L'Ars Moriendi (art de mourir) du 15 ième siècle met en évidence le conflit éthique du mourir. Le mourant rencontre ses visiteurs: des amis, des anges, des prêtres et des démons. Chacun essai d'entraîner celui qui va mourir vers le paradis ou l'enfer. L'Église avait défini la route vers le paradis et la meilleure facon d'en finir. Les mortels sont toujours tentés par les plaisirs de l'enfer. L'ARS MORIENDI est une série de dessins où le mourant dialogue avec toutes ces forces opposées. Les anges et les démons présentent tous de bons arguments. Une vie vertueuse amenait à une mort virtueuse, ce qui garantissait une place au paradis, le bien vainquant du mal.

Un autre dessin représente la mort comme nous aimons la voir maintenant, un au revoir paisible, avec un être bénévolent pour nous accompagner. L'autre dessin représente la mort de la mort. L'ange terrasse la mort. L'imagerie change lorsque la mort, représentée par un squelette, meurt. Cela mène à la période moderne. Un autre exemple de ce passage de squelette vers les anges peut être vu à Boston où les pierres tombales de l'époque coloniale ont initialement des cranes mais changent vers le 17 ième siècle, pour des images de petits anges, de pots fleuris ou même, simplement d'ailes pour symboliser la mort. La Danse Macabre n'est plus.

Le mourant pret a paraitre
devant Dieu, Metz, 15 ieme s.

Ars Moriendi

La mort de l'homme mauvais
Thomas Chambar, 18e C.

La mort de l'homme bon
Thomas Chambar, 18e C.

One other drawings presents death as we see it now, a pleasant farewell, with a gentle beckoning from a benevolent being. The other picture is the death of death. In it, the angel supplants death. The imagery changes when death as a skeleton dies. This leads to the modern era. Another exemple of this passage from skeletons to angels is seen in Boston where the tombstones of the colonial era feature skulls that, after the 17^th hundreds, are replaced by little angels, a pot of flower or simply wings to symbolize death. The Danse Macabre is no more, it's gone.