STAR TREQUE II
le souffle final
Après le pays du Fromage, le pays du yogour, le pays du lait caillé et les belles histoires des pays d'en haut, nos galettes de sarasins stellaires accouchèrent au repère géodésique de Pitsburry. La pièce de gâteau du trône était truffé de cerises, de smartie géantes et se trouvait presque au centre de la planète en pâte à tarte.
Bien sur l'astronorible Chef Pitsburry se prélassait dans un coulis de pomme quand il adressa, directement du bureau des postes, sa parole, qui n'était pas d'or, au timbrés qui stagnaient dans la mousse au chocalat.
- Bonjour chers amis, (les méchants disent toujours ça) bienvenue dans votre tombe, car vous ne reverrai jamais la lumière. (encore une phrase typique de méchant)
À ce moment magique (des p'tits puddings), quelqu'un ouvrit une lampe de poche (en dessous des yeux) et tout le monde partit à juste pour rire. Pitsburry, qui trouvait la farce à l'anana peu brillante s'empressa, comme du poulet pressé, de rétorquer:
- Comme tout bon méchant je vais vous compter ma vie: 1,2,3,4,5... etc.
Le petit Christ, même s'il était un tantinet ému, tenta de retenir ses larmes.
Le Chef Pitsburry conta donc son histoire pour de vrai:
«Quand j'était petit on me traitait de jos-louis ou de demi-lune pour m'insulter. Ma mère était boulangère, elle s'appelait aussi Diana. Mon père Robin Hood, mon oncle Ben's et Aunt Genina avait une troupe de théâtre, «Les Gailurons». Enfin, tout le monde mettait la main à la pâte. Moi je n'était pas doué pour le théâtre.
Puis, plus tard, je faisait des abus de levures ce qui fit que je devint gras et paresseux. Je fut rejeté de tous et je m'enfermait seul dans ma boîte à pain pour lever et préparer ma vengeance sur l'univers entier.
Un jour un homme vint et fromage pour me voir, il m'offrait un poste de télévision: faire de la publicité pour des chaussons congelés. Je savais que ma mère et mon père auraient si honte de moi qu'ils me renieraient, mais c'était un bon moyen de me venger. Alors je commençai une série de publicités plus stupides les unes que les autres où l'on m'enfonçait le doigt dans l'estomac pour me faire marrer. Ce fut horrible.»
Ça braillait comme des aveugles dans l'équipage, même le droïde se rouillait le toaster en huilant des yeux.
Mais le petit Chris ne se laissa pas émouvoir pour autant, et sauta immédiatement à la question qui lui grattait le ventre depuis une demi-heure.
- Pitsburry (snif), tu doit nous dire ton plan (snif) machiavélique tout de suite, afin que, comme dans tout bon film, le bon, en (snif) l'occurence moi, sache le plan du méchant, ici c'est toi. (mouchoir s.v.p)
Le méchant resta de marbre et se mit à réfléchir comme un oeuf au miroir. Puis, la décision de tout dire lui sauta à la figure comme un chaval au grand galop.
- Très bien Kirk, mais c'est bien parce que c'est écrit dans le script.
(Note De l'Auteur: Il n'y a même pas de script, pour la simple et bonne raison que j'écrit ce texte à mesure que je l'imagine, c'est Pitsburry qui hallucine complètement. Merci!)
- Donc, je commence. J'eu l'idée en accrochant un cadre dans la salle de bain. J'était sur un petit banc, puis je perdi l'équillibre et tombai la tête sur le bord de la toilette et c'est à ce moment que j'ai eu une vision...
- Le convecteur temporel qui rend le voyage dans le temps possible! dit Spork, grand fan de «Back to the Future»
- Mais non, octuple idiot, le Souflé Géant Au Pacanes qui me permettrais l'anéantissement de l'univers.
BoF! l'équipage s'attendait à quelque chose d'original, mais comme dirait Gaston Lagaffe: «M'enfin!»
L'univers était en danger (traverse d'orignaux) et le seul moyen de s'en sortir était de se servir de la farce. Non pas de celle que l'on fait avec 1 tasse de jambon, 2 oeufs durs, broyés, du persil, des échalottes en cubes, de l'origan, du sel, poivre et mélanger le tout puis assaisonnez au goût, mais bien celle-là même que Fudge, le grand maître de la farce, enseigna au petit Chris sur Lolita 36-24-36. (si vous vouliez avoir un bref résumé de l'avant dernier épisode, vous êtes servi!)
Il voulu se servir de la farce pour faire rire Pitsburry pour que son rire au éclats fasse désouffler le soufflé aux pacanes maudit. Donc, pendant plus de deux heures soixante dix-neuf minutes et quarante-douze seconde le petit Chris envoya plus de sept millions neuf cent quatre-vingt-huit mille trois cent trente-deux blagues qui vinrent s'échouer sur la plage comme des carcasses de baleineaux tué pour leur fourrures et/ou leurs défenses. (bref ça n'a rien donné)
L'équipage qui s'était, entre temps, endormie dans un Wippet géant Lion d'or, se réveilla en sursaut quant les blagues cessèrent. Bizarrement ce fut FOR NEXT qui soumissionna la solution au problème. Il sussura à l'oreille du petit Chris quelques mots en language binaire que seul la Farce savait comprendre.
Le petit Chris, plus vite que l'éclair au chocolat, enfonça le doigt dans le ventre du Pitsburry. À ce moment là, quelque chose fit séismer les câbles vocaux de l'atroce patissier ce qui produisit une serie d'onde sonores qui se perdirent dans les dédalles de cavernes et de sous-terrains aboutissants au soufflé maudit ce qui le fit dégonflé et, de par ce fait, anéanti à tout jamais le plan horrible de Pitsburry.
- En fait, ce n'était pas si difficile, mais on ne sait jamais! dit Christian Kirk fier de lui en maudine.
L'équipage reparti en laissant Pitsburry pleurer sur sa défaite.
Hippi logue
Ceci met fin à la première partie des aventures de la nouvelle dégénération. Dans Star Trèque III, la disparition d'une planète met la puce à l'oreille à l'équipage. Que se passera-t-il sur la planète de vapeur? Qui est le maitre du Presto Noir? Le petit Chris ira-t-il du coté Jardin ou du coté cours? Prochainement dans un site WWW près de chez vous!Page principale de Star Trèque
Star Trèque III: l'Expire Contre-Arnaque