Le cimetière des âmes perdues (ou la descente aux enfers)

J’ai vu deux anges pervers descendre du ciel,
Et venir chercher l’esprit qui était en moi
Pour ensuite l’étaler tout au long de la route maudite
Qui conduit au cimetière des âmes perdu.

Me laissant dans un oubli éternel
Élaguer de ma propre mémoire
J’ai vu des gens décimer par delà mes pensés,
Je les ai vu se perdre et aller s’échouer sur des rivages inconnus
Si sombre et blasphématoire, que leur vision m’effraie !

J’ai vu tous ces visages se tordre d’une douleur cynique,
Si effroyable et ci dure que personne n’aurait pu le supporter.
Leurs yeux, vitreux et lamentateur, reflétait la mort qui ne vient pas. Délivrer les souffrances du misérable pleurant de la vie en lui.
 
 

Chapitre, 2

Leur dernier crie hantait la plaine comme on torture le vent par
     [ de nombreux blasphèmes.
J’ai vu tous ces gens périr dans ma  pensée
Mourir à ne plus être, les moments s’effacer et la vie se morfondre
    [d’être vie.
La mort per sont rôle et le sang gèle le pale visage du souvenir.

Ils s’évanouissaient tel des ordures, pour ne jamais revenir,
Si ce n’est transformer, confue et torturer par une main malveillante Qui sème sur sont passage, la confusion, la démence et la perdition
    [de mon âme.
 
 

Je me suis vu entraîner avec elle dans un tourbillon délirant et
    [incongrue,
Fuir vers le bas, durant les siècles et les siècles…

Parmi les amoncellements des os de toutes les Terre;
Perdre en moi-même ma propre humanité, et retomber en cendre par
    [mille déchéances.
J’ai vu les gens devenir autre chose,
Démon de la chair, ravager par de multiple pécher…
 
 

Chapitre, 3

Perdu et  maudit en moi,
J’ai vu les rue s’assombrir, la vie perdre sont sens, et le tout
    [devenir folie.
La ville n’est plus que ténèbres, comme une force noire qui m’entoure,
La populace une pale image qui est,  pour me faire soubresaut
Et faire comprendre à l’homme solitaire qu’il est haniler parmi le
    [monde.

Mimique et individuel à l’espace qui regarde
Autour de moi, plus rien, seul des mensonges de la pensée que je
    [ne puis comprendre.
Plus rien que je ne puis savoir
C’est comme si tout avait changer sans crier garde, sauf moi !

La lumière qui m’entoure et me permet d’avancer n’est que la faible Brillance d’un obscurité sans but, qui me glace à moi et au fil d’or de
    [la vie.
Des ruelles froides et parsemer de moisissures,
 Qui amonceler au fil du temps ce sont montrer à mes yeux
Comme personne ne les avait jamais vu !
 
 

L’éclaire de violence et de mal, emprisonner dans chaque regard
Me fait jahir une telle terreur que je ne pourrais pas la décrire
    [sans périr dix milles fois.
C’est comme si tout l’univers était descendu dans un enfer biblique
Pour me punir au jugement dernier.

Même la lune du haut de sont perchoir,
Qui jadis était si blanche et si douce
Est devenu l’œil misogyne et hagard d’un esprit cabaliste pourvoyeur
    [de misère.
Les nuages qui s’amoncellent dans le ciel, sont autant de malheur
 Qui me couvre d’un pécher corrompu, et m’écrase au sol,

C’est le bon, qui à disparu avaler dans une gueule vomissante
De meurtrissure digérer par la corruption et la misère.
La joie même c’est envoler, emporter sur les ailes
D’un vautour défréchie et sanguinaire.
 
 

Chapitre, 4

Ils ont délivrer sur moi un ouragan de maux,
Qui à enchaîner mon cœur et ma livrer à la démence.
Pour pourrir tout l’intérieur de l’homme
Perdu à ne plus pouvoir regardes la beauté encore vierge !
Venger à l ‘existence comme nul avant moi…

Personne ne puis entendre ma plainte qui s’élève aux cieux
 Tel un éclat de haine qui me consume et ravage le reste de mon
    [corps.
Je suis verre et glace, transparent au monde et existant à la
    [seconde ou il se brise,
Je suis ici plus mal et moins mauvais que nulle part ailleurs…
 

Les murs de mon infernale solitude se rapprochent lentement
Et bientôt je serais broyer jusqu’au os,
Emprisonner par le malheur et la Haine !
Je suis aveugle à jamais et je n’ai plus que le papier et la délivrance De celui qui sent la fin venir à grand pas.

Au tour de moi les feux qui tourne et rient me déchire et blesse au froid mes chairs sans pourtant blesser mon corps.
La souffrance est si effroyable que je ne suis plus que délire et crie De perturbation incolore et effacer.

Peut être même suis- je déjà mort ?
Peut être même ma pensé à telle quitter mon corps et tourbillonne tel Au fin fond des enfers jusqu’à la fin des temps ?
 Dans l’horreur inexorable d’une folie sans fin.
Incommensurable recommencement de ce que l’on ne connaît pas…
 
 

Chapitre, dernier

Comment puis-je reconnaître le réel, fraction de mon imagination Débrider, quand la démence m’envahie ?
 Comment savoir si le plâtre défricher, la lumière oscillante et le sol Glacial fond réellement partie de mon entourage.

 Imposer à mes yeux par les flashs antérieur d’un supplice ou d’un Pécher que je n’aurais jamais entendu à ma cervelle ?
 Je répugne à être et je refuse de mourir, quand le tourment me Balance dans tous les sens pour me perdre encore et encore…
Alors je brûle, j’éclate et je meurs !

Me consumant au travers une stupéfaction de silence
Les bruit m’assourdisse et me rende au chaos, comme un être Intérioriser et écraser par les vibrations qui tournoie dans un crie Incroyable qui perdure et maudit la morale.
 
 

Chaque silence qui s’en suis est une éternité ou la solitude M’emprisonne tel des étaux qui m’écrase.
Chaque sensation physique me met au tourment d’une souffrance
Que nul n’a jamais eu à endurer.
Je me sens moins qu’une âme.

L’horreur sans nom, est pitoyable et pire que tout…
L’oblique souffrance, ravage et ne laisse rien !
La vie  blasée reste mortifier de mille larmes…
Et celle d’une longue et lente folie : la freuillheur qui ne  laisse pas
    [mourir.
 
 


From Victor Maills

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