. Scully s’agenouille tandis que tout le monde se couche sur le sol. Elle essaye d’atteindre son arme mais Bernard la voit. Mulder entre alors dans la banque et sort son arme.

Bernard se retourne. Mulder le tire sur l’épaule et Bernard tombe sur le sol. Scully se relève et ramasse son arme. Mulder et Scully se regardent et s’approchent du hold-upper. Bernard ouvre son manteau, exposant des dynamites attachées autour de sa poitrine. Mulder se repète à lui-même une dizaine de fois que Bernard à une bombe. Bernard allume alors les exposifs…

Dans le corridor de l’appartement de Mulder, le camelot livre le journal violemment. Le bruit du journal claquant contre la porte réveille Mulder. Tout ce passe en vitesse lente. Il se réveille et sort du lit. Ses pieds atterissent sur le tapis mouillé. Il regarde sa montre. C’est le lundi, 7h15 du matin. Il parle au téléphone et raccroche.

Dans le bureau des Affaires Non Classées, Mulder endosse son chèque à son bureau. Scully entre pour lui dit qu’il est en retard pour la conférence. Il lui dit qu’il doit aller à la banque et qu’il va revenir sous peu.

Bernard et Pam se stationnent devant la banque. Pam ferme ses yeux et pleure doucement. Bernard lui dit que va aller bien et qu’il va faire quelques commissions. Pam lui dit que rien ne va changer. Il lui rassure que tout va changer dans dix minutes. Il sort de la voiture et entre en collision avec un cycliste. Dans la voiture, Pam ne prend plus la peine de répéter leurs mots tant qu’elle tremble.

Elle pleure silencieusement lorsque Mulder arrive et lui fait baisser la vitre de voiture. Mulder lui demande s’il la connaît. Pam nie le fait et remonte la fenêtre.

À l’intérieur de la banque, Mulder se met en ligne. Il jette un coup d’oeil à l’extérieur et voit Pam assise dans la voiture. Il voit alors Bernard en train d’écrire. Il se répète alors "Il a une bombe".

Dans le bureau de Skinner, Scully est très nerveuse. Skinner ragarde sa montre tandis que la conférence ennuyante continue. L’assistante de Skinner entre le bureau et demande Scully. Scully se lève et sort du bureau. Elle prend le téléphone. C’est Mulder. Il lui demande de venir à la banque et de lui faire une faveur.

Dans la voiture, Pam est assise, regardant sa montre. Scully cogne contre sa vitre, montrant son insigne. Elle lui demande de venir avec elle.

À l’intérieur de la banque, Bernard continue à écrire sa note. Mulder s’approche de lui et lui donne son arme. Il lui dit qu’il sait tout. Mulder lui donne un change pour changer son destin. Après quelques instants de réflexion, Bernard prend l’arme et le pointe aux caissières et aux clients.

À ce moment-là, Scully et Pam entrent dans la banque. Scully, en voyant Bernard, sort son arme. Bernard sort son propre et le pointe vers Mulder et Scully. Il dit à Pam de s’en aller. Mulder essaye alors de s’expliquer.

Mulder: Vous êtes en train de la damner. Vous la faîtes revivre cette journée encore et encore… elle, vous, moi, tout le monde.
Bernard: De quoi vous parlez?
Mulder: Tous les jours, nous mourons ici et tous les jours, cela recommence à nouveau. Vous ne voulez pas cela pour elle. C’est l’Enfer!
Bernard: L’enfer? Je vais cela pour elle.
Pam: Écoute-le, Bernard.
Mulder: Pose ton arm, Scully. Fais-moi confiance, c’est le seul moyen de sortir d’ici. Tu poses ton arme et tu les laisses sortir. Il a une bombe.

Après un moment d’hésitation, Scully dépose son arme sur le plancher. Bernard se prépare à se rendre lorsqu’il entend des sirènes de police. Bernard pointe son arme vers Mulder. Pam se lance devant Mulder et reçoit le balle dans l’épaule. Elle tombe à terre. Bernard, en état de choc, laisse tomber les armes et se met à genoux. Mulder le menotte sans rencontrer de résistance. Scully vérifie le pouls de Pam et appelle une ambulance. Pam regarde Mulder, lui disant que c’est la première fois que cela arrive. Elle ferme les yeux, rendant l’âme.

Dans le corridor de l’appartement de Mulder, le camelot livre le journal. Mulder se réveille au son du journal contre sa porte. Il est maintenant sur son sofa. Le téléphone sonne. C’est Scully. Mulder regarde sa montre. C’est le mardi, 7h17. Il s’en va chercher le journal. Au téléphone, Scully lui dit que Skinner veut avoir un rapport sur le vol de banque d’hier. Mulder lui dit qu’il sera là dans une heure.

Scully demande alors des explications: comment Mulder savait que Bernard Oates avait une bombe autour de lui. C’était une intuition.

Scully: Et c’était également une intuition qu’il avait une complice qui l’attendait dans la voiture?
Mulder: Je ne pense pas qu’elle était une complice. Je pensais qu’elle essayait de s’échapper.

Mulder raccroche et dépose le journal sur le divan. À la une du journal, une photo de Pam souriante est montrée. Le titre est: "Une femme meurtre dans un attentat de vol de banque".

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