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Nouvel Obs 22/5/03 : les gendarmes d'Homicide 31 à Toulouse, en référence au "suicide" de Jambert, ont fait des doubles de leurs dossiers et ont assuré leurs familles qu'ils n'ont aucune intention de se suicider.

http://www.armees.com/breve.php?id_breve=247
http://216.239.51.104/search?q=cache:AJ3b2sI_SRwJ:www.observatoirecitoyen.be/article.php3%3Fid_article%3D313+gendarme+Roussel&hl=en
http://216.239.39.104/search?q=cache:0PsQk-ThocQJ:www.nouvelobs.com/forum/archives/forum_83.html+%22Stop+%C3%A0+l%27oubli%22&hl=en

Roussel sera-t-il "déchu professionnellement" comme Jambert ("Disparues de l'Yonne. La contre-enquête" p300) ? [les enquêteurs du CSM qualifieront le rapport Jambert de "remarquable travail de recoupement".] Cette question était posée à la création de ce site : depuis nous avons appris que le "suicide" de Jambert état un assassinat maquillé en suicide.

Libération 19/9/03 p2 : «… Je ne sais pas à qui pouvait profiter le fait que le nom de Dominique Baudis soit jeté en pâture, a indiqué Me Guidicelli . Mais elle dit qu’effectivement ce sont surtout des gendarmes qui ont préconisé de mettre (son nom) en pâture… Selon Me Guidicelli, certains gendarmes, notamment celui « qui avait la paternité de cette enquête à l’origine », auraient « utilisé, instrumentalisé, manipulé » Fanny et lui aurait suggéré « de mettre en cause M.Baudis ». « On appelle ça aussi de la manipulation mentale ou de la manipulation procédurale.»

L'analogie systémique avec le changement de défense d’Alègre frappe : après le "revirement" d'Alègre et Fanny, leurs nouveaux avocats défendent... Baudis [même chose le 8/2/04 chez Fogiel, l'essentiel du message est : "Il n'y a pas de réseau.", suite à la sortie du livre du gendarme Roussel. Me Colliard mentionne le fait que le colonel... évoque la franc-maçonnerie, dans le livre de Roussel. (voir ci-après)] Pour le bras droit de Perletto et le Chinois, quelqu'un parlera-t-il de « manipulation mentale» ou de « manipulation procédurale» ? Qui servira de maillon faible fusible/bouc-émissaire : un substitut ? un policier ?

Le directeur général de la gendarmerie, Pierre Mutz… s’est réservé le droit de « donner une suite judiciaire aux propos tenus» , qui constituent des « accusations d’une extrême gravité ».

Decouty (aussi excellent que Vigoureux, la journaliste du Nouvel Obs pour Auxerre-Appoigny et les disparues de l’Yonne) dans le Figaro du 23/9/03 p12 cisèle avec maestria la systémique de l’affaire Alègre-Toulouse :
«… tout ou partie de la solution est peut-être dans le dossier criminel instruit par le juge Serge Lemoine visant les meurtres de Line Galbardi et Claude Martinez, au début des années 1990. « Un dossier éclairera probablement l’autre"… Difficile en effet de croire que des gendarmes aient « suggéré » le nom de Dominique Baudis aux jeunes femmes… gendarmes de Toulouse , parmi lesquels sont nés des dissensions, des rivalités, pour aboutir aujourd’hui à de
VERITABLES FRACTURES."

Selon le Nouvels Obs du 25/9/03 pVII : "... les gendarmes [lesquels ?] dans leur PV de synthèse du 5 juillet... font enfin cette remarque capitale : Sa fréquentation [celle d'Alègre] des "prostituées, proxénètes, établissements de nuit" n'a pu être "confirmée"... " Rejoue-t-on novembre 1991 ? En face de 160 à 200 meurtres et disparitions, la prise de position vaut d'être enregistrée pour l'avenir... Midi Libre 15/6/03 p17 : "... en 1987... il aurait [Alègre] commis le premier meurtre dont la justice le soupçonne : celui d'une prostituée, Josette Legoy, pour lequel il a été mis en examen le 30 mai 2002..." Point 20/6/03 p62 : "On l'aperçoit aussi [Alègre] au Club 39, un sauna échangiste... association loi 1901... dont certains [policiers] deviennent clients..." Point 19/9/03 p 62 : «… un nouveau témoin jette le trouble. Magali… porte plainte contre l’Etat français pour « faute lourde et déni de justice ». Son avocat bordelais, Me Daniel Lalanne pose la question qui dérange : POURQUOI LES GENDARMES CHARGES DE L’ENQUETE PUIS LA JUSTICE ONT-ILS OCCULTE LES SEVICES SEVERES ET LES DEUX VIOLS DONT ELLE A ETE VICTIME EN NOVEMBRE 1991 ? … UNE INFORMATION EST OUVERTE POUR « PROXENETISME AGGRAVE »… LAKHDAR MESSAOUDENE, SON PROXENETE… ELLE FERA 12 JOURS D’HOPITAL. UNE EXPERTISE MEDICALE ORDONNEE AU MOIS D’AOUT REVELE « LA PRESENCE DE CICATRICES ANCIENNES, DES MARQUES DE BRULURES DE CIGARETTES AU NIVEAU DES SEINS, COMPATIBLES » AVEC LES ACTES AVANCES PAR LA JEUNE FEMME. ELLE NOTE PAR AILLEURS DES TRACES « AUX AVANT-BRAS CARACTERISTIQUES DES PRATIQUES SADOMASOCHISTES » QUI NE PEUVENT ETRE « DE L’AUTOMUTILATION »… OUTRE SON PROXENETE, ELLE ACCUSE PATRICE ALEGRE ET « UNE PERSONNALITE »…

Rappel systémique :
- affaire Dutroux : De Baets,
- affaire Auxerre-Appoigny/disparues de l’Yonne : Jambert,
- affaire de l’arsenal de Toulon : Jodet, Calliet,(Monde 11/5/04 p10 : "... le parquet militaire de Rennes a été récemment saisi de faits délictueux dans les DCN de Brest et de Lorient...")
- affaires de Nice-Grasse-Antibes-Hyères : Murciano, Lévy, de Montgolfier, Dorcet, Candela.

ROUSSEL EST MIS A LA RETRAITE A 42 ANS. C'ETAIT SYSTEMIQUEMENT PREVISIBLE DES L'ARRIVEE DES "RECADREURS" SUR LA BASE DU SCENARIO "AFFAIRE DUTROUX". LA QUESTION EST MAINTENANT : COMBIEN DE TEMPS POUR QUE LA FRANCE ET LA BELGIQUE DEVIENNENT DES MEGA-CIUDAD JUAREZ ? COMBIEN D'AFFAIRES DUTROUX BIS, TER ? COMBIEN DE MORTS ET D'ACTES DE BARBARIE INSOUTENABLE ? COMBIEN DE TEMPS AVANT QUE NOUS ENTRIONS EN RESISTANCE SUR LA BASE DE L'ARTICLE 16 DE LA DECLARATION DES DROITS DE L'HOMME : UNE NATION OU IL N'Y A PLUS SEPARATION DES POUVOIRS N'A PLUS DE CONSTITUTION ET LA RESISTANCE A L'OPPRESSION EST UN DROIT IMPRESCRIPTIBLE ?

Djamel (affaire Alègre-Toulouse) se suicide moins d'une semaine après Chantal Guéroult (affaire Bédier). Il avait maintenu son témoignage sur le volet pédocriminalité de l'affaire Alègre-Toulouse. Sa mort était systémiquement prévisible. "Le rapport Omerta 2004" de Coignard mentionne p79 : "Des enquêteurs soulignent qu'une fois déjà, dans une enquête judiciaire, un témoin capital est décédé de la même manière: c'était dans l'affaire Yann Piat. .. rien n'a percé, quatre mois après le décès, de l'enquête sur les causes de la mort... s'il y avait quelque chose à cacher, on ne s'y prendrait pas autrement..." Chanal (disparus de Mourmelon) se suicide, au deuxième jour de son procès, A LA LAME DE RASOIR MALGRE LES FOUILLES ET AVEC DEUX GARROTS AUX JAMBES.

http://archquo.nouvelobs.com/cgi/articles?ad=societe/20040211.FAP9658.html&host=http://permanent.nouvelobs.com/
Dans une lettre adressée mi-janvier au procureur de Toulouse, un substitut, qui livre ses observations sur le traitement judiciaire de l'affaire Alègre, critique le rôle du parquet et l'orientation donnée au dossier et suggère d'autres actes judiciaires, rapporte le quotidien «France Soir», qui publie mercredi des extraits de cette lettre. Le substitut François Heinisch, auteur de la lettre selon le journal, refusait mercredi matin de réagir à cette publication et le procureur Michel Bréard n'était pas non plus joignable. Selon «France Soir», cette lettre de dix pages écrite le 13 janvier dernier traduit un «malaise chez certains magistrats», une «exaspération fondée sur la conviction que l'affaire Baudis n'a pas été instruite avec suffisamment de sérénité ou de célérité». «Il semble aujourd'hui que l'instruction s'oriente (...) vers une tentative de démonstration que les deux principales protagonistes (NDLR: les anciennes prostituées «Fanny» et «Patricia») auraient de fait opéré un manipulation», s'étonne le substitut Heinisch, qui affirme que malgré leur revirement et leurs inexactitudes dans leur témoignage, «il n'en reste pas moins qu'elles ont affirmé et continuent d'affirmer avoir subi un certain nombre d'actes qualifiables pénalement et qu'il est du devoir de l'institution judiciaire de vérifier leurs dires». Le substitut regrette aussi le fait que les personnes mises en cause par les anciennes prostituées n'ont pas été mises en examen mais bénéficié du statut de témoin assisté, soulignant qu'en «choisissant ce cadre juridique, le magistrat instructeur obérait de fait la possibilité de de renvoi ou de mise en accusation au terme de l'instruction». Pour M. Heinisch, il reste «de nombreux points sur lesquels l'instruction ne s'est pas encore penchée», écrit-il. Il suggère notamment de réentendre Dominique Baudis sur son emploi du temps le jour où il est accusé de viol par «Patricia», d'expertiser ses agendas et d'organiser une confrontation entre les deux dans le cadre du dossier «proxénétisme et viols».

Aujourd'hui en France 23/1/04 p 1 à 3 (repris par France-Info) : "191 mortes ou disparues. Les accusations du gendarme Roussel... La rage de Michel Roussel est bien pire. Elle est froide, réfléchie, immense [les françaises et les français non-bobos-échangistes-SM partagent cette rage froide]... lex-adjudant VEUT DESORMAIS AIDER LES FAMILLES DES VICTIMES D'ALEGRE A "POURSUIVRE LES ENQUETES". CEUX QUI LE CROYAIENT PARTI SE TROMPAIENT ENCORE [bien au contraire, il est libre, mais on peut faire le pari systémique au 24/1/04 qu'il sera assassiné, comme Alègre avec ou sans évasion, et les témoins de l'affaire Alègre (dont on attendra les vrais rapports d'autopsie selon le modèle du début des années 90 et le modèle Borrel, avant l'intervention de la veuve du magistrat elle-même magistrate, et qui seront incinérés comme les victimes de Ciudad-Juarez sont dissoutes à la chaux)]... C'est au nom des victimes d'Alègre... "qu'il a décidé de ne jamais lâcher"... Accablant, son témoignage fait état d'une "lente neutralisation" de la cellule... Sur le volet "notable", Michel Roussel dessaisi du dossier au profit d'une deuxième équipe [scénario affaire Dutroux], affirme ici QU'IL AURAIT FAIT L'INVERSE DE CE QUI A ETE FAIT... entre 1985 et 1997, il y a eu sur Toulouse 191 cas de disparitions et morts suspectes DE FEMMES [le silence des féministes est étrange et on attend une commission d'enquête parlementaire : sommes-nous à Ciudad-Juarez ?]... IL FAUT ENQUETER SUR CES 191 CAS... tout a éclaté avec l'apparition des "notables". Le raz de marée a tout emporté. JE SAIS MAINTENANT QUE CES DOSSIERS SONT ENTRAIN D'ETRE REFERMES LES UNS APRES LES AUTRES [la non-poursuite des assassinats des sociétés secrètes a été la caractéristique de la phase prétotalitaire durant l'entre deux-guerre au Japon et en Allemagne]... Tout ce que je raconte est non seulement vrai, mais aussi largement en deça de ce qui s'est passé... des meurtriers sont aujourd'hui en liberté. Ne pas enquêter sur ces 191 disparitions, c'est ne rien faire contre eux. Avec ce genre de raisonnement, Alègre a ainsi pu tuer en toute impunité pendant dix ans !... Il y a un psy qui le connaît bien... Il m'a dit un jour qu'avec ce profil là, il fallait aussi QUE L'ON S'INTERESSE AUX MINEURS... CA ALEGRE L'A TOUJOURS NIE. SI L'ON DECOUVRAIT UN MINEUR DANS SON PARCOURS, LA PEINE INCOMPRESSIBLE PASSERAIT DE VINGT-DEUX ANS A TRENTE ANS. IL RESTERAIT HUIT ANS DE PLUS EN PRISON... Un de ses anciens amis m'a averti. Il m'a dit : "Faites attention, PATRICE S'EVADERA."... Patricia et Fanny... s'appellent en fait Christèle et Florence... Le seul point commun qu'elles ont eu pendant des semaines, c'est d'être terrorisées. Elles répétaient tout le temps : "Arrêtez, vous ne savez pas où vous mettez les pieds."... Quand elle m'a raconté des scènes de viol au tribunal, je l'ai tout de suite mise dans une voiture et nous sommes allés chez un magistrat. C'est devant lui qu'elle a tout raconté. Là encore, je n'étais pas seul... j'ai toujours dit à Florence et Christèle : "attention, si vous racontez n'importe quoi, vous serez poursuivies."... Le capitaine... m'a demandé si j'avais envoyé le procès-verbal de Fanny au juge Lemoine... Il m'a demùandé d'aller le récupérer. Le juge Lemoine, qui est un magistrat exemplaire, m'a dit que cela n'était évidemment pas possible. On m'a reproché d'être "trop près des juges". Ensuite, on m'a dessaisi de ce volet pendant mes congés, en avril 2003... D'ENTREE DE JEU, SELON MOI, L'ENQUETE A ETE SABORDEE... Je sais ainsi qu'une troisième ancienne prostituée, qui n'était en relation ni avec Christèle ni avec Florence, et que moi je n'ai jamais vue, a fait des confidences. Je sais qu"elle a évoqué un repas entre un proxénète et un notable de Toulouse. Le nom de ce notable n'a pas été acté sur le procès-verbal. J'écris aussi dans mon livre qu'elle l'a aussi mis en cause devant une équipe de télévision qui n'a pas diffusé l'enregistrement. Selon moi la justice aurait déjà dû saisir la bande... Je peux vous décrire chaque scène de crime, chaque détail est gravé dans ma tête pour toujours. Ces femmes ont été torturées, brûlées vives... [Alègre] raconte souvent que son protefeuille ne pouvait pas contenir tout son argent et qu'il "perdait des billets" [les chômeurs apprécieront]. Il a été aussi en contact avec Franck Perletto, un parrain présumé du Var... JE VAIS AIDER LES FAMILLES DES VICTIMES. ELLES VIENNENT DE CREER UNE ASSOCIATION ET M'ONT DEMANDE D'ETRE LEUR "CONSULTANT". SI ELLES ME DEMANDENT DE CONTINUER D'ENQUETER, JE LE FERAIS, BENEVOLEMENT BIEN SUR. ALEGRE EST LIBRE DANS 16 ANS. C'EST DEMAIN... JE N'ABANDONNERAI JAMAIS... J'AI RECU LES REVELATIONS DE QUELQU'UN QUI NE VEUT PAS APPARAITRE, POUR SA SECURITE. C'EST QUELQU'UN QUI N'A RIEN A VOIR AVEC LE MILIEU DE LA PROSTITUTION. CE QU'IL M'A DIT EST EN LIEU SUR. ET C'EST PLUS EFFRAYANT QUE TOUT CE QUE VOUS POUVEZ IMAGINER..."

Hommage à Laurent Valdiguié et à Aujourd'hui en France, "justes de la République". http://www.google.com/search?hl=en&ie=ISO-8859-1&q=%22gendarme+Roussel%22&btnG=Google+Search

Libération 23/1/04 :
"... Dans un communiqué, le directeur général de la gendarmerie nationale, Pierre Mutz, juge ces déclarations "particulièrement infondées" et souligne le travail "remarquable" de Michel Roussel dans l'affaire Alègre. "Ce ancien sous-officier n'a jamais fait l'objet de la part de la gendarmerie d'une quelconque vindicte (...) A aucun moment Michel Roussel n'a été écarté de l'enquête", assure-t-il. "Les enquêtes se déroulent sous l'autorité directe de ces magistrats. Ceux-ci n'auraient pas manqué de remédier à des dysfonctionnements ou déficiences s'ils avaient existé", ajoute Pierre Mutz. La direction de la gendarmerie ne dément cependant pas le chiffre de 191 cas de disparitions et de morts suspectes de femmes entre 1985 et 1997 à Toulouse, livré dans son interview par l'ex-adjudant..."

Pièces à conviction France 3 29/1/04, remarquable de pondération et de fermeté :
Les familles des victimes ont créé une "Association toulousaine des familles pour la vérité sur les crimes et les disparitions oubliées", 49 Bd Gambetta à Cahors, tel 05 65 31 84 95 … Magali et ses parents ont assigné l’Etat pour déni de justice… Son père parle de gestion de rideau de fumée par un fonctionnaire régalien qui l’a accablé de reproches… l’avocat de Magali parle de scandale judiciaire majeur… les agendas de Baudis ont été réclamé par le parquet depuis 6 mois sans suite de la part du juge concerné… L’IGPN n’a rien à signaler mais… a subi des entraves et n’a pas enquêté sur des faits précis mais des rumeurs… Pour Roussel : « La république est en danger. »

Hommage à Roussel et Lucet, « justes de la République ».

Roussel « Homicide 31. Au cœur de l’affaire Alègre. L’ex-directeur d’enquêtes parle. » , remarquable de pondération et de fermeté :
« … Interrogeant un fonctionnaire de police sur la victime et les circonstances de cette mort, le journaliste dit avoir obtenu une réponse qu’il n’oubliera jamais : « T’emballe pas, de toute façon je te fiche mon billet que cette affaire ne sortira jamais. »… Un de ces témoins aurait en sa possession des photos et des secrets plus ou moins compromettants pour les uns et les autres, ce qui lui assurerait une solide « protection »… il s’est adressé en guis de seconde « assurance-vie », à des journalistes auxquels il a parlé de photos qu’il détiendrait « depuis des années ». Il ne nous a livré que des clichés mettant en lumière le comportement sexuel, pour le moins particulier, d’individus qui ne sont cités dans la procédure. A-t-il voulu faire passer un message à d’autres personnages concernés, de près ou de loin, par l’enquête ? … Nous avons perquisitionné chez des pervers détenteurs de films de soirées très spéciales…

Au cours de l’été 2003, alors qu’il n’était pas encore question de mon départ à la retraite, des supérieurs m’ont demandé à deux reprises si j’avais l’intention d’écrire un livre ( !)… Un livre : voilà apparemment ce qu’ils redoutaient le plus. La crainte de l’homme libre…

… je suis indirectement « vengé » par le directeur de l’autre enquête lui-même : il nous informe que le juge Bergougnan [celle dont la Chancellerie avait annoncé trop tôt le départ] critique son travail. La voix blanche il propose d’être retiré de l’enquête. Un autre fait de même. Le lieutenant-colonel refuse. A l’issue de cette réunion, il me fait signer ma demande de mutation…

Les propos… se sont fait confidence. « On » ne nous laisserait pas aller jusqu’au bout : on touchait au pouvoir, au financement des partis politiques par les municipalités ET LA FRANC-MACONNERIE… Jusqu’à présent les filles n’étaient pas vraiment en danger, mais si ça continuait, elles risquaient vraiment de l’être… Aujourd’hui on peut faire tuer quelqu’un pour cinq mille francs. En Belgique, DANS L’AFFAIRE DUTROUX, LES SEULS TEMOINS VIVANTS SONT CEUX QUI ONT ETE TENUS POUR FOUS… Et il vaut mieux passer pour fou que de se faire tuer. Lui-même, on pourrait le faire passer pour fou ou dépressif… [on est aux antipodes de d’Estienne d’Orves, de Maridor, de Guedj, de Marin la Meslée, de Saint-Exupéry…]

En 1995, alors que Patrice Alègre est hébergé chez un ami, une mineure du voisinage remarque plusieurs matins de suite qu’un individu la suit lentement sur le chemin du lycée ou s’embusque dans une 205 blanche. Son père décide de piéger seul l’individu qui menace sa fille. Un matin, il a suivi sa fille discrètement et, dès qu’il a vu la voiture, il s’est précipité sur le capot. A travers le pare-brise, il a distinctement discerné le visage du conducteur qui a immédiatement démarré en trombe, le jetant du même coup à terre. Des années plus tard, le père de l’adolescente, lorsque nous lui avons présenté des photos de Patrice Alègre, a été formel… [ce mode opératoire est celui de Dutroux]

Une femme, officier de police ( !), a envoyé de l’argent à Patrice Alègre et a multiplié les demandes de parloir. Sa hiérarchie s’est toutefois émue de ses démarches…"

France-Soir 28/1/04 p6 : « La justice ouvre à nouveau le dossier d’Edith, morte en 1990, hâtivement classé en suicide après une procédure bâclée… Une jeune femme à moitié dévêtue dans un fossé [à Cintegabelle le fief de Jospin]… L’autopsie incomplète ne révèle pas de viol… les gendarmes du groupe de recherche de Muret… rendent leur copie un an plus tard… Les scellés ont disparu. [combien de pièces ont disparu dans les affaires Alègre, Chanal, Auxerre-Appoigny ?] Des témoins capitaux n’ont pas été entendus. « Il y a eu de graves fautes et tout le monde, enquêteurs, juge et magistrats, sont passés à travers », estime une source proche de l’enquête … « et si à l’époque on avait vraiement mené une bonne enquête, on aurait peut-être pu empêcher la mort d’autres jeunes filles »… LE NOM D’EDITH SCHLEICHARDT EST APPARU PAR HASARD EN SEPTEMBRE 2003 LORS D’UNE CONFRONTATION ENTRE FLORENCE K (« Fanny ») ET MARC BOURRAGUE… L’ANCIENNE PROSTITUEE A FOURNI UN FAIT TROUBLANT. « ELLE DEVAIT SORTIR LE SOIR AVEC LUI QUAND BRUSQUEMENT UN EVENEMENT EXTERIEUR A BOULEVERSE LEURS PLANS »… C’ETAIT LE MEURTRE D’EDITH SCHLEICHER QUI A AMENE LE MAGISTRAT A SE DEPLACER SUR LES LIEUX. MARC BOURRAGUE AURAIT NIE CET EPISODE. LE 11 OCTOBRE 2003, LA DEPECHE DU MIDI PUBLIAIT UN ARTICLE SUR L’AFFAIRE ILLUSTRE PAR UNE PHOTO MONTRANT LE MAGISTRAT SUR LA SCENE DU CRIME. DEVANT CETTE EVIDENCE, L’ANCIEN SUBSTITUT TOULOUSAIN A ENSUITE EVOQUE UN PROBLEME DE MEMOIRE. « C’EST D’AUTANT PLUS ETONNANT QU’IL ETAIT CHARGE DES AFFAIRES ECONOMIQUES ET FINANCIERES. ON N’OUBLIE PAS CE GENRE D’EVENEMENT », ajoute Jean-Claude Guidicelli. Ce dernier tente aujourd’hui de prouver que sa cliente, témoin contreversé, n’a pas raconté que des choses abracadabrantes. VOILA POURQUOI IL A DEMANDE AU JUGE PERRIQUET DE VERSER LA PROCEDURE SCHLEICHARDT DANS LE VOLET « VIOLS, PROXENETISME ET ACTES DE BARBARIE » DE L’AFFAIRE ALEGRE. LE MAGISTRAT INSTRUCTEUR AYANT REFUSE, IL A SAISI LA CHAMBRE DE L’INSTRUCTION DE TOULOUSE POUR OBTENIR SATISFACTION [un jour quelqu’un fera une analyse comparée du mode opératoire de tous les intevenants régaliens pour les 191 morts et disparus de l’affaire Alègre]… La décision pourrait surprendre. C’est la division nationale pour la répression des atteintes aux personnes et aux biens (DNRAPB), service central de la police judiciaire (PJ), qui enquêtera sur le meurtre d’Edith Schleichardt [s’est-on assuré de la non-appartenance des intervenants à des sociétés secrètes ?]… « Le Parquet souhaitait un service extérieur qui ne puisse être impliqué dans une guéguerre entre les gendarmes et les policiers locaux ET IL VOULAIT EGALEMENT PRESERVER LA POLICE JUDICIAIRE LOCALE », explique un observateur averti. Un nouveau service de police pourrait donc mettre un pied dans l’affaire Alègre, tout comme un nouveau juge d’instruction, puisque Fabrice Rives a été chargé de l’information judiciaire… »

Aujourd’hui en France 3/2/04 p13 : « … Les certitudes de l’ancien juge… devenu député UMP de la Gironde, en poste de 1985 à 1991 à Toulouse… Selon l’enquête de l’époque, Edith Schleichardt est présentée comme une marginale…elle se lève tous les matins pour aller travailler à Pamiers comme secrétaire… L’autopsie ne fait mention d’aucun prélèvement biologique. Le viol n’est même pas envisagé. LES DEUX MEDECINS LEGISTES… ONT DEJA ETE MIS EN CAUSE DANS D’AUTRES AFFAIRES SUSPECTES CLASSEES ELLES AUSSI EN SUICIDE APRES LEUR EXPERTISE.Des dossiers dans lesquels Alègre a été condamné, mis en examen ou soupçonné, comme ceux de Valérie Tariotte, Hadja Darroles, Martine Matias. Pour Edith, les légistes ont conclu à un suicide par intoxication médicamenteuse et délivré le permis d’inhumer avant même que le rapport toxicologique leur soit transmis… le PV de synthèse comporte de nombreuses erreurs de date qui n’ont jamais été relevées… »

Midi Libre 13/02/04 : "Affaire Alègre. "Patricia" refuse de revenir chez le juge Perriquet... "... qui la traite "comme une coupable" et VEUT "ENTERRER" L'AFFAIRE... je ne veux plus être interrogé par M.Perriquet sans la présence d'un procureur", a déclaré l'ex-prostituée. "Nous considérons aujourd'hui que LE PARQUET A UNE ATTITUDE LOYALE DANS CE DOSSIER ET PAS M.PERRIQUET", a ajouté son avocat, Me Pierre Darribère, en indiquant que le juge devait interroger Patricia "sur réquisition du parquet CONCERNANT LE ROLE DE CERTAINS POLICIERS DANS LES ANNEES 1990-1992", CE QUI N'A PAS ETE FAIT SELON L'AVOCAT."

Monde 6/5/04 titre principal de page 1 : "Alègre : la gendarmerie met en cause sa propre enquête. L'inspection interne accable l'ex-adjudant Michel Roussel et critique le parquet de Toulouse... le 18 février, le juge d'instruction toulousain Thierry Perriquet avait demandé à l'inspection technique de la gendarmerie nationele d'éclairer les conditions dans lesquelles la cellule Homicide 31 avait mené ses investigations... Roussel aurait alors oeuvré en solitaire avec le soutien de MM.Heinisch et Lemoine, deux magistrats du tribunal de Toulouse... Heinisch, substitut du procureur de Toulouse, qui a demandé sa mutation à Rennes... Serge Lemoine, juge d'instruction chargé du volet meurtres de l'affaire Alègre... Aymerich, tout frais retraité de la gendarmerie... : ... Comme Michel Roussel était absent, j'ai établi ce procès-verbal à son nom... je l'ai remis personnellement à M.Heinisch... j'ai dû l'antidater... capitaine Jean-Claude Brunt... Une stratégie d'enquête a été mise en place à laquelle je n'adhérais pas. Je ne veux pas la critiquer aujourd'hui... onze gendarmes sont sortis de leur devoir de réserve pour réfuter les critiques de Michel Roussel... maréchal des logis-chef Stéphane Bonillo... : "Michel Roussel a beaucoup cru en tout ce que pouvaient raconter les filles, a-t-il estimé. Ce sentiment de vérité a été relayé par les magistrats (...) qui, je pense, le confortaient dans ses croyances." M.Roussel... s'est enfin offusqué que son interrogatoire, par le juge Perriquet, en octobre 2003, ait été largement diffusé : "Je n'ignore pas que mon interrogatoire a été adressé à la chancellerie et qu'au cours de la même nuit il est sorti du dossier d'instruction [Perben va-t-il engager une procédure à ce titre ?]

Figaro 6/5/04 page 1 en bas : "Affaire Alègre : l'enquête judiciaire mise en cause [rappel : c'est le Figaro qui a dénoncé la série d'autopsies faisandées]... Le Figaro avait pointé du doigt dès le début de l'année "les Mémoires sélectifs" de cet adjudant à l'occasion de son livre Homicide 31 [lecteur-"ami de 30 ans" du Figaro je recommande la lecture des pages qui concerne ce journal dans "Les frères invisibles" d'Ottenheimer]... Cette enquête sur l'enquête n'a pas été commandée depuis Paris. C'est un juge d'instruction local, Thierry Perriquet qui l'a réclamée le 18 février... Réponse de Roussel à l'inspection sur ce point : "Je n'ai pas le souvenir d'être à l'origine de cette ébauche."... A ses collègues qui le pressent de question, Roussel dit : "Le rapprochement avec M.Bourragué n'a pas été fait par la cellule mais par des magistrats... le maréchal des logis-chef Philippe Dassibat, affirme aux gendarmes inspecteurs : "Certaines informations qui me sont parvenues pourraient laisser penser que la mise en cause de Bourragué arrangeait certains magistrats de Toulouse, qui souhaitaient régler des comptes avec lui pour d'autres faits."... "L'institution ne saurait être confondue avec ces agissements qui relevaient de la seule responsabilité du judiciaire, tonne un très haut gradé. Nous voulons nous-aussi la vérité sur cette affaire."..."

Le peuple français seul souverain aussi : sommes-nous dans un scénario affaires Juppé/Dutroux/disparues de l'Yonne/arsenal de Toulon/Piat/Borrel ? allons-nous finir avec un scénario Boucheron ? Le peuple français seul souverain s'étonne que l'on mette une fois de plus en cause les intervenants efficaces pour le protéger, que l'on ne parle pas des autopsies faisandées à répétiton (le gendarme Jambert aurait parlé de faisceau de présomption de fonctionnement en bande organisée), aimerait avoir l'autopsie de Djamel et des autopsies complémentiaires et indépendates sur le modèle de Borrel et Jambert, en fin de compte , sur le modèle hellénistique, il serait utile pour le peuple français seul souverain que ces procédures soient confiées à des fonctionnaires régaliens scandinaves.

La commande du 18 février suit de quelques jours le refus de Soubelet et la commande de Bréard. Pour muter ces magistrats comme dans l'affaire Juppé, on ne ferait pas mieux. Boucheron s'est fait valider ses délits en attaquant en diffamation le chômeur qui le mettait, à juste titre, en cause. Monde 10/2/04 p10 : "LE PARQUET DE TOULOUSE REFUSE LA MISE EN EXAMEN DE "FANNY" RECLAMEE PAR LE JUGE [PERRIQUET]. Le procureur veut faire entendre des policiers. La relation entre le parquet de Toulouse et le juge Perriquet, en charge des dossiers "viols et proxénétisme" et "témoignages mensongers" dans le cadre de l'affaire Alègre, prend des allures de guérilla judiciaire. Lundi 26 janvier, le procureur de la République adjoint Renaud Soubelet a ainsi refusé au juge Perriquet par voie de réquisition, la mise en examen de 'Fanny", l'ex-prostituée dont les accusations avaient motivé l'ouverture de l'enquête judiciaire... Rien [rien qui inverse le rien des campagnes négationnistes dans l'affaire Alègre] dans le dossier lui-même ne démontre que "Fanny" ait tenu des props volontairement faux à P"atricia", a ainsi indiqué LE PROCUREUR SOUBELET QUI A RAPPELE AU MAGISTRAT INSTRUCTEUR QU'IL CONVENAIT D'"INSTRUIRE A CHARGE ET A DECHARGE DANS UN TEL DOSSIER".... Le procureur de Toulouse, Michel Bréard lui réclame de nombreux actes supplémentaires : "IDENTIFIER LES SUPERIEURS DE MARC BOURRAGUE, ET LES ENTENDRE", ENTENDRE LES PARTIES CIVILES [LES EX-PROSTITUEES] SUR LES ACTIVITES DES POLICIERS DE LA BRIGADE DES MOEURS" OU ENCORE "PROCEDER A TOUTES LES CONFRONTATIONS NECESSAIRES ENTRE LES PARTIES CIVILES ET LES PERSONNES QU'ELLES METTENT EN CAUSE" LE PARQUET ESTIME EGALEMENT QUE LE MAGISTRAT INSTRUCTEUR DEVRAIT ENTENDRE PAS MOINS DE VINGT POLICIERS, DONT CERTAINS N'ONT PAS ETE ENTENDUS DANS LE CADRE DE L'INSPECTION GENERALE DE LA POLICE NATIONALE (IGPN) [?], ET LES CONFRONTER LE CAS ECHEANT AUX PARTIES CIVILES [dont ont espère que la vie sera mieux protégée que celle de Djamel : le rapport d'autopsie de celui-ci a-t-il été communiqué et a-t-il fait l'objet de vérifications suite aux autopsies antérieures des affaires Alègre et Borrel ?]. Intimidations physiques. Les ex-prostituées ont affirmé avoir remis des "enveloppes" à plusieurs policiers en poste à Toulouse dans les années 1990. M.Bréard souhaite qu'une confrontation soit organisée entre "Fanny" et un policier, ancien de la brigade des moeurs. L'ex-prostituée l'accusait de multiples pressions et intimidations physiques. Le procureur demande enfin au juge d'auditionner une nouvelle fois Nathalie A. ex-prostituée. La jeune femme avait dénoncé un viol, en mettant en cause Patrice Alègre, l'ancien proxénète Lakhdar Messaoudene et un troisième agresseur, une "personnalité" qu'elle n'avait pas nommée. Ces auditions, souhaitées par le parquet, vont prolonger la durée de l'instruction et provoquent déjà la colère des avocats des personnalités mises en cause dans le dossier Alègre. Me Laurent de Caunes, le conseil de l'ex-substitut Marc Bourragué [présent sur les lieux pour Edith Schleichardt comme l'a prouvé la photo de La Dépêche"], estime que le "parquet s'obstine à ne pas poser les bonnes questions[sic "Comment des professionnels de la police et de la justice peuvent-ils considérer comme possibles des choses ahurissantes ?", s'interroge-t-il, en regrettant une "manifestation incompréhensible du parquet". Pour Me de Caunes "on a ouvert la boîte de Pandore de la calomnie, et on ne veut pas la refermer". Est-il délicat de la part d'un avocat de mettre en cause un parquet ?]

Midi Libre 13/02/04 : "Affaire Alègre. "Patricia" refuse de revenir chez le juge Perriquet... "... qui la traite "comme une coupable" et VEUT "ENTERRER" L'AFFAIRE... je ne veux plus être interrogé par M.Perriquet sans la présence d'un procureur", a déclaré l'ex-prostituée. "Nous considérons aujourd'hui que LE PARQUET A UNE ATTITUDE LOYALE DANS CE DOSSIER ET PAS M.PERRIQUET", a ajouté son avocat, Me Pierre Darribère, en indiquant que le juge devait interroger Patricia "sur réquisition du parquet CONCERNANT LE ROLE DE CERTAINS POLICIERS DANS LES ANNEES 1990-1992", CE QUI N'A PAS ETE FAIT SELON L'AVOCAT."

FIGARO 11/5/04 p11 : "AFFAIRE ALREGRE MEURTRE MAQUILLE EN SUICIDE. EDITH SCHLEICHARDT, JEUNE FEMME RETROUVEE MORTE EN 1990 EN HAUTE-GARONNE ET DONT LA MORT AVAIT ETE CLASSEE EN SUICIDE, A ETE VICTIME DE COUPS EXTREMEMENT VIOLENTS AU VISAGE, SELON LES PREMIERS RESULTATS D'UNE NOUVELLE AUTOPSIE. EDITH SCHLEICHARDT FAIT PARTIE DES PERSONNES DECEDEES DE FACON SUSPECTE AU DEBUT DES ANNEES 1990 ET DONT LES DECES AVAIENT ETE CLASSES COMME SUICIDE..."

France-Soir 28/1/04 p6 : « La justice ouvre à nouveau le dossier d’Edith, morte en 1990, hâtivement classé en suicide après une procédure bâclée… Une jeune femme à moitié dévêtue dans un fossé [à Cintegabelle le fief de Jospin]… L’autopsie incomplète ne révèle pas de viol… les gendarmes du groupe de recherche de Muret… rendent leur copie un an plus tard… Les scellés ont disparu. [combien de pièces ont disparu dans les affaires Alègre, Chanal, Auxerre-Appoigny ?] Des témoins capitaux n’ont pas été entendus. « Il y a eu de graves fautes et tout le monde, enquêteurs, juge et magistrats, sont passés à travers », estime une source proche de l’enquête … « et si à l’époque on avait vraiement mené une bonne enquête, on aurait peut-être pu empêcher la mort d’autres jeunes filles »… LE NOM D’EDITH SCHLEICHARDT EST APPARU PAR HASARD EN SEPTEMBRE 2003 LORS D’UNE CONFRONTATION ENTRE FLORENCE K (« Fanny ») ET MARC BOURRAGUE… L’ANCIENNE PROSTITUEE A FOURNI UN FAIT TROUBLANT. « ELLE DEVAIT SORTIR LE SOIR AVEC LUI QUAND BRUSQUEMENT UN EVENEMENT EXTERIEUR A BOULEVERSE LEURS PLANS »… C’ETAIT LE MEURTRE D’EDITH SCHLEICHER QUI A AMENE LE MAGISTRAT A SE DEPLACER SUR LES LIEUX. MARC BOURRAGUE AURAIT NIE CET EPISODE. LE 11 OCTOBRE 2003, LA DEPECHE DU MIDI PUBLIAIT UN ARTICLE SUR L’AFFAIRE ILLUSTRE PAR UNE PHOTO MONTRANT LE MAGISTRAT SUR LA SCENE DU CRIME. DEVANT CETTE EVIDENCE, L’ANCIEN SUBSTITUT TOULOUSAIN A ENSUITE EVOQUE UN PROBLEME DE MEMOIRE. « C’EST D’AUTANT PLUS ETONNANT QU’IL ETAIT CHARGE DES AFFAIRES ECONOMIQUES ET FINANCIERES. ON N’OUBLIE PAS CE GENRE D’EVENEMENT », ajoute Jean-Claude Guidicelli. Ce dernier tente aujourd’hui de prouver que sa cliente, témoin contreversé, n’a pas raconté que des choses abracadabrantes. VOILA POURQUOI IL A DEMANDE AU JUGE PERRIQUET DE VERSER LA PROCEDURE SCHLEICHARDT DANS LE VOLET « VIOLS, PROXENETISME ET ACTES DE BARBARIE » DE L’AFFAIRE ALEGRE. LE MAGISTRAT INSTRUCTEUR AYANT REFUSE, IL A SAISI LA CHAMBRE DE L’INSTRUCTION DE TOULOUSE POUR OBTENIR SATISFACTION [un jour quelqu’un fera une analyse comparée du mode opératoire de tous les intervenants régaliens pour les 191 morts et disparus de l’affaire Alègre]… La décision pourrait surprendre. C’est la division nationale pour la répression des atteintes aux personnes et aux biens (DNRAPB), service central de la police judiciaire (PJ), qui enquêtera sur le meurtre d’Edith Schleichardt [s’est-on assuré de la non-appartenance des intervenants à des sociétés secrètes ?]… « Le Parquet souhaitait un service extérieur qui ne puisse être impliqué dans une guéguerre entre les gendarmes et les policiers locaux ET IL VOULAIT EGALEMENT PRESERVER LA POLICE JUDICIAIRE LOCALE », explique un observateur averti. Un nouveau service de police pourrait donc mettre un pied dans l’affaire Alègre, tout comme un nouveau juge d’instruction, puisque Fabrice Rives a été chargé de l’information judiciaire… »

Aujourd’hui en France 3/2/04 p13 : « … Les certitudes de l’ancien juge… devenu député UMP de la Gironde, en poste de 1985 à 1991 à Toulouse… Selon l’enquête de l’époque, Edith Schleichardt est présentée comme une marginale…elle se lève tous les matins pour aller travailler à Pamiers comme secrétaire… L’autopsie ne fait mention d’aucun prélèvement biologique. Le viol n’est même pas envisagé. LES DEUX MEDECINS LEGISTES… ONT DEJA ETE MIS EN CAUSE DANS D’AUTRES AFFAIRES SUSPECTES CLASSEES ELLES AUSSI EN SUICIDE APRES LEUR EXPERTISE.Des dossiers dans lesquels Alègre a été condamné, mis en examen ou soupçonné, comme ceux de Valérie Tariotte, Hadja Darroles, Martine Matias. Pour Edith, les légistes ont conclu à un suicide par intoxication médicamenteuse et délivré le permis d’inhumer avant même que le rapport toxicologique leur soit transmis… le PV de synthèse comporte de nombreuses erreurs de date qui n’ont jamais été relevées… »

LUCET FRANCE 3 12/5/04 19h45 : DES POLICIERS ONT DECLARE A L'IGPN QUE BOURRAGUE ETAIT PRESENT SUR LES LIEUX APRES LA MORT DE LINE GALBARDI ALORS QU'IL N'ETAIT PAS SUBSTITUT DE SERVICE.

Le scénario Boucheron paraît se confirmer. Point 13/5/04 p100 : "Affaire Alègre. A Toulouse, la bataille bat son plein entre gendarmes et magistrats... le cataclysme n'est sans doute pas terminé. La bataille est en partie secrète mais violente. Le 10 mai, le procureur de la République Michel Bréard tire une salve. Il envoie deux missives, l'une au parquet général, avec copie à Dominique Perben, l'autre au directeur général de la gendarmerie , Pierre Mutz. Dans ces courriers, le magistrat s'indigne de sa propre mise en cause et de celle d'un de ses substitut et d'un juge d'instruction dans un "rapport" de gendarmerie... Roussel... "... Je constate que ceux qui m'accusent d'irrégularité sont les premiers à en commettre..."... HEINISCH NE CONNAISSAIT PAS BOURRAGUE. LE PREMIER EST ARRIVE A TOULOUSE APRES LE DEPART DU SECOND. A la chancellerie, les allégations de la gendarmerie jettent un froid. Un conseiller du cabinet de Dominique Perben déclare qu'il s'agit d'une affaire interne à la gendarmerie [les Françaises et les Français ne payent pas des impôts pour financer des problèmes internes face à 191 meurtres ou disparitions avec viols et actes de barbarie]... Michel Bréard... dans un courrier au parquet général, défend l'enquête de Michel Roussel. Conclusion officielle : "Il n'est pas prévu que l'inspection de la justice enquête à son tour."...

Aujourd’hui en France 3/2/04 p13 : «Affaire Alègre. "On fait un mauvais procès au gendarme Roussel" Christiane Vignau-Rabastens, ex-procureur adjointe à Toulouse... Christiane Vignau-Rabastens, 60 ans, est un magistrat en colère. Elle a longtemps supervisé le travail "remarquable" des gendarmes de la cellule "homicide 31" C'st son intuition de femme qui lui a fait rouvrir neuf dossiers criminels où le tueur Patrice Alègre est suspect... Elle dénonce les inerties de la hiérarchie de la gendarmerie. Le patron de la cellule de recherche de Toulouse vient d'être sérieusement recadré par le procureur Michel Bréard pour des déclarations hasardeuses sur le dossier de la mort suspecte d'Edith Schleichardt. Le procureur a alerté la chancellerie sur ces incidents, ce que le ministère a confirmé hier soir... "Aujourd'hui, il y a des dissensions dans la cellule... Il y a bien moins d'effectifs aussi... l'équipe de Roussel... J'étais très satisfaite de leur travail. Il y avait une équipe soudée et motivée, surtout enthousiste pour aller plus loin... Il n'y avait pas d'erreurs de procédure de leur part. On fait un mauvais procès au gendarme Roussel, car c'est un autre gendarme qui reconnaît d'ailleurs avoir signé le procès-verbal antidaté [cela peut-il faire annuler la procédure ?]. ET IL Y AVAIT UN DIRECTEUR A LA CELLULE "HOMICIDES 31", UN OFFICIER QUE JE N'AI JAMAIS VRAIMENT VU TRAVAILLER. C'EST D'AILLEURS LUI QUI M'A DIT UN JOUR... QUE CELA NE VALAIT PAS LE COUP D'ALLER PLUS LOIN, DU TEMPS PERDU, DISAIT-IL. C'ETAIT AVANT LE PROCES DE 2002... JE ME DEMANDE TOUJOURS POURQUOI LE JUGE PERRIQUET N'A PAS SAISI LES AGENDAS DE M.DOMINIQUE BAUDIS... LE GENDARME ROUSSEL EST UN SOLDAT DU RANG. IL N'AVAIT AUCUN INTERET A PORTER ATTEINTE A QUI QUE CESOIT... SUR LES MEURTRES NON ELUCIDES, CELA VA ABOUTIR. POUR L'AUTRE VOLET, JE NE LE CROIS PAS..."

http://64.233.161.104/search?q=cache:Z1cPKlrM4aUJ:fr.news.yahoo.com/040515/202/3svpv.html+Monde+IGPN++Al%C3%A8gre+policiers&hl=en

AFP 15/5/04 "Michel Roussel a par ailleurs critiqué le juge d'instruction toulousain Thierry Perriquet, chargé du volet dans lequel ont été mis en cause MM. Bourragué et Baudis et qui a commandé le rapport de la gendarmerie. "Le juge s'est mis à la disposition d'une seule des parties", a estimé le gendarme à la retraite. "La première des missions d'un juge, c'est de vérifier les éléments de l'enquête, pas d'enquêter sur ceux qui la mènent". L'ex-adjudant a également mis en cause le travail mené depuis son départ par ses anciens collègues. "La méthodologie mise en place est une machine à perdre", a-t-il jugé, "quand des enquêteurs décrètent que les accusatrices sont toutes des menteuses (...) il y a un problème".

"Nous avons un problème. Il est certain que les légistes ne sont définitivement pas bons à Toulouse", constate Michel Bréard... Deux experts-judiciaires, médecins-légistes, les docteurs Pierre-Marie Bras et Danièle Alengrin sont en cause. ILS ONT NEGLIGE DE RELEVER DES TRACES DE TRAUMATISME SUR CINQ DOSSIERS QUI SE SONT REVELES ETRE DES AFFAIRES CRIMINELLES... L'ACCUMULATION DES FAITS APPARAIT SUSPECTE..." Aujourd'hui en France signale des traumatismes (coups violents au visage) qui font penser à la mort de Marie Trintignant.

Aujourd’hui en France 14/5/04 p13 : «Affaire Alègre. Un rapport gênant pour le procureur Bourragué [et pour le Figaro, le Monde et France Info : nous passons au scénario affaire Dreyfus/Roussel ]. Un ancien substitut du procureur de Toulouse, Marc Bourragué, 48 ans, aujourd'hui en poste à Montauban (Tarn-et-Garonne), a été identifié, comme le magistrat fantôme ayant supervisé le meurtre de Line Galbardi, une prostituée assassinée en janvier 1992 dans la Ville rose. Une enigme depuis douze ans. "JE NE DEMENS PAS QUE DEUX ANCIENS POLICIERS ONT DESIGNE UN MAGISTRAT, M.BOURRAGUE, QUI ETAIT PRESENT SUR LES LIEUX DE DECOUVERTE DU CORPS DE LINE GALBARDI", CONFIRME MICHEL BREARD, LE PROCUREUR DE TOULOUSE [connaîtra-t-il un scénario "procès Juppé" ?]. L'enquête de l'inspection générale de la police nationale a permis de retrouver deux fonctionnaires de police, qui ont désigné "formellement" Marc Bourragué ["boulette!" pour le Monde, le Figaro et France Info qui titre le 14/5/04 que Marc Bourragué dément], l'ancien substitut de Toulouse, alors qu'il a nié être sur les lieux ce jour-là [LE NOM D’EDITH SCHLEICHARDT EST APPARU PAR HASARD EN SEPTEMBRE 2003 LORS D’UNE CONFRONTATION ENTRE FLORENCE K (« Fanny ») ET MARC BOURRAGUE… L’ANCIENNE PROSTITUEE A FOURNI UN FAIT TROUBLANT. « ELLE DEVAIT SORTIR LE SOIR AVEC LUI QUAND BRUSQUEMENT UN EVENEMENT EXTERIEUR A BOULEVERSE LEURS PLANS »… C’ETAIT LE MEURTRE D’EDITH SCHLEICHARDT QUI A AMENE LE MAGISTRAT A SE DEPLACER SUR LES LIEUX. MARC BOURRAGUE AURAIT NIE CET EPISODE. LE 11 OCTOBRE 2003, LA DEPECHE DU MIDI PUBLIAIT UN ARTICLE SUR L’AFFAIRE ILLUSTRE PAR UNE PHOTO MONTRANT LE MAGISTRAT SUR LA SCENE DU CRIME. DEVANT CETTE EVIDENCE, L’ANCIEN SUBSTITUT TOULOUSAIN A ENSUITE EVOQUE UN PROBLEME DE MEMOIRE. « C’EST D’AUTANT PLUS ETONNANT QU’IL ETAIT CHARGE DES AFFAIRES ECONOMIQUES ET FINANCIERES. ON N’OUBLIE PAS CE GENRE D’EVENEMENT », ajoute Jean-Claude Guidicelli. Ce dernier tente aujourd’hui de prouver que sa cliente, témoin contreversé, n’a pas raconté que des choses abracadabrantes. VOILA POURQUOI IL A DEMANDE AU JUGE PERRIQUET DE VERSER LA PROCEDURE SCHLEICHARDT DANS LE VOLET « VIOLS, PROXENETISME ET ACTES DE BARBARIE » DE L’AFFAIRE ALEGRE. LE MAGISTRAT INSTRUCTEUR AYANT REFUSE, IL A SAISI LA CHAMBRE DE L’INSTRUCTION DE TOULOUSE POUR OBTENIR SATISFACTION [un jour quelqu’un fera une analyse comparée du mode opératoire de tous les intervenants régaliens pour les 191 morts et disparus de l’affaire Alègre]… La décision pourrait surprendre. C’est la division nationale pour la répression des atteintes aux personnes et aux biens (DNRAPB), service central de la police judiciaire (PJ), qui enquêtera sur le meurtre d’Edith Schleichardt [s’est-on assuré de la non-appartenance des intervenants à des sociétés secrètes ?]… « Le Parquet souhaitait un service extérieur qui ne puisse être impliqué dans une guéguerre entre les gendarmes et les policiers locaux ET IL VOULAIT EGALEMENT PRESERVER LA POLICE JUDICIAIRE LOCALE », explique un observateur averti.]. Il y avait un magistrat du parquet que j'ai immédiatement identifié comme étant Marc Bourragué. Je suis affirmatif, il était dans la chambre d'hôtel", a déclaré Alain S..., un ex-capitaine de police à ses collègues de l'IGPN dans un rapport au juge Serge Lemoine. Un premier rapport est déjà arrivé chez son collègue, le juge Perriquet. Ce policier de la sûreté était ce jour-là de permanence "cadavre" et avisé de cette affaire. Un autre policier, un ancien de la sûreté aussi, passé par la PJ, a indiqué à l'IGPN : "Je me souviens très bien. On est arrivé sur les lieux plus tard que la sûreté. La PJ voulait être saisie de l'affaire et on s'est renseigné pour savoir qui était le procureur, on nous a répondu que c'était M.Bourragué. J'en suis sûr." DES TEMOIGNAGES QUI INTERVIENNENT BIEN TARDIVEMENT ALORS QUE CE MAGISTRAT FANTOME EST RECHERCHE DEPUIS DES LUSTRES PAR LE JUGE LEMOINE? QUI A INTERROGE TOUS SES COLLEGUES DE L'EPOQUE. EN VAIN.CELA FAIT DOUZE ANS QUE LE NOM DU SUBSTITUT PRESENT SUR CETTE SCENE DU CRIME EST ABSENT DE LA PROCEDURE... MARC BOURRAGUE, QUI N'ETAIT PAS DE PERMANENCE CE 3 JANVIER 1992, A ECRIT AU JUGE D'INSTRUCTION LEMOINE L'AN DERNIER POUR LUI ASSURER QU'IL NE S'ETAIT JAMAIS RENDU SUR LES LIEUX. "JE NE VOIS PAS L'INTERET DE SE FOCALISER SUR LA PRESENCE OU PAS DE TEL OU TEL MAGISTRAT" COMMENTES SON AVOCAT, Me LAURENT DE CAUNES, QUI SE REFUSE A TOUTE AUTRE ANALYSE. UNE ABSENCE DE SOUVENIRS TROUBLANTE MEME SI, SELON UN AUTRE MAGISTRAT, "ON NE PEUT PAS LUI REPROCHER DE NE PAS SE SOUVENIR, CE QUI N'EST PAS UN DELIT, MAIS CELA S'AJOUTE A D'AUTES CHOSES" [LE NOM D’EDITH SCHLEICHARDT EST APPARU PAR HASARD EN SEPTEMBRE 2003 LORS D’UNE CONFRONTATION ENTRE FLORENCE K (« Fanny ») ET MARC BOURRAGUE… L’ANCIENNE PROSTITUEE A FOURNI UN FAIT TROUBLANT. « ELLE DEVAIT SORTIR LE SOIR AVEC LUI QUAND BRUSQUEMENT UN EVENEMENT EXTERIEUR A BOULEVERSE LEURS PLANS »… C’ETAIT LE MEURTRE D’EDITH SCHLEICHARDT QUI A AMENE LE MAGISTRAT A SE DEPLACER SUR LES LIEUX. MARC BOURRAGUE AURAIT NIE CET EPISODE. LE 11 OCTOBRE 2003, LA DEPECHE DU MIDI PUBLIAIT UN ARTICLE SUR L’AFFAIRE ILLUSTRE PAR UNE PHOTO MONTRANT LE MAGISTRAT SUR LA SCENE DU CRIME. DEVANT CETTE EVIDENCE, L’ANCIEN SUBSTITUT TOULOUSAIN A ENSUITE EVOQUE UN PROBLEME DE MEMOIRE. « C’EST D’AUTANT PLUS ETONNANT QU’IL ETAIT CHARGE DES AFFAIRES ECONOMIQUES ET FINANCIERES. ON N’OUBLIE PAS CE GENRE D’EVENEMENT », ajoute Jean-Claude Guidicelli. Ce dernier tente aujourd’hui de prouver que sa cliente, témoin contreversé, n’a pas raconté que des choses abracadabrantes. VOILA POURQUOI IL A DEMANDE AU JUGE PERRIQUET DE VERSER LA PROCEDURE SCHLEICHARDT DANS LE VOLET « VIOLS, PROXENETISME ET ACTES DE BARBARIE » DE L’AFFAIRE ALEGRE. LE MAGISTRAT INSTRUCTEUR AYANT REFUSE, IL A SAISI LA CHAMBRE DE L’INSTRUCTION DE TOULOUSE POUR OBTENIR SATISFACTION [un jour quelqu’un fera une analyse comparée du mode opératoire de tous les intervenants régaliens pour les 191 morts et disparus de l’affaire Alègre]… La décision pourrait surprendre. C’est la division nationale pour la répression des atteintes aux personnes et aux biens (DNRAPB), service central de la police judiciaire (PJ), qui enquêtera sur le meurtre d’Edith Schleichardt [s’est-on assuré de la non-appartenance des intervenants à des sociétés secrètes ?]… « Le Parquet souhaitait un service extérieur qui ne puisse être impliqué dans une guéguerre entre les gendarmes et les policiers locaux ET IL VOULAIT EGALEMENT PRESERVER LA POLICE JUDICIAIRE LOCALE », explique un observateur averti.]. Hier, la chancellerie a fait savoir qu'aucune inspection des services judiciaires n'avait été décidée [merci Coignard]."

Aujourd’hui en France 15/5/04 p16 Ducos honnête opère une démarche contradictoire: «Affaire Alègre. "Ces policiers font une erreur..." Marc Bourragué, ancien substitut du procureur de Toulouse. Inlassablement, l'ex-substitut Marc Bourragué dément avoir été le magistrat ayant supervisé l'enquête sur le meurtre de Line Galbardi... "On fait trop vite un amalgame douteux entre la prétendue présence de ce magistrat sur place et le rôle qu'il aurait joué dans l'affaire Alègre. Il n'y a rien à charge. Rien n'implique pour le moins Marc Bourragué dans la scène du crime", constate la gendarmerie de Toulouse [dont le jeu de rôle, en analyse de contenu au sens de Marie-Christine d'UNrug, paraît de charger Roussel et de défendre Bourragué comme les nouveaux avocats d'Alègre et Fanny ont d'abord proclamé l'innocence de Baudis]... Les témoignages des deux policiers sont déjà entachés, car ils sont très tardifs et les fonctionnaires concernés ne se sont guère empressés d'aller témoigner de leur plein gré. C'est l'IGPN qui les a retrouvés [à l'époque de Sarkozy ? à voir quel va-être le jeu de rôle de Galouzeau et s'il a été nommé par Chirac pour verrouiller]... Le jour de la découverte du corps d'Edith Schleichardt, en septembre 1990, Marc Bourragué, de permanence, est présent... c'est le juge d'instruction Jean-Paul Garraud qui avait ordonné le non-lieu et pas l'ancien substitut. Le dossier Schleichardt est touché par la prescription depuis 2001. Son meurtrier présumé ne pourra donc être inquiété [cela signifie-t-il que les 191 meurtres ou disparitions d'Homicide 31 vont subir le même sort ? les meurtres type Dutroux-Alègre-Louis-monstre de Florence-Ciudad-Juarez et la pédocriminalité devraient être imprescriptibles comme les génocides du Rwanda et du Congo-Brazzaville] "Sauf à le raccrocher contre vents et marée à l'affaire Alègre", constate un magistrat, qui voit là une manipulation de plus." [manipulation en quel sens ?]

Aujourd'hui en France et Ducos "Justes de la République"

[Le peuple français seul souverain souhaiterait aussi, en référence à Borrel, Jambert et à la chaîne d'autopsies faisandées dans l'affaire Alègre (et qu'il soit enquêté au niveau national sur un éventuel faisandage des autopsies "en bandes organisées") avoir trois autopsies indépendantes pour Djamel et les autres intoxications médicamenteuses "à la chaîne" et un audit des listings d'Air Inter, garantis authentiques, et des analyses d'ADN, par trois experts indépendants chaque fois. Les rétro-commissions, les affaires Borrel, Jambert, Alègre, les tribunaux de commerce, ouvrent la voie, comme l'aurait écrit le gendarme Jambert, à une présomption de fonctionnement de l'Etat "en bandes organisées" et de viol de la Constitution "Aucune section du peuple ne peut s'approprier la souveraineté nationale".]

Aujourd'hui en France 7/6/04 p15 : trois témoins (un chauffeur, un serveur, un bijoutier) pour Hélène Loubradou dans l'affaire Alègre. ""CE DOSSIER N'ETAIT PAS PRIORITAIRE DANS NOS INVESTIGATIONS, MAIS DESORMAIS IL FAUT LE TRAITER", indique la gendarmerie de Toulouse qui doit faire face A UN FLOT DE CRITIQUES SUR LA "LENTEUR DES INVESTIGATIONS", notamment de l'association Stop à l'oubli. La cellule homicides 31, DONT LA FERMETURE AVAIT ETE EVOQUEE, faisant craindre le pire pour les familles, devrait être, selon, nos informations, prolongée pour deux ans."

Monde 15/6/04 p1 « Justice. La piste de l’assassinat du juge Borrel de plus en plus crédible. » p20 « … Pouquoi ces fractures n’avaient-elles pas été rele vées lors de LA PREMIERE AUTOPSIE PRATIQUEE A TOULOUSE, LE 15 FEVRIER 1996 [les autopsies problématiques sur Toulouse devraient conduire les Françaises et les Français à se questionner pour continuer ou non à verser leur capitation à un Etat qui pratique l’inversion de fonctions régaliennes] ? LA REPONSE DE M.MANGIN [expert judiciaire mandaté par la juge] EST FORT PEU DIPLOMATIQUE : « JE PENSE QUE CELA TIENT A LA QUALITE DU TRAVAIL REALISE PAR LES EXPERTS… SI ON NE VA PAS REGARDER QUELQUECHOSE ON NE VOIT PAS. »

Monde 15/6/04 p21 « … Une lettre de Michel Roussel. A la suite de notre article du 6 mai… nous avons reçu de… Michel Roussel… la mise au point suivante : « … Je constate aussi que certains témoignages ont été totalement ignorés. Egalement ignorés, certaines affirmations allant à l’encontre de la thèse de l’article. Que reste-t-il des affirmations… Deux procès-verbaux antidatés et rédigés à mon nom par un enquêteur, et votre lecture pour le moins partielle et partiale d’une procédure en cours. » Le Monde ne commente pas.

Aujourd’hui en France 17/6/04 p15 : « Dominique Baudis confronté à Patricia et à Alègre… Face-à-face explosif aujourd’hui dans le bureau des juges d’instruction Perriquet et Bergougnan… l’avocat de Patricia… ENVISAGE DE METTRE EN CAUSE L’IMPARTIALITE DU JUGE PERRIQUET ET DE DEMANDER SA RECUSATION… [l’article reparle de l’appartement du 12e étage]… Lors de ses dépositions mettant en cause Dominique Baudis, Patricia a également cité le nom de deux autres élus, Philippe Douste-Blazy… et André Labarrère… Le 13 février 2003, l’ex-prostituée affirme avoir vu passer « des mallettes remplies de billets de 500 F ». « Une fois, une mallette était destinée à chaque député-maire, Dominique Baudis et André Labarrère », affirme-t-elle avant d’évoquer un réseau de proxénétisme régional ». Le mois suivant, devant les gendarmes, l’ancienne prostituée parle « de soirées très spéciales avec Dominique Baudis et Philippe Douste-Blazy ». Concernant ces élus, elle assurera devant les enquêteurs qu’ils avaient « acquis une garçonnière à Tarbes », puis parlera « d’un château acheté en commun près de Lourdes ». André Labarrère et Philippe Douste-Blazy n’ont jamais été entendus dans ce dossier… » 18/6/04 p14 : "... Baudis et Patricia campent sur leurs positions... "Elle est allée jusqu'à m'accuser d'avoir tué des enfants en compagnie de policiers, de magistrats, d'André Labarrère (maire de Pau) et de Philippe Douste-Blazy (ministre de la Santé) : un véritable délire !" a lâché d'una voix blanche l'ancien maire de Toulouse... Calme... Christèle Bourre dit "avoir regardé droit les yeux Dominique Baudis [rappel d'une audition précédente]" en renouvelant ses accusations de viol..."... M.Baudis avait le temps de faire l'aller-retour en train cette nuit-là... Pour le meurtre de Line Galbardi, ce que j'ai dit est confirmé par les experts... Et mes cicatrices, mes tortures, elles sont attestées par des médecins-experts..."...SUR LES MISES EN CAUSE D'ANDRE LABARRERE ET DE PHILIPPE DOUSTE6BLAZY, CHRISTELE BOURRE NIE LES ACCUSATIONS ET TIENT A PRECISER : "... JAMAIS ILS NE M'ONT TOUCHEE.""

Match 17/6/04 couverture « Exclusif. L’affaire « Executive Life » va coûter des milliards à la France. L’homme qui a dénoncé la fraude à la justice américaine révèle tout dans Match » p56 photo de Marc Bourragué qui a fait mettre en prison Marland 10 jours en 1994 à Toulouse… « monde d’indignités : les nuits sont déchirées par les hurlements de celui qu’on viole… » [en France combien de prisonniers sont condamnés à mort par ce biais ? les anti-peine de mort réagissent-ils ? y-a-t-il des viols dans la section VIP de la Santé ?]… « … facture globale… 7,5 milliards d’euros… » [49 milliards de francs]. Le terme humaniste est mentionné 2 fois.

Ce que le peuple français seul souverain aimerait savoir, dans les affaires Dutroux-Nice-Antibes, Auxerre-Appoigny, Alègre, Rwanda et Congo-Brazzaville (génocides imprescriptibles) c'est si les jeux de rôle s'expliquent par l'appartenance à des sociétés secrètes (cf magistrat et policier mis en examen dans l'affaire du monstre de Florence) ?

Le gendarme Jambert aurait parlé « de faisceau de présomption de fonctionnement en bande organisée ». Le paradigme est-il celui de l’affaire du monstre de Florence ? Les affaires Dutroux-Nice-Antibes, disparues de l’Yonne-Appoigny, Alègre, Ciudad Juarez et monstre de Florence ont-elles un même paradigme fondé sur des sociétés secrètes ? Dans l'affaire "monstre de Florence" magistrat et policier sont mis en examen dans le cadre d'une loge satanique. Monstre de Florence : paradigme des affaires Dutroux, Alègre et disparues de l'Yonne ?
Si c'était le cas, la complicité des plus hauts niveaux de l'Etat relèverait d'un tribunal de Nuremberg ou de Tokyo.

Un jour, le peuple français, seul souverain, procèdera à un second jugement de "sections spéciales" (Dumas en a fait mention, sans la moindre sanction, à l'occasion d'un de ses procès) pour complicité d'actes de barbarie, de génocide et de crimes contre l'humanité. Les nouveaux Papon ne seront pas libérés pour raison de santé parce que l'Etat aura fait l'objet d'une seconde épuration complète. Ils seront condamnés par le peuple français seul souverain, en cours d'assises, avec privation de retraite et de citoyenneté française. Le paradigme de la "France" d'aujourd'hui c'est Ciudad-Juarez https://www.angelfire.com/wizard/solidaires/CiudadJuarez.html . En attendant que les Françaises et les Français refusent que leurs enfants et eux-mêmes soient enlevés pour être violés, torturés et assassinés.

La France est bien devenue un pays totalitaire. Calliet et Jodet ont publié un livre en novembre 2003 : « Scandale à l’arsenal. Pour l’honneur de deux gendarmes. ». Ils mentionnent p 38-39 : « … UN TERRAIN MILITAIRE A L’OUEST DE TOULON… Filtrage de vigiles à l’entrée, présence de maîtres chiens, spots d’éclairage autour de l’ensemble des parkings intriguent les gendarmes… Ils découvrent une grande façade anguleuse… elle abrite le club des Ecossais, fraternelle maçonnique toulonnaise rattachée à la Grande Loge nationale de France (GLNF). Les surveillances renouvelées permettent d’y retrouver régulièrement plusieurs entrepreneurs du clan… » et p194 à propos du Charles de Gaulle : « … des enquêtes ont également révélé des malfaçons sur des pièces essentielles au décollage du Rafale… » Les pilotes de porte-avion constituent l’élite de l’armée française, reconnue par l’aéronavale américaine, en particulier pour les pilotes de Hawkeye. Ils ont déjà été trahis à l’occasion du raid des Etendard sur la Bekaa. Le plus sidérant est mentionné en page 186 et montre que la France passe au totalitarisme soviétique de la grande époque de l’URSS : «… LE RECOURS A LA PSYCHIATRIE POUR BRISER LES JUGES OU LES POLICIERS TROP RECALCITRANTS. » L’association PJPJ est créée. Comme pour les associations de défense des familles des disparues de l’Yonne et des victimes de l’affaire Alègre-Toulouse, le totalitarisme ne pourra pas étouffer la voix des citoyens face à l’inversion de fonctions régaliennes financées par les impôts du peuple seul souverain.

Nouvel Obs 5/3/04 procès Dutroux :"... Le magistrat [Connerotte] a par ailleurs dénoncé les "manipulations" à son encontre de la gendarmerie belge et les rétentions par celle-ci d'informations qui auraient pu permettre, selon lui, de sauver les quatre fillettes et adolescentes retrouvées mortes chez Dutroux et de prévenir deux derniers rapts qui lui sont imputés...Il a déploré que la gendarmerie n'ait, un an plus tôt, jamais transmis un rapport soupçonnant Dutroux à sa collègue qui enquêtait sur les disparitions de ses deux plus jeunes victimes, Julie Lejeune et Melissa Russo (8 ans). Rappelant le climat "délétère" qui régnait en Belgique après la découverte des crimes de Dutroux, le juge Connerotte a, "avec le recul", accusé les mêmes gendarmes d'avoir voulu le "contrôler" en lui imposant en septembre 1996 une protection rapprochée." [analyse identique à celle d'Eva Joly] http://permanent.nouvelobs.com/europe/20040305.OBS5351.html

"Aujourd'hui, le juge Lewandowski revient sur les difficultés de son travail à l'époque. « Mon plus grand regret, c'est de n'avoir pas pu poursuivre cette enquête car on m'a liquidé judiciairement avant de l'avoir achevée. On a tout fait pour que je parte. J'étais victime d'un véritable harcèlement car j'avais mis en examen l'ancien ministre Henri Nallet dans l'affaire du Crédit agricole de l'Yonne et ça dérangeait. Un dossier qui se poursuit d'ailleurs », explique Benoît Lewandowski, l'ex-juge d'instruction, ancien inspecteur des impôts et réputé très méthodique. « Ça m'a fait sourire quand j'ai lu que l'ancien garde des Sceaux Marylise Lebranchu expliquait que j'avais demandé ma mutation. Je n'avais plus aucune sérénité pour travailler. Quand j'enquêtais sur Emile Louis, le parquet mettait en doute l'opportunité des fouilles que je menais en me disant que cela coûtait cher. On me faisait comprendre qu'il y avait bien d'autres dossiers à traiter bien plus urgents. La veille de l'arrestation d'Emile Louis, le parquet m'a demandé quand finirait cette comédie inutile . Mais quand Emile Louis a désigné les sépultures de deux des victimes, la stratégie a enfin changé. Mais la mécanique de mon départ était engagée », constate le magistrat, devenu juge d'application des peines à Paris. « Je suis parti comme un fantôme » lâche-t-il. « Quant à Jambert, je le savais fatigué et perturbé, et le parquet m'a assuré qu'il s'agissait d'un suicide. Je ne pouvais pas enquêter sur sa mort car je ne pouvais me saisir moi-même en l'absence de plainte de la famille. Mais il était bien prévu qu'il vienne me voir. Il savait que j'envisageais son audition. Elle était prévue dans mon agenda des semaines suivantes. Il avait déjà été entendu par un autre enquêteur, l'adjudant V. », explique le juge. POURTANT LE RAPPORT DE L'INSPECTION DE LA GENDARMERIE, REDIGE EN 2001, QUAND L'AFFAIRE ECLABOUSSE L'INSTITUTION JUDICIAIRE, ASSURE EN PAGE 14 QUE LE MAGISTRAT N'AVAIT JAMAIS CONVOQUE LE SOUS-OFFICIER ET PRECISE : "ENCORE MOINS A UNE DATE VOISINE DU SUICIDE DE CE DERNIER". [l'analogie systémique avec le rapport sur Roussel questionne] La thèse du suicide battue en brèche C'est le procureur Jacques Cazals qui a traité le « suicide » douteux de l'adjudant Jambert. Une nouvelle enquête administrative devrait prochainement le concerner. Une nouvelle enquête, après celle demandée par le ministre de la Justice en décembre 2000 qui avait conduit à son déplacement d'office. Une décision finalement annulée devant le Conseil d'Etat. LA THESE DU MEURTRE ETAIT ENCORE QUALIFIEE DE "THEORIE DELIRANTE" FIN 2003 PAR LES GENDARMES DE LA SECTION DE RECHERCHE DE PARIS, EN CHARGE DE L'ENQUETE jusqu'à ce que Pauline Flausse, la juge d'instruction d'Auxerre, passe outre leurs recommandations et décide de faire exhumer le corps de l'ancien militaire. Une démarche entreprise après l'audition d'Isabelle Jambert, la fille de l'adjudant, qui a convaincu la jeune magistrate. « Pour enquêter sur Emile Louis, tout le monde me disait que c'était inutile. Le procureur Cazals invoquait la prescription des faits, raconte M. Lewandowski. J'ai refusé effectivement d'instruire une première fois, mais c'était stratégique pour que les parties civiles saisissent la chambre de l'instruction. Et j'ai été obligé d'instruire, à ma grande satisfaction, jusqu'à la mise en cause et l'arrestation d'Emile Louis. » Le juge Lewandowski n'a jamais caché sa sympathie pour les parties civiles et s'est rendu, « par respect pour son engagement », aux obsèques de Janine Baufumé, la modeste cuisinière, la première à avoir constaté les disparitions d'enfants au sein de l'Association pour jeunes et adultes handicapés de l'Yonne, l'autre héroïne posthume de cette affaire. Le juge Benoît Lewandowski avait bel et bien prévu de recevoir le gendarme Jambert lors de l'instruction sur les disparues de l'Yonne. Jean-Marc Ducos, Le Parisien, dimanche 04 avril 2004, p. 11" (source le remarquable site denistouret)

Avril 2004 : Jambert a bien été assassiné de deux balles. Midi Libre 5/4/04 : "Un rapport de l'Inspection technique de la gendarmerie de mai 2001 estimait que M.Jambert, dont le corps avait été retrouvé le 4 août dans la cave de son pavillon une carabine à ses côtés, était dépressif et avait déjà tenté de se suicider en 1995..." Aujourd'hui en France 27/5/04 p1 : "Gendarme Jambert. La thèse de l'assassinat renforcée." (quelque jours après qu'une chaîne nationale l'ai démoli de la même façon que ceux qui l'ont déclaré déchu professionnellement), p16 : "... L'expertise balistique... composée d'une centaine de page et confiée à un analyste réputé auprès de la Cour de Cassation, tend à écarter le suicide... MIEUX ELLE ACCREDITE LA MISE EN SCENE D'UN SUICIDE POUR CACHER UN ASSASSINAT..." Ducos "Juste de la République"

Compte tenu du nombre d'autopsies faisandées qui émaillent les affaires les plus sensibles, le peuple français, seul souverain, doit demander l'outing des membres régaliens des sociétés secrètes, marqueurs indélébiles du totalitarisme La Françafrique : analogie systémique avec le Japon totalitaire 1931-1945.

Le gendarme Jambert avait établi un faisceau de présomption remarquable selon Nadal. Il devait réaliser le rêve de sa vie en remettant au juge ses dossiers. Qui va porter plainte contre X pour faisceau de présomptions de fonctionnement en bande organisée pour complicité de viols, actes de barbarie et meurtres, félonie et forfaiture, inversion de fonctions régaliennes, dans les affaires Dutroux-Nice-Grasse-Antibes, Alègre, Auxerre-Appoigny, pour les génocides du Rwanda et du Congo-Brazzaville et pour viol des articles 2 et 3 de la Constitution : "aucune section du peuple ne peut s'approprier la souveraineté nationale" ?

Qui va lever les chantages vidéos et photos contre les fonctionnaires régaliens, mentionnés par la témoin X1, à Cap d'Agde, pour Pacary, etc...?

Monde 11/5/04 p10 : "... Le 8 juillet 1999, le tribunal administratif de Nice a annulé les sanctions [des gendarmes Calliet et Jodet enquêteurs du scandale national de l'arsenal de Toulon (Monde 11/5/04 p10 : "... le parquet militaire de Rennes a été récemment saisi de faits délictueux dans les DCN de Brest et de Lorient...")], en considérant qu'elles résultaient d'une "erreur manifeste d'appréciation" [c'est gentil pour de l'inversion de fonctions régaliennes "en bandes organisées"]. Le jugement souligne que ces sanctions témoignaient à tout le moins d'"une attitude désinvolte gravement préjudiciable à la manifestation de la vérité et aux intérêts supérieurs de la République" [c'est gentil pour de l'inversion de fonctions régaliennes "en bandes organisées"].

En fin de compte , sur le modèle des cités hellénistiques, il serait utile pour le peuple français seul souverain que les pouvoirs régaliens en France soit confiés à des fonctionnaires scandinaves. Chirac Prévaricator II Kakergète II : fin de civilisation hellénistique (1er siècle av JC)

La France de 2004 en est au stade 2 (1925-1928) du phagocytage de l'Etat par le fascisme [la RGOORT République Génocidaire Occulte Occultiste Relativiste Totalitaire, corrompue, spoliatrice, félone, pédocriminelle, barbare et maître-chanteur] en violation du début de notre Constitution "Aucune section du peuple ne peut s'approprier la souveraineté nationale". Quand L'Express, repris en main après "Les frères invisibles" d'Ottenheimer, chante, en avril 2004, l'apologie de la prise en main de la police par la franc-maçonnerie il fait l'apologie du viol de la Constitution (voir la réponse d'un policier à l'Express sur le viol du principe d'égalité des concours par les policiers francs-maçons, ce qui constitue un délit : "De très nombreux frères-policiers siègent dans les jury de concours. Et j'ai connu un chef de service qui recevait de nombreux parents de candidats venus le solliciter à la veille des épreuves d'un concours. "C'est service contre service" [trafic d'influence] se plaisait-il à dire. Mais ses intervention ne se limitaient pas à ce domaine."). Milza "De Versailles à Berlin 1919-1945" p124 : "... Les administrations sont épurées. La presse muselée... A la fin de 1925 [en 2004], l'Etat fasciste [la RGOORT République Génocidaire Occulte Occultiste Relativiste Totalitaire, corrompue, spoliatrice, félone, pédocriminelle, barbare et maître-chanteur], est devenu une réalité... Le fascisme [la RGOORT République Génocidaire Occulte Occultiste Relativiste Totalitaire, corrompue, spoliatrice, félone, pédocriminelle, barbare et maître-chanteur] laissa subsister les anciens cadres, peu à peu dépouillés de toute autorité. [députés] Sur une liste de 1000 noms... le Grand Conseil du Fascisme [la RGOORT République Génocidaire Occulte Occultiste Relativiste Totalitaire, corrompue, spoliatrice, félone, pédocriminelle, barbare et maître-chanteur] en retenait 400 qui étaient ensuite soumis au corps électoral par plébiscite... Le parti fasciste [la RGOORT République Génocidaire Occulte Occultiste Relativiste Totalitaire, corrompue, spoliatrice, félone, pédocriminelle, barbare et maître-chanteur], parti unique, assure la propagande, la direction des esprits et le maintien de l'ordre... L'emprise sur les esprits se fait à deux niveaux. Par l'éducation... Les instituteurs font classe en chemise noire... par la propagande qui utilise tous les moyens modernes d'information... elle devient... obsédante avec les années 30... les frères Rosselli... des socialistes... seront assassinés en Normandie par des membres de la "Cagoule"..."

Milza "De Versailles à Berlin 1919-1945" p55, République de Weimar 1920-1934 : "... d'anciens corps francs dissous se reconstituent sous la forme de sociétés secrètes... Elles bénéficient... de l'indulgence des juges. Pour 354 assassinats... 24 condamnations à des peines de prison et aucune condamnation à mort..." https://www.angelfire.com/wizard/solidaires/Japon.html

"... Arendt qualifie les mouvements totalitaires de « sociétés secrètes au grand jour »..."... L'homme de masse peut être n'importe qui, c'est un individu isolé qui fait l'expérience de la « désolation », c'est-à-dire du déracinement social et culturel [c'est massivement le cas en France en 2004 : est-ce planifié ? La stérilisation de la créativité par la chaîne bureaucratique de stigmatisation des exclus Chômage, exclusion, corruption, crime contre l'humanité, en France : un paradigme pour Ezra Suleiman (Princeton)et une question à Cloe Madanes (FTI Washington) a-t-elle pour but de former une armée de réserve de barbares ? Erich Fromm "La passion de détruire. Anatomie de la destructivité humaine." Robert Laffont "Collection Réponses" 1973, p302-309]. Il trouve dans le totalitarisme une cohérence dont est dépourvue la réalité à laquelle il est confronté. Il s'identifie totalement au chef du mouvement totalitaire, alors que ce processus d'identification n'existe pas avec les dirigeants de partis traditionnels - y compris fascistes. Tel un prophète, le chef du mouvement totalitaire révèle la vérité dont serait porteur l'avenir. Placé au centre du mouvement, le chef doit son pouvoir à son habileté à manipuler les masses aussi bien que les luttes internes du mouvement... La " propagande n'est qu'un des instruments, peut-être le plus important, dont se sert le totalitarisme contre le monde non totalitaire ". La propagande est une entreprise de communication de masse qui vise l'imaginaire en s'articulant aussi bien sur une vision prophétique que sur la stigmatisation systématisation des " ennemis du peuple " et l'incitation à une obéissance aveugle au chef ou au parti comme unique moyen de vaincre. Un troisième concept apparaît, l'endoctrinement. Une fois que le mouvement totalitaire a pris le contrôle des masses, l'endoctrinement se rajoute à la propagande. Une éducation forcée et systématique des individus... Enfin, le dernier élément est la police politique... Pour Arendt, la police secrète constitue aussi le noyau du pouvoir totalitaire... Dans un système qui redéfinit le public et le privé en les niant tous les deux, le mot d'ordre est " surveiller et punir ". La permanence de cet état de fait conduit nécessairement à la terreur. http://www.google.com/search?hl=en&ie=ISO-8859-1&oe=ISO-8859-1&q=Arendt+qualifie+les+mouvements+totalitaires+de+%22soci%E9t%E9s+secr%E8tes+au+grand+jour%22&btnG=Google+Search

Pour les massacres, le processus paraît celui du stalinisme inversé, massacres ethniques (Rwanda, Congo-Brazzaville) correspondants à ceux de la deuxième guerre mondiale, quotas de massacres (Dutroux-Nice-Grasse-Antibes, disparues de l'Yonne, Alègre-Toulouse, monstre de Florence, Ciudad-Juarez... correspondants aux quotas des années 30), en attendant le génocide ciblé type koulak et les "grandes compagnies" (1917-1921)...

Sociétés secrètes et génocides ne font qu'un http://www.google.com/search?hl=en&ie=UTF-8&q=Denistouret+Gracchus+Babeuf+Vend%C3%A9e&btnG=Google+Search

Les croix de St André vous attendent. Quand vous implorerez "civis romanus sum", il sera trop tard. Les colonnes infernales violaient même les républicaines et il y a eu récupération de peaux humaines comme par les Totenkopf des camps de la mort.

Aujourd'hui en France 6/4/05 p 15 : assistons-nous à un tournant systémique ? Le test sera un accès de fièvre médiatique de la propagande négationniste dont il faudra décoder les réseaux occultistes, l'accélération des démarches de classement des dossiers 1 bis, l'enlisement de l'affaire Dutroux-DEFI-WICCA-Nice-Antibes, l'enlisement de l'affaire disparues de l'Yonne-Jambert-Fourniret, médecins légistes des affaires Borrel et Alègre, marqueurs de la crainte des "puissants". La gendarmerie va-t-elle être mise en cause dans les affaires Dutroux, disparues de l'Yonne-Jambert, Alègre-Roussel, Borrel, arsenal de Toulon, Institut de danse de Grasse [ désormais officiellement présentée dans l'ouvrage Sexus Politicus]...? "L'avocat de Dutroux accuse. Pédophilie. Dans un ouvrage explosif qui paraît aujourd'hui en France, maître Xavier Magnée, l'avocat de Marc Dutroux, dénonce un "procès caricatural" et accuse gravement la gendatmerie... C'est un véritable brûlot... "Marc Dutroux, un pervers isolé", rassemble tous les éléments qui alimentent la thèse d'un "réseau pédophile" dont Dutroux ne serait qu'une composante... Le dossier bis... il est aujourd'hui en voie de clôture... C'est un véritable scandale. Il y a dans la cache de Marcinelle, d'innombrables traces ADN qui prouvent que des gens y sont entrés... Je dis que certains gendarmes, aidés par leur hiérarchie, ont joué un rôle atroce... JE SUIS PERSUADE QUE LA GENDARMERIE A VOULU DOMINER L'INFORMATION POUR FAIRE CHANTER, LE CAS ECHEANT, LES PUISSANTS QUI VENAIENT ASSOUVIR LEURS PULSIONS AVEC CES FILLETTES... Dutroux garde le silence. C'est sa meilleure protection [comme Alègre, Le Floch-Prigent, Sirven est mort...]... Ce que je veux, COMME DES MILLIONS DE PERSONNES, c'est la vérité... "Je suis écoeuré et scandalisé" René Michaux, gendarme mis en cause par Me Magnée... La direction de la gendarmerie a reconnu sa dépression comme une "maladie professionnelle"...

Les enfants du magistrat Roche assassiné dans le contexte de l'affaire Alègre mettent enfin à jour le système Alègre, Dutroux, Fourniret, disparues de l'Yonne : des meurtres satanistes rituels de pouvoir déjà décrits il y a des années par Françoise Chandernagor dans "L'Archange de Vienne" :
http://www.affaireroche.com
http://galeon.com/affaireroche/defensedetaperca/resume.htm
http://www.lesogres.org/article.php3?id_article=719
http://www.lesogres.org/article.php3?id_article=503
http://www.lesogres.org/article.php3?id_article=534
http://www.pierrepanet.com/roche.htm

"Delenda est Carthago" ou Moscovici "Psychosociologie des minorités actives" : il faut larguer la Corse par référendum national https://www.angelfire.com/wizard2/solidaires/Corse.html
1905 séparation de l'église et de l'état, 2005 séparation de l'état et de la franc-maçonnerie sur le modèle italien.
https://www.angelfire.com/wizard2/solidaires/1905.html

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