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Au Coeur Du Stade



Let's talk about love

Bryan Adams, Elliot Kennedy, Jean-Jacques Goldman
Everywhere I go all the places that I’ve been
Every smile is a new horizon on a land I’ve never seen
There are people around the world
Different faces different names
But there's one true emotion that reminds me we're the same
Lets talk about love

From the laughter of a child to the tears of a grown man
There's a thread that runs right through us all and helps us understand
As subtle as a breeze
That fans a flicker to a flame
From the very first sweet melody to the very last refrain

Lets talk about love
Lets talk about us
Lets talk about life
Lets talk about trust
Lets talk about love

It's the king of all who live and the queen of good hearts
It's the ace you may keep up your sleeve - ‘til the name is all but lost
As deep as any sea
With the rage of any storm
But as gentle as a falling leave on any autumn morn

Lets talk about love
(It's all were needing)
Lets talk about us
(It's the air we're breathing)
Lets talk about life
(I wanna know you)
Lets talk about trust
(and I wanna show you)
Lets talk about love

Everywhere I go all the places that I’ve been
Every smile is a new horizon on a land I’ve never seen
There are people around the world
Different faces different names
But there's one true emotion that reminds me we're the same

Lets talk about love
(It's all were needing)
Lets talk about us
(It's the air we're breathing)
Lets talk about life
(I wanna know you)
Lets talk about trust
(and I wanna show you)
Lets talk about love



Dans un autre monde

Jean-Jacques Goldman
Loin, loin, c'était certain
Comme une immense faim, un animal instinct
Oh, partir, partir et filer plus loin
Tout laisser, quitter tout, rejoindre un destin

Bye bye, mais faut que j'm'en aille
Adieu tendres années, salut champs de bataille
Et sentir, oh sentir et lâcher les chiens
Y'a trop de trains qui passent, ce train c'est le mien
Et tant pis pour moi, et tant pis pour nous
J'aurais pu rester où la roue tourne, où tout est doux
Moi j'avais pas l'choix, ça cognait partout
Le monde est à ta porte et se joue des verrous

Rendez-vous dans un autre monde ou dans une autre vie
Quand les nuits seront plus longues plus longues que mes nuits
Et mourir, oh mourir, mais de vivre et d'envie
Rendez-vous quand j'aurai dévoré mes appétits

Beau, beau de bas en haut
J'aimais manger sa peau j'aimais boire à ses mots
Mais trop tard, ou brouillard, ou bien trop tôt
C'était la bonne histoire mais pas le bon tempo

Bye bye, faut que j'm'en aille
Une croix sur ses lèvres et ma vie qui s'écaille
Et s'offrir et souffrir et tomber de haut
Et descendre et descendre au fond sur le carreau

Et tant pis pour moi, et tant pis pour lui
J'pourrais l'attendre ici, rien ne s'oublie tout est gris
Moi j'avais pas l'choix, ça cognait aussi
C'est le monde à ta porte et tu lui dis merci

Rendez-vous dans un autre monde ou dans une autre vie
Quand les nuits seront plus longues plus longues que mes nuits
Et mourir, oh mourir, mais de vivre et d'envie
Rendez-vous quand j'aurai dévoré mes appétits

Rendez-vous dans un autre monde ou dans une autre vie
Une autre chance, une seconde et tant pis pour celle-ci
Et puis rire à périr, mais rire aujourd'hui
Rendez-vous quelque part entre ailleurs et l'infini
Rendez-vous quand j'aurai dévoré mes appétits
Rendez-vous quelque part entre ailleurs et l'infini
C'est le monde à ta porte et tu lui dis merci

Rendez-vous dans une autre monde ou dans une autre vie
Une autre chance, une seconde et tant pis pour celle-ci
Et puis rire à périr, mais rire aujourd'hui

Ticket pour autre rencontre, rencard au paradis
Et puis rire à périr mais rire aujourd'hui
Au plaisir à plus tard et plus tard est si joli



Je sais pas

Jean-Jacques Goldman, J. Kapler
Détourner des rivières, porter des poids
Traverser des mers, je saurais faire
Défier des machines, narguer des lois
Les foudres divines, çà m'effraie pas

J'sais prendre un coup, le rendre aussi
River des clous, çà j'ai appris
J'suis pas victime, j'suis pas colombe
Et pour qu'on m'abîme, faut qu'je tombe

Je sais les hivers, je sais le froid
Mais la vie sans toi, je sais pas

Je savais le silence depuis longtemps
J'en sais la violence, son goût de sang

Rouges colères, sombres douleurs
Je sais ces guerres, j'en ai pas peur
Je sais me défendre, j'ai bien appris
On est pas des tendres par ici

Je sais les hivers, je sais le froid
Mais la vie sans toi, je sais pas

Lutte après lutte, pire après pire
Chaque minute, j'ai cru tenir
J'voudrais apprendre jour après jour
Mais qui commande à nos amours?

Je sais les hivers, je sais le froid
Mais la vie sans toi, je sais pas

Je sais pas
Je sais pas



Je crois toi

Jean-Jacques Goldman
Je crains la nuit quand tu n'es pas là
Ce tout petit au-delà
Je crains le silence après les voix
Ce froid si froid

Je crains les rues, le jour et les gens
Et la solitude autant
Je prie qu'on ne me remarque pas
Moi je crois toi, toi je te crois

La pluie, les éclairs et les chats noirs
La vie me glace d'effroi
Soudain je sursaute en ne croisant qu'un miroir
Mais n'ai-je peur que de moi?
Je crains les promesses et les serments
Les cris, les mots séduisants
Je me méfie si souvent de moi
Mais de toi, pas, toi je te crois

La pluie, les éclairs et les chats noirs
La vie me glace d'effroi
Mais quand je sursaute en ne croisant qu'un miroir
N'aurais-je peur que de moi ?

Je crains les saints, le mal et le bien
Je crains le monde et ses lois
Quand tout m'angoisse, quand tout s'éteint
J'entends ta voix
Je te crois, toi
Toi, je te crois
Moi, je te crois



Terre

Erick Benzi
Terre
J'ai passé trop de temps sur la route
A espérer les faibles traces que tu as semées
Terre
Si tu savais combien je t'ai manqué
Ces journées sans boussole, je l'ai souvent prié
Terre
Que font les amants qui se retrouvent ?
Que dois-je mettre ce soir
Un rien de parfum, de l'alcool ou du blues ?
Terre
De mots doux qui tremblent et nichent partout
De silences bavards, de paupières contre joues

Et qu'importe le jeu
J'ai ce que je veux
Hisser le pavillon bleu
Car ce soir j'ai touché

Terre
Terre d'asile, sur ta peau de velours
Glissent les encore et les toujours
Terre
Terre promise, les oiseaux se souviennent
De nos corps en drapeaux qui claquent et qui s'aiment
Terre
Terre de feu, sans issue de secours
Et nos braises rouges se consomment à leur tour

Terre
Oubliée la mer des songes tabous
Et les secondes passent un peu plus vite chaque jour
Terre
Bien ancrée sur le sol de tes charmes
J'ai laissé les étoiles guider mes bras vers ton cou

Et ton oeil complice
A graver sur mes reins
Plus jamais, jamais peur de rien
Car ce soir j'ai touché

Terre
Terre d'asile, sur ta peau de velours
Aux courbures de la fin du jour
Terre
Terre brûlée au langage du désir
Danse du ciel
Caresses, partage et soupirs
Terre
Terre étrangère, mais si proche pourtant
C'est ici que je dois mourir maintenant

Terre
Terre d'asile, terre d'amour

Terre
Terre sauvage, terre promise



J'irai où tu iras

Jean-Jacques Goldman
Chez moi les forêts se balancent
Et les toits grattent le ciel
Les eaux des torrents sont violence
Et les neiges sont éternelles
Chez moi les loups sont à nos portes
Et tous les enfants les comprennent
On entend les cris de New York
Et les bateaux sur la Seine

Va pour tes fôrets tes loups tes gratte-ciel
Va pour tes torrents tes neiges éternelles
J'habite où tes yeux brillent où ton sang coule
Où des bras me serrent

J'irai où tu iras, mon pays sera toi
J'irai où tu iras qu'importe la place
Qu'importe l'endroit

Je veux des cocotiers des plages
Et des palmiers sous le vent
Le feu du soleil au visage
Et le bleu des océans
Je veux des chameaux des mirages
Et des déserts envoûtants
Des caravanes et des voyages comme sur les dépliants
Va pour tes cocotiers tes rivages

Va pour tes lagons tout bleu balançant
J'habite où l'amour est un village
Là où l'on m'attend

J'irai où tu iras, mon pays sera toi
J'irai où tu iras qu'importe la place
Qu'importe l'endroit

Prends tes clic et tes clac et tes rêves et ta vie
Tes mots, tes tabernacles et ta langue d'ici
L'escampette et la poudre et la fille de l'air
Montre-moi tes edens montre-moi tes enfers
Tes nord et puis tes sud et tes zestes d'ouest

Chez moi les forêts se balancent
Et les toits grattent le ciel
Les eaux des torrents sont violence
Et les neiges sont éternelles
Chez moi les loups sont à nos portes
Et tous les enfants les comprennent
On entend les cris de New York
Et les bâonteaux sur la Seine

Qu'importe j'irai où bon te semble
J'aime tes envies j'aime ta lumière
Tous les paysages te ressemblent
Quand tu les éclaires

J'irai où tu iras, mon pays sera toi
J'irai où tu iras qu'importe la place
Qu'importe l'endroit



S'Il suffisait d'aimer

Jean-Jacques Goldman
Je rêve son visage, je décline son corps
Et puis je l'imagine habitant mon décor
J'aurais tant à lui dire si j'avais su parler
Comment lui faire lire au fond de mes pensées?

Mais comment font ces autres à qui tout réussit?
Qu'on me dise mes fautes, mes chimères aussi
Moi j'offrirais mon âme, mon coeur et tout mon temps
Mais j'ai beau tout donner, tout n'est pas suffisant

S'il suffisait qu'on s'aime, s'il suffisait d'aimer
Si l'on changeait les choses un peu, rien qu'en aimant donner
S'il suffisait qu'on s'aime, s'il suffisait d'aimer
Je ferais de ce monde un rêve, une éternité

J'ai du sang dans mes songes, un pétale séché
Quand des larmes me rongent que d'autres ont versées
La vie n'est pas étanche, mon île est sous le vent
Les portes laissent entrer les cris même en fermant
Dans un jardin l'enfant, sur un balcon des fleurs
Ma vie paisible où j'entends battre tous les coeurs
Quand les nuages foncent, présages des malheurs
Quelles armes répondent aux pays de nos peurs?

S'il suffisait qu'on s'aime, s'il suffisait d'aimer
Si l'on changeait les choses un peu, rien qu'en aimant donner
S'il suffisait qu'on s'aime, s'il suffisait d'aimer
Je ferais de ce monde un rêve, une éternité

S'il suffisait qu'on s'aime, s'il suffisait d'aimer
Si l'on pouvait changer les choses et tout recommencer
S'il suffisait qu'on s'aime, s'il suffisait d'aimer
Nous ferions de ce rêve un monde
S'il suffisait d'aimer



On ne change pas

Jean-Jacques Goldman
On ne change pas
On met juste les costumes d'autres sur soi
On ne change pas
Une veste ne cache qu'un peu de ce qu'on voit
On ne grandit pas
On pousse un peu, tout juste
Le temps d'un rêve, d'un songe
Et les toucher du doigt

Mais on n'oublie pas
L'enfant qui reste, presque nu
Les instants d'innocence
Quand on ne savait pas

On ne change pas
On attrape des airs et des poses de combat
On ne change pas
On se donne le change, on croit
Que l'on fait des choix
Mais si tu grattes là
Tout près de l'apparence tremble
Un petit qui nous ressemble
On sait bien qu'il est là
On l'entend parfois
Sa rengaine insolente
Qui s'entête et qui répète
Oh ne me quitte pas

On n'oublie jamais
On a toujours un geste
Qui trahit qui l'on est
Un prince, un valet
Sous la couronne un regard
Une arrogance, un trait
D'un prince ou d'un valet
Je sais tellement ça
J'ai copié des images
Et des rêves que j'avais
Tous ces milliers de rêves
Mais si près de moi
Une petite fille maigre
Marche à Charlemagne, inquiète
Et me parle tout bas

On ne change pas, on met juste
Les costumes d'autres et voilà
On ne change pas, on ne cache
Qu'un instant de soi

Une petite fille
Ingrate et solitaire marche
Et rêve dans les neiges
En oubliant le froid

Si je la maquille
Elle disparaît un peu,
Le temps de me regarder faire
Et se moquer de moi
Une petite fille
Une toute petite fille



Medley Acoustique

Thérèse Dion/Eddy Marney/Luc Plamondon
-Ce n'était qu'un rêve-

Ce n'était qu'un rêve
Ce n'était qu'un rêve
Impossible à oublier
Dès que le jour se lève
Mon rêve, ce n'était qu'un rêve

-D'amour ou d'amitié-

Il pense à moi, je le vois, je le sens, je le sais
Et son sourire me ment pas quand il vient me chercher
Il aime bien me parler des choses qu'il a vu
Du chemin qu'il a fait et de tous ses projets

Il est si près de moi pourtant je ne sais pas comment l'aimer
Lui seul peut decider qu'on se parle d'amour ou d'amitié
Moi je l'aime et je peux lui offrir ma vie
Même s'il ne veut pas de ma vie

Je rêve de ses bras oui mais je ne sais pas comment l'aimer
Il a l'air d'hésiter entre une histoire d'amour ou d'amitié
Et je suis comme une île en plein océan
On dirait que mon coeur est trop grand
D'amour ou d'amitié...

-Mon ami m'a quitée-

Mon ami m'a quittée
Je vous le dit
Çà devait arriver à moi aussi
Je le voyais rêver d'une autre fille depuis longtemps

Mon ami est ailleurs
Je ne sais où
Au près d'un autre coeur
Et loin de nous
À cueillir d'autres fleurs
Et d'autres rendez-vous

Moi je regarde les vagues
Dont la mer écrase les rochers
Et je voudrais que le calme
Vienne habiter ma solitude

Il m'a quittée
Je vous le dit
Oui c'est arrivé à moi aussi
J'ai fini de rêver, du moins pour aujoud'hui

-L'amour existe encore-

Quand je m'endors contre ton corps
Alors je n'ai plus de doute
L'amour existe encore

Toutes mes années de déroute
Toutes, je les donnerais toutes
Pour m'ancrer à ton port

La solitude que je redoute
Qui me guette au bout de ma route
Je la mettrai dehors

Au-delà de la violence
Au-delà de la démence
Malgré les bombes qui tombent
Aux quatre coins du monde

Quand je m'endors contre ton corps
Alors je n'ai plus de doute
L'amour existe encore

-Ziggy-

Ziggy, il s'appelle Ziggy
Je suis folle de lui
C'est un garçon pas comme les autres
Mais moi je l'aime, c'est pas d'ma faute
Même si je sais
Qu'il ne m'aimera jamais

Ziggy, il s'appelle Ziggy
Je suis folle de lui
La première fois que je l'ai vu
Je m'suis jetée sur lui dans la rue
J'lui ai seulement dit
Que j'avais envie de lui

Il était quatre heures du matin
J'étais seule et j'avais besoin
De parler à quelqu'un
Il m'a dit: viens prendre un café
Et on s'est raconté nos vies
On a ri, on a pleuré

Ziggy, il s'appelle Ziggy
C'est mon seul ami
Dans sa tête y'a que d'la musique
Il vend des disques dans une boutique
On dirait qu'il vit dans une autre galaxie

Tous les soirs, il m'emmène danser
Dans des endroits très très gais
Où il a des tas d'amis
Oui, je sais, il aime les garçons
Je devrais me faire une raison
Essayer de l'oublier

Mais

Ziggy, il s'appelle Ziggy
Je suis folle de lui
C'est un garçon pas comme les autres
Et moi je l'aime, c'est pas d'ma faute
Même si je sais
Qu'il ne m'aimera jamais


Pour que tu m'aimes encore

Jean-Jacques Goldman
J'ai compris tous les mots, j'ai bien compris, merci
Raisonnable et nouveau, c'est ainsi par ici
Que les choses ont changé, que les fleurs ont fané
Que le temps d'avant, c'était le temps d'avant
Que si tout zappe et lasse, les amours aussi passent
Il faut que tu saches

J'irai chercher ton coeur si tu l'emportes ailleurs
Même si dans tes danses d'autres dansent tes heures
J'irai chercher ton âme dans les froids dans les flammes
Je te jetterai des sorts pour que tu m'aimes encore

Fallait pas commencer m'attirer me toucher
Fallait pas tant donner moi je sais pas jouer
On me dit qu'aujourd'hui, on me dit que les autres font ainsi
Je ne suis pas les autres
Avant que l'on s'attache, avant que l'on se gâche
Je veux que tu saches

J'irai chercher ton coeur si tu l'emportes ailleurs
Même si dans tes danses d'autres dansent tes heures
J'irai chercher ton âme dans les froids dans les flammes
Je te jetterai des sorts pour que tu m'aimes encore

Je trouverai des langages pour chanter tes louanges
Je ferai nos bagages pour d'infinies vendanges
Les formules magiques des marabouts d'Afrique
J'les dirai sans remords pour que tu m'aimes encore

Je m'inventerai reine pour que tu me retiennes
Je me ferai nouvelle pour que le feu reprenne
Je deviendrai ces autres qui te donnent du plaisir
Vos jeux seront les nôtres si tel est ton désir
Plus brillante plus belle pour une autre étincelle
Je me changerai en or pour que tu m'aimes encore



My heart will go on

James Horner, Will Jennings
Every night in my dreams
I see you, I feel you,
That is how I know you go on

Far across the distance
And spaces between us
You have come to show you go on

Near, far, wherever you are
I believe that the heart does go on
Once more you open the door
And you're here in my heart
And my heart will go on and on

Love can touch us one time
And last for a lifetime
And never let go till we're one

Love was when I loved you
One true time I hold to
In my life we'll always go on

Near, far, wherever you are
I believe that the heart does go on
Once more you open the door
And you're here in my heart
And my heart will go on and on

You're here, there's nothing I fear,
And I know that my heart will go on
We'll stay forever this way
You are safe in my heart
And my heart will go on and on