Dans
la nuit du 2 au 3 Juillet 1947, un disque brillant est observé au-dessus
de la ville de Roswell située dans le désert du Nouveau Mexique.
Le passage de ce disque lumineux se dirigeant vers le Nord Ouest semble
attesté par plusieurs témoignages. L'affaire en serait probablement
restée là si, cinq jours plus tard, les Mac Brazel n'étaient
venus faire leurs courses à Roswell...
Mac
Brazel est intendant d'un ranch situé à 120km au nord de
la ville. Dans la nuit du 2 Juillet la famille est alertée par une
explosion toute proche. Le lendemain matin le père, accompagné
de ses deux fils intrigués par les événements de la
nuit, font une inspectionde leur ranch et découvrent les débris
d'un engin. Ce n'est donc que le 7 juillet, qu'ils signalent l'incident
. Aussitôt c'est le ranle-bas de combat à la base aérienne
de Roswell. L'armée établit un cordon autour du périmètre
de l'impact. Enfin, le 9 juillet, deux officiers des renseignements,
le major Jess Marcel et un dénommé "Cav", se rendent sur
les lieux afin de récupérer les débris. Ces derniers
sont chargés dans un camion et ramenés à la base aérienne
de Roswell. |
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Après
cette manoeuvre, le lieutenant Walter Haut, porte-parole de la base fait
une déclaration fracassante à la presse en annonçant
la récupération d'un disque volant non identifié.
Mais voilà que, quelques jours plus tard, nous apprenons que le
major Jess Marcel reçoit l'ordre de charger les débris dans
un B-29 afin de les convoyer personnellement jusqu'à la base de
Wright Field (Ohio). L'avion fait escale à Forth Worth (Texas) où
le général Roger M. Ramey, prend les opérations en
main. La mission est alors frappée du sceau du secret et les hommes
reçoivent l'ordre de n'en parler à personne et, bien entendu,
surtout pas aux reporters que la déclaration fracassante de Walter
Haut ont alertés. Puis, le général Roger M. Ramey
en personne annonce au cours d'une conférence de presse que "les
débris ramassés près de Roswell dans le désert
du Nouveau Mexique sont, après analyse, ceux d'un ballon-sonde".
Fin de la première version ou, en tout cas, de la version officielle
du crash de Roswell. Cependant , avant d'aborder les autres phases de cet
incident, je crois qu'il n'est pas inintéressant d'analyser quelques
points pour le moins étranges.Il est bien évident qu'à
propos de l'incident de Roswell on a voulu nous cacher quelque chose. Faut-il
rappeler que nous sommes en 1947 c'est-à-dire en pleine psychose
nucléaire ? Nous sortons d'une terrible guerre mondiale qui s'est
terminée par les cents mille soleils que l'on sait. Les relations
Est/Ouest sont déjà très tendues et font planer au
dessus de ces années-là l'épée de Damoclès
de l'holocauste nucléaire à la sauce Guerre Froide.
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Or,
la base de Roswell est la toute première base aérienne équipée
de bombes atomiques. On peut donc imaginer que des engins tenus secrets
(sondes mesurant la radioactivité, défendant ou contrôlant
l'espace aérien) pouvaient être utilisés. L'un
d'eux s'est peut-être écrasé près du ranch des
McBrazel. Il aurait donc été plus logique d'invoquer l'accident
d'un tel engin sans trop insister sur sa nature pour en sauvegarder le
secret, plutôt que le crash d'une soucoupe volante vite transformée
en un vulgaire ballon-sonde. Mais que signifie cette référence
directe aux OVNIs ? Rappelons que nous sommes début juillet (entre
le 2 et le 9). Or quelques jours plus tôt, le 24 juin exactement,
par la voix de Keneth Arnold, le terme de soucoupes volantes (flying saucer),
faisait une entrée fracassante dans notre réalité
et dans l'univers mental des américains. Et quand je dis fracassant.
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Je
pèse mes mots. Au congrès d'ufologie qui s'est tenu à
Lyon en mai 1989, Pierre Lagrange, du centre de sociologie de l'Innovation
de l'école des Mines, a raconté les trois premiers jours
des soucoupes volantes. Révélant dans quel climat médiatique
l'observation de Keneth Arnold fut enregistrée (il a retrouvé
un disque d'une émission radiophonique), diffusée, répercutée
et digérée par les milieux culturels américains. Dans
cette atmosphère de guerre froide sur fond de psychose nucléaire,
les responsables , aussi bien que les hommes de la rue, découvraient
brusquement que des engins inconnus et technologiquement surpuissants,
se baladaient impunément dans le sacro-saint espace aérien
américain."Mais que faisait donc l'armée de l'air chargée
de la protection de cet espace alors que des objets volants non identifiés,
et appartenant à une technologie avancée, survolaient le
territoire sans provoquer l'alerte générale ?", s'indignait
la vox populi. Car, comment un pilote aussi chevronné et de surcroît
en mission, pouvait-il être victime d'une hallucinationaux commandes
de son engin ? Même s'il revenait bredouille et n'avait pas retrouvé
l'épave de l'avion de transport dont on était sans nouvelles
et qu'on supposaits'être écrasé sur le mont Rainier,
Keneth Arnold n'était pas homme à prendre des nuages pour
9 lanternes magiques volant en formation. Tout le monde (ou presque) fut
dons d'accord pour balayer l'hypothèse de l'hallucination.
Mais alors, si les soucoupes volantes existaient vraiment, quelle puissance
pouvait fabriquer de tels engins ? Tout le monde sait, et le citoyen américain
encore plus que les autres, que dans la course aux progrès technologiques,
l'Amérique arrive largement en tête. Si donc l'armée
de l'air américaine n'était pas aux commandes de ces soucoupes
mirobolantes, la seule explication logique et rationnelle, c'est qu'elles
étaient d'origine extraterrestre. Il se pourrait bien que l'incident
de Roswell fut la réponse. Lancée un peu hâtivement
peut-être par la voix de Walter Haut, à cette double question
embarrassante concernant le rôle de l'armée de l'air et la
nature de ces objets volants non identifiés. La première
question qui vient à l'esprit est, évidemment : Que signifient
ces déclarations contradictoires ? Il est peu probable qu'un simple
lieutenant, même porte parole d'un base aérienne , ait pris
sur lui de lancer à la face du monde que l'US Air Force avait récupéré
la carcasse d'un OVNI. Par cette déclaration, l'armée de
l'air reconnaissait officiellement l'existence des OVNIs et annonçait
par la même occasion, qu'elle en détenait la preuve
matérielle. Non pas sous forme de débris mais carrément
d'épave ! Ce qui explique la rapidité, voire la spontanéité,
d'une telle déclaration. Car s'il s'agissait de simples débris,
il aurait sans doute fallut une longue analyse de la nature des matériaux
pour pouvoir leur affecter une origine extraterrestre . Cette déclaration,
effectuée sur les lieux même de l'incident, est cohérente
avec l'observation d'un disque lumineux et l'explosion enregistrée
par la famille McBrazel. Il est fort probable que la population locale
aurait discuté l'explication qui aurait évacué ces
paramètres. Cependant, s'il s'était agi "d'autre chose",
mettons un engin expérimental ou autre du domaine top secret, il
eu été facile d'évoquer un quelconque objet volant
identifié ou un météorite, plutôt qu'un OVNI.
A
ce stade là, on est donc amené à se dire, soit l'armée
de l'air ment effrontément, et ce mensonge a pour but de rassurer
la population et de prouver qu'elle ne faillit pas à sa mission
et qu'elle détient déjà un de ces engins qui ont tant
défrayé la chronique en violant l'espace aérien. Soit
elle ne ment pas. Mais que vient faire alors ce ballon-sonde que le Général
Ramey, tel un illusionniste, va sortir de son chapeau quelques jours plus
tard ? Là encore, il était bien facile d'avoir recours à
une autre explication. Pourquoi passer du fantastique OVNI au banal ballon-sonde
? Si dans les airs, pris dans un calme plat, il peut être confondu
avec un disque métallique immobile, de là à exploser
au sol...Cette déclaration aura bien sûr plus de portée
que la précédente. Et c'est le ballon-sonde qui sera retenu
par les médias et qui permettra de classer officiellement l'affaire.
A moins que nous ayons, derrière cette fracassante reconnaissance
officielle de l'existence matérielle des soucoupes volantes puis
sa négation tout aussi officielle, la première trace de ce
que certains n'hésitent pas à appeler : La Grande Manipulation. |
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Une
telle attitude aussi ouvertement contradictoire opère un effet de
brouillage. Ceux qui veulent croire aux merveilleuses soucoupes optent
pour le lieutenant Walter Haut, les autres qui veulent se rassurer, leur
préfèrent l'autorité des étoiles du Général
Ramey. Et puis il y a les sceptiques, les acharnés, ceux qui cherchent
à tout prix la vérité et qui ne se laissent plus berner
par les myriades des ballons-sondes qui, après enquête, ont
régulièrement été confondus avec des soucoupes
volantes. C'est le cas des ufologues entêtés que sont William
Moore, Stanton Friedman et Charles Berlitz. Ils ont d'abord patiemment
recensé dans la presse des témoignages relatifs à
d'éventuels crashs d'OVNIs. Ils mirent au jour une vingtaine de
cas dont certains avec cadavres retrouvés sur les lieux de l'accident
et placés en suspension cyogénique. Cette relative
profusion leur a donné l'idée de choisir le cas le plus spectaculaire
ou le plus troublant. Et c'est ainsi que dès 1974 William Moore
a repris l'enquête sur les lieux même de l'incident de Roswell.
Rapidement rejoint par Stanton Friedman, ils interrogèrent 92 personnes
dont 30 témoins directs. Ils ont même retrouvé le major
Jess Marcel.Ce dernier leur apprit que les débris (peut-être
pour rester en accord avec le Général Ramey il n'est plus
question d'épave) étaient constitués d'une matière
dure, flexible et voisine du balsa portant des sortes de hiéroglyphes.
Il y avait aussi une substance brune, semblable à du parchemin,
et une grande quantité de fragments de métal léger,
très résistant et ressemblant à du papier argenté.
Enfin, une petite boite noire et carrée mesurant quelques centimètres
de côté.
Les
fermiers aussi bien que les militaires testèrent aussitôt
ces matériaux. A leur grandétonnement ils s'avérèrent
indestructibles. Résistant aux coups de marteaux, les feuilles quiressemblaient
à du métal étaient indéchirables. Tout cela
était fort troublant et si le haut degrétechnologique ne
faisait pas de doute, personne n'a encore apporté la preuve que
cesmatériaux étaient d'origine extraterrestre. La seule chose
sur laquelle personne ne peutaujourd'hui avoir de doute, c'est qu'il ne
peut s'agir là des débris de ballon-sonde. Mais cela ne nous
dit toujours pas pourquoi l'armée de l'air s'est livré à
un tel brouillage, ni ce qui se cache derrière ce brouillage.
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Dans
leur livre The Roswell Incident (New York : Berkeley Books 1988) Charles
Berlitz et William Moore affirment que, derrière cette version édulcorée,
se cache une vérité beaucoup plus fantastique encore. A plusieurs
kilomètres du Ranch de McBrazel et donc du premier point d'impact,
c'est-à-dire des débris, les enquêteurs militaires
auraient découvert un véhicule ovoïde écrasé
au sol et occupé par quatre cadavres humanoïdes. En contre
point de la version officielle, in traînait depuis longtemps sur
Roswell des rumeurs de présence d'EBE (sigle utilisé par
le gouvernement US pour Entités Biologiques Extraterrestres ). Personne
évidemment n'osait y croire. Et puis là tout d'un coup, sous
la plume d'enquêteurs sérieux et entêtés, nous
faisions un pas de plus dans le domaine du fantastique. L'informateur (aujourd'hui
décédé) qui les mit sur la voie et fût leur
principale source est un certain Meade Layne directeur d'un centre de recherche
sur les OVNIs : le Borderland Sciences Research Fondation à Vista
(Californie). Le Dr Weisberg, professeur de physique dans une université
californienne, lui aurait avoué avoir examiné le corps de
six occupants (le nombre n'est jamais stable) de l'OVNI qui s'est crashé
à Roswell. En fait une partie de l'épave aurait été
chargée dans un camion et expédiée à la base
aérienne d'Edwards via Flagstaff (Arizona) puis Needles et Cadiz
(Californie). |
Les
restes auraient été regroupés avec d'autres matériaux
provenant d'autres crashs dans le "Bâtiment 18 - A, zone B" de la
base aérienne de Wright-Patterson près de Dayton. Depuis,
d'autres révélations encore plus fantastiques ont vu le jour,
comme si le livre de Moore et de Berlitz avait soulevé le
couvercled'une cocotte. Mais le point central de toutes ces rumeurs est
que le gouvernement américain est sur le point de révéler
la vérité sur les soucoupes écrasées mais aussi
sur le phénomène OVNI lui-même. C'est une opinion que
partagent William Moore et qu'il a défendu à la rencontre
ufologique de Lyon, d'autant qu'il est en contact avec des gens qui affirment
avoir vu des corps. Il a depuis communiqué une partie de ces
témoignages qui sont effectivement très troublants. Cependant,
comme le faisait remarquer JacquesVallée, toujours à ce même
congrès, comment se fait-il que personne ne parle d'odeur de putréfaction
? En effet, et William Moore le confirme, le crash aurait eu lieu le 2
juillet et le ramassage de l'épave le 9. Or nous sommes en plein
désert du Nouveau Mexique sous un soleil écrasant. Sans parler
des oiseaux prédateurs. Et si les corps étaient restés
hermétiquement coincés dans une carcasse métallique,
ce serait encore pire... C'est pourquoi il va falloir reparler de la Grande
Manipulation.
Car
sur ce terrain-là, comme dans un scénario de X-Files, il
est rare qu'une certitude ou une vérité n'en cache pas une
autre. Des informations relatives au secret du phénomène
OVNI arrivent aussi par des sources semi-officielles . Ce sont en général
d'ex-agents des renseignements de l'armée qui se livrent à
des révélations fantastiques concernant les EBE. Ces anciens
du renseignement sont, soit missionnés, soit agissent à titre
privé pour ne plus taire d'horribles secrets. L'armée serait
non seulement en possession de cadavres mais aussi d'un ou deux spécimens
vivants. A cause de leur petite taille (entre 120 et 150 cm), de la couleur
grise de leur peau et de leurs yeux protubérants, ces EBE sont
surnommés les Petits Gris. |
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C'est
à ce type d'informateurs que l'on doit en général
de multiples documentaires concernant des autopsies qui circulent dans
le milieu et se vendent à prix d'or. L'un deux a atterri dans la
célèbre émission de Jacques Pradel. Et on a découvert
comment l'authenticité d'un tel document s'est avérée
plus que douteuse. Grâce au travail effectué sur l'incident
de Roswell nous avons vu comment l'armée de l'air sait distiller
le chaud et le froid, le vrai et le faux pour mieux brouiller les pistes
et camoufler les faits. une telle attitude est extrêmement dangereuse
car, au nom d'une vérité jamais révélée,
elle autorise toutes les rumeurs.Et
c'est ainsi que du Hangar 18 on est passé à la zone 51. Que
sont les accidents de soucoupes et les autopsies de cadavres de Petits
Gris face à la vraie vérité ? Celle que, selon certains,
l'armée n'ose même pas nous révéler. A moins
que, instillant le vrai et la faux, elle nous prépare au contraire
à la recevoir. Selon ces sources tournant autour d'ex-agents du
renseignement, il existerait des extraterrestres bien vivants qui travaillent
aux coté des meilleurs scientifiques américains dans des
bases secrètes, un peu partout dans l'Ouest des Etats-Unis, et tout
particulièrement au Nevada dans la zone 51. Depuis Longtemps
circule une rumeur persistante : Le gouvernement américain sait
parfaitement ce qui se cache derrière l'insaisissable phénomène
OVNI. Au cours de ces dernières années cette rumeur s'est
doublée de la promesse imminente de révélations de
la vérité. En fait, depuis Keneth Arnold, on apprend régulièrement
- surtout aux USA - que l'armée étaient des épaves
d'OVNIs avec des cadavres, que des savants les étudient et que,
sous peu, le gouvernement nous informera du résultat de ces recherches.
On voit combien l'incident de Roswell renforce ce genre de rumeur.
On pourrait croire qu'une telle rumeur prend sa source au sein même
de ceux que le mystère OVNI intrigue ou inquiète. Voire exaspère.
Mais, s'il existe dans le public une réelle attente, un réel
désir que ce mystère soit enfin élucidé, les
principales sources de ces rumeurs ce trouvent chez ceux-là mêmes
qui prétendent tout savoir. C'est-à-dire l'armée.
Et principalement l'armée de l'air.
Encore
et toujours. En 1974, Sandler qui préparait une émission
TV sur les OVNI fut reçu par Paul Shartle, chef de la sécurité
et responsable des programmes audiovisuels de la base de Norton. Il lui
affirma avoir vu le film d'une vraie rencontre entre les militaires américains
et extraterrestres. Evidemment, toute la question est de savoir
s'il s'agit d'un film de simulation, presqu'une fiction, ou d'un reportage
pris sur le vif. Quoiqu'il en soit, ce film promis à plusieurs personnes
, et attesté par diverses sources officielles, n'a jamais été
communiqué. Comme la vérité sur les ovnis détenue
par l'armée de l'air, on l'attend toujours. Qui se livre à
de telles manipulations et dans quels buts ? L'armée de l'air nous
dissimule-t-elle son ignorance ou instille-t-elle dans le public une vérité
impossible à révéler ex abrupto ? Certaines apparitions
d’OVNIs ainsi que certains témoignages - pas des moins tapageurs
- sont des faux notoires ou le fruit de manipulations et de contrôles
des services de renseignements. Ainsi, en France, l'affaire de Cergy-Pontoise
et l'enlèvement de Franck Fontaine. Quant aux carcasses d’OVNIs
et aux cadavres d'EBE, selon ces mêmes sources officielles, ils sont
entassés dans le fameux bâtiment 18-A Zone B de la base aérienne
de Wright-Patterson, devenu le hangar 18. Dans les milieux qui s'intéressent
- dans l'ombre ou en plein soleil - aux ovnis, ces secrets sont tellement
connus que Hangar 18 est devenu le titre d'un film. Réalisé
par James Conway, avec Darren McGavin et Robert Vaughan, le film est sorti
aux USA en 1980.
Article tiré
du site de Dehon Damien
http://home.nordnet.fr/~ddehon/x-philes.htm#rub
Origine
réelle de l'article: SciFi Universe
http://www.starwars-universe.com/sfu
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