T'enrichis la routine de par tes contrastes
Stimulante et ondulatoire, je te perçois
De haut en bas te revoilà
Harmonise-moi aux couleurs que je voie
Canalise en soi les formes que tu perçois
Syntonise-toi aux pensées que je conçois
Catalyses-toi
Analyses-moi
Fonce, prononce ton destin
Trace ton chemin
Fais fi de la déperdition issue de ton conditionnement
Réécoutes les idées que tu as en chantier
Motivez l'action, réagissons!
Élève-toi avec toute la confiance qui soi
À la maladresse en détresse qui lance des S.O.S.
A tous ceux que je m'adresse, assumez les stress que l'on s'induit
Arrêtez de chier dans l'eau que vous buvez
Transformer le train-train quotidien qui donne du pain
à certains en entretenant des gens pauvres d'esprit
La vie ne devrait pas être une question de survie
mais plutôt la force qui nous unit
Soyez de lumineuses entités qui ne cherchent qu'à briller
Etre perçu par le tout de ce qui est conçu, voilà le but
Allez, éblouissez vos sillages par votre passage
Imprégnez les mémoires avec l'intensité et la précision d'un pulsar
Canalise l'énergie, la matière qui intègre ta chair
Fais que j'y vois plus clair qu'hier
Ce faisant j'entretiens le culte du cristal et de la lumière
Je conçois en ces aires non-linéaires de quoi satisfaire
des gens sensées prospérant abondamment
De la profondeur d'une douceur inestimable, je convoite
d'un coeur affable et aimant
Aimanté aux joies punitives, je dépollue de la médiocrité ambiante
Inhalant constamment des poisons errants, je mortifie
ainsi certains de mes composants
De la chaophonie déferle de tout temps des mots cohérents
Tout comme l'envie harnassée enficellée à même
la pénombre en laquelle je sombre
A tout jamais, je vais là où s'expriment tous les sens
Enduit de nuit le souvenir jaillit jusqu'au matin où il revit un jour
Les événements et ce que nous en pensons, telle est la gestation
L'humanité s'oppose en factions arrêtons cette désunion
C'est la guerre des religions notre ancienne attrait d'union
Pour quelle cause et qui ose réclamer l'exclusivité de la raison?
Fraternisons, fractalisons sans toi ni moi, sans foi ni loi
où le monde s'en va, là où on n'ira pas
Chacun sa voie en ayant la conviction d'une raison
Pourtant je ne sais pas plus qu'eux l'enjeu des fictions
Pour l'instant, tout subsiste sans que les risques nous anéantissent
Je puise dans la ressource, j'en voie la destiné périmé
Suis-je affamé ou accablé par une réalité
où ma seule issue est de dramatiser
Pour me contrer je me rejuvénaire sous la pression
J'oppose l'oppression en la rendant dérisoire
La morale fait mal; elle satisfait quiconque aime le mal
Quand nos tours de passe-passe n'ont pas l'impact escompté
au niveau d'une société anesthésiée
Nous en somme sont encore des patient intempestif ?
Combien de désastres avant que tout soit échu
Une génération muselée par la majorité vieillissante impuissante
Endetté pratiquement au point de ne plus pouvoir remboursé
Coincée, une minorité d'opprimés rouspète en connaissance des causes
Témoin des classes de sous développés subventionnées
Hypothèquées à la moile vous trocqué la jeunessecontre votre insanité
Voilà que ça vous saute aux yeux et graduellement
votre inconséquence face au futur s'estompe.
Car nous y sommes au présent pour les putschs populaires
Du réconforts de vos foyers quel leur nous accordera votre faveur
Vous vous intercéderez-vous avec ferveur?
La fin orchestrée de votre mode de vie propre à une autre époque
J'y ai survécu malgré la faim, la fatigue et le froid
Cette même fougue obstinée désamorce ma haine quotidienne
Contribuant jusqu'à la fin du temps, du mouvement
Hé !
Baby-boom!
Badaboum!
Qu'attendez-vous?
Que l'avenir incertain vous dépossède vos biens?
Envisageant un cataclysme de ton envergure
Toi le flanc mou, t'attends-tu l'avènement d'un état nazis
Ou qu'ils t'eutanasissent pour accélérer ta mise hors circuit?
Tu t'économises et ta paresse restreint nos entretiens
Passionné, coûte que coûte j'y suis et j'en ai envie à tout prix
Confronté, aux pires affronts tirons des leçons des convulsions
Ne soyez plus les bourreaux des temps immémoriaux
Victime de ta propre machine t'hallucine
Tu tombes en ruine
Humain tu déconstruit l'objet de ton désir
Du plus profond de ton plaisir sans pour autant tout anéantir
L'attraction, la répulsion et la fusion s'effectuent perpétuellement
entre les éléments constamment mouvants
Les essences mutent littéralement en moi, à volonté
je les exultent surprenamment
Tant et aussi longtemps que j'existe, je persiste à penser
Face à toute épreuve indissociable aux buts que je me fixe
Un choix dont j'assume la porté délibérée
Je suis maître de mon sort et j'en jouis si j'en ai envie.
Le mysticisme me résigne
J'accomplis l'impossible pour pulvériser le voile de l'ignorance
De main à main ils s'ornent de joyaux m'apparaissant
outrageusement inutiles
S'empiffrant constamment d'indigeste, à des questions,
ils ne répondent que futiliment
Bien cravaté, il te fait signe de te conformer
Souvent bedonnant et répulsif, on les nomme les exécutifs
Les dirigeants de notre société entretiennent leurs capacités de décideurs
Sans le savoir, ils s'accoutument et partagent leur amertume
A trop vouloir tout gérer et digérer
Ils constipent le système et rendent les surplus indigestes
Faut pas se le cacher ils ont peur d'un monde meilleur
S'accrochant au rien savoir ce pouvoir illusoire
Après avoir tout fait pour empêcher les idées libérées de percer
Certains nous conspuent tellement qu'ils cachent les secrets
partout où t'as pas d'accès
D'un coup tu les décideras, tu les laisseras pas s'entretuer
Tu fusionneras avec les créateurs perpétuels du mieux-être
de la biomécanique quantique de l'écosmosystème
Nous solutionnons les problèmes gênants
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