Les tenants d'Apollo insistent que les astronautes d'Apollo auraient ramené des roches qu'ils affirment ne pouvoir venir que de la lune, et qui n'existeraient pas sur terre. Mais cette preuve n'est pas aussi solide que ce qu'ils affirment, et cette partie explique pourquoi. |
Deux ans avant la première mission lunaire, Von Braun est parti faire une expédition en Antarctique, afin de ramasser des météorites lunaires qu'on pourrait faire passer pour des roches lunaires. |
En tout cas, des météorites tombés en Antarctique, trouvés dans les années 80, se sont révélés avoir la même composition que les roches lunaires prétendument ramenées par les astronautes. |
Ces météorites pouvaient ensuite être éclatés en un certain nombre de roches "lunaires", que les astronautes auraient pu soi-disant ramasser sur la lune. |
Les tenants des missions Apollo, conscients de cet argument, rétorquent que les roches lunaires montrent des petits trous, appelés "zap pits", qui auraient été provoqués par la collision avec des micrométéorites, ce qui ne serait pas le cas avec des roches produites par la méthode décrite précédemment. |
En fait c'est la NASA elle-même qui a répondu à cet argument, en montrant une roche, prétendument martienne, sur laquelle le laser de Curiosity aurait percé de petits trous; cette photo stéréoscopique montre la roche avant le perçage des trous avec le rayon laser, et la même roche après. |
La réponse à la présence des zap pits est donc le rayon laser, qui est capable de les produire. Les tenants d'Apollo essaient encore une échappatoire, en disant que le laser de Curiosity est un laser moderne, et que rien ne prouve que les lasers de l'époque étaient capables de produire ces trous. |
Mais les lasers des années 60 en étaient bel et bien capables; ils étaient capables de forer des trous très fins dans des diamants, et même de découper des tôles de titane qui est le métal le plus dur existant. Donc percer des petits trous dans des roches n'étaient certainement pas chose impossible pour eux. |
De plus, les trous que l'on voit dans les prétendus échantillons lunaires semblent étrangement avoir le même diamètre, comme si les micrométéorites les frappant avaient tous la même taille standard... |
...alors qu'il est plus que probable que, si des micrométéorites frappaient une roche sur la lune, ces micrométéorites auraient sans aucun doute des tailles différentes, et on verrait conséquemment des trous de différents diamètres, comme sur cette photocomposition, sur laquelle des trous de diverses tailles ont été artificiellement ajoutés. |
De plus, seules les roches qui sont analysées ont besoin d'avoir un cachet d'authenticité; il était possible à la NASA d'ajouter des roches factices au stock de roches lunaires ramenées par les astronautes, pour gonfler artificiellement leur volume, à condition de s'assurer que ces roches factices ne seraient jamais analysées, comme cette roche lunaire du musée d'Amsterdam, dont la NASA ne se doutait sans doute pas que des experts auraient un jour l'idée de l'analyser, pour se rendre compte finalement que ce n'était que du vulgaire bois pétrifié! |
Il y a même mieux: Récemment des géologues australiens ont découvert, dans une zone australienne riche en minerais, un minerai qui a la même structure que les roches ramenées par les astronautes: Cela veut dire qu'il est possible de trouver directement sur terre des roches "lunaires". Depuis combien de temps est-ce que la NASA est au courant de l'existence de la présence de ce minerai sur terre? Cela lui a probablement permis de gonfler son stock de roches lunaires "réelles", et d'en donner davantage pour analyse à des laboratoires externes. |