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Cette histoire a comme titre:

L'histoire n'est pas finie. C'est normal car elle n'a pas de fin. Plus vous venez visiter le site tard, plus l'histoire sera longue.

Le docteur Oz était dans un rêve, à moitié évéillé, mais toujours endormi, quand tout a coup il se révéilla entièrement:
-Ca alors, dit il, c'est incroyable!
-Quoi? Demanda Burtlin, qui était debout à ses cotés, au cas ou il se révéillerais.
-J'ai fait un rêve, dit-il, et je crois que c'était un rêve prémonitoire.
-Qu'est-ce qui te fais dire ca?
-Et bien, il y avait ce panneau blanc avec quelque chose de noir écrit dessus. Il était écrit:"ATTENTION, REVE PREMONITOIRE EN COURS, NE PAS DERANGER".
-Et?
-Et tu m'as révéillé...
Ce rêve était bien évidemment impossible puisque tout le monde sait qu'il est impossible de lire quoi que ce soit puisque la partie "REVE" de notre cerveau n'est bien entendue pas connectée avec la partie "LECTURE". Pourtant, étant donné que le Dr Oz ne savait pas ca, cela lui était possible.
-De quoi parlait ton rêve? Demanda le docteur Burtlin.
-Il m'ordonnait de me rendre au pays des étoiles. Je ne sais pas ou c'est...
Le docteur Oz ne savait pas ou c'était. Mais VOUS ET MOI le savons (S.O.A.Ps), son rêve parlait de Hollywood!
-Merci, dit le docteur Oz, maintenant je sais.
Les deux docteurs décidèrent donc de partir à l'aventure. Pourtant, quelque chose les retenait. C'était peut-être le fait de laisser leur maison seule, ou peut-être le fait de partir sant dire au revoir à leurs amis, ou encore le fait de laisser le Saint-Bernard touti seuli pauv'toutou. Non, ce qui les retenait vraiement, c'était les bretelles de Oz qui étaient restée coincée dans la porte d'entrée.
-Oz? Dit Burtlin.
-Oui Burtlin? Répondit Oz.
-Ne crois-tu pas qu'il serait quand-m'aime préférable de dire au revoir à nos amis?
-Ah non, dit Oz, comme s'il n'était pas assez grand pour faire un âne. Si ils savent que l'on part, il voudront venir avec nous. Pas question!
-Zut! Eh qu'est-ce que c'est? J'ai un biscuit pour chien dans ma poche. C'est dingue ca!
-Donne-le moi! Tu sais que j'adore ca.
-On va leur dire au revoir?
Oz réfléchit un instant et, après avoir bien inspecter toutes les facettes du problême, répondu(ou peut-être répondouilla):
-OK, OK! Mais c'est la dernière fois!
Ils se rendirent donc chez Bär Renard, leur ami maçon (pourquoi pas?). En apprenant la nouvelle, il dit:
-Super, je prépare mes baggages et je vous rejoint à l'arrêt-au-port (enfin, l'aéroport).
-Heu, dit Oz, tu pourrais pas reformuler ça sous la forme d'une question par hasard?
-Bien sur, répondit Renard. Ca vous dirait de m'aider à préparer mes valises?
Et c'est ici que le narrateur l'habitude de plaçer son "NO COMMENT".

Puis les deux docteurs se rendire chez Frédéric César qui, pour cette histoire était, heu... Allez, disons qu'il était photographe... (Je sens qu'il ne va pas aimer).
-Salut poilu, dirent en choeur Ob et Zurtlin... heu enfin ouais.
-Salut les gars, CLICK CLICK! Ca gaze?
Burtlin, qui aimais bien les chanteurs alcooliques et fumeurs, répondit:
-On est venu te dire que l'on s'en va...(Vous pouvez pas comprendre si vous êtes nés après 1995. Toute réflexion faite, si vous êtes nés après 1995, vous ne viendrai surement pas lire mes histoires).
-Je sais, dit César. Anne Lie m'a appellée pour me le dire.
-Comment le sait-elle? Questionna Oz de manière assez... Enfin vous savez...
-Elle m'a dit que Bär Renard le lui avait communiqué.
-Ha ce Bär Renard, il ne sais pas tenir sa langue! (Cherchez pas le jeu de mot, il n'y en a pas).

Après quelques heures, les deux docteurs se retrouvationnèrent à l'aréo... ou c'est qu'c'est qu'on prends l'avion. A leur grande surprise, enfin pas autant que ça, il apérçurent tous leurs amis avec valises, sacs za dos, lunettes de soleil et appareils photo (seulement César). Bien sur que mes histoires sont "storyboardées", qu'est-ce que vous croyez? Quand Anne Lie arriva, le public se mit a hurler de joie. Personne ne sais vraiement pourquoi mais j'appelle ça l'"Effet première entrée dans les Sitcom".
-Tout le monde est la? Demanda Oz avec un sourire jaune. (Attention maintenant, c'est pas moi qui ai inventé l'expression, allez pas dire que je suis raciste envers les étrangers). Tout le monde embarqua dans l'avion. Oz reconnu l'hotesse qui lui avait servi de thé ET du café la dernièe fois qu'il s'était retrouvé dans l'avion. (cf: Docteur, j'ai mal au Ricain). Cette fois-ci, en le voyant, elle couru vers la porte de secours, déclancha le toboggan jaune et s'enfuit à toutes jambes. En voyant ça, les passagers crurent que l'avion allait s'écraser et la suivirent. Quel malheur, les cinq copains se retrouvirent seuls dans l'avion... Réflexion faite, ce n'était pas un malheur.

Après les trois heures d'attente habituelles, l'avion décolla. Le pilote, qui était le seul membre de l'équipage ayant survit (non, survécuit) au "non-décollage d'urgence", essaya de satisfaire aux bezoins tsoin tsoin de nos cinq amis. Pour cela, il devais souvent quitter son poste et par conséquent, ne dirrigeait pas très bien la direction de l'avion. Quand tout le monde fut endormi, à 20h30, heure locale de Moscou, le comandant repris les commandes du Zinc et volla direction le pôle Nord Géographique (précision importante) qui, d'après ses cartes, était le chemin le plus court. A son grand malheur, il fonça tout tête baissée dans une aurore boréale et perdit un moteur. Ce n'est pas grave me direz-vous, un avion peut voler avec un moteur en moins. Et bien je vous répondrai que vous avez farpaitement raison mais que, dans son voyage, l'avion avait déjà passé au dessus de l'ex-Yougoslavie et qu'ils avaient perdu les trois premiers moteur, détruits par la DCA des casques bleus qui croyaient que les extra-terrestres venaient envahir le pays... (d'accord, c'est sans queue ni tête. Et alors?). Le cap'taine décida de prendre le dernier parachute et d'aller dire bonjour aux Inuits. Bien qu'il sache maitriser les courants, il atterit au milieu d'un troupeau d'ours blancs affamés et fut dévoré en moins de temps qu'il ne faut pour raconter cette histoire. Quand Anne Lie réalisa ca qui ce passait, elle sauta sur le manche à balais de l'avion et commença à le tortiller dans tout les sens.
-Que fais-tu? Demanda Oz.
-May-Day, May-Day, ici Victor Juliette Jacques-Henri troisième du nom. Tour de controle, est-ce que vous me recevez?
-Que fais-tu?????? S'excita Oz.
-Laisse-moi faire, j'ai vu ça dans un film.
Ca-y-était (forme de l'imparfait de "Ca-y-est"), Oz venait de comprendre. Un film, c'est ça, il allait a Hollywood pour un film. C'est ce que son rêve essayait de lui communiquer.

Enfin arrivés à Hollywood, les trois amis sortirent de ce qui restait de leur avion. Ils décidèrent d'aller visiter les studios de MGM. Malheureusement, ils ne les laissèrent pas entrer. Puis ils essayèrent chez WB: Same answer (meme réponse). Alors ils se dirigèrent vers Paramount Picture Studios mais la encore, les porte furent closes pour eux. Bien que cette fois-ci, c'était parce que tout le monde était en vacances. Finalement, le soir venu, les amis décidèrent de trouver un hotel. Manque de bol la aussi, le seul hotel dont les employés parlaient un mot de français était complet. Désespérés, nos amis se rendirent dans un bar et décidèrent de se saouler. Ce qui aurait pu etre amusant s'ils avaient eu de l'argent pour payer les consomations. Ils furent éjectés du bistro sans sommations... et sans consomations. En plein milieu de la rue, un clocharle trainait. (Tient, un autre chanteur français). Il leur parla dans un language assez surprenant: Français avec une pointe d'accent de non-sobriété.
-ET, vous. Leur dit-il. Ouais vous la, le gars qui parle pour ne rien dire.
Heu, je crois qu'il s'adresse à moi.
-Ouais, le narrarateur de mes deux, la.
Un peu de retenue monsieur l'ivrogne. Vous n'êtes qu'un vignoble indvitu.
-Que nous voulez-vous? Demanda Bär Renard.
-Heu, en fait j'ai cru vous reconnaitre.
-Qui, moi? Dirent-ils tous.
-Etes-vous le docteur Oz?
-Lui m'aime.
-Je suis un fan incontesté. Et en plus, je suis producteur. Je veux vous engager pour me donner vos idées que je pourrai mettre dans mon prochain film. Acceptez-vous de me vendre vos histoires pour la modique somme de... re.. ron... ronron... zzzzzzz...
L'homme ne put finir sa phrase car Morphée s'empara de lui.

Après que l'homme se soit réveillé, et bien qu'il souffrit de boite crâniène résineuse (ou gueule de bois), il continua sa phrase:
-Je disais donc: J'achête vos histoires pour la modique somme de $5!!!
-$5? Demanda le docteur Oz. C'est pas cher! C'est décidé, je vends!
Voici donc notre bon vieux docteur partant à l'aventure en___
-Hé, dit le docteur Burtlin, et nous alors? Vous nous oubliez?
Ha heu... partant à l'aventure AVEC SES AMIS en acceptant de faire un film...

Les voila donc dans les SEDO (Studios d'Enregistrement du Docteur Oz), commencant à construire le décor. Lequel n'aurait pas pu etre créé sans l'aide de Bär Renard et de ses talents en matière de maçonnerie (N'oubliez pas la cédille SVP!!!). Bien sur, notre cher Frédéric César s'occupait de la caméra (je vous avais dit que mon histoire était "storyboardée"!). Quant à Anne Lie, elle fut engagée comme maquilleuse. Pour le premier épisode, ce fut simple. Oz tenait le role de Ludwig Oz, Burtlin, le role de Victor Burtlin et le producteur jouait le Lapin (cf:Docteur Oz, enfin l'histoire). Mais pour les autres histoires, les personages durent se dépêcher de changer de rôles. Le plus dur était pour César qui, en dépit de sa bonne volontée, n'arrivait pas à assumer son rôle et celui de caméraman.
-Coupez, dit le producteur, coupez-coupez-coupez, répéta-t-il. On reprends, on reprends tout depuis le début. Bär, le bouton doit etre SUR l'arbre et non DANS l'arbre. Comment veux-tu que les acteurs l'atteignent s'il est trop haut?
-Et bien, heu...
-Il faudra apprendre un truc: quand un producteur pose une question, vous n'êtes pas sensés y répondre. Allez, moteur, eeeeeeet ACTION!!!
"Bien sur, le bouton était dans l'arbre..."

Après la première journée de tournage, tout le monde était très fitâgué. Ils se rendirent tous au "Palace Bluff Hotel" qui, comme son nom l'indique, était un hôtel mitteux qui avait pour principale occupation de bluffer ses clients. Enfin, les chambre était jolies, bien décorées, on aurrait même dit que ces arraignées étaient des vraies. Le lendemain fut jour de repos. Pendant que Oz écoutait la radio, Burtlin commença à déplier une chaise de jardin.
-As-tu fini, Burtlin?
-Presque!
Puis il fut fini. C'était à cette manière que les invités étaient traités au Palace Bluff Hotel.

Pendant que Oz et son co-assistant-mais-néanmoins-ami le docteur Burtlin subissaient une cure de bain de soleil très douloureuse, César, Frédéric de son prénom, arriva.
-Devinez quoi. Dit-il.
-Tu as enfin réussi à manger trois cuilères de soupe sans t'en mettre partout! Dit Oz.
-Non, mais j'y travaille. En fait, j'ai trouvé un job. Je travaille maintenant chez McDonald®™©!
-Tu__tu peux pas nous faire ça, et le film? Demanda Burtlin.
-Ne me dites pas que je suis irremplaçable! Il doit bien exister un sagouin qui pourrait jouer mon rôle!
-Oui...oui, je pense... Dit Oz, d'une voix réfléchissante (ce qui ne veux pas dire que sa voix réfléchissait, mais que ça s'entendait dans sa voix qu'il réfléchissait).
-Et Anne Lie, et Bär Renard? S'étonna Burtlin.
-Ils le savent et sont avec moi jusqu'au bout. Vous devriez faire comme eux, vous aussi, vous devriez etre contents pour moi au lieu de ne penser qu'à votre stupide film.
Oz était boulversé. Mettez-vous à sa place, vivre dans votre monde parfait durant toute votre vie, votre petit monde créé par un gentil narrateur, et tout à coup vous retrouver au milieu de la Vraie Vie, celle ou les vrais amis sont aussi ceux qui vous laisse tomber. C'était trop pour lui, trop d'un seul coup. Ses histoires avaient pour habitude de le faire sourir, desfois même rire, mais la, au milieu de son jardin, sur se chaise que Burtlin avait spécialement déplié pour lui, il ne le supportait pas.

Et après? César avait raison, il n'était pas irremplaçable. Il fallait s'empresser de trouver un César de rechange avant que le producteur ne s'apperçoive que le premier ait disparu.
-Je sais! s'exclama Burtlin. Il suffit de faire passer des auditions!
-Brillante idée, Burtlin, je dirais même lumineuse, résplendissante, pharabolestique, c'est une idée du néant!
-Mais?
-Mais il n'y a personne qui parle français dans le coin. Et nous n'avons pas le temps de retourner chez nous pour trouver quelqu'un de francophone. Le temps, LE TEMPS! IL NOUS FAUT PLUS DE TEMP!S
-Je sais comment trouver plus de temps, il suffit d'utiliser la machine de Bär Renard.
-La machine? Questionna Oz.
-Oui, la machine, répondit Burtlin.
C'est ce que Oz pensait: LA MACHINE! Bien qu'il comprit tout de suite de quoi il s'agissait, il se pérmit quand même de demander de quoi il s'agissait:
-De quoi s'agit-il?
-La machine à remonter le temps, pardi!
-Oui, grâce à cette machine, nous pouriont aller chercher l'autre César.
-Je pensais juste retourner chez nous pour auditionner du monde...
-C'est ça la différence entre toi et moi: tu pense toujours AVANT de réfléchir.
-Et toi tu devrais penser avant de parler.

Les deux amis s'en allèrent donc trouver Bär Renard qui, comme par hasard, était en train de réanimer Anne Lie en lui faisant de bouche-à-oreille... non, bouche-à-bouche.
-Renard! dit Oz.
-Quoi?
-On a besoin de ta machine.
-Ma machine?
-Oui, ta machine.
C'est ce que Renard pensait: LA MACHINE! Bien qu'il sut de quoi il s'agissait, il se permit quand même de demander de quoi il s'agissait:
-De quoi s'agit-il?
-Ta machine, enfin... la machine a remonter le temps...
Après que l'histoire lui fut expiquée, Bär Renard conclut que l'idée était assez folle pour marcher. Il leur avoua aussi qu'il avait construit une réplique miniature qui lui permettait de faire un voyage à travers l'hyperespace-temps intergalactique du futur passé composé:
-En fait, leur dit-il, j'ai même construit une réplique miniature me permettant de faire un voyage à travers l'hyperespace-temps intergalactique du futur passé composé.
-C'est vrai? demanda Burtlin. Tu as vraiment construit un réplique miniature te permettant de faire un voyage à travers l'hyperespace-temps intergalactique du futur passécomposé?
-Oui, répondit Renard. J'ai vraiment construit une réplique miniature me permettant de faire un voyage à travers l'hyperespace-temps intergalactique du futur passé composé.
Et à Oz de conclure:
-Enfin Burtlin, s'il te dit qu'il à construit une réplique miniature lui permattant de faire un voyage à travers l'hyperespace-temps intergalactique du futur passé composé, c'est qu'il a vraiment construit un réplique miniature lui permettant de faire un voyage à travers l'hyperespace-temps intergalactique du futur passé composé!

Les quatre amis commencèrent donc a tripatouiller les boutons de la machine et se retrouvèrent de nouveau en plein milieu de Rome, en Italie. (cf:Flash Back). Ils partirent donc à la recherche de Julius Caesar et le trouvèrent.
-Avé César, dit Oz. Marie Curie t'est insultant.
-Qui ose parler à César sans lui en demander la permission?
-C'est moi, Oz.
-Oz, mon ami. Toi qui m'as sauvé la vie. Que fais-tu la, de retour, avec tes amis?
-Nous sommes venu te demander un faveur.
-Requestez votre requête. Mais, dites-moi. Ou est votre ami qui se prends pour moi?
-C'est justement ce que nous voulions te demander. Nous avons besoin de toi pour tourner un film qu'il ne veux pas tourner.
-C'est d'accord. Je suis votre empereur (il aurait du dire "je suis votre homme" mais il se considère au dessus du commun des mortels donc...). Mais dites-moi, c'est quoi un film?

De retour vers le futur, les amis commencèrent à tourner le film. Julius ,appellons-le Julius, cela nous permettra de ne pas confondre avec... heu... Frédéric. Julius dit:
-Et en fait, il est ou votre ami?
-Il travail chez MacDo. Répondit Anne Lie.
-MacDo? Demanda Julius.
-Oui, MacDo. Répéta Anne Lie. C'est un chaine de fast food mondialement connue.
-Faste foude? J'en était sur. Il a été enlevé par les Sarrazins qui le font travailler jusqu'a ce qu'il perde un max d'eau.
-Pas un max d'eau, dit Burtlin. Un MACDO... Une taverne en rêve tenu.
-Ce qui veux dire?
-Rien du tout mais ça se lit dans les deux sens...

C'est à ce moment précis que le téléphone sonna. C'était César (et non pas Caesar) qui avertissait Oz qu'il s'était fait vidé et qu'il revenait tourner le film avec eux. Bien sur, Oz ne réalisa pas ce qu'il faisait quand il lui dit qu'il l'attendait dans trois minutes. Bär Renard le lui fit remarquer:
-Quelle tête penses-tu qu'il va faire quand il remarquera qu'il a déjà été remplacé?
-Celle-la?
Oz fit une grimace
-Non idiot, repris Renard, c'est une expression. Je veux dire par la qu'il sera déçu. Il verra qu'il n'est pas un si bon acteur que ça.
-C'est vrai, dit Oz. Alors il faut le faire réengager chez MacDo.
-Je proposerais plutot de se débarasser de l'AUTRE Ceasar...
La petite équipe se mit à réfléchire sur le moyen de délaisser l'autre. A ce moment très très précis, César arriva. Heu non, je veux dire Caesar. Il leur demanda ce qu'ils faisaient et à Burtlin de répondre:
Heu, nous avons décider de... heu Tourner la fin du film dans le désert.
-Le désert? Dirent tous les autres.
-Oui, le désert, c'est ce qu'on viens juste de décider, non?
Et voici nos amis partis dans le désert avec comme seul équipement, une caméra, une jaquette en cotton, une brosse à dents...sadents et une paire de pantoufles rembourées. La plupart de ces objets étaient bien sur inutiles mais... on ne sais jamais.

Les amis se retrouvèrent en plein milieu du désert. Quand tout à coup, Caesar demanda:
-C'est quoi cette lumière la-bas?
-Ca doit être Las Vegas, dit Anne Lie.
-Allons-y! s'écria Oz. J'adore les parcs d'attraction.
Ils se rendirent donc à Las Vegas. En se promenant dans les rue, Bär Renard remarqua que tous les noms de casinos étaient exactement les mêmes que dans les films. Tout à coup, Caesar s'exclama:
-Regardez ça, il y en a un qui porte mon nom!
Effectivement, le Caesar Palace s'étendait juste devant leurs yeux. Il n'était pas très fatigué mais il s'étendait quand même devant leurs yeux. Ils entrèrent.

Pendant ce temps, César arrivait aux SEDO et s'y retrouva seul au milieu d'une absence de monde. Il décida de continuer le film seul et bien sur de le "reformater" à sa manière. Il devrait bien sur être la star, le docteur Oz devrait être l'homme à tout faire (petite vengeance bien froide), Burtlin et Renard auraient disparu de la surface de la terre et Anne Lie serait toubée amoureuse de lui. C'était son rêve parfait.
-Ha! c'est mon rêve parfait! Dit-il.
Il partit pour prendre la caméra mais ne la trouva pas. Alors il se dit que ses "amis" l'auraient peut-être pris dans le désert avec eux. Vous ne trouvez pas ça blizard? Comment savait-il qu'ils étaient dans le désert? Et comment pouvait-il le savoir et ignorer ou la caméra était? Il y a certaines questions qu'il ne faut mieux pas poser à Hollywood...
-Je ne sais pas ce qui se passe ici, dit-il, mais ça sent pas bon.
Etait-ce son intuition? Avait-il vraiment découvert la super-boucherie... heu, supercherie? Ou était-ce juste son slip qui avait un problème de fuite? Il y a certaines questions qu'il ne faut mieux pas poser à Hollywood.

Apres que le docteur Oz, le docteur Burtlin, Bär Renard, Anne Lie et Julius Caesar aient perdu chacun $200 en billets de deux, Oz décida qu'il vallait mieux arrêter.
-Il vaut mieux arrêter.
-C'est ce que je pensait que tu allait dire. Dit Bär. Arrêtons.
Ils sortirent. Tout le monde est la? demanda Oz. Contons-nous: un.
-Deux, dit Burtlin.
-Trois, retorqua Renard.
-Quatre, retroqua Anne.
-...
-Hé! dit Oz. Ou est César? -Il est resté à Hollywood.
-Je veux dire... ou est Caesar?
-Je crois qu'on l'a perdu. Dit Burtlin.
-Il faut le retrouver, dit Anne Lie. Comment voulez-vous le semer s'il se perd lui-même?
-On s'en fouiche, dit Bär. Du moment qu'il n'est plus avec nous.

De son coté, César avait racheté une nouvelle caméra. Il l'avait trouvé au font d'une boutique bric-à-brac qui était en fait un bazar reconverti en marchant d'antiquités. Quand Frédéric César entra, il demanda:
-Alors, quoi de neuf?
-Le marchand n'aima pas la blague et il lui dit d'aller se fair voire chez les Grecs. Ce que César fit aussitot. Il se dirigea de l'autre coté de la route chez Z. LeGrek, marchant de "Tout-ce-que-c'est-que-vous-voulez". Quand il entra, Frédéric vusit (c'est une forme passé simple-présent du verbe voire, pour être sur de ne pas se tromper entre "vu" et "vit") une série de caméras de differentes couleurs, differentes tailles, même prix... Même prix? César était ébourniflé. Il avait déja vu les ventes "tout pour un franc" mais la, c'était une vente "tout pour $1000". Inutile de vous préciser que... non, c'est inutile de le préciser.

Tout contents de leur affaire, le reste de la Companie Créole (-: commença le retour du coté de Hollywood. Malheureusement ils n'avaient plus un rond pour se payer un taxi. Alors ils décidèrent de marcher. En plein milieu de nulle-part, d'après leur carte, ils rencontrèrent un petit bonhomme tout rigolo. Oz lui demanda:
-Quel est ton nom?
Et au petit bonhomme de répondre:
-Jean, Jean Renard.
-Ca c'est marrant, dit Bär Renard. Tu as le mème nom que moi.
-Il y a une raison pour ça, dit-il. Nous sommes de la même famille.
-Cela m'étonnerait, je n'ai jamais eu d'enfant de toute ma vie.
-Je ne suis pas ton fils, idiot, je suis ton frère!
-Je ne savais pas que j'avais un frère.
-Et qu'est-ce que tu croyais? que tu pouvais te promener librement entre Las Vegas et Hollywood sans découvrire un membre de ta famille que tu ne connaissait pas?
-Comment se fait-il que nous ne nous soyons jamais rencontrés?
-Voici mon histroire:

Bien avant ta naissance, nos parents quitèrent leur planète natale, Kroupion, et commencèrent leur voyage en dirrection de la terre. Malheureusement, il furent à cours de carburant et durent se séparer du surplus de poids. Il décidèrent de jeter leurs oeufs pourtant prêts au dévelopement. Ces oeufs contenaient des enfants, LEURS enfants. Nos deux oeufs furent envoyés en direction de la terre. Malheureusement, le mien fut dévié par la gravité de Jupiter et attrit, ou plutot ammarsit sur Mars. Le tient, au contraire, continua sa course en direction de la planète bleue. Il tomba, éclos et tu grandit en apprenant que tu était un humain et en te comportant de la sorte. Quant au mien d'oeuf, il fut soigné et élevé par un couple de martiens. Mon père était astronome et essayait de trouver une source de vie sur une autre planète. Son rêve fut bien évidement le mien et, après sa mort, je décidai de chercher cette vie. Puis j'ai retrouvé mon oeuf dans un placard à balais de ma mère (oui, les martiens ont aussi des placards à balais). En essayant de découvrir ce qu'il contenait, l'oeuf commenca à s'élever dans les airs et à me parler. Il me raconta l'hisoire que je viens de te raconter. Voila. Tu sais tout.

Bär Renard était astronomisé. Il voulais poser cette question. LA question. Mais il ne put point, son coeur était muêt de stupeur. Il craignait la réponse. Alors, sans même le vouloir, Oz lui posa la question:
-Est-ce que tu penses que le prochain président des Etats-Unis aura une relation sexuelle avec une stagière de la Maison Blanche?
Mais Jean ne dit rien. Bär était soulagé.

Revenons à César et sa caméra: Alors qu'il ne trouvait rien à moins de mille balles, il décida de faire ses excuses au gars d'en face et de lui acheter la petite merdre qu'il vendait pour cent foix moins cher (moins dix, plus trois, je pose tout je retiens rien... ça fait dix dollars!)
-Je croix que je vais prendre celui-la, dit il.
-Ha vous croyez? Demanda le vendeur.
-Oui. Répondit Frédéric d'une voix ésitante.
-Donc vous n'êtes pas sur...
-Heu... Si, je veux dire... Enfin je me suis mal exprimé, je voulais dire "Je VAIS prendre celui-la".
-Et qu'est-ce qui vous fait croire que je vais vous le laisser?
-Et bien, vous êtes un vendeur, je suis un acheteur, vous ne pouvez que me le vendre ou autrement... heu... je ne vous l'achêterai pas!
-D'accord, d'accord, dit le vendeur. Mais c'est la dernière fois!
Et Frédéric César paya en s'en fut-aller au loin. Quand il fut de retour aux SEDO, il commença à installer son matériel et à tourner. Il avait une imagination débordante pour inventer des histoires les plus abracadabrantes les unes que les autres. J'admire les gens qui ont cette habilité de raconter des trucs invressamblables qui tournent desfois à la plaisanterie, desfois au non-sens et... bon, assez parlé de moi.

En plein milieu de nulle-part, nos amis décidèrent de se rendre quelque part. Comme Hollywood par exemple.
-Je sais pas vous, dit Burtlin, mais moi je vais quelque-part.
-Ou? demanda Oz.
-Tu es sourd ou quoi? le narrateur a dit "Hollywood"!
Il partit donc. Pui Anne Lie décida qu'il vallait mieux le suivre. Ce qu'elle fit aux six taux, ou au site haut, ou encore os scie Tau...
-Nous ne sommes plus que trois, dit Bär Renard. Qu'est-ce qu'on fait?
-Viens avec moi frangin, dit Jean Renard. Je retourne sur Mars.
-OK! répondit Bär sans même réchléfir une seconde.
Oz se retrouva donc seul au milieu de nulle-part et décida de continuer d'écrire dans son journal secret. (Et vous croyez que je connais toutes ses histoires comment, hein?). Il se retrouva tout seul car Les Renards... Peut-être qu'il n'y a pas de "s"... Peut-être que oui... bon, recommencons:

Il se retrouva tout seul car Renard, je veux dire, tout les deux, s'étaient évaporés dans les airs. Oz écrit.

Pendant que Burtlin marchait,..quoi? excusez-moi? non, je ne vous raconterai pas ce que Oz écrivait, c'est privé ces choses-la, vous savez. Bon... Pendant que Burtlin marchait, Anne Lie commença à le ratraper. Puis les deux heu... êtres vivants continuèrent leur marche ensemble.

Rien de nouveau du coté de César.

Jean et Bär se retrouvèrent dans un vaisseau spécial, O.V.N.I., U.F.O., soucoupe violante, ou peut importe le nom que vous voulez lui donner. Jean dit à Bär:
Je ne voulais pas te le dire devant tes amis mais... j'ai retrouver la trace de nos parents. Ils sont en ce moment même sur Kroupion. Viens avec moi, ce sera rapide, ce n'est qu'à 483 années lumière d'ici. Nous y serons dans vingt minutes.
Bien évidemment, Jean comptait en minutes martiennes et non terriennes. Vingt minutes martiennes sont environ égales à cint vingt-sept mille minutes terriennes. Ce qui fait 88 jours, 11 heures et 40 minutes. Arrivés sur Kroupion, Les présentation furent faites. Le père de Bär, Draner Renard, avocat de son état, présenta son fils à son collègue, Cheddar Corbeau.
Alors vous êtes avocats tous les deux? Ca doit être rigolo dans un tribunal, quand les avocats du procès s'appellent Maitre Renard et Maitre Corbeau. Est-ce que vous mangez du fromage à midi?
-Non, répondit Cheddar.

Pendant ce temps, Burtlin et Anne Lie arrivèrent de nouveau à Hollywood. Ils se rendirent aux SEDO et y trouvèrent César ET Caesar. Ils se posèrent des question auxquelles César répondit:
-Que...quoi...qui...comment?
-Et bien: Que, Tourner. Quoi, un film. Qui, Caesar et moi. Comment, avec ma nouvelle caméra neuve.
-D'accord mais comment se fait-il que Caesar soit la? Demanda Burtlin, en essayant de cacher la vérité (pas bien!)
-D'après lui, VOUS l'avez ammené ici. Pour tourner un film à ce qu'il dit. J'en déduit que vous l'avez pris pour jouer mon role. Très bon choix, très très bon choix.
Mais César n'était pas faché.
-Donc tu n'es pas faché? demanda Anne Lie.
Comme je le disais, il n'était pas faché.
-Non, dit Frédéric, je ne suis pas faché, tout comme l'a très bien fait comprendre le narrateur...

Malheureusement, l'histoire est trop longue, je ne peux plus ecrire. Je vais donc la continuer ici: A suivre...

Cette page a été commencé le 16 avril 2000

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