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Faisons face aux réalités raciales

Kevin Alfred Strom

Le mot «racisme» est devenu synonyme de mal. Mais racisme signifie seulement avoir un sentiment racial: un sentiment de lien charnel avec vos frères et soeurs de race, un sentiment de compréhension et d'appartenance, un sentiment de faire partie d'une culture, de faire partie de quelque chose de plus grand que nous-mêmes. 

Le sentiment de la race est inné en nous. Il est bon et naturel. Et le dépeindre comme quelque chose de mauvais est l'une des plus horribles tromperies de ce siècle. Si vous voulez appeler «racisme» ce sentiment racial tout-à-fait normal, alors faisons-le. Nous appellerons cela du racisme. Aussi longtemps qu'il y aura des races, il y aura du racisme. C'est quelque chose d'inné, qui a une utilité pour l'évolution des espèces et une valeur pour la survie, et cela est présent même chez les espèces animales. Le sentiment racial a autant de chances de disparaître que l'instinct sexuel. 

Vraiment, le racisme est bon et nécessaire pour le développement et la différenciation continuelle de nouveaux types d'êtres humains à partir des souches existantes. L'évolution, autant que nous le sachions, opère principalement par une telle différenciation, et le sentiment racial est une part importante de ce qui conserve les espèces séparées. A un certain moment, l'homo sapiens sapiens refusa de s'accoupler avec les espèces inférieures autour de lui. 

Les canards sauvages et les canards des bois peuvent s'accoupler, et peuvent même le faire réellement dans certaines circonstances accidentelles. Mais la mentalité de ces oiseaux, même lorsqu'ils vivent sur le même territoire, les pousse à éviter l'autre espèce. Les deux espèces, qui autrefois n'en faisaient qu'une, sont à présent séparées à jamais. 

La plupart des Blancs -- même les Blancs les plus à gauche -- choisissent instinctivement des Blancs comme voisins, camarades d'école, et camarades dans la vie. Cela est bon et naturel et n'a absolument rien à voir avec un sentiment de haine. L'évolution, la différenciation, et la séparation ont apporté presque toute la merveilleuse diversité de la Création que nous voyons autour de nous. C'est la loi de la Nature. C'est la loi de Dieu. Et toute l'histoire naturelle témoigne virtuellement de la préférence naturelle des espèces, sous-espèces et races, à s'attacher à leur propre espèce. 

C'est seulement en reconnaissant la sagesse de notre sentiment racial que les merveilleuses qualités de notre race peuvent être préservées. Notre société préserva jadis (quoique d'une manière imparfaite) le stock génétique qui produisit Aristote, Léonard de Vinci, Mozart, Beethoven, et les constructeurs de la fusée Saturne V. Cela ne durera plus longtemps. Les partisans de la société multiculturelle et multiraciale ont une position dominante en Occident et répandent un paradigme moral selon lequel la défense de notre patrimoine génétique est mauvais («raciste»). A mon avis, cela est destructeur, et même génocidaire. 

Les Américains Blancs -- et les Blancs dans le monde -- commencent, en nombre croissant, à se voir eux-mêmes (à nouveau) comme un peuple avec une histoire commune et des intérêts et des valeurs communes. Instinctivement, les Blancs sentent entre eux une parenté qu'ils ne sentent pas avec les Arabes, les Africains, les Asiatiques ou les Aborigènes. Ils vibrent aux accents de Beethoven alors qu'ils ne peuvent pas vibrer à l'appel du minaret ou au battement des tam-tams africains. Ils sont inspirés par les spirales gothiques ou celtiques, par le Parthénon, le Panthéon et l'Arc de Titus; mais le Mur des Lamentations, les autels des Incas, et l'art tribal obscur sur les murs du métro de New-York, si fascinants qu'ils puissent être, nous restent étrangers. 
 

Le Parthénon
Le Parthénon

Le fait que d'autres races nous voient comme un seul peuple, et que de temps en temps ils nous attaquent comme un seul peuple, aide à ce processus de prise de conscience raciale croissante. Une situation similaire prévaut parmi les Noirs. Les Américains européens sont en train de se réveiller, et nous commençons à reprendre en main notre propre destin. 

Telle est la manière dont les peuples et les nations se forment. Telle est la Loi de la Nature. Et les hurlements des «élites» de l'Establishment, depuis leurs tours d'ivoire, n'arrêteront pas ce processus. 

Un des plus récents cris d'hystérie venant de la gauche de l'Establishment est la proclamation que la race blanche n'existe pas, qu'une telle chose n'existe pas, et qu'elle n'a jamais existé. Un grand nombre de prostitués diplômés de l'Université parlent ainsi -- mais ensuite ils pensent aussi que Bill Moyers [journaliste de gauche, NDT] peut être pris au sérieux. 

Il y a un programme politique caché derrière cette épidémie de «la race blanche n'existe pas», et il expose lui-même constamment le corollaire évident qui en est la conséquence: s'il n'existe pas de race blanche, alors il n'y a pas de responsabilité collective pour les péchés réels ou imaginaires qu'elle a commis contre les races également imaginaires des Africains, des Amérindiens, et des autres races qui font la queue impatiemment pour toucher leur pactole après que les bureaucrates aient pris leur part. 

Plus de «discrimination positive» -- les races n'existent pas! Plus de réparations à payer pour l'Holocauste -- les races n'existent pas! Plus d'éducation «diversifiée» -- les races n'existent pas! Oh, cela ne se produira jamais. C'est seulement la race blanche qui ne doit pas -- qui ne peut pas -- exister. Elle ne peut pas exister, parce que si son existence était reconnue, alors le génocide qui est actuellement pratiqué contre elle deviendrait immédiatement évident. Et même quelques libéraux  [aux USA, «Libéral» veut dire en gros «de gauche», NDT] honnêtes pourraient y mettre des limites et gâter toute la pièce. 

Les partisans du multiracialisme se sont dépeints eux-mêmes comme des victimes. Pour quelle raison? Probablement juste pour pouvoir répéter que les groupes «opprimés» sont les «peuples», les «nations», ou quelque chose comme ça. Et ils espèrent que les Blancs ne s'éveilleront jamais de leur abrutissement et ne se réuniront jamais en un «peuple» aussi conscient de ses intérêts et de son destin, comme par exemple, les Juifs. 

Comme le monde serait différent! S'il est illégitime moralement et insoutenable scientifiquement que les Blancs puissent s'organiser sur la base de la perception d'une race ou d'une ethnie commune (ou même proclamer que leur race existe), alors la même chose serait sûrement vraie pour les Juifs et pour les Noirs. 

Peut-être qu'un jour des vrais «libéraux» se réveilleront et découvriront que rien n'existe. C'est la fin de la route pour leur mode de pensée. Le verne «être» est un anathème pour eux. La pensée qu'il puisse exister une réalité objective en dehors d'eux-mêmes, une réalité qui est ce qu'elle est, quels que soient leurs souhaits, théories, espoirs, rêves éveillés ou décrets, est aussi intolérable pour eux que cela le serait pour un enfant de deux ans. Croyez-le ou non, ils ont même développé un langage (appelé «e-prime») -- une forme d'anglais qui élimine complètement le verbe «être». 

Les «libéraux» sont très influençables, et sont véritablement les victimes, pas les créateurs, de l'arnaque du «les races n'existent pas, mais certaines doivent être favorisées». Il est utile de diaboliser et de déshumaniser les gens contre qui vous allez commettre un génocide. Et il est plus facile de commettre un génocide lorsque vous pouvez convaincre vos partisans que les victimes n'existent pas réellement. C'est ce que l'affirmation «les races n'existent pas» signifie réellement. C'est une justification pour le génocide. 

Un autre mensonge que les élites du Système font quotidiennement entrer dans la tête de nos enfants est que leur technique de génocide -- le mélange racial -- est réellement bon pour nous parce qu'il apporte de la «vigueur génétique». 

La «vigueur génétique» fait allusion à la croissance exceptionnelle qui se manifeste quelquefois quand des scientifiques se livrent à des expériences de croisements ou d'hybridations de plantes ou d'animaux. La «vigueur génétique» ne signifie rien en terme de génie humain nécessaire pour créer et pérenniser une civilisation. Là où elle existe, par exemple dans le maïs ou les pommiers, elle s'épuise généralement après quelques générations. 

Un concept beaucoup plus important en ce qui concerne le croisement des races humaines est la «régression à la moyenne». Cela signifie que même si vous accouplez un Noir de génie avec une personne blanche, le résultat est, en moyenne, de donner des caractères négroïdes plus typiques du Noir moyen, et pas nécessairement de ce Noir de génie, et c'est encore plus vrai avec la succession des générations. 

La régression à la moyenne dans le cas des mariages mixtes avec des Africains signifie régression à la moyenne africaine, avec les Asiatiques à la moyenne asiatique. Aucune des deux ne laisse espérer une élévation du niveau de la moitié supérieure de notre «courbe de Q.I.» -- plutôt le contraire. Les autres races se sont mélangées avec les Européens, et partout les résultats sont pour le moins peu concluants. Elles n'ont rien à nous offrir. 

Certains partisans du mélange des races soulignent les cas des activités où les autres races sont supérieures aux Blancs: les Noirs pour l'athlétisme, les Asiatiques pour l'unité sociale, etc. Mais nous ne pouvons pas (encore) sélectionner de tels caractéristiques, particulièrement quand vous parlez de mélanges faits au hasard, comme le recommandent les libéraux et les communistes. Sur le long terme vous obtiendrez des combinaisons fortuites des différentes caractéristiques, la plupart d'entre elles ne seront pas supérieures. Vous obtiendrez une régression à la moyenne. Pour une expérience aussi hasardeuse, vous voudriez détruire l'une des créatures de la Nature? Vous voudriez obliger l'aigle à tête blanche à s'accoupler avec l'aigle pêcheur? Les lions et les tigres? 

La race européenne possède toute la diversité interne dont elle a besoin pour sa bonne santé et son développement, et son évolution ultérieure. C'est un crime moral et un crime contre la Nature, au plus haut degré, de la détruire en annihilant toutes ses défenses contre le mélange racial. 

Les prostitués et leurs complices de l'Establishment qui appellent au génocide disent toujours que nous ne pouvons pas dire quelle part de notre intelligence et de notre civilisation est déterminée génétiquement et quelle part est causée par l'environnement. (Ils avaient l'habitude de dire que tout était d'origine environnementale, mais les preuves étant trop contraires, ils ont donc abandonné cette position.) 

Mais je leur dis: vous-mêmes admettez que vous ne savez pas si notre civilisation inégalée n'est pas le résultat de notre constitution génétique. Si elle l'est, et si vous détruisez ce code génétique unique, réalisez-vous l'énormité de ce que vous avez fait? 

Les Blancs devraient avoir le droit de reconstituer leurs barrières traditionnelles contre l'union sexuelle et le contact social avec les non-Blancs pour pouvoir préserver notre race. Toute autre solution est un génocide. 

Je peux entendre les justificateurs du génocide sortir de leurs trous et chuchoter à nos jeunes: «il n'existe qu'une seule race, la race humaine. Nous formons tous une seule espèce.» 

Chasseur de têtes de Nouvelle-GuinéeIl y a un grand sujet de débat avec les limites des espèces. La question a été soulevée: les races doivent-elles être traitées comme des espèces séparées, ou seulement comme des sous-espèces de la même espèce? Elles présentent certainement suffisamment de différences pour les classer en sous-espèces. Après tout, certaines espèces de mammifères diffèrent si peu qu'un observateur humain ne peut pas les distinguer. (Deux espèces de hamsters de Sibérie me viennent à l'esprit. Parmi ces deux espèces, une odeur discernable seulement par les hamsters et les instruments olfactifs de laboratoire, est la différence principale et le moyen par lequel la femelle choisit un partenaire de l'espèce correcte.) L'affirmation qu'il n'existe pas de sous-espèces parmi les hommes -- qu'elles n'existent même pas -- est en effet une nouveauté. Cela impliquerait que les Australoïdes [Aborigènes], les Boshimans, et les Européens, qui se sont tous développés séparément depuis au moins 100 000 ans et qui possèdent des différences physiques saisissantes, ne forment pas seulement une même espèce, mais doivent être définis comme la même sous-espèce. Scientifiquement, personne ne peut défendre une telle thèse. [Image: Chasseur de têtes de Nouvelle-Guinée.]

Claudia SchifferJe ne peux pas parler au nom des autres, mais à mes yeux la race européenne, si imparfaite qu'elle puisse être, est une race de lumière et de beauté. C'est la race de Shelley et de Keats et de Poe et Shakespeare, la race du Parthénon et de la cathédrale de Chartres et de Stonehenge, la race de Mozart et de Beethoven et de Liszt et Brahms, la race de Vermeer et de Raphaël et de Rossetti, la race de César et d'Alexandre et de Washington et Jefferson, la race de Ford et de Marconi et Goddard et Von Braun et Shockley. [Image: Claudia Schiffer.]

Et notre race est menacée. Nulle part, notre taux de natalité atteint le niveau de renouvellement. Partout nos frontières ont été ouvertes et la nouvelle élite apprend à nos enfants que les mariages mixtes sont bons et désirables. Partout la nouvelle élite apprend à nos enfants que le fait de défendre notre héritage génétique est la définition même du mal. 

Le résultat final, si la tendance reste la même, sera un génocide. Le résultat final sera la mort pour le peuple unique, beau, intelligent et créatif, qui porte le nom de la déesse Europe.


Free Speech -- July 1996, version abrégée.