moi:me:ich:mim:yo

Les origines de moi:me:ich:mim:yo

        Cette page est en partie inspirée de celle de La masse critique de Gilles Pelletier où vous pouvez lire plusieurs textes d'opinion portant sur des sujets intéressants et parfois inusités. Ses manuscrits sont écrits avec un style littéraire d'une fraîcheur et d'une crédibilité que l'on ne voit pas souvent. Si vous appréciez le bon français, je vous conseille de jeter un coup d'oeil à ses textes, cet homme a un talent inné avec la plume... ou plutôt le clavier.
 

Le syndrôme du Capitaine Haddock exposition permanente

        Vous vous demandez ce qu'est cette image au-dessus? Rien de mieux pour introduire cette page! Les ressemblances que je partage avec mon héros d'enfance sont multiples: je suis chiâleux, on me blâme d'arborer souvent des lunettes fumées, j'ai déjà beaucoup porté la casquette dans mon jeune temps et je dois humblement avouer que le port de la barbe ne m'a pas été inconnu non plus! Donc, je l'avoue, je suis atteint du syndrôme du Capitaine Haddock. Ceux qui me connaissent doivent vivre avec.
 

Quelques films dignes de mention  décembre 1999

Voici les films qui me passent par la tête et que je trouve très ingénieux par rapport à leur époque:
 
Les films domestiques:

Le Confessionnal
Le montage est extraordinaire, la photographie recherchée, le scénario intéressant. C'est le premier et le meilleur film de Lepage jusqu'à maintenant. C'est une perle que je classe parmi les chefs d'oeuvre du cinéma québecois.

Le Violon Rouge
À voir. Tout simplement ingénieux! Je ne peux vraiment en dire plus.

Le déclin de l'empire américain
1986. Vingt ans après la révolution des hippies, ce film nous a présenté une étude de personnages nous montrant ce que certains membres de cette génération sont devenus. C'est probablement l'un des premiers films à fracasser autant de tabous tout en étant acceptable aux yeux du public. Cela s'explique par le fait que l'on a surtout utilisé des mots plutôt que des images. Et je n'oublierai pas le beau décor du lac Memphrémagog...
 

Les américains:

Reservoir Dogs
Les dialogues sont vifs et hors du commun. L'humour noir est omniprésent. Les personnages sont joués par des comédiens qui donnent le meilleur d'eux-mêmes. On a l'impression d'assister à une pièce de théâtre durant les 45 premières minutes. Un vrai plaisir pour ceux qui ne sont pas dérangés par ce style de film qui n'a jamais été égalé par plusieurs imitations subséquentes.
Films semblables: Trainspotting et le bon vieux Pulp Fiction

2001: A space odyssey
C'est du Kubrick tout craché: tout va à une lenteur inhabituelle pour nous montrer avec précision ce que vivent les personnages plutôt que ce qu'ils font.

12 Monkeys
Quoiqu'ordinaire à première vue, le film a énormément de parallèles et de subtilités qui, quatre ans plus tard, sèment toujours la contreverse. Ceux qui ont de bons yeux y remarqueront un très bel hommage à Hitchcock... et à Jésus de Nazareth.

Run
Ceci est un film qui a passé très inaperçu. Ce n'est pas un chef d'oeuvre cinématographique, mais il a toujours suscité mon attention. C'est un film qui est presqu'en temps réel, l'action se déroulant sur environ 6 heures. Et de l'action, il y en a! Aucun temps mort, aucune perte de temps: rares sont ceux qui réussissent cet exploit.
Film semblable: Cours Lola Cours qui vient cependant de mettre la barre très haute!
 
 

L'anonymité et la phobie du village global septembre 1999

        Je suis devenu une personne des plus anonymes au fil des temps. Les rares personnes à connaître les A-B-C de ma vie personnelle et professionnelle font d'ailleurs partie d'un club sélect assez restreint. Certains de mes "secrets", pourtant très bénins et stupides, me suivront jusqu'à ma mort. Pourtant, ces cachotteries ne sont pas des secrets d'état: elles peuvent concerner les biscuits préférés de mon enfance ou le nom d'un chat décédé. Je m'entête à être égoïste et à les conserver pour moi. C'est d'ailleurs surprenant que je ne travaille pas au CST, car je serais un très bon candidat!

        Toutefois, je commence à en avoir marre des traces du petit Poucet que l'on peut retrouver sur moi partout sur le net. Je ne suis pas pour me mettre à me cacher sous un faux nom, car je veux que certaines personnes me retrouvent facilement. Tout ça peut être amusant si j'inverse les rôles; je pourrais ainsi, en quelque minutes, retrouver plusieurs amis dont j'ai perdu la trace ou me tordre de rire à voir les pages web laides et égocentriques que d'autres ex-camarades ont concoctées.

        De nos jours, il n'est pas nécessaire de perdre beaucoup de temps pour retrouver mon nom dans un engin de recherche ou dans la liste des membres d'ICQ. Ainsi, toute personne peut acquérir une quantité d'informations non négligeable sur moi. Ma coquille se brise. Mon anonymité si chérie se retrouve compromise. Elle l'est de plus en plus depuis que monsieur et madame tout le monde ont leur compte internet à la maison. C'est le prix à payer quand on perd son temps à écrire ses pensées dans une page comme celle-ci.
 

Le cours le plus platte du monde mars 1999

        Oubliez le cours matinal de Ferris Bueller, j'ai trouvé pire: IFT514, "Gestion des systèmes informatiques". C'est sans aucun doute le cours le plus ennuyant que j'ai eu à suivre dans ma vie, je ne blague pas! Pour vous démontrer mon amertume, j'irai même jusqu'à vous dire que je crois que les cours de philosophie du cegep étaient 100 fois plus captivants et utiles. Le sujet lui-même du cours est intéressant, mais le directeur de maîtrise du chargé qui le donne a décidé qu'il serait intéressant de changer un peu les règles du jeu et d'apprendre, encore une fois, des notions académiques et philosophiques plutôt que pratiques. On se met ainsi à apprendre une méthode de travail qui n'est presque pas utilisée et qui peut facilement quadrupler le temps passé sur un projet. On aurait pu voir la méthode de DMR ou quelque chose du genre, mais noooon, ces choses-là sont trop présentes sur le marché du travail. Quand je pense que j'ai dépensé 180 douilles pour ce cours obligatoire, je suis très frustré. Beaucoup de gens le sont d'ailleurs. Dans un marché du travail où c'est le papier prouvant que l'on a étudié dans tel ou tel domaine qui compte, il n'est pas surprenant de voir que nos chères institutions se forcent moins que rien pour nous donner des notions utiles. Le jour où notre société se basera sur la compréhension plutôt que le savoir en sera un où je serai plus que comblé.
 
 

Hulk Hogan a de la compétition! février 1999

        Pour la première fois, j'ai enfin regardé Jerry Springer cet après-midi. J'en avais tellement entendu parler de cette émission que je me devais bien de tenter de l'endurer pendant ne fut-ce que 15 minutes. Je n'ai pas dépassé ce délai. Que puis-je dire au sujet de cette émission si ce n'est que vous devriez la regarder vous-même, vous verrez bien. Mon sommaire se résume à ceci: Je crois que la lutte est douze fois plus divertissante et intéressante que cette émission. Au moins, la lutte a une apparence de vrai carnaval. Et à voir la brochette gens qui dédient des sites webs et des commentaires positifs à son égard, je leur dit simplement: get a life.

        Certains se paient tout de même de sa tête. Un de mes potes sur Angelfire a d'ailleurs fait un site hilarant qui se fout de la geule de M. Springer. On est copains? Pour de vrai? Pas du tout, mais Angelfire se considère comme une "communauté virtuelle", alors aussi bien le considérer comme un ami d'ici à ce que ma perception de cet individu soit dégradée. Et n'oubliez pas de faire un tour au générateur automatique de sujets pour l'émission!
 
 

Question de plongée février 1999

        Il m'arrive souvent de croiser des véhicules arborant fièrement le logo suivant: . Longtemps me suis-je demandé ce qu'il représentait. L'un de mes amis qui avait justement un "bumper sticker" avec ce logo m'a répondu: c'est l'emblème des adeptes de la plongée sous-marine. Donc, la prochaine fois que vous verrez ce drapeau sur la route ou sur l'eau, vous saurez que vous avez affaire à un plongeur ou une plongeuse.
 
 

Le prix des bonnes valeurs  décembre 1998; corrections le 22 février 1999

Nos mamans et papas ont eu la tâche morale de nous montrer de "bonnes valeurs". Qu'ils l'aient fait ou non varie d'une personne à l'autre, mais c'était leur responsabilité de le faire. En effet, la croyance à la mode est que la main de Dieu ne s'abattra pas sur celui qui ne respecte pas les dix commandements. Avec la pénurie de religieux et de curés pour nous faire peur, nous sommes libres de penser et d'agir comme on le veut bien. Le problème est que le phénomème "je fais à ma guise" commence à me taper royalement sur les nerfs.         On n'est guère courtois en plusieurs occasions où nous devrions l'être. On l'est encore moins lorsque vient le temps de faire la queue pour aller exercer son droit de vote. Cependant, force est d'admettre que le pire comportement de l'être humain se manifeste... derrière le volant. Pouvez-vous m'expliquer, bordel, pourquoi tant de gens respectables en personne deviennent de vraies bourriques lorsqu'ils sont dans leur char? Il faut croire que leur char si bien-aimé leur offre la chance de libérer sous pression leur testostérone pourtant si précieuse (ou oestrogène, faut pas être sexiste). Et que dire que tous ces voleurs et fraudeurs qui se fouttent totalement de nos intérêts et s'en prennent à nous sans avoir aucune conscience, aucun remord? Il ne faut pas être un génie pour constater que nous vivons de plus en plus dans un monde de fous. Et le théorème disant que nous sommes le portrait de nos cousins du sud avec 5 à 10 ans de retard vient envenimer mes prévisions pour le prochain millénaire. Imaginez la grande nouvelle du Journal de Montréal un jour de 2003: "Trois éleves de deuxième secondaire massacrés à coup de hache". Trop fort pour être vrai? Attendez de voir.         Donc, dans un monde où la justice n'en est pas une, les bonnes valeurs ont un prix. On paie pour, je dirais même qu'on paie pour en sacrement. Le seul prix de consolation est le fait que nous, les mortels victimes de la justice, avons une conscience. Cela représente, pour nous, toute une richesse.

L'âge d'or de la jeunesse et quelques amis août et décembre 1998

        J'ai de moins en moins d'amis. Cela est dû principalement à deux faits que je partage avec la plupart des amis qui me reste: a) je vieillis et b) il y a une femme dans ma vie depuis plusieurs années. Voici le résultat: Les sorties entre chums célibataires en manque de sexe ont ainsi laissé place aux sorties en couples. Les longues soirées dans des bars minables puant la cigarette ont rendû l'âme au profit de soirées meutre et mystère qui ne se terminent pas plus tard que minuit. Les "dégustations" de houblon sont à présent limitées à un litre maximum.

        Est-ce que ce mode de vie est las? Aucunement! J'appelle cela le passage du jeune innocent à l'adulte responsable. Il va de soi que je préfère la dernière appellation.

        Rares sont mes amis qui ont un site web. À vrai dire, il n'y en a que trois à cette date qui soient dignes de mention. Jean-Claude Dumas, la seule personne que j'ai rencontré "virtuellement" (on s'est connu sur les BBS en 1992) vous propose un site un peu du même genre que le mien, soit un méli-mélo de choses qu'il aime... et n'aime pas. À voir. Tant qu'à y être, David Sirois, personne avec qui je discute occasionnellement et grand ami de Jean-Claude vous propose un site dédié à sa passion: le karting. Vous reconnaîtrez en lui ses qualités en infographie, talent que je n'ai point! Tiens, pendant que j'y pense, ma bien-aimée soeur mérite un lien en quelque part, aussi bien le mettre ici. Et je me dois bien de rendre un lien à Eric Barbier, que je n'ai malheureusement pas vu depuis longtemps. Ce fut dans le bon vieux temps un musicien cachant un talent assez époustouflant merci!
 
 

L'internaute pollueur août 1998

Le pollueur de contenu:
Les albums de famille (incluant les photos des chiens, chats, poissons rouges...)

        Non, vous ne verrez pas de photo de moi, mon chien ou de ma douce moitié sur cette page. Je considère que mettre cette information sur une page web est stupide, en quoi cela pourrait vous intéresser de toutes façons? Combien de fois vois-je des clowns mettre leur horrible visage laid sur leur page qu'ils considèrent comme étant la "plus belle page web du pays"... statut mérité, selon eux, par l'immense panoplie de gadgets que leur page arbore tels que des scripts java inutiles, des cadres et des couleurs dignes de Dennis Rodman. Ajoutons à ceci une biographie rocambolesque et nous avons la page web typique de l'internaute pollueur de contenu.

        Vous voulez faire votre part pour éviter de polluer le web? Tel que le bien connu hacker Eric S. Raymond le mentionne, si vous n'avez rien à dire, fermez-la. C'est simple, non?
 

Le pollueur de bande passante:
Les images grandes comme le géant vert

        Ensuite, il y a ceux qui raffolent des images de 1.2 méga-octets qui sont une source de pollution qui nuit à tout le monde en embourbant le réseau en entier. Les images aux dimensions gargantuesques sont présentes autant sur des pages personnelles que commerciales, issues d'un design de mauvais goût où l'infographie semble être la seule solution pour rendre une page attirante; c'est faux. Allez faire un tour à la page de hornet et vous verrez bien qu'il est possible de faire quelque chose de coloré avec un maxmimum de HTML et un minimum d'images. Ensuite, passez faire un tour à la Bandwith Conservation Society où vous apprendrez à faire des images plus petites. Vous pouvez également essayer l'outil gif lube de Web Site Garage qui est d'une simplicité enfantine.
 

Le pollueur des lois:
Les plans de bombes et les recettes de substances illégales

        Supposons que vous savez comment faire du LSD et des "pipebombs"; c'est merveilleux, et je suis bien content pour vous. Toutefois, ne le dites pas dans votre page. Vous donnez cette information à des gens irresponsables qui n'hésiteront pas à prendre vos idées artisanales et à les appliquer pour faire des activités illégales. Mettez au rencart la maudite liberté d'expression, la diffusion d'information menant à des activités illégales pouvant mettre des vies en jeu est tout simplement inacceptable.
 

Le pollueur du code HTML:
Les cadres et le clignotement

        Les cadres peuvent être très utiles dans certaines situations particulières, mais trop de gens en font un usage abusif, ce qui donne des pages dégeulasses et pas très pratiques. Il arrive souvent que les divers cadres occupent 50% de la fenêtre, laissant peu de place à la lecture de l'information qui nous intéresse. Plusieurs auteurs utilisant le HTML ont déploré les cadres depuis leur apparition à la fin de 1995, sans succès. Je n'ai jamais appris comment coder des cadres en HTML, ils me font trop chier.

        On peut reconnaître un mauvais designer de pages web en quelqu'un qui aime clignoter. N'est-ce pas assez pour vous faire comprendre que le clignotement est l'attribut le plus horrible à mettre dans votre page? Le clignotement a été utile dans les années 70 lorsque les écrans d'ordinateur n'étaient pas capable d'afficher les couleurs ou les caractères gras; le clignotement était alors une façon d'attirer l'attention. Aujourd'hui cependant, le clignotement fera fuir vos lecteurs!
 

Le pollueur de la naïveté:
La confidentialité des informations

        L'internet se compare bien à un "village global" ou chaque site web est une maison, sauf que les gens entrent chez vous sans frapper à votre porte, et ce que vous soyez là ou non. Donner beaucoup d'information sur soi-même sur l'internet est ainsi risqué puisque n'importe qui peut facilement utiliser cette information pour vous narguer.

        Je m'explique. Beaucoup personnes parlent fièrement des biens de valeur qu'ils possèdent. C'est normal que l'on soit ainsi, nous sommes des vantards de nature. C'est ainsi qu'il m'arrive de voir des sites personnels ou je peux voir la liste des CD que possède telle personne, une description du méga-ordinateur qu'elle a, etc. Évidemment, le tout est accompagné de leur coordonnées personnelles. Ce n'est pas une bonne idée; tout voleur désirant s'assurer d'un bon coup de filet pourra facilement savoir ce que vous possédez avant de venir faire un tour chez vous!

        Ce n'est pas dangereux de parler de vous-même; ce l'est si vous donnez trop d'informations permettant de vous retracer facilement. Évitez donc les adresses postales et les numéros de téléphones, trouver des informations sur quelqu'un avec Canada411 est trop facile!
 

Le glas de la bonne musique francophone août 1998

        Depuis au moins une bonne dizaine d'années, le gouvernement du Québec impose un quota de 65% de contenu francophone aux stations de radio de langue française situées sur son territoire. Le résultat est que les stations de radio n'ont pratiquement pas le choix de diffuser tout ce qui se fait de francophone au Québec. Il est évident que la brochette de nouvelles chansons francophones d'un trimestre est beaucoup moindre en nombre que celles de langue anglaise. Et comme la plupart des stations de radio considèrent qu'une chanson datant de plus de 1 an et demi doit être reléguée aux oubliettes, cela laisse peu de choix lorsque vient le temps de planfier ce que l'on va diffuser! Force est d'admettre que seulement 15% de ces nouvelles chansons populaires deviendront des classiques dont on se rappellera longtemps, les autres étant fichetrement plates et dont l'intelligence des paroles laisse souvent à désirer.

        Je crois que ce règlement a donc donné naissance à des stations de radio de piètre qualité diffusant un contenu imposé par la loi et non nécessairement au goût des consommateurs. Les chaînes comme radio energie diffusent donc sans cesse tout ce qui est récent et supposément cool, que ce soit bon ou pas. Et comme bon nombre de groupes et chanteurs québécois tentent leur chance dans le pop ou le gros rock, les stations plus molo comme Rock-détente, dont la redondance du menu musical est déjà assez élevée, doivent compléter leur quota avec des chansons que nos arrières grands-parents n'écoutaient même pas.

        La "loi des quotas" a pu donner une chance à la relève canadienne française. Sans elle, la carrière de plusieurs chanteurs et chanteuses francophones qui ont connu leur moment de grâce dans les dix dernières années aurait probablement été d'une modestie inquiétante sous un point de vue culturel. Ces personnes sont, en mon opinion, de vraies poètes et il est inutile de les nommer. Mais malgré cela, je trouve que c'est désolant de penser que le bruit diarrhéique émanant de nos radios aie un effet de halo indésirable sur la vraie bonne musique.
 

Quelques grands cinéastes qui me passent par la tête août 1998

Les classiques:
        Roman Polanski (La jeune fille et la mort, Frantic)
        Martin Scorcese (Taxi Driver, Casino)
        Steven Spielberg (Ses productions intelligentes: La liste de Schindler, Amistad, Saving Private Ryan)

Les contemporains:
        Atom Egoyan (Exotica, De beaux lendemains... mais ne me parlez pas de David Lynch!)
        Oliver Stone (U-Turn, Nixon)
 

Est-ce qu'il y en a plus?

        Vous vous êtes rendu ici? Eh bien la réponse est non, je n'aurai plus de temps à perdre avec cette page d'ici à... ce que je me donne la peine de le faire. J'ai bien d'autres choses à dire, ça va venir éventuellement...
 

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