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Paroles
 
 
 
 
 

D-Max
 Mystère Aérosol
 Air Malin
 Téléaddiction
 S'étend L'amer
 La Pomme
 A.N.I.
 Répondez
 Chute Libre
 Cité d'ariane
 Belle et sans armes
 Jamais de Mal
 De Héros à Zéro

(Il y a encore quelques erreurs à modifier dans les paroles suivantes.)




D-Max
Prenez un siège éjectable.    "Merci d'avoir choisi aujourd'hui pour voyager en décompression maximum".    PO vous perd dans un ciel aux nuages absents.    Sondez l'espion visionnaire qui sans vous s'endort.    Votre clone entraîné à courir l'heure s'affaire dehors.    Voilà...    Nous volons à présent en première classe sur air Extase.    Dans un instant: une escale.    Une phase intemporelle qui déphase... les pressions linéaires sans arrêt.    L'endroit veut vous plaire sans dédale.    Songez à l'instant nucléaire.    Aucun effort dans le sas. La pression descend...    Dans un instant: une escale.    Une phase intemporelle, qui déphase... les pressions linéaires sans arrêt.  L'endroit veut vous plaire sans dédale, songez à l'instant nucléaire. L'endroit veut vous plaire sans dédale, songez à l'instant nucléaire.  S'installent afin de mettre en garde qui s'endorment encore, et j'attend l'instant nucléaire et j'ai mal à faire taire.  L'endroit veut vous plaire sans dédale, songez à l'instant nucléaire...

Mystère Aérosol
Faites un pas devant, en arrière.    L'air est à quelqu'un et c'est à croire qu'il en perd.    Faible et menacé depuis le globe, l'ozone à les symptômes d'une armée après la guerre.    L'homme et la matière font l'univers et forment un trou par défaut que jamais ils ne l'enterrent.    La vérité s'impose à la vérité.    Nous feriez-vous la fleur d'être au moins concerné.    Pour tous ceux qui reste à vouloir étancher.    Répondez au blâme qu'on vous a adressé.    Mystère Aérosol!  Mystère Aérosol!  Faites un pas devant, en arrière.    L'air est vicié et son odeur cause un tord.    Choquant épisode à l'histoire.    Que jamais on ne verra s'inscrire aux idées noires.    La vérité s'impose à la vérité.    Nous feriez-vous la fleur d'être au moins concerné.    Pour tous ceux qui restent à vouloir étancher.    Répondez au blâme qu'on vous a adressé.    Mystère Aérosol! Mystère Aérosol! Faites un pas devant en arrière où l'erreur est un néant.    Aéré de néant.  Aéré de néant.  Mystère Aérosol!  Mystère aérosol!  Mystère Aérosol!  Mystère aérosol!  Mystère aérosol!   Et dans tout ça, Mystère Aérosol, informez-moi.  Mystère Aérosol,  Et dans tout ça, Mystère Aérosol, informez-moi.

Air Malin
L'heure est aux dégâts, qui font croire à ceux qu'on a inventés.    Pour un je ne sais quoi, mais j'ose imaginer qu'on va payer.    Et moi dans tout ça, j'ai peine à croire qu'on veut me rassurer.    Et moi dans tout ça, j'y vois rien de fort pour me rassurer.    Et dans toute cette histoire...    J'en ai assez, le voile est tombé là.    Les yeux fermés j'aurais pu voir l'air malin.    Des gens payés, pour tout machiner ça.    Du CFC au chaos là-haut, là-haut, là-haut...    J'ai vu sous le toit.    Il y a des couleurs qu'on devrait oublier.    Et j'entends des voix, des gens qui pourraient tout recommencer.    Et dans toute cette histoire...   J'en ai assez, le voile est tombé là.    Les yeux fermés j'aurais pu voir l'air malin.    Des gens payés, pour tout machiner ça.    Du CFC au chaos là-haut, là-haut, là-haut...  J'en ai assez, le voile est tombé là.    Les yeux fermés j'aurais pu voir l'air malin.    Des gens payés, pour tout machiner ça.    Du CFC au chaos là-haut, là-haut, là-haut...  J'en ai assez, le voile est tombé là.    Les yeux fermés j'aurais pu voir l'air malin.    Des gens payés, pour tout machiner ça.    Du CFC au chaos là-haut, là-haut, là-haut...  Et dans toute cette histoire...   J'en ai assez, le voile est tombé là.    Les yeux fermés j'aurais pu voir l'air malin.    Des gens payés, pour tout machiner ça.    Du CFC au chaos là-haut, là-haut, là-haut...  J'en ai assez, le voile est tombé là.    Les yeux fermés j'aurais pu voir l'air malin.    Des gens payés, pour tout machiner ça.    Du CFC au chaos là-haut, là-haut, là-haut...  J'en ai assez, le voile est tombé là.    Les yeux fermés j'aurais pu voir l'air malin.    Des gens payés, pour tout machiner ça.    Du CFC au chaos là-haut, là-haut, là-haut...  Et dans toute cette histoire...   J'en ai assez, le voile est tombé là.    Les yeux fermés j'aurais pu voir l'air malin.    Des gens payés, pour tout machiner ça.    Du CFC au chaos là-haut, là-haut, là-haut...  J'en ai assez, le voile est tombé là.    Les yeux fermés j'aurais pu voir l'air malin.    Des gens payés, pour tout machiner ça.    Du CFC au chaos là-haut, là-haut, là-haut...  J'en ai assez, le voile est tombé là.    Les yeux fermés j'aurais pu voir l'air malin.    Des gens payés, pour tout machiner ça.    Du CFC au chaos là-haut, là-haut, là-haut...
 
 
 
 

Téléaddiction
J'ai fait mon devoir citoyen.  Assis dedans mon divan. Dedans, devant l'écran blême.  Où sont passés le noir et le blanc?  C'est la téléaddiction.  C'est beau et séduisant.  Et c'est la contradiction.  Où tout devient cathodique.    L'affaire est inconcevable; j'aurais pensé voir de haut.  Des images imaginables.  Mais voilà c'était bien plus beau.  C'est la téléaddiction.  C'est beau et séduisant.  Et c'est la contradiction.  Où tout devient cathodique.    Où tout devient chaotique.  Les couleurs ne mentent pas.  J'y croyais bien plus avant.  De voir sur écran géant.  Superman et les grands.  Faire taire le sang…  Voilà le cœur.  Du meuble incandescent dessin et moi j'ai peur.  Mais ce mal est le mien.  C'est la téléaddiction.  C'est beau et séduisant.  Et c'est la contradiction.  Où tout devient cathodique.  Oui c'est la télévision.  C'est beau et séduisant.  Et c'est la "TV lésion".  Où tout devient chaotique.  J'aurais dû la laisser fermée...
 

S'étend l'amer

S'étend l'amer en décor à mon aise sans jamais mettre en garde.  Brisant la vague en fragiles éclats.  Qui créent l'illusion totale...  D'ailleurs, d'ailleurs.  J'allais me taire de peur de m'étrangler.  Pour 100 mots de trop, trop bien gardés.  Sous mes désirs presque rassemblés déjà...  Un an, une heure, un règne à l'intérieur.  Sur une île en marge à l'extérieur.  Mais j'ai le cœur qui bat trop fort déjà…  S'étend l'amer en décor à mon aise, sans jamais mettre en garde.  Brisant la vague en fragiles éclats qui créent l'illusion totale... D'ailleurs...  Sous l'eau la scène noie les insondables.  au fond, c'est l'apnée générale.  Je remonte à l'air, à demi-hors de l'eau.  Je vois les ailerons blêmes encore, trop près...  De moi...  S'étend l'amer en décor à mon aise sans jamais mettre en garde.  Brisant la vague en fragiles éclats qui créent l'illusion total... Laissant derrière qu'un seul reflet, l'endroit à l'envers, et voilà...  Entre le ciel et l'amer.  Peut-être devrais-je faire semblant d'être malléable?!  J'allais ailleurs...  J'ai la sensation même de sombrer.  S'étend l'amer en décor, s'étend l'amer en décor, s'étend l'amer en décor, mais moi j'ai le coeur...
 
 

La Pomme
Dites-moi gente dame.  L'endroit à vos côtés est-il libre?  Puis-je aussi m'y asseoir.  Et vous prendre à mon jeu pour un soir?  Écoutez-moi vous raconter l'histoire.  Dont vous serez la femme au sort.  Et moi le prince qui embrasse.  Hooo…  Laissez-moi, donnez-moi, foutez-moi la paix un soir!  Oh!  My darlin' donne-moi le bleu des yeux.  Que tu portes et je saurai te donner tout le blé que tu veux...  Ton visage qui arbore  Un sourire que j'adore, laisse-moi t'aimer comme un homme.  Hooo…  Laissez-moi, donnez-moi, foutez-moi la paix un soir.  Hello baby…  pourquoi donner ton cœur.  À un autre con (quand) je suis là à te regarder respirer...  La vaisselle, les poubelles, les repas...  Je ferai tout pour toi, mon amour, mon velours.  Hooo…  Laissez-moi, donnez-moi, foutez-moi...  Hooo…  Laissez-moi, donnez-moi, foutez-moi...  Hooo…  Laissez-moi, donnez-moi, foutez-moi,  la paix un soir.  Salut à toi!  Que fais-tu là dehors?  Il fait froid, prends mon bras.  Et embarque avec moi…  Je t'emmène chez toi.  Je retourne chez moi, on ne se revoit pas ho!   Non!   Hooo…  Emmène-moi.  Fais de moi ce que tu voudras, pense à moi, rêve à moi, prend mon bras.  Hooo...  Pense à moi, rêve à moi, prend mon bras.  Et après...  on verra!
 
 

A.N.I.
En hommage à l'arrivée d'un nouveau millénaire.  J'ai vu passer comme un rêve, un essaim extrême...  De formes étrangères à tout ce qu'on a vu naître au passé.  C'était 100 fois mieux qu'un rêve et tout ça n'est pas terminé.  Je ne suis pas un visionnaire, j'ai mon idéal.  Mais encore une fois hier, j'ai vu passer.  Des formes étrangères à tout ce qu'on a vu naître au passé.  C'était 100 fois mieux qu'un rêve et tout ça n'est pas terminé.  Avenir Non-Identifié.  Dès l'an 2000 tout volera bien.  N'ayons pas l'air dérangés.  Faisons la guerre.  En hommage à l'arrivée d'un nouveau millénaire.  J'ai vu passer comme un rêve, un essaim extrême...  De formes étrangères à tout ce qu'on a vu naître au passé.  C'était 100 fois mieux qu'un rêve et tout ça peut arriver! Avenir Non-Identifié.  Dès l'an 2000 tout volera bien.  N'ayons pas l'air dérangés.  Faisons la guerre.  Bien sur tout ça n'est qu'un rêve…  Je sais qu'il me retient…  Je le sais trop bien!  Avenir Non-Identifié.  Dès l'an 2000 tout volera bien.  N'ayons pas l'air dérangés.  Faisons la guerre  Faisons-la, la guerre, la guerre, la guerre, la guerre...  Oui la guerre, la guerre, la guerre, la guerre…  Avenir non-identifié…
 

Répondez

Les nœuds faient de papillons lui font un mal.  Il porte un veston mais n'en voit pas l'usage.  Fier de ses passions d'un élan peu banal il a compris qu'au fond, la vague est au large...  L'élan meurt entre les heures sur une plage.  Il s'offre un cœur d'or et encore moins l'adore.  Dans un vertige qui va saisir l'homme à la nage.  Il a conclut qu'au fond,  la vague est trop loin...  Répondez aux envies qui sont là.  À voir le temps gagner sur l'homme en rade.  Le nœud reste en conclusion à son histoire.  Il borde un espoir mais malgré tout s'endort.  Devant lui, l'horizon à l'écart.  Il est conscient qu'au fond, la vague n'est plus rien...  Et ce n'est rien...  Répondez, Répondez, Répondez, Répondez.
 
 

Chute Libre
Évadé blanc.  J'y vole souvent.  Confident des hauteurs.  D'une vie qui se meurt.  La terre à des idées plutôt moins que bonnes.  D'en haut, libre d'elle, la plaie est profonde.  Bercée par le bruit des bombes.  Elle s'endort au rythme des obus qui tombent...  Moi j'attends un nouveau mois de mai.   L'envie de pouvoir m'envoler.  Larguant mes peines aux marchands de misères.  J'inviterai tous les dieux.  À une danse avec l'éphémère.  Avant de vendre mon âme à la terre.  Désolé mes frère.  S'il faut de l'or.  Pour acheter son sort.  Si la mise à la vie.  Pour être ici...  Alors laissez-moi dire mon trop plein de peurs.  Je veux être loin.  Je veux être ailleurs.  Troublé par le bruit des bombes.  Je m'en vais au rythme des obus qui tombent...  Moi j'attends un nouveau mois de mai.  L'envie de pouvoir m'envoler.  Larguant mes peines aux marchands de misères.  J'inviterai tous les dieux.  À une danse avec l'éphémère.  Avant de vendre mon âme à la terre.  Belle folie que celle de croire qu'on peut y voir.  Oh!  Non, non, non!  On ne peut croire qu'on peut y voir.  Belle folie que celle de croire qu'on peut y voir.  Oh!  Non!
 
 

Cité d'Ariane
Depuis l'accès aux ordinateurs, le silence émet presque un bruit.  L'odeur ni rien, n'est comme hier...  Hier = ailleurs.  Mission codée au millième.  C'est médiazérodegré.  Le temps verse sur les écrans la neige.  C'est ce qu'on appel un décollage.  Avant la mise à feu...  On m'annonce à l'instant qu'Ariane.   Glisse à bord de l'aérodestin pour le dossier berceau antinucléaire...  Sans air d'ailleurs...  La destination est idéale: un univers aseptisé.  Pour le nouveau-né aux éclats boréals.  C'est ce qu'on appel un décollage.  Avant la mise à feu.  Pour une autre ère, celle d'Ariane.  Son univers.  Mer d'Ariane.  On m'annonce à l'instant qu'Ariane.  Glisse à bord de l'aérodestin pour le dossier berceau antinucléaire...  Sans air d'ailleurs...  La destination est idéale: un univers aseptisé.  Pour le nouveau-né aux éclats boréals. C'est ce qu'on appel un décollage.  Avant la mise à feu.  Pour une autre ère, celle d'Ariane.  Son univers.  Mer d'Ariane.  Sauvée la terre, celle d'Ariane.  Son univers, mère d'Ariane...  Dors Ariane.

Belle et sans armes
Belle...  Sur le carré tu la traînes.  Il est tard, une voiture freine.  Et les larmes aux creux des veines.  Chaque heure est son dernier rêve.  Sauvée par ta blancheur vénérable...  Qu'est-ce qu'on va dire à demain si tu la gardes?  Ce qu'elle à d'elle s'endort derrière.  Tes murs d'extases impénétrables.  Belle et sans armes contre la mort.  Elle est là à te plaire encore.  Malgré tes allures qu'elle aime.  Il y a son regarde blême.  Et ses larmes aux creux des veines.    Chaque heure est son dernier rêve.  Sauvée part ta blancheur vénérable...    Qu'est-ce qu'on va dire à demain si tu la gardes?  Ce qu'elle à d'elle s'endort derrière.  Tes murs d'extases impénétrables.  Belle et sans armes contre la mort, elle est là à te plaire encore.  Jusqu'au matin, jusqu'au soir.  Règne un frisson bien trop froid.  Risquant leurs vies plus qu'encore.  Tu les doses au quart de toi.  Belle et sans armes.  Belle et sans armes.  Belle et sans armes. Qu'est-ce qu'on va dire à demain si tu la gardes?  Ce qu'elle à d'elle s'endort derrière.  Tes murs d'extases impénétrables.  Belle et sans armes contre la mort.  Elle est là à te plaire encore.  Belle est la contre la mort.

Jamais de mal
Je garde en otage un fragment d'étoile. Ailleurs qu’au ciel…    À mon bord, sans quoi on me perd y'a trop d'espace...    Hier encore je craignais mes ailes. ailleurs qu'au ciel...    J'ai connu un extra extrintéressant pour mon espace…    Sa première escale la menée tout droit vers moi.    Ses bras bleus ou verts(ouverts). m'ont sorti le nerf qui génère l'anti-destin.    Me voilà. tel une comète à son départ. pour un voyage extraordinaire dans ma tête…    Hier encore je craignais mes ailes. ailleurs qu'au ciel...    J'ai connu un extra extrintéressant. pour mon espace.    Sa première escale la menée tout droit vers moi.    Ses bras bleus ou verts(ouverts). m'ont sorti le nerf qui génère l'anti-destin.    Me voilà tel une comète à son départ pour un voyage extraordinaire dans ma... voyage extraordinaire dans ma tête… tel une comète à son départ. Pour un voyage dans ma tête.    Aller voir 100 millions d'autres histoires. qui emballent à tout refaire en deux.    Je garde en otage un fragment d'étoile. une fraction de bonheur mais jamais de mal…    À mon bord, sans quoi on me perd. sans quoi je déraille et… jamais de mal à mon bord, sans quoi on me perd. c'est déjà hier et déjà c'est anorMAL.    Voyage dans ma tête.

De Héros à Zéro
Hey, j'ai un message à te faire, un dernier appel avant qu'on m'enterre.    L'honneur m'a fait prendre le décor à près de 200km à l'heure.    J'aurais bien aimé changer la scène, mais vois comme la vitesse est meurtrière.    Soudain ma vie en éclats de verres, ma leçon exemplaire en héritage.    Je revois les autres derrière, l'auto qui accélère.    Entre le frein et la mort il y a le chemin qui se referme et m'entraîne à la fin de mon règne.    L'erreur devient de plus en plus claire.    De Héros à Zéro.    Moi dans la ferraille à l'envers, je laisse un dernier souffle et puis rends l'âme.    J'espère que tes envies rétrogradent, celles qui pourraient mettre en jeu tes rêves.    Soudain ma vie en éclats de verre, ma leçon exemplaire en héritage.     Je revois les autres derrière, l'auto qui accélère.    Entre le frein et la mort, il y a le chemin qui se referme et m'entraîne à la fin de mon règne.    L'erreur devient de plus en plus claire.    De Héros à Zéro.    Demain je fais la une, la première page, prends-le comme une sérieuse mise en garde, non comme un jeu qui n'impressionne personne.    La scène est bien trop familière.    Il n'y a plus de vie à perdre.    La vitesse est le jeu des inconscients, rappelle-toi.    Je meurs...    Demain je fais la une, la première page, prends-le comme une sérieuse mise en garde, non comme un jeu qui n'impressionne personne.    La scène est bien trop familière.    Il n'y a plus de vie à perdre.    La vitesse est le jeu des inconscients.    Rappelle-toi.    Je meurs...    L'erreur est claire.    C'est De Héros à Zéro.

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