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CONCLUSION
Le 9 novembre 1923, dans sa quatrième année d'existence, le Parti ouvrier allemand national-socialiste fut dissous et frappé d'interdit dans tout le pays. Aujourd'hui, en novembre 1926, nous le retrouvons jouissant d'une pleine liberté dans le Reich entier, plus puissant et plus solidement organisé que jamais.
Toutes les persécutions du parti et de ses chefs, toutes les imputations calomnieuses dont il fut l'objet n'ont rien pu contre lui. Grâce à la justesse de ses idées, à la pureté de ses intentions, à l'esprit de sacrifice de ses partisans, il est sorti plus fort que jamais de toutes les épreuves.
Si, au milieu de la corruption du parlementarisme actuel, ce parti se rend de mieux en mieux compte des raisons profondes du combat qu'il mène, s'il sent qu'il constitue la pure personnification de la valeur de la race et de l'individu, et s'organise en conséquence, il doit, avec une rigueur quasi mathématique, remporter un jour la victoire. De même, l'Allemagne doit nécessairement recouvrer la situation qui lui revient sur cette terre, si elle est gouvernée et organisée d'après les mêmes principes.
Un Etat qui, à une époque de contamination des races, veille jalousement à la conservation des meilleurs éléments de la sienne, doit devenir un jour le maître de la terre.
Que nos partisans ne l'oublient jamais, si, en un jour d'inquiétude, ils en viennent à mettre en regard les chances de succès et la grandeur des sacrifices que le parti exige d'eux.