Dans la chaire de mes victimes

Chapitre 1 :

  Le teint rouge comme le sang, des lignes d’arcades au arrêtent pointu et crevasser coulant le long de mon visage, … des yeux sans fond ni de blanc, ni pupille, mais seulement l’ombre des profondeurs, sans reflet d’aucune sorte. Le nez en arcade, plat et fort, la bouche ferme, et le menton crochu… Les dents jaunies, et acéré de par leur fonction, le coup large sur d’athlétiques épaules, un corps mince, mais muscler, sur une charpente d’os crochu, recouverte de vêtement sale et d’un par-dessus poussiéreux.  À la main un lambeau d’une chair encore fraîche, et sur le sol les restant d’une jeune fille… Tel est mon âme, tel est Victor Maills !

  La nuit était sombre et blasphématoire, à peine éclairer par une lune perdue au cœur d’un obscur manteau de fibre entrelacer tout la haut dans le ciel. C’était assurément une autre de ces nuits marquer par son cortège de cendre et de froid désir de mort, une de ces nuits d’on on se souviendrait longtemps. Dans les rues, il n’y avait presque que personne, seul quelques âmes égarer retournant vers leur port d’attache ou cherchant un nouveau bar ou il pourrait aller s’échouer encore quelques heures. Puis il y avait moi, une ombre tout de noir vêtu à la recherche de l’antre idéal pour y passer la nuit.
  D’aussi loin que je puisse me rappeler, j’ai toujours aimé la nuit avec intimité qui vous faites vous sentir seul, et de plus, j’aime particulièrement arpenter les rues sombre à la recherche  d’un foyer chaud et accueillant… Et ici, c’est pas ça qui manque. A droite, des maisons de banlieues avec leur arbre et leur décoration extérieure, fleur de jardin et petits animaux en plastic pour faire jolie, fontaine en simili marbre, trop grande pour les plates- bande sur lesquelles elles font office de statu social, … A gauche une grande haie de cèdres qui longue le trottoir, impénétrable, et noir pas cette nuit. Derrière, une maison avec ces arbres au feuillage rare et à l’allée qui conduit à la porte, éloigner de la rue comme pour dire pas chez moi… C’est parfait ! À l’intérieur, la lumière vient du deuxième étage, devant une seul voiture, pas trop de monde à la maison, … On se dirige donc vers la porte d’entrer, j’adore arriver à l’improviste, comme ça quand personne ne m’attend. On va passer par l’arrière, une fenêtre du sous-sol est rester ouverte, c’est presque une invitation qu’est ce que vous en penser? Il est certain que j’aurais pu tout simplement cogner à la porte, avec un visage tout plein de sourire, mais il veau peut être mieux ne pas les déranger, on ne sait jamais, ils sont peut-être occuper à faire je ne sais quoi, …
 
 

Art of Victor Mills

 
 
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