Mars est une planète, appelée planète rouge, qui est à une distance de plus de 200 millions de kilomètres de notre planète. Elle est reconnue comme n'ayant pratiquement pas d'atmosphère (moins de 1% de celle de notre planète), ce qui rend la vie impossible sur Mars. |
Dans ces conditions, il est très surprenant que la NASA ait choisi de ralentir l'impressionnante vitesse que le vaisseau spatial (qui transporte Curiosity) a lorsqu'il arrive sur Mars (plus de 10000 milles à l'heure) avec un parachute; un parachute ne peut fonctionner que dans une atmosphère. Si la NASA avait voulu faire un atterrissage sérieux sur Mars, elle aurait choisi de ralentir le vaisseau spatial avec des réacteurs, et non un parachute. |
De plus, la trajectoire de descente qui est montrée n'a aucun sens. |
En effet... |
...Le parachute est nécessairement orienté dans la direction de la trajectoire, et, sur le dessin qui est montré, il y a une portion de la trajectoire sur laquelle l'orientation du parachute est très différente de la direction courante de la trajectoire. Quelqu'un a dit que c'était parce que le vaisseau de Curiosity utilisait ses moteurs. Il ne pouvait utiliser ses moteurs principaux, car il sont orientés en contre sens de la trajectoire, et il ne pourrait donc pousser le vaisseau dans la direction de cette trajectoire. Le vaisseau spatial a aussi de petits moteurs dessus qui sont utilisés pour contrôler l'orientation du vaisseau spatial, mais, si seulement l'un d'eux était mis à feu, il ferait tourner le vaisseau spatial, et nous pouvons constater qu'il ne tourne pas sur le dessin, et, si tous étaient mis à feu, ils feraient descendre le vaisseau spatial, et non suivre la trajectoire indiquée, à la manière dont le vaisseau spatial apparaît orienté sur le dessin. Il y a donc bien un problème. |
Ce n'est pas le seul indice que la descente de Curiosity n'est pas réelle. A un moment donné de la vidéo, nous voyons l'affichage des paramètres de la descente, et en particulier la distance restante à parcourir jusqu'au point d'atterrissage, ainsi que la vitesse courante; ceci est très intéressant, car il est possible de relier les deux. Nous voyons que la vitesse est assez régulière; elle augmente légèrement sur la séquence montrée depuis 11580 à 11600 milles par heure, ce qui fait, divisé par 3600, une vitesse autour de 3,22 milles par seconde (de 3,215 à 3,222). Nous devrions observer une variation équivalente sur la distance restante. Nous allons le vérifier en observant les variations de distance entre intervalles réguliers. |
Nous commençons depuis l'état initial montré au début de la séquence affichée. La distance courante est de 2273,68 milles. |
Cinq secondes plus tard, les indications suivantes sont montrées. la distance restante est maintenant de 2258,47 milles, ce qui fait une variation de 2273,68-2258,47=15,21 milles, ce qui fait une variation de 15,21/5=3,04 milles par seconde (3,042). 3,04 alors qu'elle devrait être proche de 3,22 suivant la vitesse affichée! Cela fait une différence trop importante. |
Cinq secondes plus tard à partir de l'état précédent, les indications suivantes sont montrées. La distance restante est maintenant de 2243,29 milles, ce qui fait une variation de 2258,47-2243,29=15,18 milles, ce qui fait une variation de 15,18/5=3,03 milles par seconde (3,036). 3,03 est proche de la vitesse précédente obtenue en calculant la variation précédente de distance, mais à nouveau trop éloigné de la vitesse affichée qui correspond à 3,22 milles par seconde. |
Ceci signifie que les indications qui sont montrées ne sont pas cohérentes. La distance qui est montrée ne correspond pas avec la vitesse qui est affichée. Et, si cela ne correspond pas, cela signifie que cette descente ne peut pas être une descente réelle. Il s'agit d'une simulation dans laquelle les ingénieurs ont intentionnellement introduit une erreur, un indice que cette descente est fictive. Bien sûr, ils auraient pu faire une simulation cohérente, auquel cas cela aurait été plus difficile de prouver qu'elle n'était pas réelle, mais ils ont fait en sorte qu'il soit aisé de prouver qu'elle n'est pas réelle, de manière à dénoncer ceux qui les ont forcés à truquer le projet. |
Mais ce n'est même pas le plus étrange. Selon les paramètres de descente montrés sur le graphique de la descente du vaisseau de Curiosity, la vaisseau aurait perdu 13200-900=12300 milles par heures après un temps de 254 secondes (temps auquel le vaisseau déploie son parachute - dans une atmosphère pratiquement sinon complètement inexistante). Que pouvons nous déduire de ces observations? 12300 milles par secondes représentent 19790km/h, que nous divisons par 3,6 pour obtenir la correspondance en m/s, ce qui donne 5497m/s. Comme le vaisseau a perdu cette vitesse en 254 secondes, cela signifie que le vaisseau devait produire une décélération moyenne de 5497/254=21.6m/s². Dit de cette manière, cela ne vous dit pas grand chose. Mais vous allez comprendre lorsque nous comparons avec la décélération que le module lunaire était capable de produire. Selon sa masse et la poussée maximale de son moteur, le module lunaire était théoriquement capable de produire une décélération maximale de 9.627 pieds/s² (avec les réservoirs remplis). Si nous regardons dans la table officielle de descente du module lunaire, nous trouvons des décélérations de cet ordre, un peu supérieures, car, au fur et à mesure que le module lunaire brûlait du carburant, sa masse diminuait. Cette décélération correspond en m/s² à une décélération entre 3 et 4m/s², de l'ordre du sixième de la décélération moyenne du vaisseau de Curiosity. Lorsque vous savez que le module lunaire avait un moteur central très puissant, alors que le vaisseau de Curiosity n'avait que des réacteurs latéraux, parce que le centre du vaisseau était occupé par le robot curiosity, je pense que vous commencez à comprendre. Chaque réacteur latéral du vaisseau de Curiosity aurait été capable de produire un ratio poussée/masse une fois et demie supérieur à celui du puissant réacteur central du module lunaire. C'est carrément fou, et confirme que la descente de Curiosity sur Mars était une totale plaisanterie. |
Le projet Apollo est aussi rempli de telles incohérences intentionnelles pour dénoncer le projet. Dans la descente du module lunaire, celui-ci suivait d'abord une trajectoire de transfert orbitale, c'est à dire une trajectoire q'il pouvait suivre sans utiliser ses moteurs, de manière à atteindre une orbite plus basse. Suivant la loi de Kepler, cette trajectoire elliptique devait être telle que l'un de ses foyers soit le centre de la lune, de manière à être une trajectoire orbitale de la lune. |
Ceci est la trajectoire de transfert qu'ils montrent dans la documentation. |
Le problème est qu'aucun des foyers de cette trajectoire elliptique (que j'ai représentés avec des croix rouges) ne correspond avec le centre de la lune (que j'ai représenté avec une croix verte). |
Si je place le centre de la lune sur un foyer de cette trajectoire, voici ce que j'obtiens: La trajectoire cogne dans la lune. |
En fait, si je représente la trajectoire de transfert normale, comme elle aurait du être dessinée pour être réaliste, elle serait apparue avec une excentricité beaucoup plus faible (pour ceux qui ne savent pas ce que "excentricité" signifie, cela veut dire avec une trajectoire plus ronde). |
Je dois donner quelques explications concernant la manière dont le module lunaire descendait depuis l'orbite de départ de la descente motorisée. Au début, le module lunaire a une vitesse orbitale très importante (autour de 6000 km/h); cette vitesse orbitale crée une force centrifuge qui permet de contrer l'attraction lunaire, ce qui signifie que le module lunaire n'a pas à produire d'effort pour contrer l'attraction lunaire, il peut suivre l'orbite avec ses moteurs éteints. De manière à descendre vers la surface lunaire, le module lunaire doit réduire cette vitesse horizontale qui l'empêche de descendre; de plus, s'il arrivait sur la lune avec une telle vitesse horizontale, il est évident qu'il serait réduit en miettes. Le module lunaire a donc d'abord une attitude horizontale, et pousse avec son moteur pour réduire sa vitesse horizontale; alors que la vitesse horizontale est réduite, il en est de même pour la force centrifuge, et conséquemment l'attraction lunaire commence à faire descendre le module lunaire, et sa vitesse verticale augmente; dans la première phase de la descente, le module lunaire ne se soucie pas de sa vitesse verticale, qui reste modérée relativement à la vitesse horizontale, car il doit d'abord conséquemment réduire la vitesse horizontale. Cela signifie que la vitesse verticale va d'abord augmenter. Puis, lorsque la vitesse horizontale a été suffisamment réduite, le module lunaire commence à contrer l'attraction lunaire et à réduire la vitesse verticale en tournant lentement de l'attitude horizontale vers l'attitude verticale, mais de manière très progressive. Le but est d'arriver près de la surface lunaire avec les vitesses horizontale et verticale toutes deux annulées (ou au moins très faibles). |
Ceci est la table de descente qui est montrée dans la documentation de la NASA. Nous allons nous intéresser aux événements que j'ai coloriés dans cette table. Entre des deux événements, la vitesse verticale augmente, car le module lunaire est encore en train d'essayer de diminuer l'importante vitesse horizontale, et ne se soucie pas encore de diminuer la vitesse verticale. Entre des deux événements, il y a une différence de temps égale à 6:24-4:18=126 secondes; entre ces deux événements la vitesse verticale (indiquée en pieds par seconde dans la colonne "Altitude rate" - et négative parce qu'orientée vers le bas) varie de 89 à 106 pieds par seconde. Cela signifie que 106 représente la vitesse maximale entre ces deux événements; la perte maximale d'altitude devrait donc être égale à la vitesse maximale multipliée par l'intervalle de temps, ce qui donne, suivant la table: 106x126=13356 pieds; la différence d'altitude entre ces deux événements devrait donc être moins que cette valeur... ...Pourtant, si nous calculons la différence d'altitude entre ces deux événements, nous trouvons: 39201-24639=14562 pieds. Donc la différence d'altitude entre les deux événements est plus grande que la perte maximale d'altitude suivant la vitesse verticale affichée! Ceci est bien sûr complètement impossible, et un indice pour montrer que cette descente ne peut pas être réelle. Ce n'est pas la seule anomalie dans cette table mais c'est assez pour montrer que les ingénieurs de la NASA inséraient des indices de l'arnaque pour dénoncer ceux qui les forçaient à truquer le projet. |
Revenons à l'atterrissage de Curiosity. Lorsque proche du sol de Mars, le système qui transportait Curiosity le descendait avec des cables. Une fois de plus, les ingénieurs ont laissé un indice du truquage en représentant un cable torsadé tout du long, alors que les autres cables apparaissent tendus. |
Je montre une animation sur laquelle j'ai coloré en rouge ce cable, de manière à ce que vous le voyiez clairement. Ce cable torsadé est un nouvel indice du truquage, car il est impossible qu'un cable puisse être torsadé de cette manière, alors que les autres cables sont tendus. |
Ensuite la nouvelle anomalie que je vois est que Curiosity puisse être pris en photo alors qu'il se trouvait seul sur Mars, et avait en principe la seule caméra pouvant prendre des photos. Les fans de Curiosity assurent que Curiosity plantait lui-même une caméra pour pouvoir se prendre en photo! |
Cette photo de Curiosity est tout à fait impossible. L'angle sous lequel nous voyons Curiosity est beaucoup trop fermé, il n'est pas réaliste. |
Je montre ici une animation d'une collection de voitures prises de biais sous des angles variés, et aucune de ces voitures n'apparaît avec un angle aussi fermé que sur la dernière photo de Curiosity, loin de là! Bien sûr, vous pourriez penser que c'est parce que la photo originale a été dilatée... |
..Mais... |
...Si je compresse verticalement la photo de manière à obtenir un angle plus raisonnable, il y a un sérieux problème... |
...qui est que Curiosity n'a plus des roues rondes, mais ovales! |
Donc, en conclusion, il n'y a pas moyen que cela puisse être une photo naturelle de Curiosity prise sur Mars. |
Et, pour une planète qui n'a pas d'atmosphère, ou pratiquement pas (moins d'1% de l'atmosphère terrestre), le ciel apparaît bien trop clair sur les photos prises par Curiosity; nous pouvons même voir des nuages. Ce qu'ils ont fait est tout à fait évident: Ils ont pris des photos de la terre, et ils ont ajouté un filtre de couleur orange pour les faire ressembler à des photos prises sur la planète rouge. |
Quelqu'un a pris une photo d'un paysage sur terre, et a ajouté un filtre de couleur pour la faire ressembler à une photo faite sur Mars; il a même ajouté un bout de Curiosity pour la rendre encore plus convaincante. |
Et, bien sûr, Curiosity (qui n'est pas sur Mars) n'a pas trouvé d'eau sur Mars. Il est très probable qu'il n'y a pas d'eau sur Mars. |
Les médias sont si crédules que, si la NASA annonçait qu'elle a réussi à faire se poser un vaisseau spatial sur le soleil, et à faire marcher des astronautes sur la surface solaire, ils la croiraient aveuglèment, sans se poser de question. |
The conclusion is that the whole space program of NASA is fake, at least the part which claims to have gone beyond the close earth's orbit. Ce que la NASA nous sert est de la science fiction, et non de la science réelle! |