L’alternance entre le sommeil lent et le sommeil paradoxal (durée de chaque sommeil) dépend de l’enivironnement (température, obscurité, etc) mais également de quelques facteurs hériditaires. Une expérience sur des souris blanches (dont on connaît leur carte chromosomique) a permi de découvrir que l’héridité intervient dans le déterminisme de la durée et du rythme de sommeil. Les activités phasiques des neurones du tronc cérébral à l’origine des mouvements des yeux au courps du sommeil paradoxal ne sont pas aléatoires et pourraient donc réflecter un codage génétique de certaines informations.