| Quand nous jouions à la marelle Cerisier
rose et pommier blanc J'ai cru mourir d'amour pour elle En
l'embrassant
Avec ses airs de demoiselle Cerisier rose et
pommier blanc Elle avait attiré vers elle Mon coeur
d'enfant
La branche d'un cerisier De son jardin caressait La
branche d'un vieux pommier Qui dans le mien fleurissait
De voir
leurs noeuds enlacés Comme un bouquet de printemps Nous vint alors
la pensée D'en faire autant
Et c'est ainsi qu'aux fleurs
nouvelles Cerisier rose et pommier blanc On fait un soir la courte
échelle À nos quinze ans
Non, non, ne dites pas qu'à son
âge Vous n'étiez pas si volage Non, non, quand deux lèvres vous
attirent J'en sais peu qui peuvent dire
non
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