Le
terme minus
Quelque
chose me rend triste, il vient de partir.
Bof,
un autre pourra agir.
Je
ne sais pas ce que j’ai fait là.
T’en
fait pas, t’auras tout le temps au-delà.
J’ai
du soleil dans mon estomac.
Bien
haut, pomme rouge, haut mât.
Et
comme je berce mon bébé pour l’endormir.
J’entend
un cri, désespoir, frémir.
Je
n’ai que chair de poule contre un élégant garçon.
Réchauffe
toi d’amour et ne fondra pas le glaçon.
Je
dors au creux de mes actes.
Mais
je refuse de signer le pacte.
Une
face pop pour ma peau.
Une
tête flop pour le faux.
Le
liquide blanc, on l’a tous fait.
Le
ciment noir, un seul l’a défait.
Tourne
vite, sûr, svelte.
Cette
beauté, intuition helvète.
Je
suis toujours moi-même, mais je ne suis plus ici.
Je
n’ai jamais été moi-même, mais tu n’es plus mon ami.
Je
tourne dans un champs liquide.
Tu
continue ton chant stupide.
Bouteille,
aiguille, une forte compression.
Machiavélique
catholique conversion.
C’est
mauvais et cher de choisir l’obsession.
Pfennig
peut redonner raison.
Dans
une cave, laissez-moi sortir de cette cave !
Porte
ouverte, clé, entrave.
Si
je peux sauver les Juifs, je peux sauver ma maison !
Si
tu peux sauver les Juifs, tu peux sauver ta raison.
Si
les enfants le croient, répète leur belle mère.
Que
l’eau de la mer est amère.
Bientôt
le sinistre reviendra et la lumière sera brûlée.
Bientôt
le savant surgira et la noirceur sera allumée.
Un
esprit, un juge, jamais seul.
Plein
d’amis, mais un jour, l’écueil.
Les
taxes demeurent, la paix demeurent.
Le
travail demeure, et Rome meure.
Le
porc
Je
suis choqué de lucky science.
Autre
choix, acquise déficience.
C’est
d’une tristesse, mais on ne pleure pas.
C’est
d’un bonheur, mais on ne rit pas.
Ressent
toute cette fortune, ce n’est pas la fin.
Récence
toute cette pauvreté, c’est la faim.
Premièrement,
je veux être dans un costume blanc.
Ainsi
est caché mon coeur noir et dément.
Mieux
tout de suite, c’est la règle.
Mieux
attendre, car je bègue.
Une
partie du corps avec le régiment.
Une
partie de la tête avec le régent.
Dans
cette cage, sortez-moi de cette cage !
Porte
ouverte, clé du Sage.
Dans
cette petite maison de lumière.
Un
génie, un grimoire, une bénéficiaire.
J’ai
vu cet étrange spectacle !
Oh
! Quel bel oracle !
Notre
âge court à sa fin.
Bon
ouvrier prépare son chemin.
C’est
normal, luxe, réunion, fée Mary.
Tout
près du building, des acheteurs de rue.
Tout
près du siècle, des acheteurs se ruent.
Libre
de flotter sur les mémoires.
Emprisonné
sur un bateau fantôme, déboires.
Au-dehors
de la ville, sur la route de ceinture.
Richesse
de la Ville, belle peinture.
À
l’extérieur de la cage, je vois mon frère Jean.
Il
se pense libre, mais il a besoin du parc de parent.
Il
tourne tu sais, lentement maintenant.
Je
ne suis pas supposé, mais j’aime le contenant.
J’essaie
avant qu’il devienne bon lui-même.
Futile,
c’est pour toi ce baptême.
Il
regarde mes choses sans un mot.
Elle
envie mes choses dans un lot.
Et
je cri très fort pour son aide.
Mais
les bouchons de Paul sont creux : Médé, médé !
L'édit
Sion
Mais
rien à faire, il n’essaie même pas de parler.
Ces
roches qui tombent du ciel contiennent de l’or perlé.
J’aide
le bas à s’asseoir comme il faut.
Mais
le haut la retient avec la faux.
Ce
silence descend le pauvre enclin.
Cette
guérison descend la riche, déclin.
Je
le regarde essayer encore, je ne gage pas !
Allez,
faite les premiers pas !
Un
gros camion, un gros hit.
Peut
éviter cette « shit ».
Pense
qu’il est tombé sur la lame.
Non,
mais regarde, jaune, bleu, la dame.
Il
y a ici un piège, je sens ce piège à vautour !
Oh
! Mais je suis au-dessus de tous tes tours.
Tout
ce qu’il vole est pour donner.
Venant
de riche religion, il donne aux pauvres condamnés.
Tchon
est maintenant un cochon légal.
C’est
amusant, quelle nouvelle idéale.
Attention
dans la 22ième rue !
Pourquoi
faire, ai-je l’air de quelqu’un de tout nu ?
Tu
ne peux acheté ma liberté gratuitement.
Argent
dehors, bienvenue courage et dénuement.
Une
mère antique, un building rafraîchit.
Un
livre atomique, les démons envahis.
Une
extracharge, Éric, neige.
Marie,
Neige, belle couleur beige.
Dans
ce lit, sortez-moi de ce lit !
Honte,
déshonneur, gloire et le tout accompli.
Ton
feu est changé en eau.
Fais
attention à ce veau.
Je
peux voir le monte-pente tout rouillé.
Mais
le reste est embrouillé.
Le
vieux qui est désolé, je suis ouvert.
Deux
bons amis, ensemble, coeur ouvert.
Tout
ces sages disparus résolus dans mon cas.
Mais
que voulez-vous, je ne suis pas un as.
Et
pour toutes ces raisons, mon corps rebondit.
J’aime
bien l’aventureux, mais pas le bandit.
La
lune est trie
Soyez
sur vos gardes, soyez sur vos gardes.
Car
un garde près, évite les embardes.
Une
tournure, un rebondissement.
Ne
retourne pas dans ton vomissement.
Non,
non, no, no !
Ici,
il y a d’autres cadeaux.
Ne
crois pas que ceci concerne ton voisin.
C’est
par ta faute qu’on prend ce moyen.
Peux-tu
éviter la catastrophe ?
Oui,
je peux t’aider avec mes strophes.
J’ai
une grande salle de montre.
Remplie
de catholiques monstres.
Petite
araignée, filons des liens.
Avant
que chagrinée, tu te sauves des tiens.
La
plus belle, celle que Dieu préfère.
L’étincelle,
c’est ce que Dieu aime faire.
C’est
bon d’être ici entre amis.
Lorsque
volonté ne sait pas qu’il faudra payer le prix.
Regarde
en arrière, je pense que c’est ma place.
Calculera
mortinatalité devant sa face.
Assis
sur le téléphone, c’est mon jeu.
Dont
le gagnant fait envieux.
Je
garde la pression de cette façon.
Et
toi tu n’acceptes de ma part la leçon.
Je
voudrais être là, à la place du bouleau.
Lorsque
sagesse viendra comme un rouleau.
Il
y en a encore, mais tu n’es plus là.
Oreille
n’a pas entendu ce qu’il scanda.
Il
y a des gens dehors, il regarde ton sein.
Et
toi contre eux de tes reins.
Viens,
viens Belmine, le fruit sera meilleur.
Je
refuse, je n’aime pas les veilleurs.
J’ai
besoin de salon, prends ta chèvre.
J’ai
mon royaume, je fais la grève.
Quelqu’un
te donne l’entraînement aujourd’hui.
Mais
l’enrôlement t’intéresse peu sous la pluie.
Tu
possèdes la meilleur étoile.
Mais
encore te couvres le voile.
Là
pète Schopp
Tu
es la première comme aujourd’hui pour l’éternité.
Mais
les premiers seront les derniers de la fraternité.
Tu
crois qu’on regrette ? Je te dis non !
Tu
nous imagines comme ton entourage de salon.
Ils
vont venir comme un ange, tu te sauves au loin.
Partout
il y a de l’eau cher pingouin.
Je
dois parler ma langue qui frappe entre les yeux.
Mais
tu possèdes l’antidote des vieux.
Si
ces pierres te font faire faillite.
Tu
regretteras cette réussite.
Reste
debout et regarde tomber la nova.
Tonnerre,
feu, voix, départ.
Je
veux cette terre libre.
Il
me faut des gens de calibre.
Tu
me montreras la mort.
Je
te montrerai la vie à raison ou à tort.
Montre-moi
quelqu’un, fais du mieux.
Tu
le verras dans l’essieux.
Eau
de somalie, soit ma cage.
Forêt
de Champlain est pleine de rage.
Senteur
de résine jusqu’à ce jour.
Pense
au parfumeur, il y a un recours.
Ne
fais pas du vent, fais une affaire.
Et
à l’avant garde on admirera ton flaire.
Comme
un éléphant tu sembles te sentir.
Bientôt
cette bravoure passera dans un trou pour mentir.
Papa
est ouvert maintenant tu sais.
Et
Maman est mis à l’essais.
Sans
mon équipe William sous les roses.
Comment
puis-je répandre mes proses ?
Et
le véritable chez toi, de la route, est ici.
Et
ce supranationale veut toute la superficie.
Tu
as reçu le signal Princesse, sort de cette boue.
Car
auprès de toi se tient quelqu’un de marabout.
La
tête grossit par ton feu, oses.
Le
corps grossit par ton eau, imposes.
La
chambre pendant ce temps, dehors, vent du nord, frais.
Oh
! qu’il est beau ce petit japonais !
L'habit
aère
Il
va bientôt neiger dehors.
Très
peu après l’envolée de quatre forts.
Et
le fils le soir appelle, pour se préparer au dodo de nuit.
Et
la mère le jour rebelle, pour se préparer au réveil du matin.
Peut-être
que ceci sera la dernière bataille.
Feudataire
prendra la relève du guerrier de petite taille.
Tu
ne seras pas inquiet avec tout le monde ensemble.
Tu
devineras comment convaincre ceux qui tremblent.
La
sensation de Paul s’en va quand je regarde la face.
Je
vois l’imprévisibilité, et tout s’efface.
Rends-toi
compte de nos rois.
Regarde
la force de leurs lois.
Ou,
j’aurais mieux fais de ne pas penser.
Que
de ne pouvoir donner à personne ma pensée.
Encore
si c’était le dernier jour de ta vie.
Vie
longue, honnête, brave, on t’envie.
Dis-moi
ce que tu vas faire à présent.
Irraisonner
sur l’irrationaliste, ou prendre ce présent ?
Debout
dans la flotte, la face devant toi.
Oh!
mais qu’est-ce qui sort de ta bouche ?
Fais
le plus que tu peux.
Et
tout sera merveilleux.
Tu
dois encore revenir à toi-même.
Il
a refoulé tout ton passé, car il t’aime.
Étends-toi
sur le sol, et laisse la larme sortir de toi.
Vois
le magnifique, l’Éternel Roi.
Spectre
au travers de l’arbre, et finalement, à genoux.
Compréhension
de tout le système des fous.
Laisse-moi
vivre encore, laisse la vie me vouloir.
Elle
te suivra partout où tu seras.
Le
printemps doit me frapper encore, contre le vent d’hiver.
Le
soleil percera encore les nuages pour assécher le bois vert.
Laisse
moi vivre encore, derrière moi ce passé.
Il
disparaîtra dans un court instant glacé.
Dites
moi que le danger est passé, je ne veux plus sentir cette glace une autre fois.
Après
de nous, un feu, il réchauffe ses occupants, ses rois.
Après
musique, parfum, rire.
Mulsion,
intervention, décision, bien ouvertement dire.
Et
le vin, le vin partout.
C’est la fête du mort vivant, les racontars savent tout.
Les
as sur rentes
Là,
la confusion très bientôt.
Croyait
la paix venir, viendra tout ce désordre comme un étau.
Nous
savons pourquoi tu restes seul aujourd’hui.
Nous
avons fait comme toi avant qu’il luit.
Est-ce
que demain est aussi sûr depuis que je suis là ?
Pourtant
il le sera lorsqu’il sera hors de l’au-delà.
Le
jour tourne à ta perte.
Le
vautour gagne de façon inerte.
Et
tu ne vois plus apparaître de lendemain.
Tu
n’oublieras plus ce passé de nos mains.
Mieux
vaut réfléchir encore.
Avant
que ne vienne l’aurore.
Le
grand, respecte-le, tout ce qu’il veut, il l’obtient.
On
lui donnera la lune des anciens.
L’écusson
sur son manteau, il reflète au soleil.
La
roue, quelle reflet sans pareil.
Il
est là, à ta droite, le grand, il a été vu par tous.
Comme
il beau, dommage qu’à tout les matins il tousse.
Dans
le pub, un bon matin, le grand a gagé.
Et
qu’est-ce qu’il a gagné ? Un enragé !
Avec
le blondin, dont j’ai oublié le nom.
Lui
au moins, il avait tout un renom.
Il
l’avertit que Chikitong est un prêtre.
Mais
en Allemagne, c’est le Juif qui est l’être.
Et
il a appelé le grand pour dire : plus jamais !
Et
gentille fille répondu comme le son du marais.
C’est
mon mari !
Commerçant
de soierie.
Il
va vous donner un essais.
Mieux
vaut prendre le billet.
Fâché,
il doit être très fâché.
Mais
non, c’est un ange radié.
Si
tu espères prier, fais-le maintenant.
Ô
papesse, ô sagesse, eau ne ment.
Lis-le
bien, vois, il rit !
C’est
que la quadrette est son état major qui crie !
Là,
sur son cheval, il s’en va, il part.
Fumerolle,
épigastre, chorée, dard.
La
polie va lente
Sur
la piste à numéro, il fait l’école jusqu’à 5.
Beau
coup, équille tout sauf la 8.
On
fait de notre mieux, pour bien dire les détails.
Mais
leurs livres contiennent les érailles.
Lorsqu’il
le verra, tôt il le demandera.
Merci
gérant, en retard ce matin dira.
On
ne paie pas le démon, les essais du démon, encore ici.
Lucifer
claqua la porte de l’église qui prie.
Mais
le camion n’a pas arrêté, il a tué l’homme avec l’homme à son côté.
Et
Louis s’est vu refuser la porte du ciel.
Une
lune à moitié, quelle belle nuit !
Bientôt
la pleine lune, belle, encens, luit.
Il
avait peur, le grand avait peur.
Fort
de sa protection, faible en ampleur.
J’ai
ri à la maison, comme aujourd’hui.
On
rit à la maison, mais ils verront le puit.
Car
il est mort parmi les drôles de paroles.
C’était
imprévisible par les têtes folles.
Et
son grand fils a extirpé son nom.
Et
au même moment, se sont tut les canons.
Le
grand, il veut toujours mentir tout bas.
Le
petit, que fait-il en bas ?
Pour
lui, la paie est encore fermée.
Méson
viendra ouvrir son compte de l’armée.
Tout
ce qui est beau, il l’efface.
Et
toute merde sur sa face.
Un
sort le guette, quelqu’un l’a vu.
Président
d’un haut lieu connu.
Étends
ton corps sur cette senteur de nuit.
Volupté,
sentiment inexprimable, étendue pertuis.
Sent
la fraîcheur de l’hiver dans tes cheveux.
Flutter,
tête envolée, sol, sang, paroles, nerveux.
Pire,
tu ne sais pas pourquoi tu sais.
Accomplir
triste constat entre amis niais.
Chaque
cas amplifié par un enfant qui aime.
Tas
par tas, l’éminentissime se ramène.
Tu
es mieux de l’aimer, car la nuit vient maintenant.
Et
sans lui, que feras-tu au présent ?
On
va jouer la partie magique maintenant.
Roule le dé, fais attention au danger imminent.
Là
parle le menteur
Le
NOM se tiendra dans des mains gelées.
Sur
une colline bien pelée.
Ici,
tu connais tout sur moi, comme tes beaux yeux bleus.
Les
miens sont verts, mes cheveux bruns foncés, et je suis heureux.
Voir
la douleur, ça surprend, comme elle rit durant ton crie.
Le
chrisme, je ne te l’ai pas montré je paris ?
Jamais,
jamais savoir !
Oui,
tu le sauras, car tu as tout avoir.
Hei ! C’est l’été ! Hei ! C’est l’été !
Hei
! Je suis embêtée ! Hei ! Je suis lassée !
Hei
! Pour l’été ! Hou ! Quel été !
Hei
! Quelle saleté ! Hei ! Quelle clarté !
Nous
te disons cessescesses.
Et
tu es une princessesses.
Arrête,
et donne ton amour pour ceux qui vivre si creux en terre.
Toi
si haute devant ton Dieu, vois le calvaire qui pour eux erre.
Un
sourire dans le visage, mais le coeur pour le pleure.
Un
triste visage pour eux, mais l’avenir est leur.
La
prière de Dieu arrivera comme on la voit.
Et
tous la répandront sur les toits.
Ici,
sur la montagne des noms.
Le
démon gît tapis comme un piéton.
Par
la neige sur le sol, on voit roulé sur l’eau.
Bête
qu’il est frappé ce poteau.
Quel
oeil voit le Ciel ?
Le
tiens, car tu en as mangé le miel.
Jamais,
jamais je l’ai su !
Pourtant,
toute vérité tu avais d’abord aperçue.
Le
soleil chaud, l’eau qui dégoutte.
Longue
verge en main, déroute.
Flocons
de neige tombe dans le vent.
Impossible
en ce moment.
La
foudre frappe pour libérer le ciel pour vous.
Il
était encombrer de poussière de la soue.
Vous
n’avez même pas vu la vérité du passé.
L’archégone
avait tout simplement éclaboussée.
Les
mots, c’est assez, le cri de la haine suffit.
Dialogue
avec bouledoque, elle fit.
Et
l’homme dans la lune qui vous a séduit, finalement, il vous a perdu.
Et l’homme dans le soleil qui vous a séduit, finalement il vous a gagné toute nue.
La
bouchée
Vous
avez escaladé une corde brûlée.
Et
tout autour du royaume, vautour envolée.
Pour
échappé au monde d’en bas derrière.
Il
faut monter vers le monde de la prière.
Et
vous avez allumé le feu maintenant.
Il
ne s’éteindra plus jamais, lampe magique ne déniant.
Comment
voulez-vous que notre aide vous suivre ?
Vous
suivez la route du cuivre !
Derrière
le mur, sous la boîte.
Espacement
ésotérique qui rend main moite.
Tous
ceux qui ne vous ont souhaitez le bien.
Versus
tous ceux qui vous ont donné le sien.
Tu
devrais laisser ton commerce personnel.
Et
préparer ton nid, belle hirondelle.
Inconnu,
seul, ô divine, ne pars pas aujourd’hui.
Méchant
garnement, loin de moi, fuis.
Pour
demain, tu n’es pas immortel.
Car
Jean Paul n’est pas un tel.
Seul
survivront ceux qui seront sur l’Agrabah.
Triste
sort pour ceux qui resteront en bas.
Tu
es haute au palmarès, et ceci t’apparaît de l’illusion.
Je
suis bas au palmarès, et ceci est en fusion.
Maintenant
que tu réalises que tu as perdu.
C’est
que tu n’as pas vu encore ce que tu as gagné et qui t’es dû.
Tout
ce que tu as accompli ici.
Ce
n’est pas pour que tu restes assis.
Va
bientôt retourner en poussière.
Tout
près de la lisière de cèdre.
Victime
du futur de la vie.
Chanceuse,
tous les autres t’envie.
Quand
la nuit viendra ? Je ne le sais pas !
Seul
Dieu qui est au ciel sera ton embarras.
Mais
tu ne peux pas te cacher avec un juif.
Il
a un don inconnu du ciel auprès des ifs.
Tu
es toute seule, alors me quitter moi, non !
Oui,
car nous les français n’avons pas de prophètes de renom !
Ne
laisse pas aujourd’hui pour demain comme si tu étais immortelle.
Étoile
toujours brillante, cours vers cet hôtel.
L'astro
haute
Et
l’homme dans la lune ?
Et
la femme dans le soleil, ensuite vers la dune.
Sors
d’ici aujourd’hui gros porc, tu as quelque chose à faire.
Groin,
groin, je prépare l’enfer.
Va
laver tes mains, pour le reflet de ta vie.
Pas
besoin, je l’ai fait pour toi petit kiwi.
Tu
dois sortir lorsque l’or de l’ouest est dans le vent.
Ramasse-toi
des trésors dans le ciel, et non à la banque comme auparavant.
Ça
tombe comme de l’eau, ça descend de la montagne.
C’est
en haut que l’on mange la lasagne.
Va
à l’ouest femme, apprendre le jour du dollar.
Souviens-toi,
avec rouge polar.
Comme
ta famille te l’a dit.
Tu
ne veux tout de même pas qu’ils soient maudits ?
Tu
roules tes jours pendant que je les fabrique toute la nuit.
Arrosée
de poivre, tu l’aimes bien cuit.
La
tête de la nuit, va attendre de votre côté.
Vous
verrez la fumée, longue embrasement, jamais vu durant l’été.
Va
à l’ouest femme, comme t’a famille t’a dit.
Fais
attention à ce qu’il dira mardi.
Tout
au long des wagons, tout au long de la route poussiéreuse.
La
terre tremblera sous tes pieds, vagues affreuses.
Dix
sept ans, pas un jour de plus, comme un enfant dans la nature sauvage.
Dommage
incalculable de pollution, ravage.
Le
lait de ta mère encore chaud sur ton visage.
Ce
nuage en forme d’arc, il vient du sage.
Et
personne pour prier pour la sécurité de tes jours.
Oh
non, le traître est pour l'entour.
Dehors,
derrière, le désert, près de la montagne que traverse une chute.
Regarde
le juge, chapeau parachute.
La
servante qui a besoin de la maison du maître.
Ne
voit pas au coin le traître.
Elle
marche sur la route, les champs d’or, il
t’embrasse.
Un
parrain te tiens la main, il est de ta race.
Adoptée
par le riche.
Il
t’a enseigné les difficultés et t’a donné une niche.
Va
à l’ouest femme, parfumée, un jour, comme tu sais.
Ne
reluque pas la réprimande comme si tu étais parfaite.
Tu
retournes où tu as commencé.
En pleine nuit dans ce brouillard des rascasses.
Le
pouce vert
Un
homme heureux, un lion avec un pauvre.
Il
ne restera que deux guimauves.
Les
fantômes que l’on sait rappelés.
Eux,
crois-tu qu’ils vont oubliés ?
Alors,
va à l’ouest femme, va à l’ouest comme ta famille t’a dit !
Ne
fais pas comme les bandits !
Trop,
beaucoup trop, pourtant c’est la dernière fois.
Un
beau dîner devant l’horloge d’autrefois.
Mais
beaucoup plus se trouve ici en bas.
Rouge
sur rouge, chemin arrière, détour en contre-bas.
Tu
penses que ce que j’ai trouvé d’étrange peut attendre.
C’est
que tu n’as pas encore vu la cendre.
Car
ils m’ont élevé et ils me rabaisseront encore.
Ils
t’ont élevé et ils te rabaisseront en renfort.
Tout
ce plaisir est maintenant terminé.
Tout
ce travail est maintenant compliqué.
Ce
que j’avais pour toi, viens de sortir de la cène.
Va
droit, tourne, recule, va droit au forcène.
Peut-être
est-ce parce que tu te césures trop, tu m’as embarré.
Deux
lumières vibrantes, au loin, carrées.
C’est
fou le chemin que tu gardes mère.
Oreille-de-mer
est délicieuse pour la terre.
S.V.P.,
trouves la clé reine mère.
Libère
cet ange du ciel, laisse-le tout parfaire.
Mais
ne me laisse pas aller libre.
Car
un autre aimera mon étreinte de fort calibre.
Je
pensais que j’étais chanceux, je pensais dans le noir.
Parfois
on ne remarque pas les bons Renoir.
C’est
accompli, comment ais-je pu être si aveugle ?
C’est
simple, j’aime l’avenir de celui qui beugle.
Je
vous dis « Good bye », en attendant.
Je
tirerai la charrue comme un seul tenant.
Le
chemin que j’ai fais, je l’ai fais pour le serpent.
C’est
sec et dur, mais celui qui veut se repent.
Ennemis
sur la formule, et un simple baptême.
Ringard
te baptisera dans l’esprit même.
J’ai
dessiné une route de cinéma, oh Mama !
Tu
as effacé mes actes de drama.
Aides-moi
à trouvé mon chemin, reine mère.
Choisie de Dieu, perfection de nourrice, ne soit pas adultère.
L'écrit
vain
Donne-moi
une belle été.
Et
la terre viendra auprès de toi téter.
J’ai
travaillé dur pour les mettre ensemble, pauvre rêve !
Foutaise,
l’imbécile croit à sa victoire, qu’il crève.
La
vision de sa vie est pleine d’imagination.
La
vision de ta vie est pour les nations.
La
défense est venue pour le mauvais temps qui vient.
Sans
défension, parrain aura été inutile chien.
Le
dragon a respiré au loin.
Il
a entendu l’appel de Dieu, il viendra au coin.
Les
champignons sont sur sa maison.
Seul
un bon constructeur peut la relever comme un masson.
Les
nymphes géantes et le permis du chien.
Ça
vaut bien un de tes numéros anciens.
Ça
regarde comme un rêve de nuit, pauvre petit El Ninio.
Tu
regardes si confus, sois brave comme Gironimo.
Il
mange toute sorte de nourriture juste avant de se coucher.
Comment
te convaincre d’embaucher ?
Il
a toujours été un bon navy, comme ça regarde ce soir.
Image
de télévision au parloir.
Il
garde Washington dans la gloire.
Compatriote
de la statue de la liberté en foire.
Mais,
il a coupé l’arbre, le cerisier est à terre.
Et
depuis, le paysage est forfaitaire.
Maintenant,
on close tout, et ce n’est pas une histoire.
Seul
les sans histoire pourront voir ma gloire.
Nimo,
sors du lit tu veux !
Oh
brave guerrier, comme tes dieux sont vieux.
Ne
me raconte pas d’histoire, je ne veux rien savoir.
Je
n’appelle toujours que les bonnes à voir...
Viens-t-en,
on a assez attendu pour y aller.
Tu
es sûr qu’il nous faut si fort pédaler ?
Un
jour, il est allé au carnaval des nations.
Et
c’est là que tu t’es fait tromper, attention.
Il
a dansé avec la Princesse toute la nuit.
Et
toi près du gaz bar, tu réfléchissais à lui.
Ils
les ont trouvés sur une plate-forme mobile.
Ce
ne fut pas de tout repos d’entreprendre une telle recherche débile.
Dix
tonnes qu’ils pesaient à leur sujet.
Mais, pour moi leur poids valait la plume, je n’ai aucun regret.
Le
jugement
Garde
les audiences, brise mon fils.
Le
pouvoir je te le refile.
Nimo,
ôtes-toi de là !
N’y
penses-même pas !
Dis-le
encore Joe, j’ai besoin d’un autre verre.
Tu
vois ton bol, c’est avec lui qu’il enserre.
Pour
exploser dans le verre, et savoir que je vis toujours.
Tu
n’as qu’à venir voir mon jour.
Joue
une mélodie Joe, pour sentir tes yeux ce matin.
Regarde
belles fleurs suspendues en rotin.
Plus
jamais je ne t’embêterai.
Promis,
jurée, avant ton degré.
Laisse
mes amis venir me visiter, une bonne fois.
Tu
tournes tout en ridicule comme autrefois.
Tu
ne sais jamais ce que tu peux trouver dans la nuit.
Ce
sang noire est le tiens, essuie.
Juste
une visibenvie sur mes yeux.
Je
ne crois visibenviment rien de tes oeufs.
Il
y avait les rois qui riaient dans la pluie.
Il
y avait les reines qui pleuraient dans la suie.
Et
ils m’ont dit de lire la pluie.
Je
l’ai plutôt écrit comme un enduit.
Et
dis lui qu’il n’y a pas de changement, le ciel, c’est la lune.
Message
compris, derrière le mur, belle brune.
Les
mots du ciel reflètent sur moi et sur vous.
Comme
si le sirocco vient à toujours frapper tout.
Ô,
éclaires-les s’il te plaît !
Ta
prière sera exaucée puisque tu bois mon lait.
Je
n’ai pas réussi et bientôt, ce sera fini.
Jamais
rien n’est fini entre amis.
Ouvres-mes
yeux Joe, est-ce que j’ai déçu la lumière du jour ?
T’en
fais pas, on déçoit tous, nous sommes tous nullité, mais il aime nos tours.
La
craie sur le mur dit : C’est le temps de partir !
J’obéirai
encore à sa ligne de fakir.
Jamais
vu la même figure deux fois, jamais marcher vers le chemin du soleil.
Bientôt,
ce chemin sera le tiens, ô merveille.
Est-ce
que j’ai su garder le Juif sur mon côté ?
Il
est toi celui là mon potée.
Ça
suffit, de dormir dans mon lit.
Alors que j’ai tout accompli.
L'homme
au courant
Qui
sait exactement ce qui se trouve dans la lumière de la lune ?
Le
seul, l’unique, le vrai, pampelune.
Entends-tu
le cri perçant de ceux qui sont en bas ?
Ils
attendent la lumière du tunnel des rats.
Il
pense qu’il est un grand guerrier, alors il prend son épée, et il va.
Mais
l’épée sera trop lourde pour lui, il faut pratiquer les combats.
Dès
maintenant, jusqu’au monstre, il sauvera la Princesse.
Par
la suite, il implorera la déesse.
Mais
il sait qu’elle n’est qu’un démon sous l’empire du Prince des démons.
Il
lui pardonne, car lui aussi a fui Rome par le même mont.
La
vérité est restée loin dans les folles âges.
Le
mensonges, hélas, continu ses dommages.
Et
à un grand arbre il a coupé la tête, à la maison.
Je
suis content, fontaine de Provence a raison.
Dans
une clairière chez-nous, dans nos champs.
Y’a
la comète des grandes naissances du temps.
Elle
a appelé à la maison.
Mais
celui-ci l’a trompé, elle a perdu la raison.
Ne
sois pas inquiète, j’ai besoin de toi, je vis seul.
Elle
s’est enfuie vers son aïeul.
Je
vais te donner le vin et le pain.
Tu
me donneras le chagrin et le dédain.
Et
nous savons qu’il est bon lui pour entrer avec elle.
Lui
aussi mettras son grain de sel...
Je
vois quelque chose, cet homme est allé vers le nord.
Espionnage,
bobine sur record.
Très
loin dans la nature, pour voir son logis.
Elle
fut affecté par sa physiologie.
Pour
voir celui qui sait la place que prends la magie dans ce monde.
Il
faut d’abord rencontrer Merlin dans sa ronde.
Il
se prépare à prendre sa croix, il montera.
Tu
le suivras, puisque tu l’adoreras.
Réjouissez-vous,
il a fait l’Alliance, nous avons tout harmonisé.
Tout
provient de Dieu, et tout sera carbonisé.
Réjouissez-vous,
mais voyez l’appel qui vous reste à payer.
Une
longue distance n’est pas sans peine rayée.
Il
y a des hommes qui n’écoutent jamais, il y en a qui n’apprennent jamais.
Mais
les têtes dures, les boucs, c’est le fait des dieux Rabelais.
Mais
pourquoi cette homme a écouté et a appris ?
Le bossu de Notre-Dame est un chameau, il boit, il boit, et il est pris.
La
faim
Maintenant
il marche vers un piège qui l’attend.
Mais,
il se vante devant Satan.
Il
est aller dedans prendre ce qu’il a trouvé.
Il
est content, car il croit avoir affaire à l’homme du temps.
Mais
il n’a jamais voulu sauver ceux qui sont à sauver.
Alors
il aura affaire aux motivés.
Qu’est-ce
qu’il désire au juste ?
Sûrement
pas l’argent, mais il aime l’injuste.
Demeure
avec moi mon Dieu, j’espère toujours en toi.
Ceux
qui veulent me faire taire, je te les envoie.
Ici,
à mes côtés, au cas ou j’aie besoin de toi, ô mon Dieu.
Demeure,
mais bouche mes oreilles à la vocifération des odieux.
Dans
tes yeux, je me sens bien et en sécurité.
Dans
tes mains, je me sens vivre pour l’éternité.
Chaque
jour est un jour parfait que je dépense avec toi, mon Dieu.
Et
chaque nuit s’apesentira sur ceux qui m’ignorent aux cieux.
Seul
avec toi, je te suivrai encore, suis-moi durant le jour et durant la nuit.
Envoie-les
dans le froid des Inuits.
Je
n’ai qu’une larme pour l’année que je viens de passer.
C’est
celle d’être en amour avec toi mon Dieu outrepassé.
Donne-leur
le médecin, je vois très clair maintenant.
J’entend,
je comprend, je donne, j’aime aisément.
Par
mon Fils, nourrissez au loin.
Par
mon Père, apprenez du moins.
Je
peux vous dire que le bien c’est Dieu, et marcher vers moi.
Vous
pouvez me dire que le bien c’est vous, et vous cacher de moi.
Les
mains fermées seront mieux de s’ouvrir.
Car
bientôt, les gens sous les rochers sortiront à la face du soleil.
Je
vais vous suivre si vous me suivez.
Ensemble,
montons vers le Paradis, nous enivrer.