Cette page montre des extraits de vidéos de différentes missions.
I*Ube partie au moins concerne Apollo 8, car un astronaute arbore le badge de cette mission.
Mais is y a aussi des images d'autres missions.






Elle commence avec cette vue d'une séparation d'étages de la fusée Saturne.
Nous voyons d'abord beaucoup de fumée, puis la fumée disparaît.
Puis nous voyons beaucoup de fumée à nouveau!
Mais pourquoi, pour quelle raison?
Qu'est-ce qui peut expliquer que nous voyions beaucoup de fumée à nouveau?
Absolument rien, c'est de la fantaisie!







Puis nous voyons ce que je suppose être la séquence du module de commande s'arrimant au module lunaire.







Lorsque le module de commande est proche du module lunaire, nous voyons cette vue.
En particulier, nous voyons la cible d'arrimage qui permet de faire une alignement parfait avec le module de commande.
Faisons-en un gros plan.







Les deux branches que nous voyons sur ce gros plan de la cible d'alignement me font penser à une horloge.







Mais quelqu'un m'a dit que j'étais stupide de ne pas voir que c'était la flèche d'alignement et son ombre en fait, et que nous voyons donc quelque chose de normal.
Vraiment?
Voyons de plus près.






La partie supérieure du module spatial sur l'image apparaît ensoleillée, amors que la partie inférieure apparaît plutôt ombrée.
La conclusion est que la lumière du soleil a approximativement la direction indiquée par la flèche jaune; si vous observez le grand reflet lumineux sur la partie supérieure du module spatial, vous voyez que son orientation est telle que la direction du soleil est proche de la direction que j'ai représentée avec la flèche jaune (le grand reflet lumineux sur la partie supérieure permet de déduire la direction du soleil); c'est en contradiction avec l'ombre supposée de la flèche qui a une direction pratiquement opposée à la direction du soleil.
Maintenant, les fans d'Apollo m'ont dit que seule la partie supérieure du module spatial était convexe, et que la partie inférieure, où se trouve la cible d'alignement, serait concave; l'ombre de la flèche ne viendrait pas directement de la lumière du soleil, mais de la reflection du soleil sur le bord de la partie inférieure concave; même ainsi, étant donnée la forme régulière la partie inférieure concave, le reflet de la lumière du soleil aurait encore la direction du soleil, mais en sens opposé; étant donnée la direction de la lumière du soleil (mise en évidence par l'orientation du gros reflet lumineux sur la partie supérieure convexe), la direction de l'ombre de la flèche reste incorrecte; elle devrait être davantage tournée dans le sens inverse des aiguilles d'une montre (vers la gauche).







Puis la manière dont la flèche apparaît montre que le module spatial ne fait pas couramment face au CM, mais un peu tourné relativement à lui.
Conséquemment le cercle de la cible ne devrait pas être un cercle parfait, mais une ellipse en biais.
Et les branches de la croix ne devraient pas être parfaitement perpendiculaires, mais montrer un angle.
De plus, les branches de la croix sont trop fines pour être la vraie croix de la flèche d'alignement.







Normalement, comme ce schéma le montre, les branches de la croix sont plus épaisses pour être bien visibles.







La croix que nous voyons ressmble plutôt au réticule d'alignement du système optique d'alignement.
De plus, différemment de la croix de la flèche, les branches du réticule restent toujours parfaitement perpendiculaires.
Mais oublions ces problèmes et supposons qu'il s'agit vraiment de la flèche d'alignement (et qu'est ce que cela pourrait être d'autre?).







La manière dont la flèche d'alignement apparaît montre que le module spatial est tourné dans la direction indiquée par la flèche bleue relativement au CM.
Donc, de manière à corriger le désalignement, et faire que le module spatial fasse face au CM, le module spatial devrait tourner dans la direction indiquée par la flèche jaune.







A présent je vous demande de vous concentrer sur le reflet lumineux que j'ai cerclé sur l'animation que je vais vous montrer.







Observez attentivement....







Si vous avez bien observé, vous avez pu voir que le reflet lumineux bouge dans la direction indiquée par la flèche verte sur le module spatial.
Ceci signifie que le module spatial est en train de tourner dans la direction opposée, c'est à dire suivant la direction indiquée par la flèche rouge.







Résumons donc: De manière à corriger le désalignement indiqué par la flèche d'alignement, le module spatial devrait tourner dans la direction indiquée par la flèche jaune, mais le mouvement du reflet lumineux sur le module spatial montre inversement que le module spatial tourne dans la direction indiquée par la flèche rouge...qui lui est pratiquement opposée!
En bref, la manière dont le module spatial tourne va aggraver le désalignement, et non le corriger!







Il y a un bonus.
Je vous demande maintenant de vous concentrer sur cette vue de la partie inférieure du module spatial que vous voyons entre les ailes, et que j'ai cerclée sur cette vue.







Observez attentivement...







Si vous avez fait attention, vous avez vu qu'il y a un élement de la partie inférieure qui bouge entre les ailes du module spatial.
Cela montre que la partie inférieure du module spatial tourne, mais par la partie supérieure.
Comment la partie inférieure peut-elle tourner indépendamment de la partie supérieure?







Puis nous voyons une astronaut enfilant une combinaison.
Il semble complètement évident qu'il y a un sérieux courant d'air alors que l'astronaute enfile son vêtement, que cette scène ne peut arriver dans un simple environnement d'apesanteur; son habit frétille de manière anormale, qui ne vient pas simplement des mouvements de l'astronaute.







Dans cete scène, nous voyons une pièce de son appareil acoustique qui ne bouge pas comme si elle était dans un environnement d'apesanteur, mais plutôt comme si elle était soumise à son poids; elle fait un mouvement de pendule.








Sur cette vue,n le module lunaire est vu d'une manière fantaisiste.







Dans cette séquence, nous voyons l'attitude du module de commande changer de l'horizontale vers la verticale; en réalité, l'attitude du module de commande ne pourrait tant changer dans un temps si court!







Dans cette séquence, nous voyons l'astronaute en train de faire passer un sac au-dessus d'une cloison en le poussant vers le haut et le côté.
A la manière dont il est placé; il ne peut pas donner une poussée vers le bas après que le sac ait passé la cloison.
Donc, normalement, dans l'environnement d'apesanteur, le sac devrait continuer avec un mouvement horizontal après qu'il ait passé pa cloison.
Au lieu de cela, nous le voyons descendre, comme s'il était soumis à son poids.
Sur terre, cette séquence paraîtrait normale, mais, dans l'environnement supposé d'apesanteur, c'est très différent!







Puis nous voyons un astronaute sortir du module de commande.
Il ouvre la portre du module de commande, mais cette porte semble plutôt étrange.







Pouquoi y a t-il tout cette quincaillerie sur la porte, quel est son utilité?
Cela n'aide certainement pas à ouvrir la porte!







Puis nous voyons l'astronaute essayant apparemment de fixer un cable sur le module de commande.







Nous voyons une sorte d'ergot fixé au module de commande, que j'ai cerclé, qui permet probablement d'y attacher un cable.







Maintenant regardez attentivement cet ergot sur la video...







...L'ergot s'éloigne soudain de manière inattendue du module de commande.
Etrange qu'il puisse se détacher si facilement du module de commande!







Sur cette vue, le module lunaire oriente de plus en plus son réacteur vers le module de commande.
En fait cette maneuvre n'a pas de sens, car une maneuvre d'abordement consiste toujours à faire les modules spatiaux se montrer leurs nez respectifs, jamais à faire tourner l'un pour montrer son réacteur à l'autre.
C'est même dangereux, car, si le module lunaire allumait son réacteur, cela pourrait brûler le module de commande.







Ce que l'astronaute sur la gauche tient dans sa main ressemble à une caméra, mais c'est un mesureur de luminosité en fait.







Ce mesureur de luminosité permit de faire un ajustement automatique de l'appareil photo en fonction de la luminosité de l'endroit que l'astronaute veut prendre en photo, dès Apollo 11.







Ce schéma explique les diverses parties du mesureur de luminosité.
Il y a un oeilleton sur le dos de l'appareil à travers lequel l'astronaute regarde pour viser vers l'endroit dont il veut mesurer la luminosité.







Mais, si les astronautes d'Apollo 11 avaient ce mesureur de luminosité, pourquoi ne l'ont ils pas utilisé pour prendre la plaque commémorative en photo, et ajuster la luminosité de l'appareil photo avec l'indication du mesureur de luminosité?
Les trois clichés de la plaque commémorative auraient du être bien exposés, pas seulement le dernier.








Revenons à la scène d'Apollo 8.
Il y a un cable, que je montre avec une flèche, qui vient se mettre entre le mesureur de luminosité et l'astronaute, et qui manifestement le gène pour viser l'endroit qu'il veut mesurer.







Pourquoi l'astronaute n'a t-il pas repoussé ce cable génant, et pourquoi l'ai t-il laissé perturber sa mesure?
Estce que cet appareil était vraiment sérieux?







J'étais sûr qu'il y avait un truc avec cet astronaute manipulant un cube; toutefois je n'ai pas pu trouver d'anomalie dans sa manière de manipuler le cube, lorsque mon oeil saisit la disquette qu'il tient dans sa main gauche.
Les disquettes de cette époque était plus grandes que les disquettes ultérieures.
L'anomalie apparaît seulement sur une image de la séquence, et cela demande de l'attention pour la repérer.







De manière à ce que nous puissiez mieux la voir, j'ai dupliqué cette image un certain nombre de fois sur cette animation.
Que voyons nous?
Nous voyons, sur l'image que j'ai dupliquée, que la disquette y apparaît nettement plus grande que sur le reste de la vidéo.
La disquette a donc magiquement grandi dans la main de l'astronaute?







Sur cette séquence, nous voyons l'astronaute à travers une plaque de verre qui porte une graduation.
Que les marques ne soient plus visibles lorsqu'elles passent sur un fond sobre est normal, mais, lorsqu'il ya un fond clair derrière, les marques devraient alors être bin visibles.
Pourtant, vous voyez qu'il y a une marque (10) derrière laquelle il y a un fond clair (le casque de l'astronaute), et pourtant cette marque n'apparaît pas entièrement visible, partiellement effacée.







La terre a une position fixe relativement à la lune.
Si le module de commande voit la terre se lever sur les vidéos d'Apollo, c'est seulement à cause de la rotation autour de la lune.
Si le module de commande était stationnaire relativement à la lune, il verrait toujours la terre à la même hauteur relativement à l'horizon lunaire.







Dans cette séquence, nous voyons la terre s'élever relativement à l'horizon lunaire pace que le module de commande s'avance.
Donc, nous devrions voir le artefacts de la lune changer alorts que le module de commande se déplace...Mais ils restent les mêmes tout au long de la séquence.







Cette vue du module lunaire, alors qu'il quitte le module de commande pour son voyage vers la lune, est illogique.
Le module de lunaire ne quitte pas le module de commande de cette manière, c'est de la fantaisie.







Puis nous voyons la séquence finale de l'alunissage.







Nous voyons sur le sol lunaire ce qui est supposé être l'ombre du module lunaire.
Voyons de plus près l'ombre du pied du module.







Cette ombre est très étrange.
Pourquoi est-ce que l'ombre du pied n'est pas aussi sombre que celle de la patte?
Et nous voyons cette ombre non comme si c'était la projection du dos du pied, ce que cela devrait normalement être, mais celle du devant du pied!







Normalement, lorsque le module lunaire veut alunir, il devrait d'abord s'arrêter de bouger relativement au sol lunaire, et puis descendre verticalement alors qu'il est parfaitement stationnaire relativement au sol lunaire; il est absolument essentiel pour la sécurité de l'alunissage!







Si le module lunaire est stationnaire relativement au sol lunaire quand il alunit, alors, depuis le module lunaire, les astronautes voient les artefacts lunaires bouger vers l'ombre du module lunaire alors que module alunit.







Comme l'ombre du module vient depuis le coin haut droit de l'image, les artefacts lunaires devraient logiquement se déplacer du coin bas gauche vers le coin haut droit de l'image....pourtant, nous les voyons bouger dans toutes les directions, sauf la bonne!







Cela signifie que le module lunaire n'est pas stationnaire relativement au sol lunaire alors qu'il alunit, mais bouge de manière incohérente dans toutes les directions alors qu'il alunit; je ne dis pas que je montre exactement ce que le module fait dans mon animation, mais ce qui est sûr est que le module n'alunit pas stationnaire relativement au sol lunaire.







La conséquence du fait que le module lunaire n'alunit pas stationnaire relativement au sol lunaire est qu'il a toute chance de se renverser lorsqu'il touche le sol lunaire!
S'il ne le fait pas sur la vidéo d'Apollo 16, c'est parce que l'alunissage est imaginaire.
Remarquez que j'ai laissé le réacteur allumé sur cette animation, alors qu'il devrait normalement avoit été éteint, car je n'achète pas que les astronautes avaient le temps de manière sûre de couper le moteur lorsqu'ils voyaient les lampes de contact s'allumer.







Sous les pieds du module lunaire, il y avait des sondes qui pendaient, lesquelles détectaient le sol lunaire un peu avant l'alunissage.
Ces sondes étaient longues de 5,6 pieds (un peu plus d'un mètre et demi), ce qui signifie que les astronautes étaient prévenus de la proximité du sol lunaire lorsque le module lunaire e, était à moins de deux mètres.
Lorsque les sondes lunaires touchaient le sol lunaire, une circuiterie électronique allumait des lampes, lesquelles avertissaient les astronautes qu'ils devaient couper le moteur de descente.
Dans la description de la descente du module lunaire, la NASA dit que, à une altitude de 12 pieds (moins de 4 mètres), le module lunaire a une vitesse verticale de 3 piéds par seconde, à cette vitesse, le module lunaire touche le sol lunaire en moins de deux secondes après que les sondes lunaires aient détecté le sol lunaire.
Cela signifie que les astronautes n'avaient pas de temps à perdre lorsqu'ils voyaient les lampes de contact s'allumer, et devaient réagir sans délai.








Lorsque les astronautes voyaient les lampes de contact s'allumer (elles étaient doublées par sécurité), ils étaient sensés couper le moteur de decente dès que possible.







Le moteur de descente éteint en effet très proche du sol, et il aurait été dangereux de la laisser brûler lorsque le module lunaire reposait sur le sol.







Donc, si les astronautes omettaient de couper le moteur de descente lorsqu'ils voyaient s'allumer les lampes de contact, cela pouvait se terminer de manière catastrophique.







Ce n'était donc pas le moment pour les astronautes de faire la sieste!







Ceci est l'interface qui permettait d'activer les lampes de contact lorsque les sondes détectaient le sol lunaire.
Des transistors étaient activés par la détection des sondes et énergisaient des relais électromécaniques, lesquels allumaient des lampes d'avertissement.
Les lampes et transistors étaient doublés pour une raison de sécurité, au cas où un élément serait en panne
Mais en fait cet interface électronique n'était même pas optimisé; si la sonde lunaire connectée à une moitié de l'interface ne détectait pas le sol lunaire, et l'un des deux transistors de l'autre moitié tombait en panne, aucune des lampes d'avertissement ne s'allumait, et les astronautes n'étaient pas avertis de la proximité du sol lunaire..






Cer interface électronique pouvait aisément être amélioré en assemblant les deux moitiés comme je le montre ici; avec cette modification, les lampes d'avertissement pouvaient s'allumer si l'une quelconque des sondes fonctionnait (même si les deux autres ne fonctionnait pas); et si l'un quelconque des transistors tombait en panne.
Bien sûr, les ingénieurs étaient capables de faire cette optimisation, et le fait de ne pas la faire est un indice laissé par ces ingénieurs.







Puis, si l'astronaute sur la droite du pupitre de commande voyait sa lampe d'avertissement pas trop éloignée de son bouton de coupure du moteur, tel n'était pas le cas de l'astronaute sur la gauche du pupitre, lequel ne pouvait voir sa lampe d'avertissement et le bouton de coupure du moteur en même temps, à cause de leur éloignement.







Je suppose que tout le monde a entendu parler du temps de réaction d'un automobiliste, qui voit un danger et appuie sur la pédale de frein pour réagir à ce danger; il est communément admis que, entre le moment où l'automobiliste voit le danger et le moment où il freine effectivement, il y a un temps appelé "temps de réaction", et qui est généralement évalué à une seconde.
Donc, entre le moment où les astronautes voient les lampes d'avertissement, et le moment où ils pressent le bouton de coupure du moteur, il y a déjà du temps de perdu.






Puis, si le bouton de démarrage moteur était un simple bouton, le bouton d'arrêt était un peu plus élaboré.







Lorsque le bouton d'arrêt était relaché, cela fermait un contact.
Lorsque l'astronaute pressait le bouton d'arrêt, le contact était ouvert.
Puis, après que l'astronaute ait relâché le bouton d'arrêt, un ressort ramenait le bouton à sa position relâchée, qui fermait le contact à nouveau.







Lorsque le contact était à nouveau fermé, par le fait de relâcher le bouton d'arrêt, cela générait une impulsion dans une bobine qui énergisait un relais électromécanique, ce qui mettait un interrupteur sur une position permettant l'envoi du signal d'arrêt du moteur.







Cela signifie que le moteur n'était pas arrêté lorsque l'astronaute pressait le bouton d'arrêt, mais après qu'il l'ait relâché, lorsque le ressort a ramené le bouton d'arrêt à sa position relâchée qui ferme le contact (déclenchant alors l'arrêt du moteur).
Il y a donc à nouveau du temps perdu, car le bouton d'arrêt devait faire un "va et vient" complet pour déclencher l'arrêt du moteur.
Si jamais l'astronaute était trop excité par le stress du moment, il pouvait oublier de relâcher le bouton d'arrêt, et le laisser appuyé, auquel cas le moteur ne serait pas arrêté.
De toute manière, cela constituait un nouveau délai ajouté au temps de réaction de l'astronaute.







Il était donc bien possible que, après cette accumulation de délais, le module lunaire pouvait être dangereusement proche du sol lunaire, ou même l'avoir touché, lorsque le moteur était effectivement coupé.







Là où cela devient particulièrement absurde, c'est que les relais électromécaniques qui allumaient les lampes de contact...







...auraient parfaitement pu directement couper le moteur (la redondance rendait cette maneuvre sûre).
Si la coupure du moteur avait été faite directement électroniquement, cela aurait été précis, immédiat, sans temps de réaction.
Pas de facteur humain, pas de lenteur mécanique.







Bien sûr, la circuiterie électronique pourrait aussi allumer les lampes en même temps, pour avertir les astronautes de la proximité du sol lunaire, mais pas leur demander de faire quelque chose qu'elle peut faire plus rapidement et plus sûrement.







Le comble de l'absurde que qu'un transistor n'a pas besoin d'un relais électromécanique pour allumer une lampe, il peut le faire directement.







Apollo est défintivement le royaume de l'absurde!
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